
Obtenir des ensembles de résultats d’une procédure cataloguée SQL
Rajoutez de la puissance à vos applications client/serveur avec cette procédure cataloguée SQL qui renvoie de multiples lignes de donnéesEn écrivant des procédures cataloguées avec le langage des procédures cataloguées (Stored Procedure Language ou SPL en anglais) SQL on pourra d'une part jouir d'une plus grande portabilité sur des plates-formes hétérogènes, et d'autre part simplifier le coding des bases de données. Par ailleurs, l'utilisation des procédures cataloguées peut également améliorer les performances et la sécurité des applications client/serveur. Le SPL peut être utilisé dans différents cas de figure, y compris pour récupérer un ensemble de résultats. Cet ensemble est constitué d'un ou plusieurs enregistrements de données, comme par exemple une liste des meilleurs ventes de livres classée par catégorie. Dans l'article "A l'intérieur d'une procédure cataloguée SQL", NEWSMAGAZINE, septembre 1999, nous avons fait un tour d'horizon des procédures cataloguées SQL. Nous avons également expliqué comment créer une procédure cataloguée utilisant des paramètres de sortie pour renvoyer des informations au programme appelant. Aujourd'hui, nous allons embarquer pour un autre voyage, au coeur d'une procédure cataloguée SPL. Mais cette fois, la procédure renvoie un ensemble de résultats. (Pour une présentation des concepts de base du SPL, consultez l'article "Des procédures cataloguées en SQL/400", NEWSMAGAZINE, juin 1998.
Nous allons embarquer pour un autre voyage, au coeur d'une procédure cataloguée SPL
Lire l'article
DB2 devient universel sur l’AS/400
L'universalité de DB2 UDB for AS/400 permet d'utiliser une base de données unique
pour stocker toutes les données de l'entreprise, traditionnelles et non traditionnelles
C'est vrai, IBM a de nouveau rebaptisé la base de données intégrée de l'AS/400.
Avec la V4R4, DB2/400 devient DB2 Universal Database for AS/400 (DB2 UDB for AS/400).
Mais la V4R4 de la base de données AS/400 va bien au delà d'un simple nouveau
nom. En effet, cette nouvelle version permet à la base de données de l'AS/400
de réaliser une avancée significative, et ce en l'enrichissant de fonctions permettant
de stocker, de gérer, d'indexer et de contrôler toutes les formes d'information
imaginables s'appuyant sur une architecture base de données unique et homogène.
Avec
un serveur base de données universel il est possible de mettre en oeuvre ou de
supporter pratiquement tous les types d'applications. Pour cela, un serveur base
de données universel doit posséder les caractéristiques fondamentales suivantes
:
- Fiabilité universelle
- Support universel d'applications
- Accès universel
- Evolutivité universelle
- Gestion universelle
- Extensibilité universelle
Avec un serveur base de données universel il est possible de mettre en oeuvre tous les types d'applications
Outre les améliorations spectaculaires concernant l'extensibilité, DB2 UDB for AS/400 présente également des améliorations de l'accessibilité, de l'évolutivité et de la gestion. Les nouvelles fonctionnalités englobent les tables dérivées, un environnement script SQL Operations Navigator et une optimisation des performances des requêtes. Tout comme avec les précédentes améliorations de DB2 sur l'AS/400, les tables et applications actuelles fonctionneront parfaitement sous DB2 UDB for AS/400 sans modification. Lire l'article

SysPrep : clonez vos systèmes
Les grands réseaux sont très longs à créer. Plus le nombre de systèmes est important,
plus il faut de temps pour les déployer. SysPrep facilite considérablement cette
tâche pour les administrateurs Windows NT en permettant le clonage de systèmes.
Supposons que deviez créer entièrement 500 postes de travail Windows NT 4.0. S'il
faut une heure pour créer chaque système, ces 500 heures de déploiement correspondront
à près de 13 semaines de travail d'un administrateur ou à plus 3 semaines de travail
de quatre administrateurs - en supposant qu'il suffit d'une heure pour créer chaque
poste de travail. Car il suffit d'ajouter quelques applications à l'installation
de l'OS pour augmenter exponentiellement le temps de création et, par voie de
conséquence, le coût global de possession de ces postes de travail.
