
12 règles pour les gens ordinaires
par Roger Pence Dans son nouveau livre, au titre résolument inspiré par le Web : Business@the Speed of Thought (Le travail à la vitesse de la pensée, Robert Laffont, pour l'édition française), Bill Gates énonce ses 12 règles pour réussir à l'âge du numérique. Quelqu'un qui possède 60 ou 70 milliards de dollars dans son escarcelle et élève ses propres saumons, peut-il fixer des règles pratiques utilisables par le reste d'entre nous ? Non, bien entendu. Permettez-moi d'énoncer modestement mes 12 règles pour les ateliers AS/400, à l'approche de l'âge du numérique
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Tricks & Traps – Applications
par Olivier Nguyen
Les réponses aux questions essentielles que vous vous posez.

Une édition stylée avec l’éditeur EZ
par Tim Massaro
L'un des points forts du récent produit iSeries Tools for Developers, est l'éditeur
EZ. EZ possède bien sûr des menus déroulants et des barres de défilement, comme
la plupart des éditeurs modernes. Mais il se distingue par quelques fonctions
uniques, parmi lesquelles des commandes " wrapper " permettant d'invoquer directement
EZ depuis l'écran d'entrée de commande classique ou le QShell.
Dans l'article " Nouveau monde, Nouveaux outils ", SYSTEMS Journal, mai 2001,
Kolby Hoelzle explorait le produit iSeries Tools for Developers récemment annoncé.
Cette éclectique panoplie d'outils est très utile pour les programmeurs qui écrivent
du code pour, ou portent du code sur iSeries (AS/400). J'examine ici une fonction
clé de la palette d'outils : l'éditeur EZ, mon préféré.

Créer une disquette de démarrage TCP/IP en 18 étapes
par Steve Ryles
Tout ce qu'il vous faut, c'est une disquette vierge et un peu de patienceUne disquette de démarrage MS-DOS 6.22 permettant de booter un ordinateur et d'accéder
aux fichiers partagés à travers un réseau TCP/IP est un outil d'administration
très utile. En effet, une disquette de démarrage TCP/IP est nécessaire lorsqu'on
utilise un logiciel de configuration de postes pour déployer une image standard
du poste client à travers le réseau, lancer l'installation de Windows NT 4.0 sans
surveillance ou encore dépanner une machine dotée d'une partition FAT. Le principal
problème que présentent les disquettes de démarrage TCP/IP, est de réussir à faire
tenir sur une disquette l'ensemble des fichiers dont vous avez besoin pour accéder
à un service partagé à travers un réseau TCP/IP.
Rares sont les administrateurs qui disposent d'une machine à partir de laquelle
ils peuvent directement formater une disquette MS-DOS de démarrage TCP/IP. Aussi,
on peut vous inspirer de la procédure décrite ci-dessous pour concevoir une telle
disquette. Une disquette 3,5" vierge de 1,44Mo, un CD-ROM NT Server 4.0, les pilotes
réseaux MS-DOS et un poste de travail Windows, voilà tout ce dont vous aurez besoin.
Vous devez créer une disquette de démarrage distincte pour chaque type de carte
réseau différente que vous possédez.

Creative :
L'e-business entraîne l'explosion des données. La capacité de stockage doit être
prise très au sérieux. Il faut donc aborder les problèmes de sauvegarde, de protection
des données, SAN, NAS et de partage de données. L'e-business entraîne l'explosion des données. Le besoin d'une capacité de stockage
- accessible immédiatement,
- toujours disponible,
- hautement fonctionnelle,
connaît une croissance exponentielle.
Dans notre monde e-centré, la demande en informatique, c'est comme l'électricité
: il suffit de se brancher pour l'avoir. Le stockage intelligent pour les applications
est nécessaire pour pouvoir présenter l'informatique comme une utilité.
Le stockage présente plusieurs aspects mais trois d'entre-deux sont véritablement
importants : abordez ces trois aspects, et vos problèmes de stockage pourront
être résolus.

