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Windows et les évolutions d’interface

Windows et les évolutions d’interface

Comment Microsoft décide-t-il de l'opportunité des changements de comportement de l'interface de ses produits ? L'éditeur affirme rechercher une facilité d'utilisation accrue. On peut parfois douter du bon sens de Microsoft. Un certain nombre de modifications de l'interface utilisateur ont commencé à  faire leur apparition dès les premières versions de Microsoft Internet Explorer 4.0, avec un nouveau comportement installé par défaut : la commande d'action par clic de souris unique. Les versions béta ultérieures et la version finale d'IE 4.0 le proposaient en option, mais retournaient, par défaut, au double clic antérieur.
La principale explication de cette modification de l'interface et du comportement des produits Windows au cours de leurs derniers stades d'évolution, serait, à  en croire Microsoft, la facilité d'utilisation. L'éditeur affirme que, selon des tests approfondis, les changements apportés à  Windows NT 4.0 et Windows 9x facilitent l'apprentissage et l'utilisation des produits.
Certes, ces changements ont sans doute amélioré l'" utilisabilité " de Windows, mais beaucoup de modifications d'interface paraissent tout à  fait gratuites. Y avait-il beaucoup d'utilisateurs tambourinant à  la porte de Microsoft en réclamant des couleurs dégradées pour les barres de titre et la possibilité, pour les menus, de s'étendre et de se contracter, au lieu d'apparaître simplement ?

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Générer automatiquement des rapports de déploiement

Générer automatiquement des rapports de déploiement

De nombreuses grandes entreprises passent beaucoup de temps à  écrire des scripts et programmes pour générer automatiquement des rapports sur leurs bases de données. Certaines écrivent leurs programmes en Visual Basic ou Visual C++ ; certaines utilisent des applications comme Excel, Access ou Visual Basic for Applications ; et les autres utilisent d'autres méthodes. Avec Active Directory, les choses changent. Avec l'arrivée de Windows 2000 et d'Active Directory, il peut devenir intéressant d'apprendre comment utiliser de simples scripts pour utiliser Excel 2000 en mode automatique afin qu'il génère des rapports. Ces scripts peuvent en effet désormais bénéficier d'ADSI (Active Directory Services Interface) pour interroger AD. L'exemple qui suit devrait vous en faire prendre conscience.
Imaginons une entreprise dans laquelle un utilisateur désire installer Windows 2000 sur un client. L'utilisateur doit utiliser un système maison avec un frontal Web pour créer le compte machine du client. L'utilisateur devra entrer son profil et les détails de la machine. Les neuf détails de la machine sont : l'adresse MAC (Media Access Control) de la carte réseau ; le nom de l'installateur de la machine ; le département, le bâtiment, l'étage et le bureau ; et le nom, numéro de téléphone et l'adresse e-mail de la personne qui connaît le mot de passe d'administrateur de la machine. L'utilisateur peut également spécifier un nom qu'il souhaite utiliser pour la machine. Lorsque l'utilisateur envoie le formulaire Web, le système lance une série de procédures de vérifications contrôlant les détails de l'utilisateur et de la machine. Ensuite, le système affecte un nom à  la machine. Le système peut accepter le nom fournit par l'utilisateur, si tel est le cas, ou il peut en créer un. Ensuite, le système Web renvoie le nom résultant à  l'utilisateur et lui demande s'il accepte ce nom. Si le nom est accepté par l'utilisateur, le système Web crée un objet de compte utilisateur dans AD. Si l'utilisateur n'accepte pas le nom, le formulaire réapparaît avec les données d'origine inchangées et un processus de négociation s'engage, le système suggérant une liste de noms ou l'utilisateur en proposant.
L'ensemble du processus de la saisie des données à  la réception et l'accord sur le nom ne prend que quelques instants. Une fois ce processus effectué, l'utilisateur peut utiliser le compte d'ordinateur créé dans AD pour installer Windows 2000 sur le client. Le système Web fournit très facilement les 9 détails de la machine comme données pour les neuf attributs étendus du compte de l'ordinateur dans AD. On peut utiliser un script tel que celui du listing 1 pour afficher les attributs du système dans la boîte de message de l'écran 1.

