Les masques de sous-réseau sans classe
par William Heldman
Quelques trucs et astuces peuvent vous aider à  créer des sous-réseaux à  l'intérieur 
de votre réseau à  l'aide des masques de sous-réseaux sans classe. 
Si un réseau utilise un masque de sous-réseau par défaut - 255.0.0.0 pour la Classe 
A, 255.255.0.0 pour la Classe B ou 255.255.255.0 pour la Classe C - il s'agit 
d'un domaine dit " classful ", c'est-à -dire un domaine doté de classes. On sait 
alors qu'on travaille dans un domaine ouvert, sans sous-réseau. En réalité, il 
vaut mieux dire que le domaine tout entier est un sous-réseau, mais qu'il n'est 
pas divisé en sous-sous-réseaux.
Un domaine " classful " est souvent très occupé par la circulation intense créée 
par le trafic du réseau empruntant les mêmes chemins. Les commutateurs, qui opèrent 
au niveau de la couche de liaison, séparent les domaines de collision, mais ne 
font rien pour séparer les domaines de multidiffusions (broadcast), puisque celles-ci 
ont lieu au niveau de la couche réseau.
Un routeur permet de grouper différentes parties d'un réseau en sous-réseaux, 
afin de diminuer le nombre de broadcasts. Il peut être bon, par exemple, de grouper 
le matériel d'infrastructure (y compris la batterie de serveurs et les imprimantes) 
dans un sous-réseau, le département marketing dans un autre, et les services commerciaux 
dans un autre encore. La constitution de sous-réseaux peut être un outil pratique 
pour les réseaux supportant une activité intense.
Dans un réseau divisé en sous-réseaux, on a un domaine sans classe avec un masque 
de sous-réseau sans classe. Celui-ci, également baptisé masque de sous-réseau 
de longueur variable (VLSM pour Variable Length Subnet Mask), emprunte des bits 
à  la section hôte d'une adresse IP et les donne à  la section réseau de l'adresse. 
Les termes " sans classe " et " longueur variable " signifient que les adresses 
des masques de sous-réseaux ne sont pas conformes au format des Classes A, B et 
C du protocole IP standard.
Le seul problème que pose la mise en place de sous-réseaux est la nécessité d'effectuer 
les calculs binaires nécessaires aux adresses des sous-réseaux. Personnellement 
je préfère travailler le plus possible avec des nombres décimaux. Je vais donc 
parler du routage interdomaine sans classe CIDR (Classless Inter-Domain Routing) 
et indiquer une astuce mathématique non binaire très facile. Ces deux informations 
sont utiles pour aider à  déchiffrer la " notation à  barre oblique " que l'on trouve 
dans la littérature du support technique et faciliter et accélérer la mise en 
place de sous-réseaux. 
                Samba : la danse continue
par Matthieu Rocher 
Samba est le logiciel permettant de partager des ressources Linux avec Windows. 
En perpétuelle évolution, il accepte maintenant la dernière version du système 
d'exploitation : Windows 2000. 
Samba, dont l'existence est due à  l'Australien Andrew Tridgell en 1991, permet 
de partager les disques et les imprimantes d'un système Linux pour être utilisé 
par des postes clients Windows.
Pour utiliser les ressources distantes de façons simples, Andrew Tridgell a implémenté 
le protocole SMB sur le système d'exploitation Linux. C'est ce même protocole 
SMB qui est utilisé par Windows pour partager les ressources entre les différentes 
machines du réseau. Avec Samba, le partage des ressources s'ouvre à  Linux.
Samba est un logiciel Open Source., ce qui signifie que les sources du programme 
sont disponibles à  tous et que le logiciel est gratuit. 
                Les nouveautés de WebSphere Studio 3.5
par Paul Conte 
Voici un aperçu des améliorations qu'apporte la version 3.5 par rapport à  la 3.02 
WebSphere Studio (WSS) est l'outil phare du développement d'applications Web d'IBM. 
