
Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 14 – 2004
Toutes les Actualités du 29 Mars au 04 Avril 2004
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Intéressez-vous à SQL
par Sharon L. Hoffman - Mis en ligne le 24/08/2004 - Publié en Septembre 2003
Et si vous ajoutiez ce langage polyvalent à votre kit de développement d'applications
IBM a dit très clairement que SQL est
destiné à faire partie intégrante de
l'environnement de développement
iSeries. Bien sûr, ce n'est pas parce
qu'IBM pense qu'il existe une meilleure
solution de développement que
les développeurs iSeries doivent forcément
acquiescer...Mais il est vrai que de
plus en plus de sites iSeries constatent
l'utilité d'ajouter SQL à leurs moyens
de développement.
Dès lors que ces sites tirent parti
de SQL, la plupart des développeurs
iSeries devront avoir quelques connaissances
de ce produit, ne fût-ce que
pour juger s'il est approprié pour leurs
applications. Une fois qu'on connaît la
syntaxe SQL de base (voir Ressources
SQL, pour plus d'informations sur les
principes fondamentaux de SQL), la
question suivante est comment utiliser
SQL dans des applications.
En effet, l'intégration de SQL dans
un environnement de développement
iSeries soulève une foule de questions
dont voici un échantillon : jusqu'à quel
point des méthodes de base de données
traditionnelles peuvent coexister
avec SQL ? Comment utiliser SQL dans
un environnement iSeries ? Comment
maintenir les descriptions de fichiers ?
Faut-il convertir le DDS existant en
SQL ? Quels LPP (licensed program
products) sont nécessaires pour créer
et utiliser SQL ? Dans les sections suivantes
nous répondons à ces questions
et explorons les différentes façons d'intégrer
SQL aux applications iSeries.
Mais voyons d'abord les avantages de
l'utilisation de SQL.

Les nouveautés de la semaine 26 – Windows 2000 et .Net – 2004
Tous les nouveaux produits du 21 au 27 Juin 2004
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Comment attribuer des ressources réseaux
par Christa Anderson - Mis en ligne le 23/06/2004 - Publié en Septembre 2003
Vos questions invitent à y regarder de plus près
Voyons comment vous
pouvez attribuer des ressources réseau
à des ordinateurs de même nom, et à
des utilisateurs d'après leurs groupes
d'appartenance...Dans les articles « Connecter les utilisateurs
aux ressources réseau » et « Se
connecter aux imprimantes », Windows
& .Net Magazine novembre 2002,
ou sur www.itpro.fr, j'expliquais comment
attribuer des imprimantes et
des partages réseau aux utilisateurs
d'après les noms d'ordinateurs et les
noms d'utilisateurs. Des lecteurs
m'ont aussitôt demandé par message
électronique s'ils pouvaient faire ce
genre d'attribution pour plus d'un utilisateur
ou ordinateur à la fois. C'est
possible, mais il ne suffit pas alors de
faire des sélections d'après les noms
individuels. Voyons comment vous
pouvez attribuer des ressources réseau
à des ordinateurs de même nom, et à
des utilisateurs d'après leurs groupes
d'appartenance.