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Windows NT et VMS : de proches cousins

Windows NT et VMS : de proches cousins

Lors du lancement de la première version de Windows NT par Microsoft, en avril 1993, Microsoft a lourdement insisté sur le sigle " NT " (pour Nouvelle Technologie) du nom de l'OS. L'éditeur a présenté NT comme un système d'exploitation très en pointe, offrant toutes les caractéristiques que pouvaient attendre les utilisateurs d'un OS destiné aux stations de travail et aux serveurs de petite ou de moyenne taille. Windows NT était certes un nouveau système d'exploitation en 1993, avec une nouvelle API (Win32) et de nouveaux outils d'administration, mais les racines de l'architecture de base et l'implémentation de Windows NT remontent en fait au milieu des années soixante-dix. Partir à  la découverte des racines profondes de Windows NT mène rapidement à  Digital et à  son système d'exploitation VMS. Les principaux développeurs de Windows NT, dont son architecte en chef David Cutler, sont pour la plupart issus de Digital et leur passé a nettement joué sur le développement de l'OS. Après une rapide évocation de l'histoire de Windows NT, nous verrons les similitudes, loin d'être de pures coïncidences, entre Windows NT et VMS, ainsi que la réaction de Digital lors de la sortie du nouvel OS.

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Métadonnées : le trésor caché de la base de données AS/400

Métadonnées : le trésor caché de la base de données AS/400

Voici comment extraire les informations de votre base de données AS/400 et à  les utiliser dans vos applications Les entrailles de l'AS/400 contiennent une mine d'informations sur chaque fichier présent dans le système. En utilisant ces informations (appelées métadonnées) on peut découvrir le contenu détaillé de ces fichiers base de données. Les métadonnées sont "des données décrivant des données" : elles décrivent une base de données depuis ses noms de fichiers jusqu'aux codes de modification des champs numériques. Aussi ésotériques que puissent paraître les métadonnées, on compte sur elles chaque jour sans s'en rendre compte. Ainsi, le compilateur RPG IV utilise des métadonnées pour lier les fichiers décrits en externe aux programmes. Et la commande WRKQRY (Work with Queries) et le programme SQL interactif affichent des métadonnées qui serviront à  construire des requêtes. Les métadonnées sont indispensables aux utilitaires d'analyse d'impact sur les bases de données et de traitement de fichiers. De plus, leur compréhension permet d'écrire des applications de bases de données souples en Java. Voyons de plus près comment découvrir ce trésor caché, de quelles métadonnées dispose l'AS/400 et comment les utiliser efficacement.

Voyons de quelles métadonnées dispose l'AS/400 et comment les utiliser efficacement

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Sécuriser et partager les données dans les environnements mixtes NT/Unix.

Sécuriser et partager les données dans les environnements mixtes NT/Unix.

Avec la popularité grandissante de Windows NT, la coexistence avec Unix devient quasi systématique, même parmi les entreprises ayant fait le choix d'Unix. Un problème majeur demeure : le partage des données que les deux systèmes d'exploitation gèrent très différemment. Supposons que vous soyez administrateur système Unix dans une grande entreprise et que votre direction informatique décide de standardiser tous les postes de travail clients du réseau sous Windows NT Workstation 4.0. Naturellement les nouveaux utilisateurs de NT vont devoir accéder à  leurs fichiers Unix à  partir du nouveau système NT. Quels sont les options à  votre disposition pour résoudre ce problème pour un coût raisonnable ? Les options sont malheureusement très limitées. Unix et NT sont issus de deux origines distinctes et comme leurs contextes sont différents, chacun des deux systèmes d'exploitation a sa propre logique pour stocker et partager les fichiers.Mais tout n'est pas si noir.
En raison de la popularité grandissante de NT dans les entreprises, plusieurs méthodes ont vu le jour pour faciliter le partage des fichiers entre NT et Unix. Elles permettent de mettre en place un accès non interactif, au moyen de programmes Microsoft comme FTP ou HyperTerminal, ou l'accès interactif, grâce à  des outils faisant appel au standard CIFS ou au protocole de transmission NFS.

