
Le chargement des objets
AD comprend des unités organisationnelles (UO) dans lesquelles sont placés les objets. Chaque objet a un DN (distinguished name), c'est-à -dire une représentation entièrement qualifiée LDAP de l'objet. Un DN se compose d'un ensemble de RDN (relative distinguished name) ; les RDN d'un objet décrivent la position de l'objet dans la
Lire l'article
Modèles d’E/S et journaux de transactions
On a observé que 70 à 90 pour cent des opérations effectuées par AD sur ntds.dit sont des lectures. Ces chiffres n'ont rien de surprenant puisque la fonction première d'AD est l'authentification des utilisateurs, qui nécessite de contrôler les mots de passe contenus dans AD en les comparant aux références
Lire l'article
La reprise après erreur est d’autant plus rapide que la détection de la condition est précoce
La seconde version du code ci-dessus présente deux inconvénients. Premièrement, elle est moins claire que le code de la première version. Dans cette dernière, l'instruction If autour du calcul montre très clairement la condition d'erreur testée. Deuxièmement, elle est bien plus lente que la première. A l'évidence, la reprise après
Lire l'article
Les gestionnaires de conditions ne sont pas destinés à remplacer un code défensif
Un coup d'oeil au code du programme de service SlsAnlPrc montre bien sa solidité. Les cartes C vérifient les erreurs de division par zéro et utilisent de grandes zones de travail sur les opérations Eval pour réduire le risque de troncature d'ordre supérieur. Il est en effet toujours possible, quoique
Lire l'article
On peut coder un gestionnaire de conditions de deux manières
Un gestionnaire de conditions simple
Un gestionnaire de conditions est une procédure avec une liste de paramètres prédéfinis.
On peut coder un gestionnaire de conditions de deux manières : comme un module
lié par copie ou comme une procédure dans un programme de service liée par référence.
J'ai choisi ici

Si les composants du programme sont autonomes et réutilisables, on peut réduire les coûts de maintenance
Des avantages à long terme
Cette introduction montre bien que la mise en oeuvre des concepts OO peuvent être complexes et, à première vue, très éloignés des concepts de base des autres langages de programmation. Cependant, l'idée sous-jacente est simple : si les composants du programme sont autonomes et réutilisables,

Avec le polymorphisme et la possibilité de savoir quelle version de code utiliser à l’exécution, la technologie OO prend tout son sens
Polymorphisme
Polymorphisme signifie "formes multiples", et cela correspond à un besoin très courant en programmation : celui de fonctionner exactement comme un tout, à quelques différences prés. Ainsi, la formule de calcul de la prime d'une police d'assurance automobile est probablement similaire à celle utilisée pour calculer la prime d'une

A long terme, l’héritage réduit le temps et les coûts de maintenance
Héritage
Le principe d'héritage consiste à réutiliser le code écrit pour une classe dans une autre classe. Le but est, comme pour l'encapsulation, de réduire les coûts de maintenance. Certes, la notion de réutilisation du code n'est pas nouvelle. Les programmeurs en langages classiques font des couper/coller du code source

Les programmeurs peuvent décider du niveau d’encapsulation pour chacune des variables et des méthodes
Encapsulation
L'encapsulation traduit le fait que les variables ne sont pas manipulées directement. Elles sont protégées par les méthodes de la classe qui les définit. Les méthodes peuvent aussi être encapsulées et les programmeurs peuvent décider du niveau d'encapsulation pour chacune des variables et des méthodes. Même si Java accepte

Trois principes généralisés définissent les caractéristiques d’un langage OO
"The Big Three"
R. Buckminster Fuller (intellectuel américain, 1895-1983), a souvent présenté les principes généralisés comme une technique purement humaine pour comprendre le comportement du monde. Fuller a expliqué, par exemple, comment le comportement de trois bûches pouvait, par extrapolation, démontrer le principe général du levier : en mettant une