Les logiciels de clonage de disque peuvent remédier au problème de l'augmentation
du TCO. Ils permettent, en effet, d'installer et de configurer une seule fois
des progiciels de systèmes complets et de cloner l'installation sur un grand nombre
de postes de travail supplémentaires. Une fois l'installation initiale terminée,
le coût de son clonage sur d'autres systèmes diminue considérablement, puisqu'il
ne s'agit que de faire une copie d'un disque à un autre.
Pour déterminer les drivers et les paramètres de configuration à installer sur
un système particulier, les OS se basent sur la plate-forme matérielle. C'est
pourquoi pour cloner des systèmes, il faut s'assurer que toutes les machines clonées
utilisent des composants identiques. Sinon, de mauvais drivers s'installeront
et les machines ne parviendront pas à fonctionner correctement. Dans le cas de
matériels différents, il faut réinstaller les bons drivers après le clonage et
cette tâche contredit l'objectif même du clonage.
Jusqu'ici Microsoft ne supportait pas le clonage, en raison de problèmes inhérents
au mécanisme même du clonage. Les systèmes NT requièrent des comptes sécurisés
(dits SID pour Secure ID) uniques pour fonctionner correctement dans un réseau.
De même, chaque système NT cloné nécessite un compte unique. Les générateurs de
SID, tels que Norton Ghost Walker et le shareware NewSID de Systems Internals,
créent des comptes uniques à affecter à des systèmes NT clonés. Les générateurs
de SID fonctionnent bien, dans la mesure où l'on connaît bien les limites du clonage
et les pièges que comporte cette technique. Cependant, Microsoft ne supporte que
les logiciels et systèmes clonés avec les SID générés par son propre nouvel outil
SysPrep (System Preparation). (Pour savoir comment se procurer SysPrep, allez
sur le site Web de Microsoft à l'adresse http://www.microsoft.com/ntworkstation/deployment/deployment/syspreptool.asp).
Les logiciels de clonage de disque peuvent remédier au problème de l'augmentation
du TCO

Principes des architectures sécurisées contre le vol d’informations
La sécurité informatique est une sorte de fourre-tout dans lequel on trouve des
domaines de compétences biens différents. Deux courants de pensées majeurs se
présentent : la sécurité informatique contre les pannes matérielles ou logicielles
et la sécurité informatique contre l'espionnage et le piratage. L'une des différences
majeures entre ces deux familles, est que la première nécessite des compétences
techniques précises en informatique, télécommunication et électricité ainsi qu'une
grande sagesse ; là où la seconde demande plutôt des qualités psychologiques comme
l'extrême paranoïa et la schizophrénie. Un administrateur doit savoir se transformer
en une effroyable machine de guerre au moindre signe suspect.
Dans cet article, nous traiterons exclusivement de la sécurité contre l'espionnage
et le piratage. Il s'agit ici de se prémunir contre le vol d'informations confidentielles,
la détérioration, la modification d'information, bref contre l'intrusion. La sécurité
de l'information est à l'origine une tache qui n'a pas grand chose à voir avec
l'informatique : l'intrusion existe depuis bien plus longtemps.
Cependant, l'information étant à l'heure actuelle stockée sur support informatique,
il est devenu plus facile de s'introduire au coeur des entreprises en faisant l'économie
du déplacement - Un bon modem, un téléphone, et c'est parti. Du coup, les entreprises
ont mis leur sécurité entre les mains des administrateurs systèmes et réseaux,
oubliant parfois que ce n'est parce qu'une information est disponible sur le réseau,
qu'elle n'est disponible que sur le réseau. Une bonne politique de sécurité englobe
plus qu'une simple problématique technique.

Faites le ménage dans vos files d’attente d’impression
par Julian Monypenny La commande CLNUPOUTQ permet de supprimer facilement les spoules inutiles De nombreuses entreprises se targuent de respecter l'environnement. La mode de la protection de l'environnement n'a pas épargné l'industrie informatique. En effet, le temps où on imprimait tous les rapports dès la fin de leur traitement est révolu. Désormais, de nombreux rapports sont consultés en ligne et imprimés uniquement à la demande. Réduire la production de documents imprimés permet de préserver des arbres mais aussi de l'argent ! Toutefois, conserver des fichiers spoules en ligne consomme de l'espace disque et exige de faire le ménage régulièrement. Le présent article décrit CLNUPOUTQ, une commande qui permet de faire le ménage parmi les fichiers spoules obsolètes se trouvant dans des files d'attente d'impression et de libérer ainsi un précieux espace disque. A l'instar de tous les outils faisant partie de la série “ RPG IV Tools ”, pour utiliser le code fourni, vous devez disposer de la V3R7 de l'OS/400 ou d'une version plus récente.
