
Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 44 – 2004
Toutes les Actualités du 25 au 31 Octobre 2004
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Trop, c’est combien ?
par Jeffrey Bane - Mis en ligne le 29/09/2004 - Publié en Octobre 2003
En conception de base de données, la bonne relation est primordiale
Si le rôle de l'administrateur et du
développeur de bases de données modernes
se limitait à coder SQL et à assurer
de bonnes sauvegardes, nous
dormirions tous probablement mieux
et pourrions consacrer davantage de
temps à nos loisirs. Malheureusement,
nous devons aussi avant tout mettre en
oeuvre des bases de données efficaces...Cette tâche est l'une des plus délicates
dans le monde des bases de données,
car la conception et la mise en oeuvre
d'une base de données est un exercice
lourd de conséquences positives ou
négatives.
Le temps et l'expérience aidant, on
atteint une certaine aisance malgré
l'ampleur de la tâche. Et vous atteignez
un point dans votre courbe d'apprentissage
de développement de base de
données où vous maîtrisez bien l'application
des relations many-to-many
(M:N) (de plusieurs à plusieurs) entre
les tables. Parfois même, vous vous
sentez tellement à l'aise que vous avez
tendance à abuser de ces relations.
Si vous êtes un développeur de
bases de données débutant, la relation
M:N risque de vous intimider. Mais,
après plusieurs utilisations, vous constaterez
qu'elle est relativement simple
à identifier, concevoir et mettre en
oeuvre. En général, parvenue à ce point
de maîtrise, la courbe d'apprentissage
se heurte à un mur. Très peu de développeurs
et de concepteurs de bases
de données se risquent au-delà des relations
« Big 3 » : one to one (1:1), one
to many (1:M) et M:N, pour découvrir
les autres types de relations pouvant
exister dans un schéma relationnel.
Peu de gens explorent, mais moins encore
maîtrisent, des types de relations
plus obscures du genre tertiaire ou nomenclature.
Pourtant, ces relations ne
sont que de simples extensions des
trois types de relations avec lesquelles
vous vous sentez à l'aise. Par exemple,
une relation nomenclature n'est rien
d'autre qu'une entité qui a des relations
M:N avec elle-même. Dans cette
relation, une entité pièces est constituée
d'autres pièces qui, à leur tour,
sont constituées de - vous l'aviez deviné
- encore d'autres pièces. Mais, si
l'on comprend les relations M:N, on
est tout près de comprendre la relation
nomenclature.
Ces types de relations moins
usuelles ne doivent pas constituer un
mystère dans vos schémas de bases de
données. Pour démystifier ces relations,
voyons la relation supertype-
subtype sous-utilisée et souvent incorrectement
mise en oeuvre. Elle est
aussi connue sous le nom de relation
superclass-subclass. Si vous avez déjà
pratiqué le développement orienté objet,
vous connaissez cette relation,
dans laquelle plusieurs entités partapartagent
certains attributs, mais pas tous.
A noter que dans cet article, je
couvre principalement la mise en
oeuvre physique d'une relation supertype-
subtype, en expliquant la logique
de ce type de relation et en soulignant
les gains de performances spectaculaires
qu'elle permet. Pour une explication
approfondie des relations supertype-
subtype au niveau logique, voir
l'article classique de Michel Poolet
« Supertypes and Subtypes », mai 1999,
sur www.itpro.fr.

