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Centraliser l’administration avec les stratégies de groupe

Centraliser l’administration avec les stratégies de groupe

Les stratégies de groupe, ou group policies, sont la nouvelle fonction de Windows 2000 que je préfère. Elles permettent une chose qui n'existait pas dans Windows NT : le contrôle centralisé, mais granulaire, des ordinateurs des utilisateurs. On pourrait en quelque sorte comparer les stratégies de groupe à  des stratégies système NT 4.0 qui seraient arrivées à  maturité. Les Group Policy Objects (GPO), ou Objets de stratégie de groupe, sont des objets Active Directory (AD) permettant une configuration centralisée des ordinateurs et des serveurs Windows 2000. Les fonctionnalités des stratégies de groupe englobent tout, du verrouillage des PC à  la mode NT 4.0 jusqu'à  la configuration de la sécurité et l'installation des logiciels.Cet article explique comment fonctionnent les stratégies de groupe, ce qui se passe à  l'intérieur du système et comment traiter un certain nombre de défis à  relever, avant de procéder au déploiement de cette technologie dans un environnement Windows 2000. Sachez enfin que pour bien comprendre la stratégie de groupe, il vaut mieux connaître le mode de fonctionnement des stratégies système de NT 4.0.

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Le blues du double boot

Le blues du double boot

Lorsque Steve Balmer, Président de Microsoft, a annoncé la disponibilité de Windows 2000 Professional, il a qualifié l'OS de "meilleur système d'exploitation pour les utilisateurs d'entreprise", point ! A bien des égards, cette assertion est vraie, mais l'OS n'est pas entièrement compatible avec les matériels et logiciels pour Windows 9x. Le double boot est donc souvent une nécessité.J'attends toujours un driver de scanner/fax afin de pouvoir exploiter mon imprimante HP OfficeJet 710 sous Windows 2000 et j'utilise des logiciels de simulation de vol qui ne tournent pas sous Windows 2000. Je ne peux donc pas supprimer Windows 98, quelle que soit mon envie de le faire et, à  en juger par le courrier que je reçois, je ne suis pas le seul dans ce cas. Il est donc plus que possible que vous souhaitiez savoir comment créer un environnement à  double initialisation qui permette de passer de Windows 2000 à  Windows 98.

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Comment intégrer Windows NT dans un environnement Unix

Comment intégrer Windows NT dans un environnement Unix

Les serveurs Windows NT empiètent de plus en plus sur les environnements UNIX. Or, ni l'un ni l'autre des deux OS ne convient à  toutes les situations. Les tenants de Windows NT et d'UNIX préfèrent généralement que les réseaux se limitent à  leur solution respective, mais beaucoup de fournisseurs (dont Microsoft, HP, Compaq et SCO) ont adopté des programmes d'interopérabilité agressifs.
Au final, la plupart des entreprises exploitent à  la fois NT et UNIX, car chacun des OS offre des fonctionnalités propres. Avant de prendre la décision d'intégrer Windows NT dans une entreprise fortement engagée dans UNIX, il convient de répondre à  quelques questions fondamentales. Commencez par cerner quels sont les facteurs qui vous incitent à  ajouter NT à  votre réseau.
Avez-vous des raisons techniques ou professionnelles pressantes, ou bien suivez-vous simplement la tendance du secteur ?
Etudiez ensuite le coût des matériels et logiciels qu'exigerait un réseau mixte sur une période de cinq ans.
Troisièmement, pensez aux coûts cachés d'une telle intégration, y compris son effet sur les utilisateurs de votre réseau (par exemple la formation, le temps d'arrêt potentiel, la résistance au changement…).
Quatrièmement, assurez-vous que les applications sous Windows NT peuvent répondre aux exigences de votre organisation. Cinquièmement, déterminez si les avantages qui en découlent l'emportent sur le coût occasionné par l'intégration des deux OS.Pour associer NT et UNIX dans un réseau, il faut mettre sur pied un projet d'intégration adapté aux besoins de l'entreprise. Les administrateurs systèmes qui en sont chargés risquent facilement d'être submergés. Il n'est malheureusement pas possible d'utiliser de schéma clair pour mixer les deux OS. Il n'existe aucune solution convenant à  toutes les entreprises.

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Quoi de neuf dans le SP6a ?

Quoi de neuf dans le SP6a ?

