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Trucs & Astuces : Microsoft Entourage

Trucs & Astuces : Microsoft Entourage

Les trucs & astuces de la semaine du 3 au 9 Avril 2006

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Outils Best Practices Analyser

Outils Best Practices Analyser

par Michael Otey - Mis en ligne le 23/03/2006 - Publié en Décembre 2004

Si vous débutez en tant qu’administrateur SQL Server ou si vous exercez votre activité de DBA à mi-temps et que vous n’êtes pas un pro de SQL Server, le nouvel outil d’administration SQL Server 2000 Best Practices Analyzer de Microsoft va vous rendre des services inestimables. Ce produit est téléchargeable à l’adresse http://www.microsoft. com/dowloads/details.aspx?familyid=b352eb1f-d3ca-44 ee- 893e-9e07339c1f22&displaylang=en. Cet outil utilise un ensemble de règles destinées à contrôler la mise en oeuvre des meilleures pratiques courantes, la plupart ciblant l’utilisation et l’administration. Ces règles incluent plus de 70 meilleures pratiques et directives fournies par Microsoft pour la gestion et l’utilisation de votre système. Vous pouvez également définir votre propre ensemble de règles. Voici mes sept règles de prédilection contrôlées par l’outil Best Practices Analyzer.

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Trucs & Astuces : Migration Exchange 5.5, iSCSI, AD, LoveGate

Trucs & Astuces : Migration Exchange 5.5, iSCSI, AD, LoveGate

Les Trucs & Astuces du 6 au 12 Mars 2006

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Comparaison des performances entre fichiers définis par DDS et fichiers définis par SQL

Comparaison des performances entre fichiers définis par DDS et fichiers définis par SQL

par Dan Cruikshank Mis en ligne le 14/02/2006 - Publié en Juillet 2005

Pour diverses raisons, il est préférable d’utiliser SQL DDL (Data Definition Language) de préférence à DDS (Data Definition Specifications) pour définir les fichiers base de données iSeries (ou tables et vues en terminologie SQL). En effet, beaucoup de fonctions SQL sont absentes dans DDS (comme les vues avec des valeurs résumées) et SQL est le langage base de données standard d’IBM et de l’industrie en général. Mais il y a une autre raison importante : la performance. Dans bien des cas, l’accès est plus rapide pour des fichiers définis avec SQL DDL qu’avec DDS.Pour comprendre la supériorité de SQL sur DDS en matière de performance, il est important d’examiner les principes architecturaux, en détachant les différences entre SQL et DDS. En substance, les tables SQL sont des fichiers physiques OS/400, et les vues et les index SQL sont des fichiers logiques OS/400. Par conséquent, beaucoup des possibilités et des comportements des objets SQL sont identiques ou similaires à leurs homologues OS/400. Mais il y a deux différences très importantes : la validation des données et la taille du chemin d’accès.

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Trucs & Astuces : Capturer les paquets IP avec Netcap

Trucs & Astuces : Capturer les paquets IP avec Netcap

Les trucs & astuces de la semaine du 23 au 29 Janvier 2006

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Testez vos prouesses en programmation : 101 connaissances ILE RPG essentielles

Testez vos prouesses en programmation : 101 connaissances ILE RPG essentielles

par Paul Conte Mis en ligne le 06/01/2005 - Publié en Mai 2005

Voici une auto-évaluation qui servira à mesurer votre connaissance d’ILE RPG. Pour dresser cet inventaire, j’ai demandé à des développeurs iSeries expérimentés de recenser les compétences RPG de grande valeur pratique et qui vont au-delà de « l’élémentaire ». Beaucoup des compétences indiquées ici exigent une connaissance des nouvelles, ou plus avancées, fonctions du langage ILE RPG. Elles sont essentielles pour appliquer les « meilleures pratiques » contemporaines dans votre travail de développement.
Chaque entrée ci-après vous invite à noter votre connaissance d’une fonction ILE RPG particulière. L’article se termine par une échelle de mesure du score total. De plus, grâce à cette évaluation, vous connaîtrez mieux les domaines dont il convient d’améliorer la connaissance.Cette auto-évaluation ne constitue pas un test exhaustif des compétences en programmation RPG essentielles, comme la déclaration et l’utilisation de fichiers. La plupart des fonctions du langage RPG pour les tâches de programmation centrales, comme les entrées/sorties de fichiers, existent depuis longtemps. Certaines remontent presque à la préhistoire de l’informatique : RPG III sur le S/38. La présente auto-évaluation mesure votre niveau actuel quant aux compétences de programmation ILE RPG les plus récentes, utiles pour écrire des programmes mieux structurés, plus souples et plus fiables.