J'ai déjà  abordé WSS dans l'article " Premier coup d'oeil : WebSphere Studio 3.02 
", NEWSMAGAZINE, septembre 2000. Nous y avons vu que WSS gère le HTML, l'image, 
le son, les applets et servlets Java ainsi que JSP (Java Server Page). Il apporte 
également d'autres fonctionnalités, comme l'utilisation d'une interface utilisateur 
ainsi que sa logique de gestion. WSS possède des outils intégrés pour concevoir 
des pages HTML et JSP, et contient également des outils de modification de scripts 
et d'images graphiques. WSS se connecte à  VAJ (VisualAge for Java), inclus dans 
les Professional et Advanced Editions ou tout autre IDE (Integrated Development 
Environment) Java pour développer des servlets et du code Java plus complexe.
Dans la récente release WSS 3.5, on trouve quelques améliorations et modifications 
intéressantes. En particulier, le repackaging de WSS en trois éditions : Advanced, 
Professional et Entry. La principale différence se situe entre l'Advanced et la 
Professional Edition; la troisième, Entry Edition n'étant qu'une version d'essai 
"light" de la Professional Edition (dépourvue des produits additionnels qui accompagnent 
les Professional et Advanced Editions). Les trois nouvelles éditions fonctionnent 
sur des plates-formes Windows 2000 et sur les versions précédentes de Windows. 
Pour connaître la liste du contenu et des nouvelles fonctions de chaque édition, 
voir l'encadré " Contenu et nouvelles fonctions de WebSphere Studio 3.5 ". 
                Virus : éduquez les utilisateurs
par David Chernicoff
Depuis le début de l'année, ma boîte de réception d'e-mails semble devoir contenir 
chaque jour un message de mon fournisseur d'antivirus. Ces messages contiennent 
des alertes à  propos de nouveaux virus et comportent des liens vers des sites 
Web d'où l'on peut télécharger des fichiers permettant de protéger mon réseau 
contre ces programmes malins. La majorité de ces messages concernent des alertes 
et mises à  jour concernent des formes diverses de virus macro qui ciblent en priorité 
Microsoft Word ou Excel.
Comme tout bon administrateur réseau responsable, je télécharge toujours les mises 
à  jour des applications antivirus et les applique aussi bien sur les serveurs 
que sur les clients. Je n'informe pas les utilisateurs de ces mises à  jour : je 
les mets en oeuvre, simplement. Or, je suis convaincu que la plupart des administrateurs 
systèmes appliquent la même méthode et c'est là  que réside le problème.
                Bienvenue dans le 21ème siècle
par Carson Soule 
Maintenant que l'an 2000 est quasiment derrière nous et que nous entrons dans 
le 21ème siècle et le nouveau millénaire, je souhaiterais me retourner un instant 
sur 2000 et me demander "Que s'est-il passé ?" Mais peut-être devrais-je me demander 
" Que ne s'est-il pas passé ?"
 
                Préparer le passage à Windows 2000 Professionnel
par John Ruley
La compatibilité, les configurations hardware minimum et la facilité de mise à  
jour font partie des sujets d'interrogation communs avant le passage à  Windows 
2000 Professionnel. Cet article répond aux 8 questions qui reviennent le plus 
souvent concernant la transition à  Windows 2000 Professionnel.
 
                Révolutionnez vos messages d’erreur avec les sous-fichiers de messages
par Mike Cravitz
Voici deux méthodes interactives, informatives et simples à  utiliser pour présenter des messages d'erreurVous est-il déjà 
arrivé de ne pas vous souvenir de ce que quelqu'un vous avait dit, parce que
l'information n'avait aucun sens ? De nombreux programmeurs AS/400 éprouvent la
même chose avec les sous-fichiers de messages d'erreur. Souvent, quelqu'un (un
consultant peut-être) fait irruption sur un site, installe des sous-fichiers de
messages d'erreur dans l'un des programmes, puis disparaît. Les programmeurs
qui viennent derrière cessent parfois d'utiliser les sous-fichiers, jugeant que
cette technique n'a pas de sens.
Les sous-fichiers de messages d'erreur utilisent certainement des aspects de l'OS/400 (en particulier la messagerie) généralement mal maîtrisés par le programmeur AS/400 moyen. Mais leurs avantages (messagerie d'erreur plus interactive, informative et professionnelle pour les utilisateurs finaux) justifient les efforts consacrés à les apprendre. Dans cet article, j'entends bien lever le mystère entourant les sous-fichiers de messages, pour que vous n'hésitiez plus à en doter vos applications.