Beaucoup d'utilisateurs ont installé le SP6, puis l'ont supprimé quelques jours plus tard soit en raison de la mauvaise publicité, soit à  cause des problèmes découverts pendant les tests. C'est pourquoi beaucoup de serveurs NT 4.0 exécutent toujours le SP5 et les utilisateurs sont nombreux à  se poser des questions sur les SP6 et SP6a. Le moment est-il venu pour eux de mettre à  niveau les systèmes SP5 ? Microsoft a sorti le Service Pack 6 (SP6) pour le téléchargement public à  la fin d'octobre 1999. Dès la première semaine, plusieurs problèmes ennuyeux ont été signalés - une erreur Winsock qui a notamment empêché les utilisateurs d'accéder à  Lotus Notes sauf s'ils étaient connectés avec des droits d'administrateurs ; une erreur Appletalk qui a généré un écran bleu sur des systèmes connectés à  un serveur de réseau Appletalk ou à  un serveur d'impression Apple ; et un problème de date dans le convertisseur de journaux de Microsoft Internet Information Server (IIS) 3.0 qui a converti les années 2000 en 2028. Microsoft a corrigé ces problèmes dans le SP6a, y compris une mise à  jour de winver.exe (l'utilitaire de ligne de commande qui indique la version de l'OS en cours d'exécution) et a sorti le nouveau service pack à  la fin de novembre 1999. Le SP6a remplace et annule le SP6 et tous les service packs antérieurs. Alors, le moment est-il venu de mettre à  niveau les systèmes SP5 ? Les explications de cet article sur les correctifs du SP6a devraient apporter suffisamment d'informations techniques pour en décider.

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Windows NT et la duplication

Windows NT et la duplication

Le processus de duplication de Windows NT permet de maintenir synchronisées deux structures de répertoires, que ce soit sur le même ordinateur ou entre ordinateurs. Son principal objectif est de garantir que le système copie les scripts de connexion du PDC sur les BDC. On peut utiliser la duplication à  d'autres fins que la synchronisation des contrôleurs secondaires de domaine (BDC pour Backup Domain Controllers). Elle permet la distribution de données en lecture seule (par exemple une liste des téléphones d'une entreprise ou des fichiers contenant des informations sur la société) à  partir d'un serveur central.

Cependant, elle n'est pas particulièrement indiquée pour ces tâches. Il existe de meilleures techniques pour distribuer les données.La duplication paraît simple, mais occasionne un certain nombre de problèmes. Cet article détaille son fonctionnement, quand l'utiliser et comment la configurer.

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Back Orifice 2000 : ange ou démon ?

Back Orifice 2000 : ange ou démon ?

A l'heure qu'il est, vous avez certainement entendu parler de Back Orifice 2000, un produit présenté comme un outil d'administration de systèmes, non dénué de quelques zones d'ombre. A en croire Cult of the Dead Cow (cDc), ses créateurs, Back Orifice 2000 est un logiciel libre qui permet l'administration à  distance légitime sur les réseaux d'entreprise, une idée qui a fait grincer les dents de pas mal de gens - dont je suis. Pour en savoir plus sur cet outil, j'ai assisté à  la présentation de Back Orifice 2000 (disponible en format RealVideo à  l'adresse http://www.defcon.org/html/defcon-7-post.html), lors de la dernière convention DefCon VII à  Las Vegas. Pendant la présentation, cDc a décrit les fonctions intégrées de Back Orifice 2000.
Au cours de la démonstration, je me suis laissé gagner par l'idée d'utiliser Back Orifice pour l'administration à  distance. L'outil m'est apparu très puissant et d'autant plus intéressant qu'il supporte le chiffrement 3DES (Triple Data Encryption Standard) sur TCP et UDP. J'ai fini par me demander si quelqu'un disposant de PPTP et de logiciels de prise de commande à  distance commercialisés, comme pcANYWHERE32 de Symantec, pouvait utiliser à  la place cet outil plus léger.

La curiosité finit par l'emporter. Je décidai de jeter un coup d'oeil sous le capot de Back Orifice 2000 pour vérifier s'il est possible de l'utiliser légitimement et en toute sécurité dans un environnement d'entreprise.
J'ai examiné la configuration du serveur et identifié les paramètres à  définir avant son utilisation. J'ai aussi parcouru chaque fonction, testé chaque commande et vérifié plusieurs plug-ins qui permettent d'étendre considérablement les fonctions. Comme vous vous en doutez, j'ai aussi examiné les implications pour la sécurité de l'utilisation de cet outil sur le réseau pour l'administration à  distance.