Comment personnaliser les installations automatiques de Windows 2000
par Sean Daily
Le fléau de l'existence de tout administrateur système est l'intervention sur
les postes des utilisateurs. Non pas que ces utilisateurs soient terribles ou
indignes d'une visite, mais ces interventions durent longtemps et sont coûteuses
pour l'entreprise. Dans beaucoup de sociétés, l'installation et la configuration
des OS sur les postes clients est souvent l'un des postes les plus significatifs
sur le budget du département.Windows 2000 offre plusieurs fonctions de déploiement qui peuvent aider à gérer
le chaos inhérent à l'installation et la configuration des OS des postes clients
sur les consoles du réseau. Bien que Windows NT offre des utilitaires pratiques
pour l'assistance à l'automatisation de l'installation et à la personnalisation
des systèmes d'exploitation, Windows 2000 améliore beaucoup ces offres. Windows
2000 comporte en effet des versions améliorées des " musts " de Windows NT tels
que les CD-ROM bootable d'installation, les installations par le réseau, les installations
automatiques, les fichiers de réponse, Setup Manager, Sysdiff ou Sysprep. En particulier,
Microsoft inclut une version améliorée pour Windows 2000 de Sysprep (Sysprep 1.1)
dans les outils de support du CD-ROM de Windows 2000 ainsi que sur le serveur
Windows 2000 et dans les kits Windows 2000 Professionnels.
Parmi toutes les méthodes de déploiement disponibles sous Windows 2000, les installations
automatiques restent les préférées de beaucoup d'administrateurs. Comme sous Windows
NT, Windows 2000 offre la possibilité de lancer des installations automatiques
depuis une invite de commande avec un commutateur /U, que l'utilisateur passe
aux programmes d'installation winnt.exe ou winnt32.exe. Les installations automatiques
de Windows 2000 et de Windows NT sont similaires, et l'on peut utiliser les fonctionnalités
d'installation automatique de Windows 2000 pour déployer des nouveautés sous Windows
2000 ou upgrader celles de Windows NT et de Windows 9x. Windows 2000 inclut également
quelques fonctionnalités ayant été améliorées et qui rendent les installations
automatiques plus puissantes et conviviales que leurs prédécesseurs sous NT. Il
est possible d'utiliser ces fonctionnalités pour personnaliser intégralement les
installations automatiques afin de les rendre plus utiles et de gagner un temps
précieux.

Les disques commutés arrivent sur l’iSeries
Par Chuck Stupca - N°11 Septembre 2001
Les disques commutés sont une nouvelle fonction du cluster iSeries pour fournir des informations toujours disponibles pour certains types d'objets dans l'OS/400.
Dans cet article : le matériel qu'exigent les disques commutés et les étapes à suivre pour les mettre en oeuvre sur le cluster iSeries, les extensions disponibles quand les disques commutés sont utilisés dans un environnement de partitions logiques (LPA, Logical Partition).

Nouveau support d’autocommit pour DB2 UDB
par Mark Megerian et Kent Milligan
Sur l'iSeries, une transaction de base de données commence implicitement dès l'instant où une donnée quelconque est lue ou écrite, et elle se termine par une demande de commit ou de rollback ultérieure. Ceux qui ont déjà utilisé l'un des jeux API de type SQL (ODBC, JDBC, CLI) pour la programmation de base de données, ont certainement remarqué un mode appelé autocommit ou automatic commit...
Cette option était destinée aux programmeurs qui ne veulent pas écrire du code pour émettre des commits, mais préfèrent laisser à la base de données le soin de faire un commit automatique des modifications apportées à la base de données.
L'utilisation d'autocommit présente des risques parce que l'on n'obtient pas la protection « tout ou rien » du commitment control ou la possibilité de recourir à des niveaux d'isolation de transactions plus élevés. De plus, un nouveau programmeur peut fort bien ajouter une nouvelle modification de base de données à une application existante, sans espérer que cette modification sera « committed » automatiquement.
Heureusement, des améliorations récentes de l'option autocommit dans les versions V4R4 et V4R5 règlent ces problèmes ainsi que d'autres lacunes des versions d'autocommit antérieures. Nous verrons ces améliorations dans un moment. Pour l'instant, voyons pourquoi elles sont nécessaires
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Progression des produits IBM
par Carson Soule
IBM affiche des progrès dans trois secteurs cruciaux : WebSphere, Domino et DB2. Plus que n'importe lequel des produits logiciels IBM, ce sont les fers de lance de la stratégie inter-plate-forme et standard ouvert d'IBM.Tous trois fonctionnent sur l'ensemble de la gamme eServer ainsi que sur les systèmes des concurrents. Et tous trois évoluent dans des marchés chauds et concurrentiels qu'IBM essaie de dominer.

