Que devient ZAW ?
Microsoft a commencé à parler sérieusement d'une baisse du coût global de possession
(TCO) il y a plus d'un an, en annonçant ses projets Zero Administration for Windows,
un ensemble de technologies pour aider les administrateurs à exercer un contrôle
centralisé des nombreux PC de leur entreprise.
Les technologies associées à ZAW (Zero Administration for Windows) se composent
d'un certain nombre d'outils déjà existants (comme les stratégies système de Windows
NT 4.0, Windows 95, et Win98), et de certains outils, comme Systems Management
Server (SMS). Par ailleurs, Configuration and Control Management (CCM) est un
ensemble important de fonctions ZAW qui fera son apparition dans Windows 2000.
Microsoft utilise cette appellation pour décrire un certain nombre d'éléments
de l'initiative globale ZAW.CCM se composait à l'origine de plusieurs technologies
et d'un ensemble de directives pour les ISV. CCM est né de l'espoir de Microsoft
de pouvoir résoudre certains problèmes d'administration communément rencontrés
par ses clients. Une année de discussion avec ces partenaires a permis à Microsoft
d'améliorer ces idées et d'aboutir à une vision de CCM moins grandiose que le
concept original de ZAW, mais plus réaliste. (Pour en savoir plus sur les concepts
de départ de ZAW, voir l'article " ZAW : Windows NT sans administration " de février
1998).
CCM, le ZAW révisé, porte sur la résolution de trois problèmes : l'installation
d'un nouvel OS sur un nouvel ordinateur ou sur le nouveau disque dur d'un ordinateur
existant, le déploiement d'applications à partir de serveurs centraux sur les
ordinateurs de bureau, et la distribution de modifications ou de mises à jour
des applications au moyen d'IntelliMirror.
Active Directory arrive : adaptez vos services DNS
Windows 2000 est désormais prêt. Vos systèmes le sont-ils ? Pour déployer Windows 2000 vous devez auparavant régler deux problèmes liés à Active Directory : vos noms de domaines et vos serveurs DNS
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Tirer le meilleur de la console de reprise
Dans Windows 2000 Microsoft introduit un nombre important de fonctions et de possibilités attendues depuis longtemps. Mais quels que soient les nouveaux avantages pour les administrateurs et les utilisateurs, l'arrivée d'une nouvelle version de système d'exploitation présente inévitablement un inconvénient majeur : celui de rendre obsolète une bonne partie des compétences, des techniques et des outils développés par les administrateurs réseau pour la maintenance quotidienne du système d'exploitation.
Considérons, par exemple, la récupération du système après incident. On n'oserait imaginer le déploiement massif d'un nouveau système d'exploitation sur un réseau, tant que l'on ne maîtrise pas les mesures de base nécessaires pour réparer le système quand les choses tournent mal. Les raisons de cette approche sont simples. D'abord, aucun système d'exploitation n'est à l'abri d'une panne ou d'une altération (pas encore en tous cas). Deuxièmement, le déploiement à grande échelle d'un système d'exploitation se traduit nécessairement par une dépendance proportionnelle vis-à-vis de la disponibilité de ce système - en particulier dans le cas des serveurs.
Si une organisation dépend de Windows 2000, il faut pouvoir réparer les systèmes Windows 2000 lorsqu'ils tombent en panne. Bien que Microsoft ait nettement amélioré la fiabilité et les possibilités de récupération des systèmes sous Windows 2000, des incidents peuvent malgré tout encore bel et bien se produire. Dans ce cas, il ne faut pas se trouver pris au dépourvu. C'est à cela que servent certains des nouveaux outils proposés par Microsoft dans Windows 2000.
La fenêtre de tir de Novell
Aucune société n'a autant profité du retard à l'allumage de Windows 2000 que Novell. En mars 1999, Novell a commencé les livraisons de NetWare 5.1, après un programme de beta concernant 490.000 personnes. NetWare 5.1 offre tous les outils nécessaires pour s'intégrer avec Windows 2000 et former un environnement hétérogène. Ces outils ont recueilli de nombreux éloges dans la presse.