Les sous-fichiers de messages d'erreur utilisent des aspects de l'OS/400 généralement mal maîtrisés
Lire l'article
                Personnalisez SEU !
par Vincent Taquin
Les commandes définies par l'utilisateur permettent d'optimiser 
  l'éditeur de fichiers sources de l'AS/400L'utilitaire d'édition de sources de l'AS/400 (SEU : Source Entry Utility) n'est peut être pas le meilleur éditeur au monde, mais pour la plupart d'entre nous, c'est le seul disponible. Heureusement, depuis la V4R2, il est possible de personnaliser cet utilitaire en ajoutant des commandes à  celles déjà  fournies par SEU. Dans le présent article, j'explique comment créer des commandes définies par l'utilisateur pour SEU, et fournis plusieurs exemples de ces commandes. Les exemples fournis permettent d' :
· appliquer une couleur (bleu, rose, rouge, turquoise, blanc, ou jaune) à  une ligne ou un bloc de lignes dans un membre source
· effacer n caractères à  droite ou à  gauche d'un bloc de lignes
· scinder le Facteur 2 étendu d'une ligne de calcul RPG ILE ou de scinder une ligne de commentaires
En plus d'apporter de nouvelles fonctionnalités à  SEU, ces commandes donnent l'occasion de travailler avec les espaces utilisateur, les pointeurs, les programmes de service et les variables exportées.
                Windows 2000 et le TCO : les chiffres
par Barrie Sosinsky
Des études récentes d'analystes sur le coût total de possession de Windows 2000 
ont fait couler beaucoup d'encre. Le Gartner Group affirme que Windows 2000 est 
trop cher, tandis que le Giga Information Group prétend que c'est un investissement 
rentable. Les différences d'appréciation tiennent à  l'étude elle-même. 
 
                Mieux qu’un double boot
par John D. Ruley
Au moment de la rédaction de cet article, le sujet a considérablement évolué. 
A l'origine j'avais prévu une mise à  jour du mode de fonctionnement du double 
boot avec Windows Millennium Edition (Windows Me). Dans un précédent article (" 
Le blues du double boot " de juin 2000), j'avais parlé du double boot Windows 
2000 Professional et Windows 98 et, à  mon sens, une mise à  jour du sujet pour 
Windows Me, le code de base de la dernière version de Windows 9x, s'imposait. 
La raison qui justifie le maintien d'un environnement de double boot est simple. 
Certains logiciels (notamment de nombreux jeux) tournent sous Windows 9x mais 
pas sous Windows 2000. De plus Windows 9x supporte davantage de périphériques 
que Windows 2000. Ces types de matériels et de logiciels hérités n'ont pas l'air 
d'être en voie de disparition et j'ai donc décidé de configurer mon système pour 
qu'il s'initialise soit sous Windows 2000 Pro, soit en Windows 98. Or je viens 
de découvrir une alternative qui marche mieux qu'un double boot : le logiciel 
VMware 2.0 qui permet d'exécuter Windows 2000 Pro simultanément à  un autre OS. 
Comparée à  un système utilisant VMware, ma précédente méthode de double boot ressemble 
à  une relique datant de l'Age de Pierre. VMware supporte Windows 2000, Windows 
NT 4.0, Windows 9x, Windows 3.1, DOS, FreeBSD et plusieurs versions de Linux, 
mais pas Windows Me. J'ai donc désinstallé Windows Me et je suis revenu à  Windows 
98 pour pouvoir utiliser VMware.
Pour de meilleures performances, VMware requiert un minimum de 96 Mo de RAM, un 
processeur à  266 MHz et suffisamment d'espace-disque pour les systèmes d'exploitation 
hôte (dans ce cas, Windows 2000) et invité (dans ce cas, Windows 98). Mon système 
actuel n'a qu'un processeur à  200 MHz - VMware parvient à  tourner, mais sans aucune 
chance de remporter un oscar en matière de performances. Avant d'exécuter VMware, 
le constructeur recommande de désactiver l'exécution automatique du CD, qui risque 
de provoquer des interactions inattendues lors du lancement d'une machine virtuelle 
(d'où le VM). Si un double boot est déjà  activé, il faut, avant d'installer VMware, 
choisir entre la création d'une machine virtuelle autour d'un OS existant ou une 
installation propre sur un disque virtuel créé par VMware. C'est cette option 
que je suggère. 