Tips de programmation sur AS/400
Ajoutez ces astuces de spécialistes à votre panoplie de développement applicatif ...
- comment spécifier SRCDBG comme option PDM
- utiliser une ligne squelette pour accélérer le coding en SEU
- ...
En matière de stratégies concurrentielles pour systèmes de gestion, les programmeurs jouent un rôle prépondérant. En analysant soigneusement les transactions de gestion quotidennnes, un programmeur avisé peut beaucoup contribuer à l'efficacité de l'environnement, voire influer sur la réussite ou l'échec de l'entreprise.
La suite des tips de programmation AS/400 ci-après propose plusieurs “ scénarios ” intéressants pour un site donné. On y verra comment spécifier SRCDBG comme option PDM définie par l'utilisateur, utiliser une ligne squelette pour accélérer le coding en SEU, et bien d'autres. En enrichissant la programmation à l'aide de ces astuces, on augmentera l'efficacité de l'équipe.
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Demain l’Euro
par Benoît Herr
Plus que 500 et quelques jours avant cette nouvelle échéance fatidique qu'est
le 1er janvier 2002 pour l'Euro. Nombreux sont ceux qui n'ont encore rien fait.
Et vous, où en êtes-vous ?
La pénétration de l'Euro dans les entreprises françaises et européennes reste
très faible (seuls quelques pour cents de l'ensemble des transactions se font
aujourd'hui dans la monnaie unique).
Pourtant, les monnaies nationales des pays "in" ne sont officiellement plus que
des subdivisions de la monnaie unique et, à bien y regarder, il ne reste plus
beaucoup d'occasions pour basculer. Si l'échéance du 31 décembre 2001, où l'on
attend un "grand embouteillage" est à éviter à tout prix, la bonne date de basculement,
pour les entreprises clôturant au 31 décembre, reste le 31 décembre 2000.
Bien sûr, selon la loi, on peut basculer à n'importe quel moment de l'exercice,
et les entreprises ne sont en aucun cas obligées de se caler sur une fin d'exercice.
Mais cela oblige à gérer des transactions en francs sur une certaine période,
puis en Euros sur le reliquat du même exercice.
C'est ce qu'on appelle la rétropolation. Selon Annie-Claire Poisson, Expert Comptable,
Commissaire aux comptes et membre du comité Euro du CSOEC (Conseil Supérieur de
l'Ordre des Experts Comptables), "Il s'agit là d'une possibilité extrêmement difficile
à mettre en pratique. Les logiciels sachant gérer une telle rétropolation sont
en effet très peu nombreux sur le marché. Et quand bien même l'entreprise en serait
équipée, le logiciel en question n'est en général pas installé isolément, et il
y a de fortes chances pour que les logiciels avec lesquels il dialogue ne soient
eux pas à même de rétropoler. Le basculement à l'Euro implique le changement du
système de référence de toute l'entreprise."
Pour les entreprises clôturant à une date différente du 31 décembre, la meilleure
date de bascule est, comme cela a été le cas pour la société Calvet (cf. encadré
"Le cas Calvet") la fin de l'avant-dernier exercice avant l'échéance. Au pire,
il y a alors encore une "session de rattrapage", et on pourra toujours encore
se caler sur la fin d'exercice suivante. Hélas, à l'heure où vous lisez ces lignes,
il est déjà trop tard pour s'y prendre ainsi pour bon nombre d'entreprises.
Les monnaies nationales des pays "in" ne sont officiellement plus que
des subdivisions de la monnaie unique
