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Restaurations SQL, l’erreur est humaine

Tech - Par Tristan Karache - Publié le 27 avril 2015
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Une étude de Kroll Ontrack explique que près de 90% des demandes de restauration sont à l’origine impulsées à cause d’une erreur humaine.

Restaurations SQL, l’erreur est humaine

Faite par Kroll Ontrack, leader sur le marché de la récupération de données et de la recherche d’informations et de preuves informatiques, cette étude explique ainsi que l’erreur humaine est à l’origine des restaurations SQL par divers facteurs comme une suppression involontaire (35 %), des erreurs de développement (28 %), l’écrasement par écriture accidentelle (24 %) ou les pannes système (13 %).

Autres données intéressantes mises en lumière dans cette enquête, les personnes sondées répondent à presque deux fois plus de demandes de restauration de données pour des environnements de tests que pour des environnements de production, ce qui semble logique puisque les environnements développés, qui sont alors extrêmement itératifs et donc moins stables, sont sans cesse soumis à de nouveaux apports. Chaque mois, 50 % des personnes interrogées traitent entre une et cinq demandes de restauration en environnements de développement et de tests, environ 20 % en traitent entre six et dix, et 15 % en traitent plus de dix.

La dernière version de Ontrack PowerControls qui prend en charge Microsoft SQL Server 2005, 2008, 2008 R2, 2012 et 2014, permet aux administrateurs de s’appuyer sur les sauvegardes Microsoft SQL Server compressées pour bénéficier d’une réduction de l’espace de stockage mais aussi et surtout de restaurations plus courtes en termes de durée et plus rapides. Plusieurs fonctionnalités pour faciliter la gestion des restaurations sont aussi intégrées comme le glisser-déposer, la validation avant restauration ou le processus rationalisé.

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