Requêtes de log

indique le niveau de la requête. L’exemple suivant adresse une requête de niveau Warn pour le logger spécifié :

LogWarn( LoggerId : LogMsg );

Et nous arrivons à la fonction essentielle de Log4i. Une requête de log n’est validée que si le niveau de la requête est égal ou supérieur au niveau du logger. Seules les requêtes de log validées écrivent réellement des entrées de log. Ainsi, la requête LogWarn précédente n’écrit une entrée de log que si le logger spécifié par LoggerId présente l’un des quatre niveaux suivants : Warn, Info, Debug ou All. Si le niveau est Off, Fatal ou Error, aucune entrée de log n’est écrite.

Cette fonction permet de coder des requêtes de log pour des niveaux différents, en différents points de l’application. A l’exécution, en définissant le niveau du logger, on peut contrôler les requêtes de log qui seront validées. On l’a vu, la procédure SetLoggerLevel sert à définir le niveau d’un logger. Pour les programmes ILE, une technique consiste à inclure dans les paramètres du programme un paramètre caractère pour le niveau de logging. Log4i inclut une procédure capable de convertir une chaîne de caractères en un niveau, comme l’illustre la figure 2. On le verra plus loin, on peut aussi définir le niveau d’un logger au moyen d’un fichier de propriétés.

L’une des raisons pour lesquelles je suggère d’utiliser des loggers nommés, plutôt que le logger racine, est que vous pourrez alors avoir des loggers spécifiques pour divers modules ou procédures dans un programme ou programme de service. Avec des loggers multiples, vous pouvez définir des niveaux de logging différents pour différentes parties de votre application. Cela contribue beaucoup à l’élimination de centaines d’entrées de log sans intérêt pour le diagnostic d’une application. Il y a même une fonction Log4i encore plus intéressante à cet égard, que je couvrirai plus loin.