Le cas Calvet Fondée en 1818, la maison Calvet fait véritablement partie du "paysage" bordelais. Elle produit trente millions de "cols" (comprenez "bouteilles") par an, pour un chiffre d'affaires de 400 MF en 1999 et un effectif de 113 personnes. 70% de cette production part à l'exportation, dans quelque 110 pays du monde entier. Trois lignes d'embouteillage, alimentées par une cuverie de 80000 hl, conditionnent les produits livrés en 48h sur la France, et en 2 à 3 semaines au maximum partout ailleurs dans le monde. Dès 1997 une réflexion sur ses systèmes d'information avait été initiée chez Calvet, et c'est finalement le progiciel Minos, édité par la société lyonnaise Ordirope, qui a été retenu et implémenté, pour assurer la gestion commerciale et de production de Calvet, en remplacement de développements spécifiques. Le démarrage en production est intervenu courant 1999. Parallèlement à Minos, les progiciels Iris Finance et Iris Personnel de Viveo Entreprise (qui s'appelait alors encore Idsys) prennent en charge la gestion comptable et des ressources humaines de Calvet. Dans la foulée de cette installation, et presque deux ans avant la date butoir du 1er janvier 2000, Calvet a trouvé suffisamment de motivation et de ressources pour basculer ses systèmes en Euro. Comment cela se fait-il ? Tout a en fait démarré dès 1998, lorsqu'un rapport interne a mis en lumière les impacts colossaux d'un projet Euro sur l'ensemble des fonctions de l'entrepri Lire l'article ![]() Tricks & Traps – Windows 2000par Olivier Nguyen ![]() Simplifier les signons avec Client Access Express et Windows
par Carole Miner ![]() Gérer les serveurs Windows 2000 à distancepar Sean Daily ![]() La formation dirigéepar Kalen Delaney ![]() Sommet européen des développeurs Open Source
par François Tonic ![]() WebSphere Application Server et IFSPar Jay Kelley et Vinny Luc - n°11 octobre 2001 ![]() Au coeur d’IFSCes deux dernières années ont vu croître l'intérêt et l'utilisation d'IFS (Integrated File System). Son utilisation s'étend parce que les sites iSeries combinent de plus en plus des applications diverses créées à l'aide d'ou-tils comme Domino et Java, gros utilisateurs d'IFS. En outre, de nombreuses appli-cations iSeries modernes, quel que soit leur mode d'écriture, doivent accéder à des fichiers stream, comme des fichiers HTML, des images .GIF et des documents de traitement de texte. IBM a spécialement conçu IFS pour gérer des données de fichiers stream et des structures de répertoires hiérarchiques. Techniquement parlant, tous les éléments - fichiers physiques AS/400, bibliothèques, l'OS/400 lui même, fichiers PC et fichiers Unix - sont stockés dans IFS parce que, de son point de vue, l'AS/400 et les objets iSeries font partie du système de fichiers QSYS.LIB (bibliothèques, fichiers, par exemple) ou QDLS (documents, dossiers, par exemple). Toutefois, quand nous faisons référence à IFS, nous entendons généralement les systèmes de fichiers « racine » (/) et QOpenSys, qui sont les parties d'IFS utilisées pour stocker les informations de PC (essentiellement Windows) et d'Unix. Ces systèmes d'exploitation utilisent des systèmes de fichiers très différents de l'architecture à base d'objets de l'iSeries. Par conséquent, pour pouvoir traiter leurs informations, IBM a dû créer IFS. Depuis son introduction avec la V3R1, IFS a été lentement et continuellement amélioré. C'est ainsi que la V5R1 contient des améliorations à la journalisation IFS et la possibilité de switcher des IASP (Independent Auxiliary Storage Pools) contenant des données IFS entre des partitions logiques ou des serveurs iSeries physiques. Lire l'article![]() Vitalité technique de la V5par Carson Soule L'éventail de possibilités de cet gamme serveur est étonnant et n'est pas sans rappeler la gamme d'ordinateurs System/360 d'IBM, révolutionnaire en son temps. Lire l'article![]() Fonction d’intégration de donnéesNouveaux produits Systemi : focus sur Winsurf Mainframe Studio 5250. ICOM Informatique, éditeur de logiciels d'e-connectivité site central annonce la disponibilité d'une solution de publication des données sur le Web, exclusivement dédiée aux environnements IBM AS/400 : Winsurf Mainframe Studio 5250. Lire l'articleLes plus consultés sur iTPro.fr
![]() La Revue du Décideur ITX
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