PowerToys de Windows XP
par Ed Roth - Mis en ligne le 20/10/2004 - Publié en Février 2004
Enrichissez XP avec ces add-ons utiles
Chaque release de l'OS client Windows a été flanquée d'un ensemble d'utilitaires
add-on appelés PowerToys, et Windows XP continue dans cette voie...PowerToys améliore de diverses manières l'OS de base. Microsoft PowerToys for
Windows XP est un ensemble de 10 téléchargements séparés que l'on peut obtenir
à cette adresse


Les nouveautés de la semaine 2 – Windows IT Pro – 2005
Tous les nouveaux produits du 10 au 16 Janvier 2005
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Les JSP : Visite rapide
par Greg Hintermeister - Mis en ligne le 1/12/2004 - Publié en Février 2004
Les développeurs Net.Data adopteront probablement les JSP dans la foulée
Beaucoup d'entre vous construisent déjà des applications Web en utilisant
Net.Data. Le principe est le suivant : un développeur fournit des pages Web
personnalisées qui fusionnent HTML avec SQL et les propres commandes
script de Net.Data pour les parties dynamiques. A l'exécution, le moteur
Net.Data exécute le script et les éléments SQL, en les remplaçant par des données
et en délivrant en fin de course une page Web normale à l'utilisateur demandeur ...Si vous maîtrisez déjà Net.Data, vous n'aurez probablement pas de mal à
utiliser les JSP (Java Server Pages). Les JSP sont une technologie Java côté serveur
complémentaire des servlets (les programmes Java qui produisent des
pages Web). Le développeur commence
par une page Web et ajoute
Java pour scripter les parties dynamiques.
Après quoi, un moteur
runtime traduit cela en une page
Web normale.
Je présente ici un exemple
simple mais néanmoins intéressant
d'un JSP à l'oeuvre. On ne
prend en compte que deux fichiers
:
-
selection.html - une page
Web où vous choisissez des critères
de sélection pour filtrer les
résultats d'interrogation d'une
table
tableDisplay.jsp - le JSP qui affiche les lignes provenant de la table interrogée

LTC 1000 et XTC 1000 pour iSeries
BOSaNOVA présente les thin clientsLTC 1000 et XTC 1000 pour iSeries et autres plates-formes.
Destinés à fonctionner avec OpenOffice et d'autres solutions basées Java qui marchent respectivement sous Linux et Windows XP Embedded, les deux clients offrent notamment une connectivité ICA Citrix et 10/100 Ethernet, un standard PCMCIA.
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Sécuriser le traffic SMTP Email
par Paul Robichaux - Mis en ligne le 22/12/2004 - Publié en Novembre 2003
TLS (Transport Layer Security) vous amène vers les 100 % de sécurité du e-mail
Comme le standard SMTP envoie le
e-mail sans cryptage ni authentification,
chaque message envoyé est exposé
à la vue. Des solutions côté client
comme Secure MIME (S/MIME) ou
PGP (pretty good privacy) peuvent résoudre
ce problème, mais à condition
que vous interveniez en tant qu'utilisateur.
Il vaut mieux concentrer vos efforts
sur la sécurisation du trafic SMTP ...En effet, si vous pouvez sécuriser
SMTP, vous serez tout près de 100 % de
sécurité pour le trafic mail que l'un de
vos serveurs envoie ou reçoit.
Microsoft Exchange Server offre
plusieurs outils pour sécuriser le trafic
e-mail. Pour sécuriser SMTP, l'une des
méthodes consiste à utiliser SSL
(Secure Sockets Layer) pour les
connexions SMTP. Toutefois, cette méthode
soulève un problème. Par défaut,
tous les serveurs SMTP utilisent le
port 25. Mais, si vous utilisez SSL sur le
port 25, les serveurs non SSL ne pourront
pas se connecter par l'intermédiaire
de ce port. Et, si vous utilisez un
numéro de port non standard, les
autres serveurs ne pourront pas trouver
vos serveurs.
Vous pouvez contourner cette difficulté.
Le verbe STARTTLS (qui fait partie
du jeu de commandes ESMTP -
Extended SMTP) permet à un client et
à un serveur SMTP de négocier l'utilisation
de TLS (Transport Layer Secure)
pour une connexion SMTP. Chaque
bout de la connexion peut choisir d'authentifier
l'autre, ou bien la connexion
TLS peut être utilisée uniquement
dans un but de confidentialité. Dans
tous les cas, cette méthode offre trois
avantages importants :
- Elle n'interfère pas avec les autres serveurs et clients. Les clients qui supportent STARTTLS peuvent l'utiliser ; les autres peuvent continuer à utiliser SMTP non crypté.
- Elle est opportuniste. Quand vous validez l'utilisation de TLS avec SMTP, votre serveur demande automatiquement TLS quand il communique avec d'autres serveurs et il accepte les connexions TLS quand elles lui sont demandées. En supposant que l'autre serveur boucle le processus de négociation, le flux de courrier électronique est protégé. (Toutefois, il vous faudra le plus souvent demander à vos utilisateurs de valider SSL/TLS dans leurs clients mail Internet.)
- Le cryptage en TLS du flux SMTP protège également les en-têtes de messages, procurant un degré de protection supplémentaire contre les analyses de trafic permettant à des intrus dans le réseau de savoir avec qui vous communiquez et avec quelle fréquence./