Lire l'article
Le deuxième « booster » d’IBM
IMD (IBM Microelectronics Division) joue un rôle moteur et de synergie stratégique au sein de la nébuleuse IBMDans
le NEWS MAGAZINE d'octobre, il était question d'IBM Global Services (IGS),
l'activité d'IBM dont la croissance est la plus élevée, et selon les
termes mêmes de Lou Gerstner, Président d'IBM, est le "premier booster
de la compagnie". IGS est dirigée par Sam Palmisano.
Dès sa prise en main de la compagnie, Lou Gerstner a immédiatement
pressenti que la technologie était l'un des atouts majeurs d'IBM. Il a
maintenu, dans un premier temps, les budgets de la recherche au niveau des années
précédentes; ensuite, il a visité les laboratoires et s'est rendu compte
que des décennies de technologie de pointe gisaient dans les cartons des labos,
prêtes à être mises en oeuvre. Pour lui, il ne faisait pas de doute : IBM était
avant tout une entreprise de technologie.
Des décennies de technologie de pointe gisaient dans les cartons des labos
Aujourd'hui, toujours selon Lou Gerstner, le "Technology Group", sous la direction de Jim Vanderslice, constitue le "deuxième booster de la compagnie". Jim Vanderslice a tout d'abord repris la Division Storage Systems, qui avait progressivement perdu son hégémonie dans les technologies de "stockage" au profit de ses concurrents. Son action a été couronnée de succès et l'on n'est pas surpris de le voir aujourd'hui à la tête du "Technology Group" qui regroupe, autour de IBM Microelectronics Division, les activités Storage, Printing, Displays, Servers; en fait presque toutes les activités qui ne dépendent pas de IGS. A noter que la recherche est encore une entité séparée sous la direction de Paul M. Horn.
Lire l'article
Protéger le journal de sécurité de Windows NT
Dans de précédents articles de ce magazine, on a pu voir comment exploiter l'utilisation des privilèges et des catégories d'audit d'administration des comptes pour surveiller l'activité des utilisateurs ayant des privilèges d'administrateur. Mais que faire si les intrus essayent de dissimuler leurs traces en modifiant le journal de sécurité de Windows NT ? On peut utiliser les événements systèmes et les changements de politiques pour détecter de telles attaques.
Lire l'article
Des nouvelles de Windows 2000
Lors d'une récente réunion d'information pour la presse, Microsoft a révélé la
progression de la prochaine incarnation de Windows NT. La réunion a apporté à
la fois de bonnes et de mauvaises nouvelles, mais peu d'annonces de grande envergure.
Quelles sont donc les dernières nouvelles de Windows 2000 ? Après plus de 2 années
de développement de ce qui était jusqu'à présent annoncé comme Windows NT 5.0,
Microsoft a établi et adopté un ensemble d'objectifs pour NT et a déjà considérablement
progressé dans leur réalisation. J'entends parler du devenir de NT depuis 2 ans
et j'ai été beaucoup plus impressionné en assistant aux démonstrations réelles.
Puisque la beta 2 de NT 5.0 est désormais sortie, les utilisateurs ont envie de
savoir si Microsoft a tenu compte de leurs craintes et de leurs attentes à propos
de cette nouvelle version. La conférence de presse a permis de présenter les mises
à jours suivantes de NT 5.0.
Les options
Les mises à jour présentées portaient sur les nouveaux outils et les
nouveautés technologiques de NT 5.0. Sous réserve d'être correctement implémentées,
les fonctions telles que Active Directory (AD) et Zero Administration for Windows
(ZAW) promettent une amélioration de NT.

