par Jerry Cochran - Mis en ligne le 08/10/2003
Quand on installe un OS Windows
, on
peut choisir entre deux types de
disques logiques : basiques et dynamiques.
Ce choix a de lourdes conséquences
pour le serveur Windows et
son logiciel. Examinons ces deux types
de disques logiques et en quoi leurs
différences sont importantes.
Serveurs Windows : disques basiques ou dynamiques ?

Avant Win2K, les OS Windows n’utilisaient
que des disques basiques remontant
à l’époque de Windows 9x.
Microsoft a conçu le disque basique
pour qu’il s’adapte aux futurs produits
Windows. En substance, un disque basique
contient des volumes basiques,
comme des partitions primaires, des
partitions étendues et des lecteurs logiques.
Les disques basiques vous cantonnent
à la création suivante : quatre
partitions primaires par disque, ou
trois partitions primaires et une partition
étendue avec des lecteurs
logiques illimités. Bien que réelles, ces limitations ne sont pas aussi strictes
qu’on pourrait le croire. Les disques
basiques et dynamiques diffèrent par le
nombre de partitions (sur les disques
basiques) et de volumes (sur les
disques dynamiques) que chacun peut
contenir. Les disques basiques utilisent
aussi les tables de partition (stockées
dans le Master Boot Record – MBR – au
début du disque) que Windows XP,
Win2K, NT 4.0, Windows Me, Win9x et
MS-DOS supportent. Pour compliquer
les choses, les volumes de disques basiques
peuvent aussi prendre en charge des volumes multi disques –
comme des volume sets, des stripe
sets, des mirror sets et des stripe sets
avec parité – créés en NT 4.0 ou antérieurs.
(XP ne reconnaît pas ces volumes
basiques multi disques mais
Win2K les reconnaît.)
En tant qu’administrateur Win2K et
NT 4.0, vous avez utilisé des disques
basiques et avez eu probablement l’occasion
de « frimer » en utilisant des volume
sets, des mirror sets ou des stripe
sets. Mais vous avez aussi probablement
remarqué quelques limitations
des disques basiques, comme l’obligation
de réinitialiser le système après avoir apporté des modifications à une
configuration disque NT 4.0.
Téléchargez cette ressource

Guide Adobe Firefly, l’IA générative dédiée aux équipes créatives
Depuis plus d’une décennie, Adobe exploite l’intelligence artificielle (IA) pour proposer des solutions toujours plus performantes et innovantes aux équipes créatives. Comment le nouveau moteur d’IA générative Adobe Firefly permet-il aux entreprises de développer leurs capacités créatives et de tirer, dès à présent, tout le profit de l'IA générative ?
Les articles les plus consultés
Les plus consultés sur iTPro.fr
- La progression latérale dans les cyberattaques échappe encore à la détection !
- Panorama de la maturité cyber des entreprises françaises
- L’IA n’est pas une stratégie, elle est au service de VOTRE stratégie. Alors posez-vous donc les bonnes questions !
- Les banques subissent la concurrence des PayTechs plus agiles
- Retrouver la sérénité du foyer au bureau : une nouvelle priorité pour les salariés