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Vers une unification des mails, du téléphone et des fax

Vers une unification des mails, du téléphone et des fax

La messagerie électronique était très simple jusqu'ici. Le principal défi posé lors de la mise en oeuvre de cette technologie était d'assurer l'interopérabilité entre différents systèmes de messagerie. Mais une fois cette interopérabilité réalisée, il ne restait plus qu'à  savourer le plaisir de savoir que les utilisateurs pouvaient s'envoyer des messages sans entrave. Aujourd'hui la messagerie électronique a changé. Il existe davantage de moyens de transmission, de possibilités d'accès et de types de contenus. Si nous utilisions un système séparé pour chaque type de transmission, nos systèmes ressembleraient à  des guerriers bardés d'un tas d'appareils. Si cette vision vous semble ridicule, pensez à  la panoplie que vous emportez en voyage d'affaires: téléphone cellulaire, pager, ordinateur portable et, sans doute, ordinateur de poche pour accéder rapidement à  des notes et à  des numéros de téléphone.
Que diriez-vous d'un système transparent à  plusieurs points d'accès grâce à  une série de dispositifs différents ?La messagerie unifiée est un sujet porteur aujourd'hui. C'est ce qui explique peut-être l'inflation d'informations. Lorsque les dirigeants de Microsoft discutent de leurs projets pour Platinum - la prochaine version majeure d'Exchange Server prévue pour 2000 - et pour la plate-forme Windows 2000 en général, ils parlent de messagerie unifiée.

Cet article décrit l'état actuel de l'intégration du courrier vocal dans Exchange 5.5 et explique l'évolution que subira la messagerie, lorsque Platinum et Windows 2000 arriveront sur le marché.

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Pour que Domino ne devienne pas le prochain OS/2

Pour que Domino ne devienne pas le prochain OS/2

Attention à  la complexité de Domino: pour qu'il devienne le cheval de bataille de l'AS/400, il lui faut un plan marketing efficace. L'acquisition de Lotus par IBM il y a quelques années a suscité de multiples interrogations: comment les produits Lotus s'harmoniseraient-ils avec l'offre IBM existante? Quelles solutions une société à  forte culture PC pourrait-elle offrir à  la force de frappe supérieure d'IBM? L'osmose entre les deux cultures serait-elle possible?

S'il est trop tôt pour avoir des réponses définitives à  ces questions, on a au moins des réponses partielles face au produit Domino pour AS/400 des partenaires. Avec Domino pour AS/400, IBM et Lotus ont peut-être lancé l'application phare dont l'AS/400 manquait cruellement pour faire son trou dans les infrastructures des entreprises modernes. Domino pour AS/400 offre une solution de groupware et de messagerie évolutive, dotée d'une solide intégration données et utilisateur OS/400. Et les multiples facettes de Domino lui permettent de bien se comporter dans divers rôles: solution de workflow, serveur Web et environnement de développement d'applications.

Du faitde sa puissance, Domino est difficile à  comprendre et à  apprécier

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Passer à  fast Ethernet

Passer à  fast Ethernet

Passer à  un réseau plus rapide est plus facile qu'il n'y paraît Votre réseau n'a pas démarré lentement. Bien au contraire, lors de l'installation initiale de ce brillant nouveau LAN Ethernet 10BaseT, les applications étaient guillerettes et les utilisateurs heureux.
Mais aujourd'hui, ces mêmes utilisateurs lèvent les bras au ciel face aux nouvelles applications submergeant le réseau, et face au ralentissement chronique des performances. Pour couronner le tout, voilà  que l'équipement et le câblage réseau tombent de plus en plus souvent en panne. Avec le déploiement d'Ethernet dans toute l'entreprise, il devient difficile de diagnostiquer les problèmes. Vous savez fort bien qu'il faudra augmenter la vitesse et la fiabilité du LAN, mais aussi que vous n'aurez pas les moyens financiers de tout remplacer d'un coup. D'où la question: est-il possible d'accroître les performances et la fiabilité du réseau de manière graduelle et peu coûteuse?