Orientations futures : Et voici le Grid Computing
par Frank G. Soltis - Mis en ligne le 19/05/2004
On n'a pas souvent entendu un telle clameur : vous allez l'adorer ou le détester
Le grid computing fait-il partie de
votre avenir ? Au cours de ces dernières
années, on a beaucoup discuté et débattu
sur le grid computing (grille, quadrillage,
ou maillage informatique) et
son futur rôle dans les entreprises.
L'idée est qu'un jour pas tellement
lointain il existera un vaste réseau omniprésent
constitué de tous les ordinateurs,
applications, et données du
monde.monde. Internet a déjà relié la plus
grande partie du monde informatique.
Peut-être l'étape logique suivante
consiste-t-elle à utiliser Internet
comme une plate-forme informatique
distribuée.
The Grid, comme on appelle généralement
ce réseau tentaculaire, serait
capable de fournir toute la puissance
informatique dont n'importe quelle
entreprise a besoin. Au lieu de devoir
acheter et supporter leurs propres systèmes
informatiques, les sociétés
pourraient acheter simplement des
ressources informatiques illimitées auprès
d'une compagnie « utility », de la
même manière qu'elles achètent l'électricité
aujourd'hui.
Sam Palmisano, chief executive
d'IBM, a mis en émoi la communauté
iSeries à la fin de l'année dernière en
expliquant comment IBM voyait l'avenir
de l'informatique : un service de
type utility que les entreprises peuvent
acheter en fonction des besoins.
Beaucoup de professionnels iSeries
ont imaginé leur serveur bien-aimé
remplacé par une prise murale.
Rarement un modèle émergent
d'informatique a soulevé un tel tollé.
Le sujet de l'utility computing semble
avoir polarisé de nombreux membres
de cette communauté : on l'adore ou
on le hait.
Nul ne sait encore si The Grid
émergera un jour. Mais il est vrai que
les technologies grid en sont arrivées
au point où chaque constructeur informatique
important, y compris IBM, est
en train de les promouvoir. Certains
voient le grid computing et particulièrement
sous sa forme utility, comme la
réponse aux problèmes actuels de l'informatique
de gestion.
Les partisans d'un modèle utility y
voient l'extension naturelle du modèle
informatique d'aujourd'hui. La plupart des sociétés passent au e-business.
Leurs processus de gestion sont intégrés
d'un bout à l'autre de la société et
avec les principaux partenaires, fournisseurs
et clients. Le grid computing
peut contribuer au partage des ressources
comme le World Wide Web
contribue déjà au le partage de l'information.
Les partisans du modèle utilitaire
se plaisent aussi à souligner que la plupart
des sites IT ont beaucoup de mal -
et dépensent beaucoup d'argent -
pour gérer les divers systèmes acquis
pendant la dernière décennie. Pourquoi,
disent-ils, ne pas se débarrasser
de ce coût et de cette complexité et se
procurer simplement les les ressources
informatiques nécessaires auprès
d'un prestataire utility ? Après
tout, combien de sociétés produisent
leur propre électricité aujourd'hui ?
Malgré le poids de ces arguments,
beaucoup de professionnels de l'informatique
renâclent. Ils arguent que la
technologie de l'information a fourni
des avantages concurrentiels à la plupart
des entreprises. Le passage à un
modèle utility neutraliserait ou éliminerait
ces avantages. Ils ont aussi tendance
à voir les grids et l'idée de l'informatique
utility comme un désir de
retour au bon vieux temps du timesharing
des années 1960. Dans la foulée,
ils prédisent que cette forme d'informatique
de style utility échouera pour
les mêmes raisons que le timesharing.
D'où la question : comment faut-il
voir le grid et le utility computing ? Estce
le sauveur de l'informatique de gestion
que célèbrent certains, ou simplement
un autre voeu pieux de certains
constructeurs informatiques en quête
d'une plus grande part des budgets IT ?
Comme pour beaucoup de questions,
ça dépend.
Dans cet article, le deuxième d'une
série de trois qui examinent la manière
dont IBM se prépare pour la structure
IT de demain, nous analysons le rôle
du grid computing et comment il s'inscrit
dans la future stratégie de l'iSeries.
Le utility computing est une partie du
grid computing mais, comme nous le
verrons bientôt, ce n'est pas la seule.

Créer un service Web d’accès aux données sur l’iSeries
par Dean Amo - Mis en ligne le 3/04/2004
Construire un service Web d'accès aux données pour l'échange de données sur platesformes
hétérogènes
Les services Web offrent une approche
standard pour l'interaction de
système à système, en automatisant
aussi davantage de processus de gestion.
Il en résulte une grande qualité
des relations entre fournisseur et
client...Les services Web favorisent aussi
la réutilisation logique et le chaînage
des services dans des systèmes plus
grands, configurables, à un niveau
workflow.
Je montre ici comment déployer
rapidement une application de gestion
par service Web concrète, en utilisant
des outils open-source en libre disponibilité.
Mon exemple de service Web
n'est pas difficile, mais vous devez posséder
de bonnes notions de la navigation
Qshell (voir « Travailler avec des
shells sur l'iSeries », iSeries News janvier
2003 ou sur www.itpro.fr . De plus,
les utilisateurs finaux du service Web
doivent savoir comment appeler un
service Web à partir de leurs platesformes
et ils doivent connaître SQL
pour interroger leur base de données
iSeries cible par l'intermédiaire du service.
Vous pouvez télécharger le code
source à l'adresse www.itpro.fr Club
Abonnés.