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Migrer de Domino R4 en R5

Migrer de Domino R4 en R5

par Ben Malekzadeh
Bien que Lotus Domino Version 5 (R5) soit disponible depuis un an environ, de nombreux sites Domino n'envisagent que maintenant de faire une mise à  niveau Une fois le cap de l'an 2000 passé, votre entreprise souhaite peut-être migrer en R5 pour bénéficier des nombreuses nouvelles fonctionnalités de cette version, ou pour résoudre des problèmes qui empoisonnent depuis longtemps les anciennes versions Domino. Peut-être aussi pour profiter des améliorations de la R5 en matière de Web.

En tout cas, il faut une raison valable : pas question de consacrer énormément de temps, d'effort et d'argent à  une migration qui ne serait pas absolument nécessaire. Etudiez vos besoins et analysez soigneusement les coûts avant d'entamer une migration R5.
Je propose ici quelques conseils pour passer en douceur de la R4 à  la R5, en insistant tout particulièrement sur la manière de préparer l'infrastructure Domino existante avant de recevoir la R5. Ces conseils valent pour toute plate-forme Domino, y compris Domino pour AS/400.

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Instaurer des stratégies système NT

Instaurer des stratégies système NT

Beaucoup d'appels au help desk proviennent d'utilisateurs essayant de configurer leurs systèmes. Pour tenter d'éviter ces appels, vous pouvez limiter les possibilités des utilisateurs de modifier leur configuration. En fixant des limites aux modifications que les utilisateurs peuvent apporter à  la configuration de leur PC, vous pouvez éviter bien des interventions et renforcer la sécurité de votre réseau. Vous pourriez même obtenir des gains de productivité importants si vos utilisateurs ne peuvent exécuter que certains programmes. Autant de bonnes raisons de jeter un coup d'oeil aux stratégies système de Windows NT et à  l'outil qui sert à  les créer : l'Editeur de stratégies système (ESS). Sachez qu'il est possible de profiter aussi de stratégies semblables pour vos clients Windows 9.x.

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Naviguer dans la résolution de noms 2ème Partie

Naviguer dans la résolution de noms 2ème Partie

Même les administrateurs Windows NT les plus chevronnés ne maîtrisent pas parfaitement le processus de résolution des noms des réseaux Windows. On ne saurait le leur reprocher. Qui pourrait s'y retrouver dans ce monde truffé de standards de serveurs de noms, d'ordres de résolution de clients modifiables, de serveurs WINS auto-destructeurs, de service packs et de correctifs modifiant la résolution des noms et d'une avalanche d'articles Microsoft contradictoires. Le seul espoir si l'on veut maîtriser la résolution de noms Windows est de comprendre la méthodologie sous-jacente pour pouvoir régler les problèmes lorsqu'ils surviennent sur un réseau. (Dans l'article " Naviguer dans la résolution de noms, Partie 1 " de septembre 2000, nous avons vu les bases de la résolution des noms, décrit les causes cachées et les malentendus communs liés à  la résolution des noms et proposé un certain nombre de solutions pour des situations spécifiques). J'ai trouvé quelques solutions pour atténuer les malheurs de la résolution des noms.

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Contrôlez vos services d’annuaire avec un proxy LDAP

Contrôlez vos services d’annuaire avec un proxy LDAP

Ces dernières années les services d'annuaire ont vu leur cote monter dans les entreprises. Le succès grandissant de Novell avec Novell Directory Services (NDS) et le lancement par Microsoft d'Active Directory (AD) ont été des raisons suffisantes pour décider un grand nombre d'entreprises à  explorer le potentiel des services d'annuaire dans leurs environnements. L'interface proxy LDAP (Lightweight Directory Access Protocol) séduit les entreprises en leur offrant un large éventail d'informations d'identité grâce à  une réplique virtuelle, sans la consommation de CPU impliquée par une duplication des données et la propagation des changements à  travers un réseau.

En 1995 LDAPv2 a inauguré un protocole d'accès d'annuaire standard et, en 1997, LDAPv3 a étendu le protocole en lui ajoutant plusieurs fonctions.