Oui, il y a un moyen: Ethernet, le parent pauvre des technologies réseau, s'avère être le vainqueur des deux autres prétendants au trône du LAN haute vitesse: ATM (Asynchronous Transfer Mode) et FDDI (Fiber Distributed Data Interface). Ne parlons même pas de Token-Ring (ou bien, si vous voulez en parler, lisez l'article "Quitter la fraternité de l'anneau"). Deux nouvelles incarnations d'Ethernet, Fast Ethernet à  100 Mbps et Gigabit Ethernet à  1000 Mbps, utilisent la commutation (switching) pour améliorer profondément les performances par rapport à  l'Ethernet 10 Mbps classique ou à  d'autres technologies LAN haute vitesse.

La commutation Ethernet haute vitesse augmente considérablement les performances en réduisant la saturation et en éliminant les goulets d'étranglement

La commutation Ethernet haute vitesse augmente considérablement les performances en réduisant la saturation et en éliminant les goulets d'étranglement d'un réseau trop lent. Elle permet également d'installer des segments de réseau redondants et des noeuds physiques pour améliorer la fiabilité. Les services de supervision de trafic sophistiqués, intégrés dans l'équipement Ethernet commuté aident à  détecter les problèmes et à  connaître l'état de santé global du réseau. Et, comme les paquets n'atteignent que les destinataires prévus, les réseaux commutés sont beaucoup plus sûrs que les LAN de type broadcast traditionnels.

Bien que l'on puisse utiliser la commutation Ethernet sur des réseaux à  10 Mbps, les prix sont si bas qu'il vaut mieux passer dès à  présent en 100 Mbps et plus. Les coûts de la commutation Ethernet ont plongé à  moins de 600 francs par port, soit le prix du 10BaseT il y a quelques années seulement. A moins de 6000 francs, les ports Gigabit constituent un moyen économique d'accumuler le trafic Ethernet haute vitesse sur un backbone.
Apprenez les possibilités et les caractéristiques de câblage de la commutation Ethernet haute vitesse, les particularités du matériel Fast et Gigabit Ethernet, et les principes de base de l'administration de LAN haute vitesse, et vous serez prêt à  mettre à  niveau votre réseau.

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Extraire des données AS/400 avec Access

Extraire des données AS/400 avec Access

Comment placer des données AS/400 dans Access, et rajouter des noms de colonnes longs à  des tables. Inclus dans certaines versions de Microsoft Office, Access est un logiciel de gestion de bases de données très controversé. L'un des domaines dans lesquels il excelle est l'extraction de données à  partir de sources de données externes. En plus de ses convertisseurs qui lui permettent de manipuler de nombreux formats de données, Access peut utiliser ODBC (Open Database Connectivity) pour extraire des informations de différentes bases de données externes, comme DB2 Universal Database for AS/400 (UDB/400). Dès que les données externes se retrouvent dans Access, elles peuvent être utilisées pratiquement comme si elles avaient été produites en natif par Access. Voyons à  présent les deux principales méthodes permettant d'utiliser des données AS/400 dans Access (importation et liaison). Ensuite, nous passerons en revue la création d'une table liée, et analyserons une technique de création de titres de colonnes (champs) longs pour les tables importées ou liées.

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Windows 2000 et les montées en charge

Windows 2000 et les montées en charge

Comment un OS peut-il évoluer du PC de bureau aux clusters SMP supportant des millions de téraoctets de stockage en ligne et des centaines de gigaoctets de RAM ? La réponse de Microsoft consiste à  offrir plusieurs versions de Windows 2000 correspondant aux différents besoins. Windows NT Server 4.0 et les versions antérieures offraient une certaine évolutivité, en proposant une gamme depuis le NT Server 4.0 de base ou, jusqu'au cluster de systèmes, avec NT Server Enterprise Edition (NTS/E). Ces produits sont identiques à  la base, mais ont été aménagés pour des architectures différentes.

Afin de pousser plus loin encore ce concept d'évolutivité, Microsoft offre plusieurs versions de Windows 2000 spécifiquement conçues pour différentes niches du marché. Par exemple Windows 2000 Professional (Windows 2000 Pro) est destiné aux PC de bureau, Windows 2000 Server aux départements et aux groupes de travail, Windows 2000 Advanced Server (Windows 2000 AS) aux entreprises nécessitant la haute disponibilité et Windows 2000 Datacenter (Datacenter) aux entreprises ayant les environnements les plus exigeants.

