
En avant avec le RPG en format libre
par Gary Guthrie
Quiconque utilise le RPG depuis un
certain temps se souvient des clameurs
en faveur du RPG en format libre.
Parfois chaudes, les discussions portaient
sur le besoin de la part d'IBM
d'orienter le RPG dans cette direction
« plus moderne ».
à‡a a pris du temps, mais avec la
V5R1, IBM a introduit le RPG en format
libre. Les différences entre le format
fixe et le format libre constituent, pour
l'essentiel, une grande amélioration.Pourtant, de nombreux RPGistes ont
exprimé des doléances - certaines fort
banales - à propos des décisions de
conception d'IBM. En tête de liste des
doléances, on trouve le manque de
support du RPG en format libre pour
plusieurs codes opération présents
dans le format fixe. N'ayez crainte :
vous pouvez mettre en oeuvre des solutions
RPG en format libre - mais un peu
différemment.
Pour faciliter la transition au RPG
en format libre, je passe en revue les 57
codes opération non pris en charge (figure
1) et indique les méthodes alternatives
permettant d'accomplir leurs
tâches. J'indique même certains cas où
les alternatives sont préférables. C'est
si vrai que vous devriez tirer parti de
nombreuses nouvelles alternatives
même si vous utilisez le RPG en format
fixe.
Tout en vous instruisant sur le RPG
en format libre et sur ses différences,
sachez qu'on le destine davantage à de
nouveaux projets de développement
qu'à la conversion d'applications existantes.
Mais cette conversion est néanmoins
tout à fait possible.

Nouveau modèle, superbe vue
Par Carson Soule
Par définition, les modèles de
conception sont des solutions appliquées
à des problèmes de programmation
récurrents. Partant du principe
que, application après application, on
est confronté au même défi, on peut
découvrir et réutiliser des modèles de
bonnes solutions.Les modèles de conception tendent
vers des solutions de module de
programme ou de niveau de classe. En
cela, ils sont distincts des modèles d'architecture,
qui s'appliquent à de plus
vastes structures comme les programmes
et modules applicatifs. Il
existe un modèle de conception intéressant
qui mérite aussi l'appellation
de modèle d'architecture : le MVC
(Model/View/Controller).