Ajouter de la valeur à SMS
par Marshall Copeland - Mis en ligne le 21/04/2004
De nouveaux outils pour en faire plus avec moins de ressources
De nos jours, les managers demandent
aux administrateurs système
d'accroître la sécurité, de mieux contrôler
les clients et d'améliorer le reporting
Web...et ce avec moins de ressources
qu'auparavant. Ces précieuses
ressources peuvent être étendues en
améliorant l'infrastructure Microsoft
SMS (Systems Management Server) 2.0.
A la mi-novembre 2002, Microsoft a
présenté les deux premiers Feature
Packs SMS 2.0 d'une future série : le
Feature Pack SMS SUS (Software
Update Services) et le Feature Pack
SMS Administration. Les deux contiennent
des outils d'administration SMS,
mais l'Administration Feature Pack
offre des outils d'administration particulièrement
intéressants pour utiliser
SMS 2.0 dans des environnements multisites
distribués.
Mais avant de se plonger dans
l'Administration Feature Pack, prenons
le temps de revisiter les fonctions
actuelles de SMS. En effet, pour bien
comprendre les avantages des nouveaux
rapports Web de l'Administration
Feature Pack, il est bon d'examiner les
fonctions de reporting Web que possède
déjà SMS. Pour tirer le maximum
des autres fonctions, il faut savoir utiliser
le WMI (Windows Managament
Instrumentation) sur le client SMS
pour éditer les fichiers de sites SMS par
défaut, afin de recueillir des informations
matérielles et logicielles supplémentaires
et d'obtenir des fonctions de
reporting supplémentaires. (Pour en
savoir plus sur WMI, voir « Extend
Sms_def.mod by Using WMI Registry
Providers » à http://www.microsoft.
com/smserver/techinfo/administration/
20/using/extendeddefmod.asp.)
Vous devez aussi être capable de lire
des informations provenant de la fonction
Add/Remove Programs du client
SMS afin de pouvoir utiliser facilement
le registre Windows pour un reporting granulaire. Dans l'Administration
Feature Pack, Microsoft a ajouté beaucoup
d'informations à la base de données
SMS, offrant de nouvelles possibilités
et plus de détails pour les rapports
SMS personnalisés.

Le traitement des objets SQL
Aldon Computer Group présente la nouvelle version de son logiciel SCM (Software Configuration Management) Aldon/CMS pour iSeries.
La version 7.2 offre une nouvelle fonction qui permet à CMS de traiter des objets SQL (comme les tables, vues, indices, alias, fonctions, triggers) de la même manière dont sont traités les autres objets iSeries.
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Les nouveautés de la semaine 14 – Windows 2000 et .Net – 2004
Tous les nouveaux produits du 29 Mars au 04 Avril 2004
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Volume Shadow Copy Service
par Christopher George - Mis en ligne le 17/03/2004
Donner aux utilisateurs le pouvoir de restaurer des fichiers
VSS (Volume Shadow Copy Service)
de Microsoft n'est certes pas le fil
à couper le beurre. Mais, pour la sauvegarde
et la restauration de fichiers, il
pourrait bien venir juste après...VSS, livré
avec Windows Server 2003, crée
une copie ponctuelle des fichiers stockés
dans des dossiers de réseau partagés
- même ceux qui sont ouverts ou
verrouillés. Les applications peuvent
continuer à écrire des données dans le
volume disque pendant le processus
shadow copy, ce qui dispense d'effectuer
des sauvegardes avant ou après les
heures ouvrables. De plus, une sauvegarde
de copie volume permet aux utilisateurs
d'effectuer des restaurations
de fichiers, allégeant du même coup la
tâche de l'administrateur qui n'a plus à
intervenir pour des opérations de restauration
basiques.