Pour pouvoir offrir autant de versions de Windows 2000, Microsoft a dû améliorer l'évolutivité de NT dans quatre domaines clés : mémoire, sous-systèmes de stockage, SMP et services d'annuaire. Cet article aborde chacun de ces domaines par rapport aux versions et aux fonctions de Windows 2000. Il explique également les bénéfices découlant des fonctions d'évolutivité de Windows 2000.

Microsoft a amélioré l'évolutivité de NT dans quatre domaines clés : mémoire, sous-systèmes de stockage, SMP et services d'annuaire.

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Accès distant, les changements

Accès distant, les changements

De nombreux salariés de l'entreprise basés à  l'extérieur de celle-ci - tels que les commerciaux ou les télétravailleurs - dépendent d'un accès distant au réseau de leur société. Je fais parti de ces salariés. A ce titre, je me suis intéressé aux changements apportés, dans le domaine de l'accès distant, par Microsoft à  Windows 2000 Professional. Ma première impression, lorsque j'ai découvert les modifications que Microsoft a mis en oeuvre dans le domaine de l'accès distant sous Windows 2000, a été négative. Les changements apportés à  l'interface utilisateur d'appel distant de Windows 2000, comparée à  l'interface de Windows NT 4.0 et Windows 98, m'ont laissé dubitatif et j'ai eu des difficultés à  trouver certaines fonctions. Avec l'expérience, cependant, j'ai appris à  apprécier la nouvelle version.

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Comment éditer le Registre de Windows NT

Comment éditer le Registre de Windows NT

Tôt ou tard tout administrateur Windows NT est amené à  éditer le Registre, que ce soit pour corriger un problème, améliorer les performances ou renforcer la sécurité. Cet article explique comment trouver et modifier en toute sécurité les paramètres du Registre et comment y ajouter de nouvelles valeurs. Dans de nombreux cas, la correction d'un problème via la modification du Registre de Windows NT s'accompagne d'avertissements sur les conséquences qu'auraient des modifications erronées.
Se pose alors la question du moindre mal - est-il préférable de vivre avec le problème ou vaut-il mieux appliquer la correction en risquant d'introduire une erreur dans le Registre ?
En fait, éditer le Registre n'est pas aussi risqué qu'on pourrait le penser, à  condition de prendre quelques précautions.

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Les bétas fonctionnent-elles ?

Les bétas fonctionnent-elles ?

Tout le monde hait les bugs. Que vous exploitiez des logiciels de Microsoft, IBM, Novell ou tout autre fournisseur, il vous est probablement déjà  arrivé de ramer avec de sérieux problèmes d'exploitation ou retard de projet à  cause de défauts dans du code.

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L’AS/400 en bonne place pour gagner

