Microsoft vient d’officialiser le lancement de la nouvelle version de sa solution de communication unifiée.
Points clés de la migration vers Lync 2013
L’occasion pour Laurent Téruin, MVP Lync, de dresser la liste des points clés à prendre en compte pour le déploiement de cette nouvelle offre.
Un déploiement qui sera plus complexe à réaliser que celui de son aîné en raison de l’importance prise aujourd’hui par Lync 2010 par rapport à Office Communication Server. « OCS était un peu vu comme un gadget alors que Lync 2010 est déployé comme solution de téléphonie complètement intégrée à l’entreprise, explique Laurent Téruin. Migrer de Lync 2010 à Lync 2013 est donc un peu plus compliqué dans le sens où il s’agit d’un véritable outil en production ».
Autre complexité, ce n’est pas une mais deux migrations qu’il va falloir réaliser. « Lync a deux aspects, la partie informatique et la partie téléphonie. Généralement, on va donc avoir deux équipes différentes ».
Principal avantage d’une migration Lync : le peu de données à migrer. « Nous ne sommes pas dans un environnement SQL ou Exchange donc on est plutôt sur une migration de service, ce qui est beaucoup plus confortable ».
Lync 2013 apporte également de nouvelles capacités en termes de redondance multi-sites. En cas de crash, il sera possible de basculer sur un site de secours et de rétablir toutes les fonctionnalités de téléphonie, messagerie instantanée, présence et web-conferencing en moins d’une heure.
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