Sur le papier, la virtualisation des serveurs est une aubaine et une bonne opportunité. Cependant, l’administration de machines virtuelles devient vite problématique au-delà de 4 environnements virtuels hébergés par machine physique, principalement dû au fait de goulets d’étranglement au niveau des entrées/sorties, du processeur et de la mémoire partagés par
Limitations actuelles
ces environnements virtuels. Il faut également savoir que peu d’éditeurs certifient (ou sont prêts à certifier) les applications fonctionnant dans des environnements virtuels. Les performances seront également inférieures de l’ordre de 20 à 30% par rapport à celles obtenues en environnement natif. De plus,, si un problème survient sur la machine physique ou sur l’environnement hôte, tous les environnements virtuels fonctionnant sur cette machine deviennent inexploitables. D’autre part, Virtual Server ne peut actuellement gérer qu’un seul processeur par environnement virtuel.
Enfin, le coût de migration vers des environnements virtuels est à prendre en compte : outre le coût éventuel d’acquisition du matériel – nécessairement « haut de gamme » afin de fournir suffisamment de ressource, le coût des licences logicielles peut porter préjudice à l’intérêt de la virtualisation, certains éditeurs facturant les logiciels d’après la puissance matérielle.
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