Lister tous les index
par Kent Milligan - Mis en ligne le 17/03/2004
Pour analyser rapidement les problèmes de performance de la base de données
La possibilité de créer des objets
base de données avec à la fois DDS et
SQL peut rendre difficile la recherche
de tous les objets base de données associés
à une table (ou fichier physique)...C'est particulièrement vrai
pour les index sur DB2 UDB for iSeries.
Voici tous les objets qui pourraient
avoir besoin d'un index de base de
données pour être créés (ou partagés)
sur DB2 UDB for iSeries :
- Index SQL
- Fichiers logiques avec clés
- Fichiers physiques avec clés
- Clés primaires, clés étrangères et contraintes uniques
A l'heure actuelle, aucune interface iSeries ne peut à elle seule fournir la liste complète des index pour une table. La commande CL DspDbR (Display Database Relations) donne une liste de tous les index SQL et des fichiers logiques avec clés, mais elle ne fournit aucune information sur les index qui sont associés à un fichier physique avec clés ou à des contraintes de base de données. La commande DspFD (Display File Description) renvoie une liste des index associés avec contraintes et fichiers physiques avec clés, mais elle ne donne pas d'information sur les index SQL et sur les fichiers logiques avec clés. Même le composant Database Navigator d'iSeries Navigator (précédemment Operations Navigator, OpsNav) omet les index de fichiers physiques avec clés de sa représentation graphique de tous les index associés à une table.
L'utilitaire de listing des index résout ce problème en offrant une méthode unique (une procédure stockée) que l'on peut appeler pour produire une liste de tous les index pour une table particulière. Le listing des index produit cette liste en appliquant les requêtes aux vues du catalogue de base de données dans la bibliothèque QSys2 et les fichiers à référence croisée du système de base de données dans la bibliothèque QSys. En utilisant les requêtes, l'utilitaire se dispense de créer d'abord un fichier de sortie (en utilisant les commandes système) ou tout autre type de table de travail. (La source pour l'utilitaire de listing des index peut être téléchargée à l'adresse www.itpro.fr Club Abonnés). Lire l'article

Tous les nouveaux produits du 09 au 15 Février 2004
Tous les nouveaux produits du 09 au 15 Février 2004
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Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 03 – 2004
Toutes les Actualités du 12 au 18 Janvier 2004
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Les relations d’approbations entre multiples forêts
par Sean Deuby - Mis en ligne le 17/03/2004
Utilisez Windows 2003 pour établir facilement des relations d'approbation entre
des forêts
Windows 2000 permet aux sociétés
d'intégrer leurs diverses unités de gestion
dans une structure globale - la forêt
Active Directory - ce qui
n'était pas possible avec Windows NT
4.0...Beaucoup de business units qui ne
pouvaient pas coexister dans un domaine
NT 4.0 trouvent leur place dans
leurs OU (organizational units) ou domaines
AD. Mais, comme le savent tous
ceux qui ont essayé de mettre en
oeuvre une architecture à forêt unique,
il est de nombreux cas délicats pour les
business units. Parfois, les exigences
de gestion ou la politique maison vous
imposent d'implémenter une forêt séparée.
Bien souvent, les utilisateurs
dans des forêts séparées ont toujours
besoin des ressources de la forêt centrale.
Il faut donc établir une relation
d'approbation entre les domaines de la
forêt centrale et ceux des autres forêts.
Win2K utilise pratiquement le même
processus que NT 4.0 pour établir des
liens entre des domaines de forêts différentes.
Mais la nouvelle fonction relation
d'approbation entre forêts de
Windows Server 2003 facilite cette
tâche.