SQL Server Actualités – Semaine 46 – 2004
Les actualités SQL Server pour le mois de Novembre 2004
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Les nouveautés de la semaine 44 – Windows 2000 et .Net – 2004
Tous les nouveaux produits du 25 au 31 Octobre 2004
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News Exchange : Semaine 42 – 2004
Toutes les actualités d'Octobre 2004 pour Exchange Server
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DTS itinérant
par Shane Dovers - Mis en ligne le 16/09/2004 - Publié en Octobre 2003
7 conseils pour une portabilité de package maximale
Lorsqu'on crée un package DTS, il
est très important de le doter d'un
maximum de portabilité. C'est ce que
m'ont appris les 5 années de programmation
DTS (Data Transformation
Services) effectuées depuis la première
livraison de SQL Server 7.0. La
portabilité est maximale quand un package
peut s'exécuter correctement sur
la grande majorité des serveurs...Lorsque la portabilité est présente
dans la conception du package, on
peut déplacer le package d'un serveur
sur un autre, avec peu ou pas de modifications.
Cette notion est importante
parce que la plupart des développeurs
créent les nouveaux packages sur des
serveurs de développement, puis
transportent la version testée finale sur
un serveur de production. Si l'on n'effectue
pas toutes les modifications
liées au serveur avant de porter le package
sur le serveur de production, le
package DTS ne s'exécutera pas correctement.
Les conseils qui suivent
vous aideront à réduire le nombre de
modifications nécessaires lors du déplacement
d'un package et à réduire
votre temps de mise au point.
Examinons sept manières d'obtenir
un maximum de portabilité quand
on programme des packages DTS.
Nous nous intéresserons aux deux aspects
de portabilité les plus négligés :
localisation des composants et sécurité
à l'exécution. Ensuite, nous étudierons
les variables globales avec la Dynamic
Property Task pour valider les changements
dynamiques à l'exécution, les
inconvénients liés à l'utilisation de
Send Mail Task, l'utilisation des
chemins UNC (Universal Naming
Convention), le stockage des, et
l'accès aux, fichiers source et de destination
et, finalement, l'utilisation de
Disconnected Edit pour modifier les
attributs du package DTS.