L’AS/400 en bonne place pour gagner

par Wayne Madden
Voilà  des années que l'avenir de l'AS/400 fait couler beaucoup d'encre. La question est de savoir si les clients continueront à  acheter des systèmes AS/400 et des solutions AS/400. Il est intéressant d'observer que bon nombre de vos préoccupations n'ont que peu de rapport avec la technologie de l'AS/400 ou les possibilités du système d'exploitation. Plus prosaïquement, il s'agit de savoir si IBM est engagé vis-à -vis de l'AS/400 et disposé à  pousser le marketing de cette plate-forme, si les fournisseurs de logiciels y sont vraiment attachés et disposés à  développer des applications modernes et à  promouvoir des solutions spécifiques AS/400 et, enfin, si les informaticiens actuels qui utilisent l'AS/400 pourront continuer à  ignorer la concurrence qui frappe à  la porte.
Dans ce dossier, vous trouverez de quoi présenter l'AS/400 sous un jour favorable à  l'acheteur décideur. Pour commencer, cet article décrit les principaux éléments intervenant dans le choix d'une solution et montre comment s'en servir au bénéfice de la solution AS/400. Frank Soltis explique les nuances de l'architecture de l'AS/400, et Carol Woodbury nous fournit les toutes dernières informations sur la sécurité AS/400. Vous trouverez également une liste de sites Web, de white papers, de benchmarks et autres qui regroupent l'ensemble des chiffres et faits utiles.En tant que spécialiste investi dans la technologie AS/400, vous connaissez toute la valeur de ce système. Mais il est bien plus difficile d'en convaincre les autres. Avec ce dossier, nous espérons vous donner les moyens de démontrer la fiabilité, les performances et la viabilité de l'AS/400. Bonne chance !
Vous avez probablement constaté que, à  titre personnel, vous pouvez justifier de n'importe quoi ! Mais vous avez aussi constaté que ce principe s'applique à  tous : chaque personne peut se justifier n'importe quoi à  elle-même. Malheureusement, il est plus difficile de justifier quelque chose aux autres. Il faut que les autres s'approprient le processus, même dans les affaires. La justification de l'achat d'un AS/400 ou de toute solution particulière, n'est pas un raisonnement purement scientifique. C'est plutôt un parcours émotionnel, politique et difficile qu'il faut couvrir.
Le contexte technologique actuel rend de plus en plus difficile le processus de sélection de solutions de gestion. En informatique, le marketing oriente de plus en plus le processus de décision, et la perception des besoins de l'acheteur, très subjective, dépasse l'évaluation technologique proprement dite. Pour démontrer la puissance du facteur émotionnel dans une décision d'achat, prenons deux fournisseurs de solutions de premier plan et leurs slogans marketing bien connus.
Le slogan de la première société est "Solutions pour une petite planète". Or, à  l'évidence, la plupart de ceux qui prennent des décisions d'achat se soucient fort peu de la taille de la planète, de sauver le monde, d'aider l'humanité ou même de trouver une solution qui bonifie leur entreprise. La seconde société, en revanche, a bien compris l'essentiel de la prise de décision. Le slogan "Où voulez-vous aller aujourd'hui ?" évoque immédiatement votre motivation intérieure pour prendre des décisions vous touchant personnellement. Bien que cela paraisse superficiel, tout ce qui bénéficie à  votre carrière, votre réussite, votre potentiel de gain, associé à  des messages technologiques percutants, influence fortement le processus de décision.
Avant de commencer à  justifier un AS/400 aux yeux du manager qui décidera des systèmes et solutions que vous achèterez, il faut comprendre le processus décisionnel. Je vois quatre éléments clés pour positionner et vendre l'AS/400 dans votre société. En premier lieu, trouver celui qui prendra la décision. Deuxièmement, surmonter les perceptions erronées concernant l'AS/400 par rapport à  d'autres technologies mieux connues. Troisièmement, déterminer s'il existe vraiment une solution répondant aux besoins. La quatrième étape (justifier les coûts) est la plus facile.
Avant de commencer à  justifier un AS/400 aux yeux du manager, il faut comprendre le processus décisionnel.

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Windows 2000 et la sécurité

Windows 2000 et la sécurité

Beaucoup de nouvelles fonctions de Windows 2000 concernent la sécurité. A la vue des nouvelles fonctions comme Kerberos, Active Directory (AD) et le support intégré de l'infrastructure des clés publiques (PKI), on pourrait penser que Microsoft a remplacé la plus grande partie de l'architecture de la sécurité Windows NT. Mais, en fait, Microsoft a exploité beaucoup de fonctions de sécurité originales de NT. Malgré l'arrivée de Kerberos, AD et de la PKI, le coeur de la sécurité de Windows 2000 s'appuie sur l'infrastructure de NT 4.0. Microsoft a conçu l'architecture de sécurité de NT 4.0 avec l'évolutibilité à  l'esprit. C'est ainsi que l'on trouve des limites bien définies entre les modules et plusieurs API permettant d'ajouter des éléments de fonctionnalité (par exemple les services de chiffrement, d'authentification) sans affecter le reste du système d'exploitation.

Cet article présente l'architecture de la sécurité Windows 2000. Je commencerai par expliquer comment la sécurité de Windows 2000 a évolué depuis NT 4.0, les problèmes de NT 4.0 résolus par Windows 2000 et d'autres objectifs de conception contribuant à  l'ambition de Microsoft de faire de Windows 2000 le système d'exploitation pour l'e-commerce. J'examinerai ensuite chacun des composants de l'architecture et la place qu'il occupe dans ce tableau global.