Pour tout savoir sur LDAP, voir les RFC (Request for Comments) 1 777, pour LDAPv2, et 2 251, pour LDAPv3, de l'IETF à  l'adresse http://www.ietf.org/rfc.html

Les éditeurs ont immédiatement commencé à  développer des produits LDAP. Il faut cependant examiner soigneusement les déclarations des éditeurs affirmant la compatibilité de leurs produits avec LDAP. Pour être LDAP, un produit doit pouvoir consulter des données d'applications via LDAP.

Par exemple, Microsoft a permis la consultation d'Exchange Server au moyen de LDAP. Dans d'autres produits compatibles LDAP, les éditeurs s'appuient sur un annuaire LDAP disponible pour stocker des données sur les utilisateurs, leurs profils et des informations de configuration.

Par exemple, les produits SiteMinder de Netegrity et FireWall-1 de Check Point Software Technologies utilisent soit des services d'annuaires propriétaires, soit un service d'annuaire d'éditeur tiers, comme Netscape Directory Server, pour stocker des informations sur les utilisateurs et les stratégies. Les éditeurs n'ont aucun mal à  fournir la fonction d'interrogation LDAP pour rendre leurs produits compatibles.
Pour un produit maintenant une base de données d'utilisateurs ou un annuaire interne, il ne faut que quelques efforts de développement pour permettre la consultation de la base de données ou de l'annuaire via LDAP. En revanche l'utilisation d'annuaires LDAP est plus difficile car les produits LDAP comptent sur une entreprise pour avoir un annuaire supportant les besoins spécifiques des applications.
La fonctionnalité LDAP rend aussi plus difficile le support entre produits.
Lorsque AD aura acquis une position de force et offrira un niveau de service garanti et des informations sur lesquelles les autres applications pourront s'appuyer, on assistera probablement à  une forte reprise de l'activité LDAP.

Actuellement, trois éditeurs proposent des serveurs proxy LDAP autonomes : Innosoft International, avec ILPS (Innosoft LDAP Proxy Server), MaXware Benelux avec MLPS (MaXware LDAP Proxy Server) et NEXOR avec DBA (Directory Boundary Agent). Cet article porte plus spécialement sur une mise en oeuvre spécifique de l'annuaire virtuel (également baptisée broker ou courtier d'annuaire) considérée comme un service intermédiaire (proxy) LDAP.
La médiation LDAP peut aider à  garder le contrôle lorsqu'il s'agit d'accorder l'accès à  plusieurs ressources compatibles LDAP, en l'absence de solution de métaannuaire intégrale ou d'une maîtrise totale des ressources compatibles LDAP, dont il faut autoriser l'accès.
Nous allons examiner les services proxy LDAP liés aux services d'annuaire, un certain nombre de serveurs proxy LDAP disponibles, ainsi que les limites et les avantages de l'utilisation d'un proxy LDAP. Je donnerai également quelques conseils sur l'opportunité d'une implémentation de services proxy.

Un proxy LDAP est un médiateur entre un client LDAP et une ou plusieurs ressources compatibles LDAP, généralement des serveurs

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Un stockage sans limites

Un stockage sans limites

Parmi les changements les plus subtils - et néanmoins des plus significatifs - introduits par Microsoft dans Windows 2000 il faut citer NTFS. Bien qu'identique à lui-même en apparence, NTFS bénéficie en réalité de nouvelles fonctions qui donnent aux administrateurs de plus grandes capacités pour gérer le stockage sur les réseaux d'entreprise.Windows 2000 Magazine a déjà largement traité ces capacités, notamment le chiffrement, la journalisation et l'utilisation des points d'analyse. Bien qu'ils n'aient l'air de rien, ces points d'analyse (ou reparse points) activent l'une des fonctions les plus avancées du stockage en réseau - le stockage hiérarchique. L'utilisation du stockage hiérarchique permet d'avoir - théoriquement - un espace de stockage illimité disponible à tout moment pour un système donné. Grâce à Microsoft cette technologie est à présent très facile à installer et à administrer.