Partitionnement logique de l’iSeries dans l’OS/400 V5R2
par Herman Amit Dave - Mis en ligne le 17/03/2004
Exécuter de multiples charges de travail indépendantes, chacune avec ses propres
processeurs, mémoires et disques, dans un même iSeries
Au fur et à mesure que les serveurs
de classe d'entreprise sont plus performants,
il devient plus impératif de
diviser cette performance pour exécuter
de multiples charges de travail de
façon indépendante...C'est pourquoi
le partitionnement logique (LPAR, logical
partitioning) s'est rapidement
imposé comme une excellente solution
pour favoriser la consolidation
des serveurs et permettre aux utilisateurs
iSeries d'utiliser leur serveur de
manière optimale. Les partitions logiques
fragmentent un serveur en plusieurs
serveurs virtuels indépendants,
chacun équipé de son propre matériel,
système d'exploitation et environnement
applicatif.
Depuis l'introduction de LPAR sur
les serveurs AS/400, en 1998, plus de
48 % des clients i840 et i890 ont tiré
parti de cette technologie. Depuis
l'OS/400 V5R1, l'utilisation de LPAR a
augmenté sur les serveurs i820 et
i270, y compris les modèles monoprocesseurs.
Et les utilisateurs iSeries utilisent
LPAR avec beaucoup d'imagination.
J'examine ici quelques-unes des
utilisations les plus courantes de
LPAR.

Optimiser les performances d’IIS
par Geoff Gray - Mis en ligne le 11/02/2004
Voici comment contrôler les performances de votre serveur Web
Dans le monde des serveurs Internet,
les gestionnaires du Web doivent
tirer le maximum du matériel et du logiciel
dont ils disposent. Cette mission
est souvent plus difficile qu'il n'y paraît
et elle demande beaucoup de tests et
de recherches...Dans le monde des serveurs Internet,
les gestionnaires du Web doivent
tirer le maximum du matériel et du logiciel
dont ils disposent. Cette mission
est souvent plus difficile qu'il n'y paraît
et elle demande beaucoup de tests et
de recherches. Plongeons sous la surface
de ce sujet vaste et confus, afin de
dresser un plan d'optimisation de
votre site Web.

Les nouveautés de la semaine 03 – Windows 2000 & .Net – 2003
Tous les nouveaux produits du 12 au 18 Janvier 2004
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Tirer parti des erreurs SQL définies par l’utilisateur
par Jarek Miszczyk - Mis en ligne le 26/11/2003
En V5R1, DB2 UDB permet de traiter les erreurs définies par l'utilisateur dans
différents types de procédures stockées
Les erreurs définies par l'utilisateur
sont certaines conditions qu'un développeur
peut définir en tant qu'erreurs
dans la logique de gestion d'une application.
Comme, par exemple, une règle
de gestion stipulant que la rémunération
d'un employé ne peut pas dépasser
celle de son supérieur...
Les erreurs définies par l'utilisateur
sont certaines conditions qu'un développeur
peut définir en tant qu'erreurs
dans la logique de gestion d'une application.
Comme, par exemple, une règle
de gestion stipulant que la rémunération
d'un employé ne peut pas dépasser
celle de son supérieur. La routine de la
base de données, comme une procédure
stockée, qui sert à modifier la rémunération,
doit s'assurer que la nouvelle
valeur respecte cette règle. Si tel
n'est pas le cas, la routine signale une
erreur au processus appelant pour l'informer
de cette transgression.
En V5R1, DB2 Universal Database
for iSeries (DB2 UDB) permet de traiter
des erreurs définies par l'utilisateur
survenant dans des procédures stockées
et d'autres routines de bases de
données, afin que les états et messages
SQL définis par l'utilisateur soient renvoyés
à l'application client.
En adoptant une approche homogène
vis-à -vis des erreurs définies par
l'utilisateur, à utiliser sur les divers
types de procédures stockées, on peut
isoler complètement l'application
client des détails d'implémentation de
la procédure stockée. On peut, par
exemple, réécrire une procédure stockée
RPG existante en SQL ou Java, sans
implications envers le code client.
Cette technique est aussi beaucoup
plus fiable que d'utiliser les paramètres
de sortie pour le signalement des erreurs,
parce que DB2 UDB risque de
ne pas signaler les valeurs des paramètres
de sortie quand une erreur (définie
par l'utilisateur ou système) est
rencontrée pendant l'exécution d'une
procédure.
J'explique ici les techniques de coding
qui permettent d'appliquer les erreurs
définies par l'utilisateur dans différents
types de procédures stockées.

Les nouveautés de la semaine 12 – Windows 2000 et .Net – 2004
Tous les nouveaux produits du 15 au 21 Mars 2004
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