En terminologie Java, les sous-routines sont des méthodes
Plonger dans la programmation OO
Pour les programmeurs formés aux langages procéduraux, l'aspect le plus difficile de Java est la relation entre classes et objets. Un concept important, susceptible de faciliter la compréhension de cette relation, consiste dans le fait que les langages OO sont auto-extensibles et peuvent définir de

L’utilisation d’ALLOCATE(*YES) peut réduire sensiblement le temps d’exécution du job
Pour ajouter un enregistrement à un nouveau fichier, utiliser ALLOCATE *YES
Certains jobs batch volumineux demandent un temps de traitement considérable en
raison de la charge système nécessaire pour ajouter des enregistrements à un fichier
base de données. Cette charge se produit même dans un enregistrement monojob,
et l'utilisation

MAX1TB est le paramétrage par défaut pour les nouveaux fichiers logiques créés sur des systèmes RISC
Avec des index à quatre octets (voir figure 1), le verrouillage se produit au niveau feuille, pour que des jobs multiples puissent accéder en même temps à des enregistrements d'index différents sans souffrir de conflit de verrou significatif et sans avoir aucun effet réel sur le débit de traitement de
Lire l'article
La simple conversion de fichiers logiques en index MAX1TB n’améliorera pas les performances
Utiliser les index base de données MAX1TB
Pour obtenir de bonnes performances base de données lorsque de multiples jobs
simultanés effectuent des opérations de mise à jour, de suppression et/ou d'ajout
au même fichier physique, il faut créer ou modifier les fichiers logiques en utilisant
le paramètre ACCPTHSIZ(*MAX1TB)

NEWS MAGAZINE
N°75 OCTOBRE 2000 : .exe16 .exe32 .zip
|
N°74 SEPTEMBRE 2000 : .exe16 .exe32 .zip Lire l'article![]() Tests an 2000 sur votre AS/400Supposons que, après avoir testé vos propres applications, vous vouliez voir comment l'AS/400 lui-même passe le cap du millénaire. Notons tout d'abord que les valeurs système QDATE et QYEAR contiennent encore des valeurs d'année à deux chiffres. Partout ailleurs dans le système, elles sont à quatre chiffres. L'AS/400 utilise la Lire l'article![]() Préparation An 2000 du S/36Pour déterminer l'état de préparation An 2000 d'un S/36, il faut considérer le matériel et le logiciel. Les modèles S/36 d'origine (5360, 5362, 5363 et 5364) ne sont pas prêts pour l'an 2000. Le modèle AS/400 9402 Y10 ne l'est pas non plus parce que le système d'exploitation SSP qu'il Lire l'article![]() Client Access est-il prêt ?Les produits Client Access livrés avec les releases de l'OS/400 prêtes pour l'an 2000 sont eux-mêmes prêts. Pour mettre votre produit Client Access au niveau d'une release prête pour l'an 2000, vous devez soit passer à la dernière release d'OS/400 disponible avec votre matériel actuel, soit mettre Lire l'article![]() Vos applications sont-elles prêtes ?La base de données “ IBM Business Partners Database ” fournit une liste consultable d'applications prêtes pour l'an 2000 à l'adresse http://www2.software.ibm.com/solutions/isv/year2000.nsf. Vous pouvez utiliser ce site pour vérifier si vos applications non IBM sont prêtes pour l'an 2000. Deux “ redbooks ” et une nouvelle redpiece (les redpieces sont des “ redbooks en cours ”) Lire l'article![]() Vos produits programmes sous licence sont-ils prêts ?Certains produits logiciels AS/400, comme LAN Server/400 (5763-XZ1) for V3R7M0 et IBM Basic for OS/400 (5799-FPK) for V3R6M0, ne sont pas prêts pour l'an 2000. Pour connaître le statut de vos LPP (licensed program products) AS/400, vous pouvez utiliser la IBM Year 2000 Product Readiness Database, décrite dans la section Lire l'articleLes plus consultés sur iTPro.fr
![]() La Revue du Décideur ITX
|