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Les 4 outils freeware indispensables

Les 4 outils freeware indispensables

Personne n'apprécie de se voir offrir quelque chose pour découvrir ensuite qu'il y a un loup. Dans la jungle des logiciels gratuits, de nombreux pièges attendent le téléchargeur innocent. Au début, tout va bien et il semble que le fournisseur donne tout gratuitement. Par la suite, on se rend souvent compte que l'on a affaire en réalité à  une version de démo, un shareware ou, plus dangereux, du « snareware » ou « Spamware » - des programmes qui infiltrent votre carnet d'adresse ou votre messagerie. Si l'on sait où chercher, il est possible de découvrir une poignée d'utilitaires gratuits pour Windows NT qui faciliteront votre travail et vous permettront de résoudre des problèmes courants. N'en attendez pas de miracles cependant et soyez conscient qu'il est difficile de trouver des produits freeware déployables sur un réseau. Après une période échevelée de chasse sur le net, de téléchargement et de test de freeware, voici ma liste d'utilitaires gratuits les plus utiles pour la plate-forme Windows NT.

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Le service d’équilibrage des charges de Windows NT

Le service d’équilibrage des charges de Windows NT

Les sites Web reposant sur des applications sophistiquées sont confrontés à  deux problèmes principaux : la fiabilité et la montée en charge. Les utilisateurs ont besoin d'un accès fiable aux applications Web, y compris celles de l'intranet de leur entreprise. L'augmentation du trafic à  la fois sur les sites Internet et intranet est venue renforcer le problème de la capacité des applications à  croître : le trafic d'un site Web peut passer de 1.000 à  80.000 hits par jour. L'utilisation d'un seul serveur pour garantir la fiabilité est problématique, car en cas d'arrêt du serveur, les applications s'arrêtent également.

De plus un serveur unique offre un potentiel limité de montée en charge.Les premières solutions mises en place par les webmestres et les administrateurs systèmes pour accroître la fiabilité et l'évolutivité faisaient appel à  des périphériques matériels comme le routeur DNS. Celui-ci distribuait aléatoirement, " à  tour de rôle " les requêtes aux différents serveurs du réseau pour équilibrer la charge.

Cette méthode fonctionnait bien avec les premiers sites HTML et même avec certains sites hébergeant avec les premières applications Web. Mais l'arrivée d'applications Web dotées de fonctions plus sophistiquées, telles que le support de session Internet Information Server, qui stocke des informations sur le serveur entre les sessions d'un utilisateur, a mis à  mal la solution du routeur. Ce dernier est en effet incapable d'assurer l'équilibrage des charges nécessaire aux applications Web modernes.

Pour résoudre les problèmes de fiabilité et de montée en charge, les éditeurs ont développé des logiciels comme Convoy Cluster Software de Valence Research pour les serveurs NT. Fin 1998, Microsoft a acquis Valence Research et l'a rebaptisé Windows NT Load Balancing Service (WLBS) 2.2. WLBS est fourni gratuitement aux utilisateurs de l'édition Entreprise de Windows NT Server 4.0. (Pour l'obtenir, allez à  http://www.microsoft.com/ntserver/all/downloads.asp#windowsntserverfeatures).

Fin 1998, Microsoft a acquis Valence Research et l'a rebaptisé Windows NT Load Balancing Service


WLBS tourne également sur la version normale de Windows NT Server 4.0, mais il n'est pas intégré à  la licence de cette version. En revanche, lorsque vous passerez à  Windows 2000, sachez que WLBS ne fonctionnera que sur Windows 2000 Advanced Server et Windows 2000 Datacenter Server. Pour se servir de WLBS, il faut donc disposer de la bonne version et de la bonne licence de Windows NT, sans oublier d'adopter la bonne version de Windows 2000.

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Les outils d’administration à  distance du Kit de ressources

Les outils d’administration à  distance du Kit de ressources

Les administrateurs système n'ont guère le temps de visiter chaque machine d'un réseau. Ils ont donc besoin d'outils d'administration de Windows NT Server 4.0, capables d'exécuter des scripts complexes simultanément sur plusieurs ordinateurs distants. Certains administrateurs considèrent les progiciels de contrôle à  distance, comme pcAnywhere de Symantec ou Timbuktu Pro de Netopia comme des solutions satisfaisantes. Ces applications de contrôle à  distance conviennent particulièrement bien pour prendre le contrôle d'un PC, permettre l'interaction bi-univoque pour guider un utilisateur dans une tâche compliquée, accomplir une configuration isolée ou régler des problèmes avec des taches impossibles à  accomplir à  distance par le biais de scripts.