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Comment intégrer le DNS d’UNIX dans Windows 2000

Comment intégrer le DNS d’UNIX dans Windows 2000

DNS est un mécanisme standard de résolution de noms qu'un serveur IP utilise pour nommer, présenter et localiser les serveurs et services IP sur Internet ou dans un intranet. Pour intégrer plus complètement Windows 2000 à  Internet, Microsoft utilise DNS plutôt que WINS comme service natif de nommage de la nouvelle release. Microsoft a également mis en oeuvre le DNS dynamique DDNS pour permettre aux systèmes Windows 2000 d'enregistrer dynamiquement leurs noms et adresses IP dans un serveur DDNS. La mise à  jour dynamique des informations sur la machine élimine la tâche d'administration consistant à  maintenir une base de données statique dans un serveur DNS traditionnel. En outre, les contrôleurs de domaine Windows 2000 enregistrent dynamiquement des enregistrements des services de ressources (SRV RR pour Service Ressource Record) dans les serveurs DDNS. Dans un réseau Windows 2000, les clients recherchent les SRV RR dans le serveur DNS pour l'annuaire Active Directory (AD) du réseau et ses services, comme par exemple le service de connexion.

LA RFC 2052 de l'IETF (Internet Engineering Task Force) documente les SRV RR et la RFC 2136 documente les mises à  jour de DDNS. Les SRV RR et DDNS ne sont pas nouveaux dans la famille des standards DNS - la RFC 2052 a été publiée par l'IETF en octobre 96 et la RFC 2136 date d'avril 97. Cependant, le fait que Windows 2000 utilise ces fonctions, oblige les entreprises ayant des serveurs DNS sur leurs machines UNIX depuis longtemps à  mapper les noms de serveur et les adresses IP.
La plupart de ces entreprises n'ont pas encore évolué vers la dernière version de BIND 8.2.2 (Berkeley Internet Name Domain) de l'Internet Software Consortium ou une version récente de DNS émanant de leur fournisseurs d'UNIX et DNS. La majorité ne supporte donc pas à  la fois les SRV RR et les mises à  jour dynamiques. Si cette description correspond à  votre entreprise et si vous prévoyez un déploiement Windows 2000, vous allez être confrontés à  une question d'intégration : devez-vous migrer sur le DNS de Windows 2000 ou continuer à  utiliser votre DNS UNIX ? Vous Trois options s'offrent à  vous : migrer vers le DNS de Windows 2000, créer un environnement ou les deux DNS coexistent, ou n'utiliser que le DNS d'UNIX.

Devez-vous migrer sur le DNS de Windows 2000 ou continuer à  utiliser votre DNS UNIX ?

Avant de détailler les trois options, voyons comment Windows 2000 utilise les SRV RR pour mieux comprendre les avantages et inconvénients de chaque option et chasser toute confusion en ce qui concerne l'utilisation des caractères soulignés par les SRV RR. Comprendre les mises à  jour dynamiques de Windows 2000 et comment déterminer si votre serveur DNS UNIX les supporte peut également vous aider à  déterminer la meilleure option pour votre entreprise.

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La Business Inteligence bouge

La Business Inteligence bouge

1999 serait-elle l'année du passage de la Business Intelligence (BI) sur AS/400 à  la maturité ? Certains signes vont clairement dans ce sens. Dans le dernier éditorial de NEWSMAGAZINE, j'appelais de mes voeux le soutien stratégique et commercial d'IBM à  une informatique décisionnelle AS/400 désormais crédible, fiable, performante, “ scalable ”, économiquement viable, alors même que Big Blue n'a pas d'offre spécifique dans ce domaine. Ceci afin notamment de “ booster ” les ventes.

Aurais-je déjà  été entendu ? Je doute que NEWSMAGAZINE soit très lu à  Rochester et à  Somers. Même si je sais que certains IBMers américains francophones nous ont parfois fait l'honneur et le plaisir non seulement de nous lire, mais même de tapisser les murs de l'usine de reproductions de NEWSMAGAZINE, cela reste hélas très anecdotique.

NEWSMAGAZINE et la France en général n'ont pas encore le pouvoir d'influencer les décisions de Rochester. Mais il en va tout autrement des éditeurs du domaine de la Business Intelligence, dont certains, comme Coglin Mill ou ShowCase, ont une grande proximité géographique - pour ne pas dire une promiscuité - avec les labs.
Les deux éditeurs cités “ habitent ” en effet Rochester Minnesota ; s'agissant de ShowCase, il leur suffit même de traverser la rue pour se trouver dans les bâtiments bleus du lab de Big Blue. Ca peut aider à  influer les développements, tant hardware que software d'ailleurs : la récente apparition de la virgule flottante dans les types de données AS/400 est par exemple, comme nous l'explique Ken Holec, Président et CEO de ShowCase, en grande partie liée aux besoins de la BI.