Les services pour UNIX de Windows NT
En dépit des affirmations de certains, Windows NT ne peut tout simplement pas
remplacer UNIX dans toutes les situations. En outre, le coût d'une migration d'UNIX
vers NT est prohibitif et, dans bien des cas, NT n'apporte pas aux administrateurs
UNIX les applications qu'ils recherchent. La règle en la matière est plutôt l'intégration
que le remplacement.Depuis le lancement de Windows par Microsoft, l'éditeur a toujours été en retrait
en ce qui concerne le nombre et les fonctionnalités des utilitaires d'invite de
commande de Windows au bénéfice des interfaces graphiques. Des sources tierces
(notamment UNIX) proposent ces outils depuis plusieurs années, mais aucune solution
intégrée n'était proposée.
Avec les Services pour UNIX de Windows NT (SPU), cette lacune a été comblée. Pourtant,
le nom du produit est trompeur. SPU ne fournit pas de services NT pour UNIX, mais
plutôt ce que beaucoup considèrent comme des services UNIX sur un système NT.
Il est fondamental de bien percevoir cette distinction pour comprendre les services
offerts par SPU et pour qui. SPU simplifie l'accès aux ressources, facilite la
synchronisation des mots de passe et facilite l'administration des environnements
mixtes Windows NT/UNIX.

IBM Enterprise Suite pour NT :
Pour utiliser Windows NT Server 4.0 dans votre entreprise, vous avez besoin d'applications pour mettre sur pied votre infrastructure d'informations. Il vous faut un serveur de bases de données, un serveur de messagerie et une solution de contrôle et d'administration à distance. En dehors de BackOffice de Microsoft, le choix est limité. Vous pouvez essayer d'intégrer des éléments provenant de divers éditeurs et espérer qu'ils interagissent, mais il existe une autre solution : les suites d'IBM pour Windows NT. L'IBM Enterprise Suite for Windows NT est un ensemble de packages qui offre davantage de fonctionnalité sous Windows NT que BackOffice lui-même. Les composants middleware des suites IBM aident à une exploitation maximale du système.
Lire l'article
Operations-Navigator passe la quatrième pour UDB/400
La puissante combinaison d'OpNav et d'UDB/400 dans la V4R4 facilite la création
d'objets SQL sur l'AS/400
Les dernières releases de l'OS/400 ont apporté des améliorations au répertoire
Database d'Operations Navigator (OpNav), où l'on gère les objets DB2/400 de l'AS/400.
En V4R4, IBM a encore amélioré l'aspect base de données d'OpNav grâce à une interface
graphique pour les fonctionnalités base de données relationnelle de type objet
de DB2 UDB/400 (Universal Database for AS/400). La V4R4 permet de créer des types
définis par l'utilisateur (UDT: User-Defined Types) et des fonctions définies
par l'utilisateur (UDF: User-Defined Functions) dans OpNav. En outre, OpNav permet
désormais de définir des tables en utilisant des UDT, des LOB (Large OBjects)
et des types de colonnes datalink. (Pour plus d'informations sur ces types de
données, voir l'article “ UDB devient universel sur l'AS/400 ”, NEWSMAGAZINE,
mai 1999). Pour bénéficier des nouvelles fonctions base de données et du support
OpNav correspondant, il faut posséder le V4R4 Database Enhance PAK et le dernier
service pack pour Client Access Express.
L'interface graphique d'OpNav permet aux utilisateurs de créer et de travailler
avec des objets base de données en utilisant SQL sur l'AS/400, tout en masquant
certaines complexités de l'écriture d'instructions SQL. Je prolonge l'exemple
d'application Corporate Data pour montrer comment on peut utiliser l'interface
d'OpNav pour créer un UDT, une table et une UDF, avec très peu de code SQL.
L'interface graphique d'OpNav permet de manipuler des objets base de données
avec SQL tout en masquant certaines complexités de l'écriture d'instructions SQL

Exploration du nouveau Notes !
Découvrez les points forts de Notes 5.0 : nouvelle interface utilisateur, support
de l'envoi de courriers électroniques via Internet ou encore amélioration de l'administration
Le client Notes 5.0 (communément appelé Release
5 ou R5) représente le plus impressionnant ensemble de modifications apportées
à l'interface Notes depuis la mise sur le marché du produit en 1989. En effet,
livrée fin mars, la dernière mouture de Notes confère au client Notes d'origine
un look de navigateur Web, et lui apporte en plus de nombreuses améliorations
substantielles. Analysons plus en détail quelques-unes des modifications les plus
importantes.