Prévoir le basculement des DC
par Sean Deuby - Mis en ligne le 13/10/2004 - Publié en Février 2004
Comment créer la meilleure topologie de site AD possible
La plupart des administrateurs savent
qu'une bonne topologie de site AD
(Active Directory) Windows 2000 est
presque aussi importante qu'une bonne
conception de domaine. Une topologie
de site bien pensée réduit le trafic réseau
associé aux AD, garantit que les utilisateurs
s'authentifient par l'intermédiaire
d'un DC (domain controller) proche, et
rend plus prévisible le temps de réplication
d'un objet dans toute l'entreprise...Les sites AD jouent aussi un autre
rôle important, même s'il est moins
connu et moins direct : ils influencent le
basculement des DC client. Le basculement
est l'opération par laquelle un
client se connecte à un autre DC quand le
DC courant du client est défaillant. Par
conséquent, une bonne topologie de
sites AD est celle où l'on peut choisir n'importe quel emplacement
sur le réseau, marquer un DC comme indisponible et
faire que les clients de ce site choisissent le meilleur DC suivant
disponible
Pourquoi est-il si important de concevoir en vue du basculement
des DC ? La sélection du DC d'un client est un facteur
important dans le temps de connexion de l'utilisateur et
dans son temps de réponse perçu. Ainsi, la plupart des sociétés
utilisent des scripts de logon et la distance sur le réseau
entre le DC authentifiant et le client, a une grande influence
sur la vitesse d'exécution du script de logon.
Considérons aussi que Microsoft Exchange 2000 Server et ses
clients sont de gros utilisateurs de l'AD Global Catalog (GC).
Par conséquent, si l'on n'a pas la main heureuse en choisissant
le DC qui héberge le GC, ce sera au détriment du temps
de réponse e-mail du client.
Avant de commencer à concevoir pour le basculement
du DC, il faut savoir comment un client sélectionne son DC,
un choix connu sous le nom de processus de localisation de
DC. Quand vous modélisez le basculement des DC (en faisant
comme si les DC préférés n'étaient pas disponibles),
vous suivez le processus de localisation des DC pour déterminer
quels DC de remplacement le client choisira. Dans
l'idéal, quand un client Windows ne pourrait pas contacter
un DC local (c'est-à -dire sur site), il utiliserait les coûts des
liens de site dans la topologie de sites AD pour déterminer le
site suivant le plus proche et tenter d'y contacter un DC. Si
les DC de ce site n'étaient pas disponibles, le client rechercherait
le site suivant le plus proche et essaierait à nouveau,
bouclant ainsi jusqu'à ce qu'il trouve un DC. Malheureusement,
le processus de localisation de DC n'en est pas
encore à ce stade. Dans Windows Server 2003 et Win2K, le
client demande une liste des DC présents dans son site et
son domaine. Si ces DC ne sont pas disponibles, le client demande
la liste de tous les DC de son domaine. Pour plus d'informations
sur le processus de localisation de DC Windows
2003 et Win2K, voir l'article « Topologie de l'authentification
», Windows & .Net Magazine mai 2003 ou
www.itpro.fr

Point de décision Windows 2003
par Jeremy Moskowitz - Mis en ligne le 15/09/2004 - Publié en Janvier 2004
Ce questionnaire vous aidera dans votre décision : rester avec Win2K ou faire le saut à
Windows 2003
Le successeur de Windows 2000 a porté trois noms : Windows 2002, Windows
.NET (Win.NET) Server et l'actuel Windows Server 2003. Dans la confusion du
changement de nomenclature et des ajouts et retrait de fonctions de dernière minute,
vous vous demandez peut-être si ça vaut la peine de passer à Windows 2003...Certains experts considèrent que Windows 2003 est une simple « étape intermédiaire
» en avant ; pour d'autres, c'est la « prochaine génération ». Qui croire ?
Si vous êtes sur le point de commencer un déploiement Win2K, devriez-vous
foncer ou bien vous regrouper et jeter un coup d'oeil à Windows 2003? Dans un
monde idéal, vous devriez être capable de déterminer facilement si Windows 2003
convient à votre environnement. Bien sûr, Windows 2003 est riche de superbes
fonctions, comme le support d'un milliard d'objets AD (Active Directory), une
sécurité plus rigoureuse et beaucoup de nouveaux utilitaires ligne de commande.
Mais qu'en est-il des améliorations apportées aux principales fonctions de l'OS,
comme Microsoft IIS, le support du clustering, et Terminal Services ? Sachant
comment vous utilisez votre réseau aujourd'hui, utiliserez-vous réellement ces
fonctions améliorées ?