Services Web pour le i (AS/400)
Seagull annonce des améliorations à sa solution de Services Web pour les applications hôtes existantes, dans le cadre de sa stratégie visant à déployer et développer des Services Web multi plates-formes.
Compatible avec les interfaces SOAP, WSDL et UDDI, la version 2.2 de la solution Transidiom de SEAGULL constitue le premier environnement de déploiement et de développement permettant de convertir des applications iSeries et mainframe existantes en Services Web pour les plates-formes Java et .NET.
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Pour simplifier l’extraction des données journalières
par Dan Casey
Quand on utilise la commande DspJrn (display journal) pour extraire des données d'un journal et les placer dans un fichier de sortie, on peut obtenir une foule d'informations utiles (quand l'entrée a-t-elle eu lieu dans le journal, qui l'y a mise, type de transaction : put, update ou delete, etc.). Mais, le fichier de sortie présente aussi un champ étrange : JOESD ...
S'il est vrai que la journalisation a pour but d'améliorer les opérations de sauvegarde et de reprise, elle peut aller au-delà et constituer un excellent outil d'audit et de résolution de problèmes. On a souvent besoin de plonger dans les modifications journalisées pour voir un enregistrement particulier. Mais, quand il s'agit de savoir quels champs ont été modifiés dans un enregistrement, la journalisation standard est un peu juste. Certes l'on peut voir qui a modifié les données et quand, mais les données modifiées sont entassées dans une seule colonne, difficilement utilisables. L'OS/400 ne trie pas les données en colonnes séparées parce que, probablement, on journalise des fichiers différents avec des structures différentes et parce que toutes les entrées dans le journal ne sont pas des entrées Record (enregistrement).
La commande RTVJRNDTA (Retrieve Journal Data) résout ce problème. Avec l'aide de l'iSeries NEWS RPG IV Toolkit, un ensemble de programmes de service qui effectue diverses tâches utiles et que l'on peut trouver à http://www.iseriesnetwork.com/code/, la commande RTVJRN-DATA permet d'afficher les données du journal pour les colonnes d'un fichier. Elle permet aussi d'indiquer le fichier et le journal souhaités et la palette des récepteurs. A partir de cette information, RTVJRNDTA crée un nouveau fichier qui inclut les colonnes des deux provenances : DspJrn et le fichier original. On peut donc exécuter des requêtes sans passer au crible les chaînes hexadécimales du champ JOESD.
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Les nouveautés de la semaine 06 – Windows 2000 & .Net – 2002
Tous les nouveaux produits du 4 au 10 février 2002
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La V5R1 monte la barre de la sécurité de l’iSeries
par Patrick Botz
La V5R1 est la plus grande release logicielle dans l'histoire de l'OS/400, et la sécurité y est pour beaucoup. La V5R1 améliore la sécurité de multiples façons : signature numérique et support de vérification de signature, meilleur contrôle des mots de passe et de leurs caractéristiques, compatibilité avec un jeu étendu de technologies de cryptage, ...
L'iSeries et son prédécesseur, l'AS/400, ont toujours eu une grande réputation de sécurité. Au fil de l'évolution de la plate-forme et de l'industrie, IBM n'a cessé d'accroître la sécurité de l'OS/400 par de nouvelles technologies et des améliorations. En tant que leader en sécurité système et en tant que plate-forme dont la gestion de la sécurité reste bon marché, l'iSeries a établi un standard que l'OS/400 V5R1 élève nettement.
La V5R1 est la plus grande release logicielle dans l'histoire de l'OS/400, et la sécurité y est pour beaucoup. La V5R1 améliore la sécurité de multiples façons : signature numérique et support de vérification de signature, meilleur contrôle des mots de passe et de leurs caractéristiques, compatibilité avec un jeu étendu de technologies de cryptage, améliorations de la sécurité des outils de service, et beaucoup de changements moins visibles. Cet article résume les améliorations de sécurité les plus importantes de la V5R1.

Où ça se trouve dans XP ?
par Michael Otey - mis en ligne le 05/06/02
Dans Windows XP, Microsoft a inclus
un jeu malheureusement bien connu
des administrateurs et des utilisateurs
de Windows. Son nom : « Où trouver
l'outil que je pouvais trouver facilement
dans l'OS précédent? » Voici les 10 principaux
outils et tâches administratifs qui
ont changé de place dans XP et aussi
des indications pour les trouver.

Astuces et techniques pour Outlook
par Sue Mosher - Mis en ligne le 25/04/2002
Réponses à des questions sur Outlook 2002 et Outlook 2000 :
Comment ajouter un bouton à la barre d'outils, ajouter un commentaire à un élément d'e-mail, l'outil de substitution de formats, créer un raccourci pour les notes ...

Trucs & Astuces du docteur : LAN, Pare-feu
"Nous avons récemment installé un pont LAN sans fil 802.11b pour supporter nos utilisateurs de portables nomades. Mais dès que nous connectons ce machin-là à notre LAN Ethernet, personne ne peut plus se connecter à Internet ..." - "Après avoir dépensé beaucoup d’argent à installer des pare-feu pour nos télétravailleurs, nous avons constaté que notre help desk ne peut plus utiliser le logiciel de contrôle à distance PC ..."
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Tips de programmation
par Bentley Pearson
Le défaut classique du touriste moderne
est de foncer au travers de multiples
cultures, en n'apprenant
presque rien sur leurs origines. De
même, la plupart des utilisateurs d'ordinateurs
tendent à confiner leur expérience
informatique aux stimuli et aux
réponses que les navigateurs ou autres
interfaces permettent.
Mais les développeurs sur iSeries
ne peuvent pas s'offrir le luxe d'une
telle naïveté. Nous sommes comme
ces globe-trotters fous d'aventure qui
recherchent les petits détails et la réalité
quotidienne de chaque lieu qu'ils
visitent.Comme des Australiens dans
une lente promenade, recherchant la
vie derrière chaque nouvelle ville, les
programmeurs iSeries ont besoin de
rechercher derrière chaque fonction,
les rouages qui la font marcher.
Les astuces de programmation suivantes
comportent plusieurs suggestions
simples qui peuvent aider même
les développeurs iSeries chevronnés à
s'y retrouver dans le dédale de
l'OS/400. Vous serez peut-être agréablement
surpris par certaines ruelles -
mais chaque voyage amène de nouvelles
surprises ! Bon voyage !