                Des outils RAD pour les développeurs Linux
par Mireille Boris 
Le développement sous Linux prend une extension qui porte ombrage aux autres Unix, 
voire à  Windows. Débordant les sociétés de l'Open Source, les éditeurs "traditionnels" 
ne limitent pas leur offre à  Java. Ils proposent de nombreux outils RAD pour convaincre 
les développeurs sous Linux de passer à  une vitesse d'exécution supérieure. 
 
                Opération de nettoyage d’un environnement ILE
par Mike Cravitz 
Désencombrez vos programmes ILE grâce à  une stratégie de nettoyage efficace 
Au moment même où vous vous pensiez débarrassé des articles sur les groupes d'activation, 
en voici un autre ! Celui-ci expose quelques-unes des méthodes de suppression 
de groupes d'activation, particulièrement s'ils contiennent des programmes encore 
activés, et l'intérêt d'une méthode comparée à  une autre. Pour plus d'informations 
sur les groupes d'activation, voir les articles "ILE en action : les groupes d'activation 
", NEWSMAGAZINE, mars 1997, et "Attention aux groupes d'activation", NEWSMAGAZINE, 
décembre 1998.
                Restaurer les fichiers effacés accidentellement
par John Ruley
Cela arrive à  tout le monde tôt ou tard, mais effacer accidentellement un fichier est une des pires erreurs que l'on puisse faire. Récemment, j'ai fermé par erreur un document Word sans le sauvegarder et tout le travail que j'avais produit sur le fichier semblait avoir disparu. Mais le texte que j'avais passé 2 heures à  écrire n'était pas complètement perdu. J'ai pu utiliser quelques outils pour rechercher et restituer les données.Le processus de recherche et de restauration des données perdues par erreur m'a pris un bon moment : j'ai ramé pendant 4 heures pour restaurer 2 heures de travail. Pourtant, j'y ai passé autant de temps parce que je pensais écrire sur cette expérience pour en faire profiter d'autres personnes en situation identique d'une part, et parce que j'étais très content de ma prose dans le document que j'avais effacé par erreur. J'aurais certes pu produire de nouveau un document équivalent en 2 heures, mais le texte de remplacement n'aurait pas été aussi bon que le premier.
                Peut-on vivre sans Active Directory ?
par Mark Minasi
Si vous n'avez pas encore entamé votre migration vers Active Directory (AD), vous 
n'êtes pas seuls. Les entreprises semblent actuellement se poser la question suivante 
: « Nous voulons bénéficier de toutes les fonctions améliorées de Windows 2000, 
et nous irons vers AD, mais la mise en oeuvre d'Active Directory semble être une 
première marche bien haute à  franchir dans le déploiement de Windows 2000. Que 
se passerait-il si nous procédions au déploiement de Windows 2000 sur les postes 
de travail et sur les serveurs membres et que nous attendions pour déployer AD 
plus tard ? Que perdrions-nous à  cela ? »
 
                Optimiser les performances batch de l’AS/400, 2e partie
par Rick Turner 
Il faut structurer les applications et optimiser l'environnement d'exécution batch 
pour obtenir une efficacité maximale 
Dans le précédent numéro de SYSTEMS Journal, nous avons vu plusieurs méthodes 
permettant d'améliorer les performances du traitement base de données du batch. 
Poursuivons cette discussion, et examinons d'autres possibilités.
SMP peut faire gagner énormément de temps  
                Windows 2000 Datacenter Server : une démarche nouvelle chez Microsoft
par Christophe Boulan
Avec Windows 2000 DataCenter, Microsoft entend jouer dans la cours des grands 
d'où le narguaient jusqu'à  présent les systèmes mainframes, les grands UNIX et 
les AS/400. Mais pour cela, il ne suffit pas de créer un Windows 2000 plus puissant. 
Microsoft a du revoir notamment ses systèmes de certification et son approche 
des services de support afin de répondre aux besoins des applications stratégiques 
des grands comptes. Une véritable révolution culturelle pour Microsoft. 