Mais ce que je me propose, c'est d'effectuer simultanément chaque tâche administrative sur plusieurs machines simultanément à  partir de l'invite de commande dans un environnement scripté. Pour cela, j'utilise les outils d'administration à  distance du Kit de ressources de Microsoft Windows NT Server 4.0, y compris le Supplément 4. Pour tous les lecteurs qui veulent en faire autant, j'ai dressé la liste des outils que je trouve les plus utiles dans mes tâches administratives quotidiennes.

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Microsoft Site Server 3,0 édition Commerce électronique

Microsoft Site Server 3,0 édition Commerce électronique

L'édition Commerce électronique de Microsoft Site Server 3.0 simplifie la création d'une vitrine Internet en fournissant aux développeurs un ensemble d'outils et de possibilités, comme, par exemple, des boutiques types pour servir de modèles. Pour plus de personnalisation ou l'intégration à  l'existant, des modèles peuvent être modifiés ou créés de toute pièce. Microsoft Site Server édition Commerce électronique (SSCE) permet de presque tout faire très facilement. Ses assistants peuvent générer votre site vitrine à  partir de zéro avec des mécanismes de base pour récolter des informations sur les acheteurs et les commandes, le stockage dans des bases de données et le traitement des commandes. SSCE comprend des outils intégrés de publicité et de promotion et des outils d'administration des vitrines.

Ces outils, combinés à  des snap-in d'éditeurs tiers - calcul des taxes, coûts d'expédition, paiement - facilitent la création d'une vitrine de base et le démarrage d'une activité commerciale.Mais, pour comprendre SSCE et s'en servir pour créer une solution plus sophistiquée s'intégrant aux systèmes et aux bases de données de l'entreprise, il faut se retrousser ses manches et jeter un coup d'oeil sous le capot. A y regarder de plus près, on découvre que SSCE contient plusieurs technologies et structures essentielles : pages actives ASP (Active Server Pages), objets COM et pipeline de traitement des commandes.

La plupart des pages d'un site Web SSCE sont des ASP côté serveur, contenant un script qui manipule un jeu d'objets COM fourni par Microsoft avec SSCE. Le logiciel les utilise pour recueillir des informations sur l'acheteur, extraire et enregistrer des données dans la base de données sous-jacente et traiter la commande du client grâce à  un pipeline de traitement de commande (OPP pour Order Processing Pipeline).

Les pipelines de traitement de commandes suivent les mêmes étapes que la caissière d'un magasin

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Comment se faire payer on-line

Comment se faire payer on-line

Les options de paiement électronique se multiplient : faites votre choix avec précaution. Que votre entreprise soit traditionnelle ou un commerce on-line, les clients doivent vous payer vos produits et services. Une entreprise traditionnelle se sentira probablement plus à  l'aise en recevant des espèces et des chèques.

Toutefois, bien que l'argent liquide soit en principe une valeur sûre, un chèque est moins sûr.

En effet, même après avoir réceptionné un chèque, on ne peut pas encore être certain de l'encaisser. Ce n'est que quelques jours plus tard, lorsque la banque encaissera le chèque que l'on a déposé que l'on peut être sûr d'avoir été payé.

Le paiement par le biais de certaines transactions financières électroniques offre plus de garanties.

De plus, pour les entreprises on-line, être capable de gérer les modes de paiement électroniques est une nécessité Les banques préfèrent les transactions électroniques car elles sont plus efficaces et moins chères à  gérer. Avec l'EDI, par exemple, une entreprise cliente peut envoyer un ordre de paiement à  sa banque afin que celle-ci transfère des fonds à  la banque du fournisseur électroniquement. La banque réceptrice notifie le fournisseur de la date et du montant du transfert à  l'avance, de sorte que l'entreprise puisse organiser et planifier sa trésorerie.

Cependant, nous devons désormais faire face à  un nouveau défi : les informations concernant les ordres de paiement et de versement circulent sur l'Internet.
Quelles sont les possibilités de paiement que les consommateurs et les entreprises peuvent utiliser sur le Web, et quels sont leurs degrés de fiabilité ?
Les banques prévoient deux types de paiement pour les transactions de commerce électronique : des mécanismes de paiement en temps réel (porte-monnaie électroniques, cartes à  puce) et des mécanismes de paiement différés (chèques électroniques, cartes de paiement, cartes de crédit).