Pour chacune des fonctions ILE RPG mentionnées, notez votre connaissance à l’aide de l’échelle suivante :

  1.  Je sais très peu pourquoi, ou comment, utiliser la fonction.
  2.  J’ai une certaine idée du rôle de la fonction, mais je ne suis pas sûr de savoir l’utiliser.
  3.  J’ai une compréhension de base suffisante pour utiliser la fonction dans certaines limites.
  4.  Je sais parfaitement quand et comment utiliser la fonction.
Au terme de l’inventaire, une simple addition de vos notes individuelles vous permettra de vous situer.

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Gérer Exchange 2003 avec WMI, 2eme partie

Gérer Exchange 2003 avec WMI, 2eme partie

par Alain Lissoir - Mis en ligne le 30/11/2005 - Publié en Novembre 2004

Exchange Server 2003 offre cinq nouveaux providers WMI (Windows Management Instrumentation) et 15 nouvelles classes WMI. Comme nous l’avons vu dans l’article « Gérer Exchange 2003 avec WMI, Partie 1 », Exchange Magazine Septembre 2004 ou http://www.itpro.fr, ces nouveaux providers et classes permettent de gérer facilement les serveurs, logons, et boîtes à lettres d’Exchange. Ainsi d’ailleurs que les dossiers publics d’Exchange – une nouveauté bien venue. Les versions antérieures d’Exchange manquaient de moyens programmables faciles d’emploi pour gérer des dossiers publics. Bien que CDOEXM (Collaboration Data Objects for Exchange Management) et le provider Exchange OLEDB (par l’intermédiaire d’ADO) offrent quelques possibilités de gestion de dossiers publics, la plupart des administrateurs et des programmeurs Exchange trouvent CDOEXM et le provider Exchange OLEDB difficiles à utiliser.

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Les paramètres en première ligne

Les paramètres en première ligne

par Rodney Landrum - Mis en ligne le 25/10/2005 - Publié en Décembre 2004

En tant qu'administrateur de base de données (DBA) et analyste de données, je ne peux pas, en dépit de tous mes efforts, toujours éviter d'écrire du code pour résoudre des problèmes complexes ou tirer parti de la richesse des outils de gestion proposés par SQL Server. Au fil des années, j'ai écrit des scripts de solutions pour toutes sortes de projets liés à  SQL Server, allant de la création de lots DTS (Data Transformation Services) à  l'écriture de code ASP (Active Server Pages), me réjouissant chaque fois que je suis parvenu à  me dépêtrer des erreurs de syntaxe et de la logique des boucles imbriquées. Toutefois, lorsque Microsoft a sorti SQL Server 2000 Reporting Services, une solution qui requiert Visual Studio .NET 2003 pour l'élaboration de rapports, j'ai craint d'être obligé de franchir le pas et de devenir un développeur accompli. Mais, en fait, vous n'avez pas besoin d'être un programmeur pour développer un rapport Reporting Services. Cet outil propose deux fonctionnalités de rapports puissantes, les paramètres et les expressions, qui une fois combinées permettent aux créateurs de rapports d'ajouter des fonctionnalités sophistiquées à  leurs rapports sans écrire du code à  rallonge.

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Maîtriser les modules, 1ère partie

Maîtriser les modules, 1ère partie

par Bryan Meyers - Mis en ligne le 27/09/2005 - Publié en Décembre 2004

ILE (Integrated Language Environment) permet de développer les programmes de manière modulaire, avec des composants réutilisables. On le sait, la programmation modulaire offre de nombreux avantages par rapport aux méthodes traditionnelles : compilations plus rapides, maintenance plus simple, code plus fiable, et meilleur usage des routines communes et autres ressources. On peut comparer un modèle modulaire bien géré à  un orchestre symphonique où chacune des composantes contribue au concert de l'application globale. Un modèle médiocrement géré tourne vite à  la cacophonie.