à‡a y est ! Microsoft a désormais lancé toute la famille Windows 2000 32-bit avec 
la sortie de Windows 2000 Datacenter Server. Datacenter s'appuie sur les fonctions 
de Windows 2000 Advanced Server, auxquels s'ajoutent toutes les corrections de 
bugs du Service Pack 1, ainsi que le support de 64 GO de RAM, des processeurs 
32-bit, du clustering à  2 et 4 noeuds, du partitionnement et de l'équilibrage de 
la charge réseau. Windows 2000 Datacenter est destiné aux entreprise engagées 
dans l'e-commerce, aux ASP (Application Service Providers) et autres clients haut 
de gamme à  le recherche de fiabilité et de disponibilité. Datacenter Server est 
la première véritable entrée légitime de Microsoft sur un marché dominé par les 
gros bras.
Longtemps, Microsoft s'est fait l'avocat d'un modèle d'entreprise du type de celui 
de Windows 2000 et Windows NT : distribué. Windows 2000 Datacenter associe les 
avantages de la montée en charge horizontale (par ajout de serveurs) de Windows 
2000, avec un modèle plus traditionnel de croissance verticale - un gros serveur 
avec de fortes capacités d'évolution en multiprocesseur. Avec Datacenter, Microsoft 
espère gagner enfin la crédibilité qui lui est refusée depuis l'annonce initiale 
de Windows NT. (L'image de Windows NT a souffert de défauts et de limitations 
parfois véritables, parfois perçues.) Mais pour atteindre cet objectif, il ne 
suffit pas de construire un Windows 2000 plus gros. Pour répondre aux exigences 
de clients haut de gamme, dont bon nombre n'auraient certainement pas fait confiance 
à  Windows 2000 autrement, Microsoft a créé un programme de tests de fiabilité 
baptisé Windows 2000 Datacenter Program, pour s'assurer que Datacenter ne sera 
installé que sur des configurations intégralement testées et validées.
La clé du programme est le Hardware Compatibility Test (HCT) que chaque machine 
compatible Datacenter doit passer
La clé du programme est le Hardware Compatibility Test (HCT) que chaque machine 
compatible Datacenter doit passer. Dès lors qu'un matériel a passé cette batterie 
de tests rigoureux (voir l'encadré " HCT : une certification matérielle spécifique 
"), Microsoft certifie sa compatibilité avec Datacenter et le place sur la liste 
de compatibilité matérielle (HCL) de Windows 2000 Datacenter, disponible sur le 
site Web de Microsoft. De par la rigueur des tests pratiqués, les produits de 
la HCL de Datacenter ne sont qu'un sous-ensemble des HCL des autres versions de 
Windows 2000. Les systèmes Datacenter doivent garantir au moins 99,9 % de disponibilité 
et les constructeurs qui vendent de tels systèmes doivent fournir régulièrement 
à  Microsoft des rapports de disponibilité et autres statistiques. De plus, les 
systèmes Datacenter doivent pouvoir supporter au moins 8 processeurs, même s'il 
peuvent être livrés avec seulement 1 processeur. Le système de licences est basé 
sur le nombre de processeurs que le système peut supporter et il faut acquérir 
des licences d'accès client séparément.
Certes, Windows 2000 Datacenter semble en mesure de pouvoir résoudre bon nombre 
des problèmes de montée en charge non résolus par les grandes entreprises utilisant 
Windows 2000. Mais reste à  savoir si le produit pourra réussir sa percée sur ce 
marché haut de gamme. Il sera intéressant de voir quelle plate-forme les entreprises 
choisissent au fur et à  mesure que Windows 2000 monte en puissance. 
                Dopez vos traitements de dates avec les champs nuls
par David Robertson
La valeur "null" constitue un nouvel et puissant outil demanipulation 
de dates en RPG 
Depuis la V3R7, l'OS/400 accepte une nouvelle valeur pour les champs d'une base 
de données : null. En vous offrant un moyen solide et élégant de traiter de futures 
dates, cette valeur facilite l'utilisation pratique du type de donnée date. Dans 
cet article, j'expose différentes raisons d'utiliser une date nulle, montre comment 
définir des dates nulles et explique comment les traiter dans des fichiers logiques, 
des DFU (Data File Utility), des requêtes et le langage RPG IV.
                Premier de cordée
par Samy Mosimann 
En quelques années, le Groupe Mutuel s'est hissé au premier rang des assureurs
maladie de Suisse romande. Son ascension mérite que l'on s'y arrête. 