La moitié des différends et fraudes liés à  l'usage des cartes de crédit concernent des transactions on-line, qui ne représentent que 2% des volumes

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NAS ou SAN, que choisir ?

NAS ou SAN, que choisir ?

La consolidation du stockage d'entreprise a le vent en poupe, parce qu'elle accroît l'efficacité, diminue la redondance et simplifie la gestion. Qui n'a pas entendu parler de l'importance du stockage pour les entreprises et de ces deux technologies de stockage dont on parle tant en ce moment : le NAS (Network Attached Storage) et le SAN (Storage Area Network).Les périphériques NAS sont des dispositifs de stockage - de gros serveurs spécialisés que l'on connecte au réseau - qui n'exécutent qu'une tâche et fonctionnent très bien : ils livrent très rapidement les fichiers. La capacité des grands dispositifs NAS est de l'ordre du téraoctet. Les SAN sont, quant à eux, des réseaux multiserveur, multistockage pouvant dépasser les 400 To. Un SAN sert de réseau secondaire à un LAN. Chaque serveur devant accéder au SAN est relié au LAN par une connexion fibre channel. Ce réseau secondaire soulage le réseau principal des charges massives de transfert des données, puisque le trafic de sauvegarde a lieu entre périphériques de stockage à l'intérieur du SAN. Les dispositifs NAS et les SAN ont des fonctions nettement différentes. Le premier peut effectuer certaines fonctions qu'un SAN ne peut pas effectuer et un SAN offre l'évolutivité. Examinons les technologies du NAS et du SAN et les scénarios dans lesquels l'une est préférable à l'autre.

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Office 2000 : le bon et le moins bon

Office 2000 : le bon et le moins bon

Les statistiques peuvent parfois changer la vision que l'on a de l'importance des applications bureautiques. On pense parfois que les entreprises stockent la majorité de leurs données dans des solutions ERP telles que SAP R/3, des produits de groupware ou de messagerie tels que Lotus Notes et Exchange, ou des bases de données. Il est peut-être temps de revoir vos certitudes…Au cours d'un récent séminaire technologique, Microsoft a cité une étude portant sur un échantillon de grandes entreprises du classement Fortune 1000. Selon cette étude, ces entreprises stockent 80 % de leurs données dans des documents Office. Ces statistiques expliquent pourquoi Office demeure la principale source de revenus de Microsoft. L'importance pour Microsoft, de préserver sa poule aux oeufs d'or, associée aux demandes, émanant des directions informatiques et des utilisateurs, de fonctions plus performantes ou conviviales sont les ingrédients du succès d'Office 2000. Grâce au blitz marketing international de Microsoft et à  la couverture importante des médias, vous ne pouvez ignorer l'existence d'Office 2000. En revanche, vous vous interrogez peut-être sur ce que le produit pourrait vous apporter, comment la nouvelle version pourrait impacter votre réseau et vos utilisateurs, et quels nouveaux outils ont été ajoutés par Microsoft pour améliorer les déploiements et l'administration.

Je ne vais pas vous ennuyer avec une fastidieuse description de toutes les améliorations, fonction par fonction, de la nouvelle release. (Reportez-vous au guide publié par Microsoft à  l'adresse http://www.microsoft.com/office). Cet article analyse de façon objective la suite de produits afin de vous permettre de déterminer si la migration (ou l'upgrade) vers Office 2000 en vaut la peine et l'investissement pour votre entreprise.

