Bien que cet exemple ne soit pas complet, c'est-à -dire qu'il n'aille pas jusqu'à faire de votre *MODULE une collection de sous-procédures, j'espère qu'il illustre la manière d'utiliser les pointeurs de procédure pour contrôler dynamiquement le flux des programmes. Les sous-procédures permettent de manipuler les deux genres de variables : locales
Ajouter du contrôle et de la souplesse
(définies dans le corps de la sousprocédure
elle-même) et globales (définies dans le corps de
la procédure principale). Les fichiers sont toujours définis au
niveau global et même dans un programme de service sans
procédure principale, ils peuvent être définis au début et
être accessibles aux sous-procédures.
Contrairement à une sous-routine, les
sous-procédures peuvent recevoir et renvoyer
des valeurs. On peut donc les utiliser
comme des fonctions « boîtes noires » pour effectuer
de multiples activités autonomes au
service d’un programme.
Bien entendu, l’étape suivante consiste à
prendre ici les sous-procédures internes et à
les externaliser au-delà du corps de *MODULE
dans un module de programme de service
séparé. Quand la fonctionnalité est commune,
on peut l’isoler dans une seule
procédure de service, afin de réduire encore davantage le
corps des modules.
J’espère que vous trouverez ici des idées intéressantes
pour vos futurs programmes. L’incorporation de sous-procédures
est un aspect important de l’utilisation d’ILE. Une
bonne compréhension des pointeurs de procédure ajoute
encore à la souplesse de ce procédé.
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