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L’évolution de LPAR continue

L’évolution de LPAR continue

par Jeff Yanoviak - Mis en ligne le 13/07/2005 - Publié en Novembre 2004

Au début (ou, plus exactement, il y a cinq ans avec la release de la V4R4), Big Blue a créé le partitionnement logique (LPAR, logical partitioning) pour l'iSeries. Et il fallait attribuer au moins un processeur statique pour chaque partition. Big Blue a alors dit : il y aura des partitions multiples pour chaque processeur et le partitionnement dynamique permettra la réallocation des ressources. Et Big Blue a constaté que cela était bien ...Et le « peuple » iSeries a lui aussi vu que c'était bien - après un certain temps. Reconnaissons que LPAR ne fut pas parfait d'emblée. La première adoption se cantonnait à  de gros sites iSeries aux infrastructures complexes. Mais Brad Kimball, vice-président de solutions management chez Vision Solutions, décrit ce calme initial comme une « période de transition » révolue. Durant les deux dernières années, il a vu de plus en plus d'acheteurs de la solution de disponibilité Orion de Vision demander des LPAR. Avec environ 50 % de toutes les licences présentes aujourd'hui sur des boîtes partitionnées.
L'amélioration différée est probablement due moins à  une période de transition notable qu'à  l'amélioration. Le partitionnement dynamique est apparu avec la V5R1 : il permettait de diviser les processeurs entre des partitions et de réallouer les ressources à  la volée. Une véritable aubaine pour les clients qui répugnaient à  arrêter leurs systèmes chaque fois qu'ils voulaient ajouter ou déplacer des ressources.

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Choisir une GUI en frontal

Choisir une GUI en frontal

Mis en ligne le 8/06/2005 - Publié en Septembre 2004

Trois experts nous parlent de leurs meilleures solutions...

Pour les nouvelles applications Web, les développeurs iSeries sont confrontés à  plusieurs décisions en matière de mise en oeuvre d'interface utilisateur (UI, user interface). En premier lieu, le « client léger », par opposition au « client lourd ».

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L’automatisation des traces en 9 étapes

L’automatisation des traces en 9 étapes

par Steven Berringer - Mis en ligne le 25/10/2005 - Publié en Décembre 2004

Le Générateur de profils, la fonctionnalité de trace intégrée de SQL Server, constitue un outil précieux pour l'optimisation des performances et le débogage des applications SQL Server. Vous pouvez ainsi tracer chaque requête soumise par une application de base de données à  SQL Server et exploiter ces informations pour améliorer les performances. Par exemple, si vous exécutez une trace du Générateur de profils au cours d'un processus de longue durée, vous pourrez constater que SQL Server utilise une analyse de table, rencontrant ainsi des verrous de table ou aboutissant à  d'autres événements nuisibles pour les performances. Dans la majorité des cas, je me sers du Générateur de profils à  la demande d'un développeur qui essaie de déboguer du code de base de données épineux. Parfois, si j'ai le temps, j'adopte une approche préventive et j'exécute ma trace favorite, à  savoir la trace Duration. Celle-ci recherche les processus accédant à  SQL Server et dont la durée d'exécution est supérieure à  1 seconde. Cette valeur d'une seconde semble une limite appropriée, car cela vous permet de voir les processus qui consomment le plus de ressources sans tout monopoliser.

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Gérer les partitions avec iSeries navigator

Gérer les partitions avec iSeries navigator

par Greg Hintermeister - Mis en ligne le 27/09/2005 - Publié en Décembre 2004

A l'heure qu'il est, vous avez probablement entendu parler du nouveau serveur IBM eServer i5. Il permet d'exécuter non seulement vos applications habituelles, mais aussi vos systèmes d'exploitation préférés dont i5/OS (prochaine génération de l'OS/400), AIX, Linux et Windows. Tous ces systèmes d'exploitation peuvent fonctionner en même temps grâce au partitionnement. Pour être honnêtes vis-Evis de tous les autres matériels commercialisés depuis des années, reconnaissons que ce n'est pas un nouveau concept. DéjEdans sa V5R1, iSeries Navigator présentait un moyen graphique de gérer les partitions. Désormais, vous pouvez donc utiliser iSeries Navigator (ou une ligne de commande) pour partitionner les iSeries en multiples partitions OS/400 ou même en partitions Linux. Les concepts de partitionnement étant largement traités par ailleurs, nous nous concentrerons ici sur un point bien particulier : quelles fonctions de partitionnement on peut utiliser avec iSeries Navigator.