Le nouveau client Notes est désormais un client e-mail
complet

Au coeur des améliorations de sécurité du SP4 : NTLMv2
En décidant de rendre Windows NT compatible amont avec LAN Manager, Microsoft
se rendait-il compte des problèmes qu'allait engendrer cette décision ? Le SP4
corrige certes la faiblesse de sécurité qu'introduisait la compatibilité LM mais
peut-on jamais semer les pirates…
En rendant Windows NT compatible avec LAN Manager, Microsoft entendait faciliter
la mise en oeuvre de NT dans les environnements LAN Manager et les sites sous Windows
95, Windows 3x, DOS et OS/2 existants. On pouvait en effet continuer à utiliser
le logiciel client LAN Manager déjà présent dans ces OS clients. Mais en bénéficiant
de la compatibilité amont, NT a du même coup hérité de certaines faiblesses importantes
en matière de sécurité dues au mode de hachage des mots de passe et d'authentification
du réseau propres à LM, le protocole d'authentification de LAN Manager. (Pour
en savoir plus sur les faiblesses de l'authentification LM, voir l'article " Protégez
vos mots de passe " de décembre 1998). L'authentification LM utilise un mécanisme
de question/réponse pour l'ouverture de session, pour éviter de devoir transmettre
le mot de passe sur le réseau. Mais les vulnérabilités de LM permettent aux hackers
d'espionner un segment de réseau, de saisir la question/réponse et de percer le
logon. Windows NT est donc tout aussi vulnérable puisque, pour offrir cette compatibilité,
il envoie et accepte automatiquement les réponses LM, ce qui est carrément dangereux.
L0phtCrack, outil de percement de mots de passe de L0pht Heavy Industries, fait
peser une lourde menace sur NT, grâce à un renifleur de question/réponse capable
de capturer les logons au moment où ils ont lieu sur le réseau. Une fois en possession
de ce couple question/réponse, L0phtCrack exploite les faiblesses de LM pour récupérer
le véritable mot de passe. Dans sa version 2.5, l'outil est doté d'un renifleur
amélioré avec interface graphique intégré dans le moteur principal (écran 1) et
il ne nécessite plus, comme la précédente version, de driver de paquet spécial.
Cet outil vendu dans le commerce permet même aux pirates novices d'apprendre sans
difficulté les mots de passe de quiconque ouvre une session sur son segment de
réseau.
L0phtCrack, outil de percement de mots de passe de L0pht Heavy Industries,
fait peser une lourde menace sur NT
Avant la sortie du Service Pack 4 (SP4), les administrateurs système devaient,
pour se défendre, appliquer la correction lm-fix, postérieure au SP3. Cette correction
ajoutait un paramètre au Registre, LM-CompatibilityLevel, qui indiquait à NT de
ne pas supporter l'authentification LM, battant ainsi en brèche le renifleur L0phtCrack.
Evidemment, cette solution impliquait de n'utiliser que NT sur les postes de travail
clients, puisque Win9x, Windows 3x, DOS et OS/2 ne supportent que l'authentification
LM. Malheureusement, lm-fix posait des problèmes de stabilité et Microsoft a dû
le supprimer du Web, privant les administrateurs d'une solution à un problème
sérieux.
Dès la sortie du SP4, voulant vérifier si Microsoft avait inclus la fonction lm-fix,
j'ai découvert une révision du protocole d'authentification de réseau NTLM, spécialement
conçu par Microsoft pour améliorer la sécurité de NT. NTLMv2 se caractérise par
plusieurs améliorations permettant de traiter les problèmes d'authentification,
ainsi que la confidentialité, l'intégrité et le chiffrage 128 bits nécessaires
pour sécuriser les sessions. Dans cet article nous présenterons les options de
NTLMv2 et un certain nombre de détails non documentés et de bugs graves pour la
sécurité. Nous verrons également comment chaque option permet de résister aux
attaques de L0phtCrack 2.5 et traiterons les éventuelles futures attaques. Enfin,
nous terminerons par des recommandations pratiques pour mettre en oeuvre la meilleure
sécurité possible tout en préservant la compatibilité.