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Et si le e-business vous mettait sur la paille ?

Et si le e-business vous mettait sur la paille ?

Réfléchissez-y à  deux fois avant de vous engager dans l'aventure du e-business En matière de e-business, ou commerce électronique, il est difficile de distinguer la réalité des mirages.
Partout, ce ne sont qu'articles sur ses avantages potentiels et sur comment « tout le monde s'y met ».
Mais, en réalité, tout le monde n'est pas en train de sauter dans le train du e-business. Beaucoup d'éventuels investisseurs se méfient de cette nouvelle manière de faire des affaires, se demandant s'ils peuvent lutter sur ce nouveau e-marché, qui évolue et change rapidement.

Ces Saint-Thomas ont bien raison d'hésiter. D'après le U.S. Department of Commerce, le commerce électronique représente moins de deux pour cent du chiffre d'affaires total réalisé en Amérique du Nord.

Le lancement dans l'aventure e-business au mauvais moment, avec de mauvaises applications et des attentes irréalistes, peut réellement conduire à  la catastrophe

Face à  de tels chiffres, difficile de croire les avertissements des prophètes du e-commerce selon lesquels, faute de se connecter sur-le-champ, la faillite guette. En réalité, le lancement dans l'aventure e-business au mauvais moment, avec de mauvaises applications et des attentes irréalistes, peut réellement conduire à  la catastrophe.
Une prudente expectative semble être l'attitude la plus sage, car elle permet de voir comment diverses autres entreprises ont confié au Web leurs diverses fonctions commerciales.

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Une topologie SAN

Une topologie SAN

Selon un vieil adage, les données s’étendent sans cesse et finissent toujours par dévorer tout l’espace de stockage disponible. Beaucoup d’applications sont d’ailleurs là pour le confirmer : le commerce électronique, les images, le data warehouse, les progiciels de gestion (ERP) et la gestion de la relation client (CRM) comblent vite les supports de stockage et apparemment sans fin.L’accessibilité des données doit être rapide pour les applications et la disponibilité est extrêmement importante. Les SAN (Storage Area Network) offrent des pools de stockage à grande vitesse grâce à un groupe de serveurs connectés et de stations de travail très rapides.
Hors de l’univers du mainframe, chaque application cruciale (par exemple un ERP) possède une instance résidant sur un serveur distinct, en particulier les applications client-serveur (ainsi 10 serveurs abritent 10 applications). C’est la modularité des systèmes et le fait d’ajouter des applications après d’autres déploiements d’applications réussis qui favorise cette tendance. La modularité des systèmes crée des batteries de serveurs et peut donner de multiples instances des données. Si celles-ci doivent avoir des relations entre elles, il faut appliquer des méthodes de duplication ou de synchronisation pour les résoudre.
C’est pourquoi les données de serveurs monolithiques deviennent pénibles à organiser et à gérer. Les SAN contribuent à alléger cette charge d’administration.
Les SAN sont des réseaux à l’intérieur des réseaux. Leur conception désassocie les applications des serveurs du stockage des données sans sacrifier les temps d’accès au stockage et permet à de nombreux serveurs et applications d’accéder aux données.

Ils minimisent le besoin de serveurs équipés d’énormes magasins de données séparés et permettent d’équilibrer les besoins de fiabilité et de disponibilité. On peut également amortir les coûts du stockage sur plusieurs serveurs et leurs applications.
Les batteries de stockage SAN supportent de nombreux systèmes d’exploitation hôtes et systèmes d’archivage de données. C’est le système d’exploitation hôte qui définit comment les membres du SAN accèdent à un système de fichier. Pour Windows NT, les SAN apparaissent comme des volumes accessibles localement en FAT ou NTFS.
Un SAN est constitué de serveurs (ou de stations de travail d’E/S très rapides) avec des connexions à un canal d’E/S à grande vitesse. Par exemple, sur la figure 1, les serveurs et les stations de travail sont connectées au hub grâce à un commutateur. Les stations de travail ou les serveurs au stockage sont connectées au moyen de SCSI ou Fibre Channel. La méthode de connexion dicte la conception du SAN et affecte les capacités d’évolution et l’accessibilité des données stockées. Examinons les différentes méthodes et leurs caractéristiques.

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