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LPAR : la solution à  vos besoins de consolidation ?

LPAR : la solution à  vos besoins de consolidation ?

par Jeff Yanoviak - Mis en ligne le 13/07/2005 - Publié en Octobre 2004

Le partitionnement logique (LPAR, logical partitioning) se prête naturellement à  la consolidation. En effet, il permet d'isoler les charges de travail, mais aussi d'utiliser différents langages primaires, fuseaux horaires et versions OS/400, sur un seul iSeries physique. Mais, pour prendre des décisions en matière de consolidation, il faut prendre en compte d'importants facteurs sur le plan économique, performance et disponibilité. Voyons donc quelques points à  considérer si vous envisagez d'utiliser LPAR dans un projet de consolidation ...Le partitionnement logique (LPAR, logical partitioning) se prête naturellement à  la consolidation. En effet, il permet d'isoler les charges de travail, mais aussi d'utiliser différents langages primaires, fuseaux horaires et versions OS/400, sur un seul iSeries physique. Mais, pour prendre des décisions en matière de consolidation, il faut prendre en compte d'importants facteurs sur le plan économique, performance et disponibilité. Voyons donc quelques points à  considérer si vous envisagez d'utiliser LPAR dans un projet de consolidation.

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Utiliser des files d’attente de données DDM

Utiliser des files d’attente de données DDM

par Kaushik Dutta - Mis en ligne le 8/06/2005 - Publié en Septembre 2004

De nombreuses entreprises ont plus d'un iSeries. Il faut donc que ces machines communiquent entre elles pour mieux utiliser les ressources. Voici quelques méthodes permettant à  deux machines iSeries d'interagir ...

  • Fonctionnalité MQ Series
  • Un déclencheur associé à  un fichier physique, qui invoque RUNRMTCMD
  • Une file d'attente de données dans un iSeries, avec une file d'attente de données DDM dans le second iSeries
  • Une file d'attente de données dans un iSeries, en utilisant RCVDTAQ pour invoquer RUNRMTCMD
  • Un fichier physique dans un iSeries, avec un fichier DDMF dans le second iSeries
  • Utiliser les commandes SNDNETF (Send Network File) et RCVNETF (Receive Network File) sur les deux machines

  • Parmi ces méthodes, la fonctionnalité MQ Series et les files d'attente de données DDM sont les plus fiables. Cependant, la fonctionnalité MQ Series a pour inconvénient de demander beaucoup de préparation pour un simple job par rapport aux files d'attente de données DDM.
    Les files d'attente de données DDM vous permettent d'accéder aux données distantes à  partir des files d'attente de données d'un autre système. J'explique ici les fonctions des files d'attente de données DDM interagissant entre deux machines iSeries.

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    Installation, configuration, et différences opérationnelles entre les éditions WAS 5.0 Express et Base

    Installation, configuration, et différences opérationnelles entre les éditions WAS 5.0 Express et Base

    par Kalyani Yerra - Mis en ligne le 19/10/2005 - Publié en Janvier 2005

    Cet article reprend l'installation d'Enterprise Application avec WAS Express et Base ; la création d'un serveur d'applications pour WAS - Express ; Les script startServer et stopServer ainsi que quelques exemples .

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    test

    test

    testtest

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    Le Power Play d’IBM

    Le Power Play d’IBM

    par Frank G. Soltis - Mis en ligne le 13/07/2005 - Publié en Octobre 2004

    Connaissez-vous la différence entre les processeurs POWER et PowerPC ?