L’administration de réseau dans Windows 2000
Windows 2000 apportera un grand nombre de services de réseau nouveaux ou modifiés
par rapport à Windows NT 4.0, pour supporter et améliorer les fonctionnalités
des infrastructures distribuées, qu'elles soient d'origine Microsoft ou non.
Quant on pense outils d'administration de réseau, on a aussitôt à l'esprit des
produits comme HP OpenView ou IBM NetView, dont le rôle consiste à surveiller
et maintenir les informations sur la configuration des périphériques de réseau,
tels que les hubs, les commutateurs et les routeurs. Les outils de ce type reposent
généralement sur des agents SNMP tournant sur les périphériques administrés afin
de fournir des informations à la console ou au serveur d'administration. Mais
rares sont, parmi ces outils, ceux qui apportent une visibilité au-dessus de la
couche réseau OSI des services ; il leur faut au contraire compter sur les éditeurs
de ces services pour l'administration. L'arrivée de Windows 2000 (feu Windows
NT 5.0) vient combler cette lacune en proposant des services d'administration
améliorés ou complètement nouveaux.
Parmi les services améliorés on trouvera DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol),
WINS (Windows Internet Naming Services) et DNS (Domain Name System). Les nouveautés
qui font leur apparition avec la prochaine version de Windows NT sont les standards
IPSec (IP Security) pour l'authentification, l'intégrité et le chiffrement du
trafic de la couche réseau, et le support de QoS (Quality of Service) dans la
pile réseau et AD (Active Directory). On peut comparer les fonctions assurées
par Windows 2000 à une gestion de services de réseau plutôt qu'à une administration
traditionnelle de réseau.
La principale différence entre les deux tient à ce que les outils d'administration
de réseau de Windows 2000 n'assurent pas une surveillance suffisamment robuste
au niveau de toute une entreprise, ni les alertes et le reporting des périphériques,
comme le fait un véritable outil d'administration de réseau. Mais les outils de
Windows 2000 fournissent tout de même une interface de base pour la configuration,
l'administration et un certain niveau de surveillance des services de réseau.
Cet article vous permettra de découvrir un certain nombre de services nouveaux
et améliorés de Windows 2000 et les nouveaux outils servant à les gérer.
Quoi de neuf pour l'administration de réseau dans Windows 2000 ?
Microsoft a doté Windows 2000 Serveur et Workstation de nombreuses fonctions
de réseau nouvelles ou améliorées. Parmi elles se trouvent le support de QoS et
le protocole IPSec. (Pour en savoir plus sur QoS, voir l'article " Bâtir le meilleur
des réseaux avec QoS ", de Tao Zhou).

La valeur RPG IV *JOBRUN simplifie la conversion des formats de date
par Azubike Oguine Cet utilitaire met à profit la valeur spéciale *JOBRUN du RPG IV pour permettre aux utilisateurs finaux de tous les pays d'utiliser le format de dates auquel ils sont habitués
Lire l'article
Lorsque PASE paraît
La Division AS/400 place de grands espoirs dans l'environnement PASE (Portable
Application Solutions Environment), qui représente l'une des facettes de la stratégie
Unix de Big Blue
Voici quelques années, Rochester avait lancé un environnement d'exécution Unix
sur AS/400. Mais en dehors de quelques moments d'attention toute particulière,
comme lorsque les comptes et les éditeurs AS/400 les plus importants y ont porté
leurs applications Unix, ou lorsque SAP a porté son progiciel R/3 sur la plate-forme,
cet environnement a évolué à bas bruit, jusqu'au 24 janvier dernier, jour auquel
IBM a fait son annonce PASE (Portable Application Solutions Environment) à l'occasion
de PartnerWorld, à San Diego, Californie (cf. encadré "The big show").