Au-delà de la délégation à l’A.D. du wizard de contrôle
par Siegfried Jagott
Comment déléguer les autorisations dans l'AD (Active Directory) de
Windows 2000 ? D'après Microsoft, on peut utiliser le modèle de délégation
et de sécurité de l'AD pour déléguer tous les droits dont on a besoin dans
Win2K. La réponse générale de Microsoft à la question est la suivante :
« Utilisez simplement l'Active Directory Delegation of Control Wizard.
Cependant, l'expérience de ma société montre que même si le wizard joue son
rôle pour des procédures de base comme la création d'utilisateurs et la
gestion de groupes, il est impuissant si l'on ambitionne de déléguer les
autorisations d'AD de manière plus granulaire.
Dans son article de septembre 2000, « The Active Directory Delegation of Control Wizard », Paula Sharick introduit la fonctionnalité du wizard. Cet article est amplement suffisant si vous commencez seulement à déléguer le contrôle dans l'environnement Win2K. Mais imaginons que vous ayez l'intention de mettre en oeuvre un domaine à l'échelle mondiale dans une très grande forêt d'AD (par exemple, une division contenant plus de 10.000 utilisateurs). Comment commencer?
Chez Siemens Power Generation (PG), nous avons dû relever exactement ce défi. Chez nous, chaque division fonctionne comme une société autonome et a une équipe informatique dont les employés sont dispersés dans différents sites fonctionnant de manière indépendante. Nous voulions créer un domaine pour la division - au lieu de plus de 88 domaines avec plus de 400 trusts sur la planète (comme c'était le cas de la division dans son environnement Windows NT 4.0). Nous avions l'intention d'exploiter le domaine indépendamment de l'Active Directory Forest Root Service Provider (FRSP) de Siemens - le principal service informatique interne de la société qui gère toutes les configurations pour l'ensemble des forêts, comme les extensions de schéma. Mais nous avons vu d'emblée qu'il nous faudrait établir un département informatique similaire, responsable de la gestion générale des domaines, et agissant comme point de contact unique pour le domaine de nos divisions. Nous avons baptisé ce département Domain Central Service Provider (DCSP). Nous voulions aussi accorder aux administrateurs locaux de la division les autorisations leur permettant d'accomplir leur travail comme ils le faisaient sous NT 4.0
En route, nous avons rencontré des problèmes et les avons résolus. A la fin, nous nous sommes trouvés face à une nouvelle perspective quant au jeu d'autorisations de l'AD - une perspective bien plus profonde que celle qu'aucun article ou livre pourrait fournir. Donc, si vous décidez d'adapter les techniques de cet article à votre implémentation d'AD, soyez extrêmement prudent. Certains des conseils fournis ici pourraient fort bien donner des résultats imprévisibles faute de tests approfondis préalables. Pour notre mise en oeuvre, nous avons utilisé la version d'AD qui accompagnait la release initiale de Win2K.
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Linux sur iSeries
par Erwin Earley
La stratégie OS/400 d'IBM a longtemps consisté à intégrer les nouvelles technologies. En livrant Linux sur iSeries, le Lab de Rochester ne fait que perpétuer cette tradition. La V5R1 permet aux systèmes iSeries d'exécuter le système d'exploitation Linux dans une ou plusieurs partitions logiques ...
... On obtient ainsi un superbe tandem : la possibilité d'accéder aux applications et aux utilitaires Open Source et la fiabilité et l'évolutivité légendaires de l'iSeries.