Gérer les comptes utilisateur, 2ème partie
par Ethan Wilansky - Mis en ligne le 12/01/2005 - Publié en Mars 2004
Le fonctionnement interne de 3U
Dans la 1ère partie de « Gérer les comptes utilisateur
», j'ai présenté mon User Update Utility (3U), un utilitaire
graphique à la fois léger, simple et puissant pour maintenir
des comptes utilisateur dans un domaine AD (Active
Directory). J'ai créé cet outil pour administrer les comptes
utilisateur dans un domaine AD validé pour Exchange 2000
Server. Mais je l'ai modifié depuis afin qu'il puisse administrer
des comptes utilisateur dans des domaines AD sans
Exchange 2000 (ou Exchange Server 2003) ...Dans la 1ère partie, j'ai décrit les divers fichiers de 3U, les
préparations pour l'utilisation de 3U, et l'exécution de l'utilitaire.
Ensuite, j'ai entamé l'exploration du code de 3U en décrivant
comment il se connecte à AD et construit l'interface.
Dans ce second article, je poursuis l'exploration du code en
décrivant la manière dont 3U prend à son compte l'administration
des comptes utilisateur
en appelant les diverses sousroutines
dans UserUpadte.hta,
Results.htm et PropPage.htm.

Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 51 – 2004
Toutes les Actualités du 13 au 19 Décembre 2004
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Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 49 – 2004
Toutes les Actualités du 29 Novembre au 5 Décembre 2004
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Reprise après sinistre avec DFS
par Douglas Toombs - Mis en ligne le 8/12/2004 - Publié en Novembre 2003
Comment répliquer fiablement certains types de données en prévision du pire
En matière de planning de reprise
après sinistre, la question est : qu'estce
qui constitue un sinistre ou une catastrophe
? Même si la réponse semble
évidente, il est difficile de recenser tout
ce qui pourrait représenter un sinistre.
Les catastrophes naturelles comme les
incendies, les tremblements de terre,
les inondations, sont faciles à identifier.
Mais le danger peut aussi venir de
circonstances inhabituelles ...Par exemple,
j'habite dans la région de
Washington et ai rencontré des dizaines
de personnes dont la productivité
de ces deux dernières années a été
affectée par des quarantaines et des
évacuations dues à la menace d'attaques
terroristes, de guerre biologique
ou de délinquance. Il est évident
que la plupart des administrateurs IT
qui planifient l'éventualité d'un sinistre
ignorent ces genres de circonstances.
Après m'être entretenu avec des
gens confrontés à ces situations, j'ai
forgé ma propre définition d'un sinistre
: tout événement qui prive les
utilisateurs professionnels des données
de gestion pendant une durée inacceptable
(parfois de façon permanente),
mettant en danger la vie même
de l'entreprise. Je reconnais que ma
définition est très large : même un
simple incident comme une panne de
disque dur peut répondre à ces critères.
Toutefois, selon la quantité et le
type de données concernées et la capacité
de récupérer cette information
en temps utile (si c'est possible), certaines
entreprises pourraient facilement
considérer une défaillance de
disque dur comme un vrai sinistre.
Pour vous aider à mieux concevoir des
solutions de reprise après sinistre,
commencez à envisager le planning de
reprise comme le moyen de réduire le
temps pendant lequel vos utilisateurs
sont privés des données de gestion,
pour quelque raison que ce soit.
Voyons un exemple de scénario catastrophe
pour voir comment Microsoft
Dfs peut jouer un rôle dans votre plan
de reprise après sinistre et vous aider à
réduire le temps nécessaire pour reconnecter
les utilisateurs à certains
types de données.

Find Duplicates Wizard for SQL Server
Azlexica annonce Find Duplicates Wizard for SQL Server, logiciel qui permet d'effectuer une analyse dupliquée multi clés sur la base de données SQL Server 2000 ou 7.0, puis exporte le résultat dans le tableur.
Il effectue son processus directement sur le serveur, ainsi il n'est pas nécessaire d'envoyer les données sur le réseau pour l'analyse.
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