                Un regard neuf sur CODE/400
par Sharon L. Hoffman
CODE/400 a évolué tranquillement, pour devenir un puissant outil de développement 
AS/400 
La plupart des programmeurs AS/400 continue de développer du code en se servant 
d'outils conçus pour les écrans passifs, notamment SEU et SDA.
Ces outils leurs sont familiers; ils sont disponibles sur tous les systèmes de 
développement, et ils remplissent parfaitement bien leur rôle. Même si
l'affirmation est exacte, la recherche d'autres outils peut s'avérer judicieuse. 
En 1988, lorsque IBM a lancé l'AS/400, ses outils de programmation
destinés à  des écrans passifs faisaient partie du haut de gamme. Mais les temps 
changent. Les programmeurs AS/400 se tournant vers de nouvelles
méthodes de développement comme Java, de nouveaux outils de programmation deviennent 
indispensables. Ce besoin débouche sur la motivation de
réévaluer également les outils de programmation utilisés pour les développements 
classiques.
Lorsque j'ai commencé à  travailler fréquemment avec Java, j'ai décidé d'utiliser 
un simple éditeur de texte plutôt que l'un des IDE (Integrated
Development Environments), comme JBuilder d'Inprise ou VisualAge for Java d'IBM. 
Un candidat évident m'est immédiatement venu à  l'esprit :
CODE/400 d'IBM (parmi les alternatives possibles, citons entre autres Flex/Edit 
d'Aldon).
CODE/400 présente de nombreux avantages par rapport à  un éditeur de texte générique 
pour PC, tel que le Bloc Notes. En effet, CODE/400 inclut des
fonctions de suggestion et de vérification syntaxique pour tous les langages qu'one 
st susceptible d'utiliser. De ce fait, il n'y a pas besoin d'apprendre à 
utiliser plusieurs outils. Il prend également en charge les lignes de commande 
SEU, ce qui raccourcit la courbe d'apprentissage. En outre, IBM fournit
gracieusement une version de démonstration avec des restrictions minimes et pouvant 
être téléchargée, ce qui permet de tester soigneusement CODE/400 avant d'acheter 
la version complète. (Pour de plus amples informations sur les restrictions de 
la version de démo et les sites de téléchargement, voir l'encadré "Démo CODE/400").
Lorsqu'IBM a lancé CODE/400, en 1992, j'ai étudié le produit et en l'ai plutôt 
écarté. 
En effet, bien que surprenante, la version initiale de CODE/400 avait deux défauts 
majeurs : elle n'était disponible que sous OS/2 et elle était excessivement onéreuse. 
Lorsque la version Windows a été mise sur le marché, quelques années plus tard, 
ces défauts étaient toujours présents : trop cher et bien que tournant sous Windows, 
toujours le "look and feel" OS/2. 
Cependant, lorsqu'à  la mi-97 j'ai assisté à  une démonstration des nouvelles possibilités 
du produit, j'ai dû revoir ma première impression. Depuis lors, IBM a même rajouté 
de nouvelles fonctions à  CODE/400. En outre, une nouvelle version est attendue 
au courant de cette année. 
Si vous n'avez pas suivi l'évolution de CODE/400 récemment, vous y trouverez un 
intérêt. Pour vous aider à  le maîtriser, j'en présente ici brièvement les fonctions 
et les caractéristiques, et signale également certaines astuces permettant de 
gagner du temps, et les défauts que j'ai découvert. 
Je vous recommande vivement d'assister à  une démonstration ou à  un atelier CODE/400 
si vous en avez l'opportunité. CODE/400 est si différent des outils pour écrans 
passifs bien connus de la majorité des programmeurs AS/400 qu'il faut le voir 
en action pour se rendre compte de ses qualités. (Pour une la liste des ressources 
complémentaires traitant de CODE/400, consultez l'encadré "Autres ressources").
Lorsqu'à  la mi-97 j'ai assisté à  une démonstration du produit, j'ai dû revoir 
ma première impression 
|  Démo CODE/400  On peut télécharger des versions d'évaluation de VisualAge RPG (VARPG) et de CODE/400 ainsi que les instructions sur le téléchargement et l'installation du code depuis le site Web d'IBM, à l'adresse http://www Lire l'article  
                Mettre Exchange 2000 en Cluster, concepts de basepar Jerry Cochran  X 
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