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Comprendre les licences d’accès client

Comprendre les licences d’accès client

La comptabilisation des licences Microsoft ressemble à  bien des égards à  la comptabilité " légale " des entreprises : si vos calculs sont faux, vous pouvez perdre beaucoup d'argent, il existe beaucoup de règles à  connaître et la procédure à  suivre est complexe. En fait, à  bien y réfléchir, la comptabilité est probablement plus facile. Windows NT 3.1 coûtait un prix forfaitaire de 1.500 $ et permettait de connecter autant d'utilisateurs que l'on voulait à  un Windows NT Advanced Server (NTAS). Cette politique était avantageuse par rapport à  celle de Novell, alors dominant, car Novell faisait payer NetWare plus cher aux grandes entreprises qu'aux petites. NTAS, au contraire, coûtait le même prix qu'il y ait 5 ou 1000 utilisateurs connectés au serveur.Microsoft a tout changé dans NT 3.5 en ajoutant la notion de licence d'accès client, également baptisée CAL.
Il fallait acheter le logiciel serveur, qui coûtait environ 700 $, et des CAL pour connecter les utilisateurs au serveur. Le tarif des CAL était de 40 $, mais Microsoft proposait des CAL à  moitié prix aux entreprises qui migraient de Novell à  NT, à  celles qui faisaient un upgrade de LAN Manager et à  d'autres encore. Les migrations de NT 3.5 à  NT 3.51 ne nécessitaient pas l'achat de nouvelles CAL. En revanche, la mise à  jour vers NT 4.0 obligeait à  mettre à  jour chaque CAL NT 3.x vers une CAL NT 4.0 pour environ 20 $ chacune.
Lorsque vous passerez de votre version actuelle à  Windows 2000 (Win2K), vous devrez probablement acheter un autre jeu de CAL ou mettre à  jour vos licences.Le détail des licences jette le trouble chez beaucoup d'utilisateurs. Si vous vous faites prendre avec un nombre de CAL insuffisant, vous risquez de vous attirer des histoires. Nous allons donc jeter un coup de projecteur sur le fonctionnement des CAL.

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Déployer Windows 2000 à  distance

Déployer Windows 2000 à  distance

Pourquoi passer tout ce temps à  installer un nouveau système d'exploitation, quand les Services d'installation à  distance RIS de Windows 2000 Server sont là  pour simplifier la tâche ? En partenariat avec Active Directory (AD), DHCP et DNS, RIS (Remote Installation Services) évite de se déplacer jusqu'à  chaque poste de travail pour installer Windows 2000 Professional. Les services RIS sont faciles à  installer, mais nécessitent une infrastructure AD, DHCP et DNS bien conçue pour fonctionner correctement. Avec des services RIS correctement configurés, les utilisateurs n'ont à  donner, dès leur première connexion, que leur nom d'utilisateur, leur mot de passe et le nom du domaine et RIS installe Windows 2000 Professional. Une fois que vous saurez comment installer et configurer ce nouvel outil, vous serez capables de le mettre en oeuvre avec succès.

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La Business Inteligence bouge

La Business Inteligence bouge

1999 serait-elle l'année du passage de la Business Intelligence (BI) sur AS/400 à  la maturité ? Certains signes vont clairement dans ce sens. Dans le dernier éditorial de NEWSMAGAZINE, j'appelais de mes voeux le soutien stratégique et commercial d'IBM à  une informatique décisionnelle AS/400 désormais crédible, fiable, performante, “ scalable ”, économiquement viable, alors même que Big Blue n'a pas d'offre spécifique dans ce domaine. Ceci afin notamment de “ booster ” les ventes.

Aurais-je déjà  été entendu ? Je doute que NEWSMAGAZINE soit très lu à  Rochester et à  Somers. Même si je sais que certains IBMers américains francophones nous ont parfois fait l'honneur et le plaisir non seulement de nous lire, mais même de tapisser les murs de l'usine de reproductions de NEWSMAGAZINE, cela reste hélas très anecdotique.

NEWSMAGAZINE et la France en général n'ont pas encore le pouvoir d'influencer les décisions de Rochester. Mais il en va tout autrement des éditeurs du domaine de la Business Intelligence, dont certains, comme Coglin Mill ou ShowCase, ont une grande proximité géographique - pour ne pas dire une promiscuité - avec les labs.
Les deux éditeurs cités “ habitent ” en effet Rochester Minnesota ; s'agissant de ShowCase, il leur suffit même de traverser la rue pour se trouver dans les bâtiments bleus du lab de Big Blue. Ca peut aider à  influer les développements, tant hardware que software d'ailleurs : la récente apparition de la virgule flottante dans les types de données AS/400 est par exemple, comme nous l'explique Ken Holec, Président et CEO de ShowCase, en grande partie liée aux besoins de la BI.

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