    En hockey, il y a power play quand une équipe a un ou deux joueurs de plus à  cause des sanctions infligées à  l'adversaire. La possibilité qu'a l'équipe avantagée de marquer est bien supérieure pendant un power play. Peut-être « power play » est aussi un bon moyen de décrire la récente promotion par IBM de son processeur Power. Alors que tant d'autres fournisseurs s'efforcent d'imposer leurs nouvelles technologies processeur sur le marché, IBM démontre qu'elle est encore le premier fournisseur en la matière ...Pendant de nombreuses années, IBM a fabriqué des processeurs de pointe pour ses propres produits. Cette technologie propriétaire n'était partagée avec personne en dehors d'IBM. Cela a commencé à  changer au début des années 90 quand IBM a collaboré avec Motorola et Apple pour créer un nouveau processeur RISC à  un seul chip qu'on appellerait PowerPC. Depuis lors, de plus en plus de produits de multiples fournisseurs ont commencé à  utiliser la technologie Power. Ainsi, en 2002, ce sont plus de 18 millions de processeurs Power qui ont été livrés. Et pas seulement pour des serveurs IBM.
    Aujourd'hui, on trouve deux variantes du nom Power : POWER (comme dans POWER4 et POWER5) et PowerPC. Des deux, le nom PowerPC est de loin le plus connu à  cause de l'utilisation généralisée des chips PowerPC dans toutes sortes d'appareils : téléphones cellulaires, PDA, stations de travail et serveurs d'entrée de gamme. Le nom Power, quoi que beaucoup moins connu en dehors d'IBM, est en train de gagner ses galons de meilleure architecture processeur pour des serveurs haut de gamme. Récemment IBM a commencé à  promouvoir POWER comme nom de famille général.
    La relation entre POWER et PowerPC est pourtant simple. La définition de l'architecture de base est la même pour les deux. Ils ne diffèrent que par les extensions apportées à  cette architecture pour des processeurs spécifiques. Par exemple, l'architecture POWER est principalement destinée aux serveurs, c'est pourquoi de récentes moutures des processeurs POWER contiennent des extensions favorisant les fonctions serveur, comme le partitionnement logique. En revanche, un processeur PowerPC destiné à  un téléphone cellulaire n'a nul besoin du partitionnement logique, mais il appréciera certaines extensions à  caractère téléphonique.Ils se distinguent aussi par le niveau de disponibilité. La technologie PowerPC est à  l'entière disposition des OEM. Ouverte et extensible, on peut la personnaliser pour les applications les plus diverses. Il s'en suit que différentes implémentations des processeurs PowerPC contiennent souvent différentes extensions selon la destination du processeur. De plus, les processeurs d'architecture PowerPC sont proposés par de multiples sources autres qu'IBM.
    IBM l'offre. S'il est vrai que les processeurs POWER étaient, à  l'origine, destinés aux seuls serveurs IBM, cela aussi a commencé à  changer. Dans un futur très proche, on commencera à  voir les tout derniers processeurs POWER dans des produits proposés par d'autres fournisseurs. Ensemble, ces deux architectures processeur couvrent tout l'éventail de l'informatique, des appareils manuels les plus petits jusqu'aux plus puissants superordinateurs du monde.
    Les perspectives des processeurs PowerPC et POWER d'IBM vont désormais bien au-delà  de la décennie. Comme il y a encore beaucoup de confusion dans l'esprit de nombreux clients OS/400 à  propos des similitudes et des différences entre ces deux architectures (voir l'encadré « La vérité au sujet de la PlayStation 3 et de l'OS/400 » pour un exemple), il est instructif d'y regarder de plus près. Sans rentrer dans des détails fastidieux, nous allons voir comment ces deux architectures ont été développées et quelle est leur relation réciproque.

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    Trucs & Astuces iSeries : RPG, .NET

    Trucs & Astuces iSeries : RPG, .NET

    Les trucs & astuces de la semaine du 30 Mai au 5 Juin 2005

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    Fichiers texte : une première

    Fichiers texte : une première

    par Scott Klement - Mis en ligne le 23/11/2005 - Publié en Mars 2005

    Dans l'article « Introduction aux fichiers stream » (iSeries News janvier 2005 ou www.itpro.fr, Club Abonnés), j'expliquais les principes de base des fichiers stream : comment les ouvrir, comment les lire et comment y écrire. Je développe ces points en expliquant tout ce qui concerne les fichiers texte. On peut utiliser les fichiers texte pour de nombreuses actions très différentes : l'exemple le plus courant est un échange de données entre systèmes. Les formats courants comme XML et CSV sont des types de fichiers texte utilisés chaque jour dans des transactions de gestion. Les fichiers HTML qui constituent le World Wide Web sont un genre de fichiers texte. Mais avant de comprendre tous ces fichiers texte spécialisés, il faut commencer par apprendre les principes de base.

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