L'environnement PASE est supposé accélérer la venue de nouvelles applications
sur plate-forme AS/400

Utiliser Ntbackup avec Windows 2000 et NT
Ntbackup.exe, le programme de sauvegarde intégré à Windows NT, est fait pour des sauvegardes rapides et rudimentaires de fichiers. Mais il n'est pas suffisant pour un environnement d'entreprise. Il ne permet pas, en effet, d'exécuter des sauvegardes automatiques pendant les heures de fermeture des bureaux, puisqu'il est dépourvu de la capacité de programmation intégrée. Il ne permet pas non plus de sauvegarder des ressources distantes et de maintenir des catalogues de supports de sauvegarde, fonctions indispensables aux entreprises. Les utilisateurs qui passent de Windows NT à Windows 2000 constateront que Microsoft a amélioré la nouvelle version de Ntbackup pour remédier aux trois lacunes citées plus haut. Mais tout le monde n'est pas pressé de passer à Windows 2000. Pour ceux qui comptent rester encore quelque temps sous NT, cer article explique comment éviter ces faiblesses pour planifier des sauvegardes, sauvegarder des ressources sur des machines distantes et maintenir des catalogues de leurs supports. Pour ceux qui passent à Windows 2000, nous décrirons les améliorations apportées par la nouvelle version de Ntbackup dans ces domaines par rapport à celle de NT.
Lire l'article
Norton Antivirus 4.0 et les serveurs NT
En voyant Norton AntiVirus 4.0 for Windows NT Server arriver au labo, je me suis dit " Tiens, on n'a pas déjà testé ce produit ? " Après une petite enquête j'ai découvert que nous avions examiné la version station de travail pour l'article " Logiciels antivirus pour Windows NT Workstation " de Jonathan Chau de février 98. Nous avons donc vérifié s'il y avait une différence entre les deux versions du produit. Norton AntiVirus (NAV) 4.0 for Windows NT Server se trouve sur un CD-ROM qui comprend des fichiers d'aide hypertexte et vidéo et des fichiers d'installation pour les systèmes Intel et Alpha. Cette nouvelle version permet de " pousser " l'installation du logiciel à partir d'un serveur central vers les serveurs et les postes de travail NT, ainsi que les systèmes Windows 95, Windows 3.1 et DOS. La version serveur offre la même interface utilisateur et les mêmes options que la version station de travail examinée par le Labo.
Lire l'article
Microsoft en quête de fiabilité
Ancien de Banyan Systems, Jim Allchin n'aime pas les bugs. Ex Senior Vice President de Microsoft en charge du développement de Windows 2000, désormais VP responsable des plates-formes, il est l'homme d'une mission : rendre Windows 2000 l'OS le plus fiable du marché. Après plus de 10 ans chez Microsoft à travailler sur Windows NT, le penchant de Jim Allchin pour l'excellence et sa détermination pourraient bien porter leurs fruits Au cours d'un discours prononcé au dernier Comdex d'automne, Jim Allchin a déclaré : " vous avez devant vous le bureau des réclamations de Microsoft pour Windows. Je reçois des lettres à propos de Windows 95, 98 et NT et je passe beaucoup de temps à les lire. C'est une lecture pénible car, même si j'en reçois de nombreuses très gentilles, la plupart des lettres qui arrivent sur mon bureau sont celles dans lesquelles quelqu'un a vécu une mauvaise expérience. Il y a deux ans, Microsoft a décidé d'essayer de comprendre la réalité en ce qui concerne la fiabilité et la compatibilité de Windows NT. Parce qu'au moment où je recevais toutes ces lettres, je savais que Dell.com tournait sous Windows NT, que le Nasdaq ou le Chicago Board of Trade étaient sous NT. Nous savions en outre que ces clients étaient absolument ravis de la fiabilité de nos produits. "
Lire l'article
Au coeur de la gestion de la mémoire sous Windows NT (II)
2ème partie
Dans notre numéro de novembre, nous avons commencé cette série en deux parties
sur la gestion de la mémoire dans Windows NT en introduisant le concept de mémoire
virtuelle. Nous avons vu l'utilisation par le processeur d'un système de traduction
d'adresses virtuelles en adresses physiques à deux niveaux. Nous avons évoqué
la pagination et deux puissantes fonctions du Gestionnaire de mémoire : le mapping
de fichiers en mémoire et la mémoire copy-on-write.
Ce mois-ci nous allons détailler encore les structures de données internes utilisées
par le Gestionnaire de mémoire pour faire le suivi de l'état de la mémoire. Nous
évoquerons les working sets et la base de données PFN (Page Frame Number). Nous
terminerons par une exploration d'autres structures de données utilisées par le
Gestionnaire de mémoire pour faire le suivi de la mémoire partagée par deux ou
plusieurs applications, et nous aborderons les Objets de section, structures de
données utilisées par la base de données PFN pour mettre en oeuvre le mapping des
fichiers en mémoire.