Grâce à la possibilité de ressources partagées du partitionnement logique (LPAR, logical partitioning) de l'iSeries, on peut établir un système d'exploitation Linux avec une configuration très modeste : un quart de processeur, 64 Mo de RAM, et 512 Mo d'espace disque. Nul besoin de dédier des ressources physiques (c'est-à -dire natives) à la partition logique. A l'heure actuelle, l'OS/400 supporte une partition logique Linux d'un maximum de huit processeurs et 4 Go de mémoire - ces limitations sont d'ailleurs dictées par Linux et pas par le LPAR de l'iSeries.
L'organisation Open Source de Linux utilise une arborescence de code source compilée pour générer des noyaux (kernels) destinés à des plates-formes matérielles spécifiques. Linux sur iSeries est fondé sur le kernel Linux PPC (Power PC), mais IBM a apporté plusieurs modifications au kernel pour l'adapter au matériel iSeries et à l'environnement LPAR. Ces modifications sont de type ouvert (open source) et seront au début disponibles au Linux Technology Center d'IBM (http://oss.software.ibm.com/develo-perworks/opensource/linux/projects/ppc). IBM offrira peut-être les modifications à la communauté open-source Linux pour inclusion dans les arborescences de code source Linux distribuées officiellement.
En apprenant comment IBM intègre Linux à l'architecture iSeries, vous verrez que l'iSeries est une solide plate-forme pour Linux. L'analyse des possibilités LPAR de l'OS/400 révèle pourquoi l'iSeries est une plate-forme idéale pour regrouper (consolider) de multiples serveurs sur une seule machine. Fort de ces informations, vous serez à même de sélectionner les applications Linux, comme les pare-feu et les serveurs de e-commerce, qui ajoutent de la valeur à l'installation iSeries.
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Les nouveautés de la semaine 04 – Windows 2000 & .Net – 2002
Tous les nouveaux produits du 21 au 27 janvier 2002
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NetIQ annonce la disponibilité de Chariot 4.2
De solides solutions pour réseaux et infrastructure.
NetIQ annonce la disponibilité de Chariot 4.2, solution de test de performances réseaux qui peut tester les réseaux gigabits en supportant un trafic important de données.
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Quelques outils de développement
Computer Associates annonce COOL :Plex 5.0, outil de développement qui réduit les coûts de conception et de livraison des applications ebusiness reposant sur Java pour Windows NT/2000/XP et iSeries.
Par le biais des Software Patterns, COOL : Plex 5.0 permet aux entreprises d'optimiser leur infrastructure.
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SMS, IntelliMirror et MOM
par Jeremy Moskowitz - mis en ligne le 05/06/02
Microsoft a trois produits d'administration
système - Systems Management
Server (SMS), IntelliMirror, et
Microsoft Operations Manager (MOM) -
qui peuvent vous aider à surveiller
votre système de près.Vendredi, 16 heures 57. Au moment
de passer la porte, en pensant à l'excellent
week-end qui s'annonce, un utilisateur
passe sa tête par dessus la cloison
de son bureau paysager et
demande « Tout va bien avec le système?
». Aïe ! Vous auriez dû surveiller
votre système de plus près. Un utilisateur
vient de vous surprendre avec un
problème que vous ne connaissez pas.
Le bon week-end devra attendre.
Microsoft a trois produits d'administration
système - Systems Management
Server (SMS), IntelliMirror, et
Microsoft Operations Manager (MOM -
qui peuvent vous aider à surveiller
votre système de près et à préserver
votre vie privée.

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