RMI (Remote Method Invocation) est une technique de création et d'utilisation d'objets Java distribués. Avec les méthodes actuelles, la création et l'utilisation d'objets Java distribués revient généralement à ce que les programmes Java clients accèdent aux objets Java serveurs pour bénéficier de certains moyens du serveur, comme d'un driver JDBC
Outils RMI, JAR et javadoc
(Java Database Connectivity) natif.
L’environnement shell contient deux outils permettant de travailler avec RMI. Le compilateur RMI, obéissant à la commande rmic, prend un fichier de classes Java codé de manière adéquate, et crée les classes stub et skeleton permettant à la classe de se comporter comme un object distant.
Le second outil est le registre RMI, obéissant à la commande rmiregistry. Il s’agit d’une fonction serveur, généralement un processus d’arrière-plan qui s’exécute en continu après qu’on l’ait fait démarrer. Par l’intermédiaire du registre, les objets du serveur s’enregistrent eux-mêmes de sorte que les applications client puissent les localiser et invoquer leurs méthodes.
Une bonne manière d’organiser les applications Java consiste à les packager dans des fichiers JAR (Java archive). Une fichier JAR est une collection de classes, éventuellement en format compressé. On peut regrouper des ressources comme des fichiers d’images ou audio dans un JAR, avec les fichiers de classes. L’environnement shell permet de créer ses propres fichiers JAR sur AS/400 avec l’utilitaire jar.
Le plus souvent, les fichiers JAR contiennent un manifeste de leur contenu. On peut laisser à la commande jar le soin de générer un fichier manifest et de le placer dans le fichier JAR, ou bien d’indiquer un fichier manifest de son cru. Dans des conditions normales, il vaut mieux que la commande jar crée ce fichier.
L’outil javadoc crée la documentation sous la forme de pages HTML (Hypertext Markup Language) à partir des commentaires spéciaux insérés dans les fichiers source Java.
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