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Optimiser NT et IIS pour les pages ASP
Les pages actives ASP sont utilisées par de nombreuses entreprises, d'Internet aux intranets d'entreprise et de nombreux administrateurs système choisissent Windows NT Server et Internet Information Server pour les faire tourner. Cependant, Windows NT et IIS doivent être optimisés pour offrir de bonnes performances.
Si vous voulez tirer le meilleur des applications ASP (Active Server Pages), vous
rencontrerez le succès en configurant Windows NT Server pour en faire une plate-forme
efficace pour Internet Information Server (IIS) et en faisant quelques modifications
simples mais essentielles à la configuration d'IIS afin qu'il aide vos serveurs
à fonctionner de façon optimale.
Souvenez-vous qu'il vous faut tester vos applications et optimiser l'environnement
de votre serveur à mesure que vous faites les changements. Faites une check-list
des paramètres de vos serveurs afin d'être sûr que vous avez configuré chaque
serveur correctement. Automatisez l'installation de vos serveurs autant que vous
le pouvez pour configurer les serveurs rapidement et sans risque d'erreur.
Si tous vos serveurs ont la même configuration matérielle, vous pouvez envisager
d'utiliser Norton Ghost, ou tout autre utilitaire équivalent de réplication automatique,
pour installer vos nouveaux serveurs. Si vous utilisez un utilitaire pour répliquer
les serveurs, assurez-vous que l'utilitaire vous permet de créer un SID pour chaque
serveur.
En outre, testez le processus de réplication sur un seul système avant de créer
plusieurs serveurs. Personne ne veut répliquer un système dont les applications
sont mal paramétrées. Il est possible également que vous rencontriez des problèmes
avec la métabase d'IIS sur les systèmes répliqués si le SID change. Si de tels
problèmes devaient survenir, vous pourriez devoir réinstaller IIS sur la machine
concernée.
Terminal Server évolue
Microsoft ayant modifié la structure des licences de Terminal Server pour rendre son coût plus raisonnable, c'est à présent un moyen facile et très rentable d'assurer des services de terminaux aux clients Win32. Mais comme d'autres premières versions, Terminal Server présente quelques lacunes susceptibles d'en limiter l'utilisation.Le Service Pack 4 de Terminal Server (différent du SP4 de la version classique de NT) apporte des changements bienvenus à Terminal Server. Cet article décrit les changements que le SP4 de Terminal Server et Windows 2000 Server apporteront à Terminal Server.
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L’Observateur d’événements de Windows NT
Si vous avez déjà pratiqué Windows NT, vous connaissez certainement le message Un service ou un périphérique au moins n'a pas réussi à démarrer, qui apparaît, par exemple, après l'ajout d'une nouvelle carte réseau ou d'un adaptateur SCSI. Si n'avez pas d'explication pour ce message d'erreur, vous avez la possibilité d'en déterminer la cause avec l'Observateur d'événements de Windows NT.
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Les fondamentaux de DNS
On peut dire que DNS est une fonction optionnelle dans Windows NT 4.0. Ni NT,
ni les domaines, ne s'en servent réellement. En fait, la plupart des entreprises
ayant un serveur DNS ne font pas tourner ces serveurs sous Windows NT, mais sous
Unix, foyer traditionnel de DNS. Les choses sont sensiblement différentes avec
Windows 2000.Théoriquement, il est possible d'obtenir une certification MCSE NT 4.0 complète
sans même connaître DNS. Avec Windows 2000, le scénario est différent. Lorsqu'un
poste de travail Windows 2000 recherche un partage particulier sur un serveur,
il recherche le nom du serveur dans DNS pour connaître l'adresse réseau du serveur
et trouver un contrôleur de domaine auquel se connecter. (Les machines Windows
2000 utilisent également DNS pour trouver des serveurs de catalogues globaux,
un autre ingrédient important de la connexion.) En outre, les postes de travail
interrogent DNS lorsqu'ils doivent choisir entre plusieurs contrôleurs de domaines
pour déterminer le plus proche.
DNS est au centre de la gestion des domaines dans Windows 2000. Pour bien s'en
l'exploiter, il faut en comprendre certaines notions fondamentales telles que
les noms et adresses DNS, l'enregistrement de noms, la hiérarchie DNS, les serveurs
DNS primaires et secondaires, ou l'intégration de DNS et Active Directory (AD).
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