
News Exchange : Semaine 23 – 2006
Toutes les actualités du 5 au 11 Juin 2006 pour Exchange Server
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Environnements collaboratifs Microsoft SharePoint
Quest Software annonce une nouvelle gamme de solutions pour administrer, contrôler l’exploitation et migrer les ressources des environnements collaboratifs Microsoft SharePoint.
Disponibles dans les prochains mois, ces nouvelles solutions capitaliseront sur l’expertise de Quest Software en matière d’administration et de migration des infrastructures Microsoft, dont Active Directory, Microsoft Exchange, SQL Server, Windows Server.
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Les actualités de la semaine 23 – Windows IT Pro – 2006
Toutes les actualités du 5 au 11 Juin 2006
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Les nouveautés de la semaine 23 – Windows IT Pro – 2006
Tous les nouveaux produits de la semaine du 5 au 11 Juin 2006
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ExBPA “Exchange Best Practices Analyzer”
par Thierry Deman, Mis en ligne le 07/06/06 - Publié en Mai 2005
Cet outil a pour fonction d’examiner votre configuration, en l’occurrence vos différents serveurs Exchange, sur une liste de points précis afin d’évaluer et surtout d’améliorer votre configuration en la comparant avec les bons usages ou les bonnes pratiques.Cela ne signifie pas que votre configuration soit mauvaise. Cela ne va pas forcément non plus corriger tous vos problèmes, mais cela peut vous aider à détecter un ensemble d’anomalies qui peuvent causer des soucis actuels ou à venir.
Derrière cet outil se cache la volonté d’améliorer l’utilisation des produits Microsoft en utilisant la meilleure configuration et les meilleurs paramètres. Dans le même ordre d’idée, l’outil SQLBPA analysera la configuration des services MS/SQLSERVEUR. L’outil MBSA, beaucoup plus connu et médiatisé, rentre dans la même catégorie de recherche des « meilleures pratiques ». Il est probable que d’autres outils de ce type seront créés en fonction des besoins.

Comment valoriser l’image d’Outlook auprès des utilisateurs
par Joseph Neubauer, Mis en ligne le 07/06/06 - Publié en Mai 2005
Microsoft Office Outlook 2003 contient une multitude d’options et de fonctionnalités utiles. Après des années passées à résoudre des problèmes et à répondre aux questions des utilisateurs, j’ai identifié 10 modifications à apporter au paramétrage par défaut d’Outlook afin d’améliorer ses performances et son image auprès des utilisateurs. Cet article présente la finalité de ces modifications, puis explique leur mise en oeuvre.

Comprendre les plans d’accès et les chemins de données ouverts
par Dan Cruikshank, Mis en ligne le 07/06/2006 - Publié en Février 2006
Dans l’article « Comparaison des performances entre fichiers définis par DDS et fichiers définis par SQL » (iSeries News juillet 2005, www.itpro.fr Club abonnés), j’expliquais les différences architecturales entre les objets base de données créés par SQL DDL et DDS. J’indiquais aussi comment reconditionner les bases de données DDS existantes pour que les programmes HLL existants puissent bénéficier des améliorations SQL. Cette stratégie constitue la phase 1 de ma méthodologie de réingénierie de base de données et de transformation des programmes applicatifsIci, je commence à examiner la phase 2 :
l’isolation de la base de données. En fait, la phase 1 était la première étape vers cette isolation. En essence, tous les objets et membres source PF (Physical File) DDS ont été convertis en objets et membres source LF (Logical File) DDS. Le code source LF DDS existant a été modifié pour partager les chemins d’accès index 64 K SQL et, si nécessaire, partager le format du fichier physique original transformé (figure 1).
Les environnements de la phase 2 sont caractérisés par la séparation de la fonction d’I/O base de données d’une part, des processus de gestion et de présentation de l’application d’autre part. Cela a porté plusieurs noms (développement d’application n-tier, Model-View-Controller, par exemple).
Pour obtenir les meilleurs résultats avec SQL, je vous conseille de commencer avec une base de données créée par SQL (phase 1) et d’effectuer tous les accès base de données via des instructions DML (Data Manipulation Language) SQL imbriquées dans les modules d’I/O HLL (phase 2).
J’évoque d’autres changements architecturaux notables concernant la manière dont un programme HLL RLA (Record Level Access) et un programme HLL contenant du SQL imbriqué statique, sont activés puis exécutés. En particulier, je compare la vérification du format d’enregistrement RLA et la validation du plan d’accès SQL et je parle de la faculté de réutilisation d’ODP (Open Data Path).
Je suis la structure de la série Performance Mystery écrite avec James Stewart. Pour commencer, je présente une situation client réelle, en comparant les résultats avant et après.
Ensuite, j’entre dans le détail de la solution à apporter au problème client. Je clos le débat avec quelques considérations et recommandations.
Dès lors que les développeurs d’applications comprennent le mécanisme de base de l’initiation, de l’exécution et de la terminaison des programmes, ils pourront écrire un code meilleur et plus efficace dès la première fois, évitant ainsi de rendre une visite coûteuse à votre serviteur. Parfois, ces visites ne sont pas très agréables.

Comparaison des diverses techniques de tri de sous-fichiers
par Scott Klement, Mis en ligne le 07/06/2006 - Publié en Février 2006
Au fil des ans j’ai reçu de nombreux conseils sur « la meilleure » manière de trier un sous-fichier. Certaines des méthodes préconisées étaient simples, d’autres très complexes, mais toutes m’étaient présentées comme « la plus efficace ». Vous conviendrez avec moi que toutes ne peuvent pas être les plus efficaces. Dans cet article, je passe en revue plusieurs méthodes de tri d’un sous-fichier, j’analyse leurs avantages et inconvénients et teste chacune d’elles pour illustrer les différences de performances.Les documents traitant de performances doivent toujours être interprétés avec circonspection. En effet, les performances résultent de nombreux facteurs qu’il est difficile de prendre en compte globalement. Si vous attachez une grande importance à la performance, le mieux est d’essayer chaque méthode de tri par vous-mêmes avant d’en choisir une. Bien que je me sois efforcé de fournir des résultats aussi exacts que possible, votre matériel et vos données sont certainement différents des miens et il est donc probable que vos résultats ne seront pas exactement les mêmes. Pour que vous compreniez bien comment j’ai obtenus les nombres présentés dans cet article, je vais commencer par décrire l’environnement utilisé.

Trucs & Astuces : Pensez Mac Mini !
Les trucs & astuces de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 2006
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Six conseils pour FTP sur iSeries
par Sharon L. Hoffman, Mis en ligne le 31/05/2006 - Publié en Janvier 2006
FTP (File Transfert Protocol), le protocole de transfert de fichier TCP/IP, est l’un des programmes les plus répandus de l’histoire informatique. On le trouve partout : sur des mainframes, des systèmes milieu de gamme, des postes de travail, des assistants personnels (PDA), et même des téléphones cellulaires. Il sert à transférer des fichiers entre des plates-formes et des systèmes d’exploitation très disparates. Mais, compte tenu de ses nombreuses commandes, sa maîtrise n’est pas simple.FTP pose un défi particulier sur l’iSeries, à cause de son originalité architecturale. Les différences sont multiples : jeux de caractères – EBCDIC vs ASCII ; type de fichier – format fixe vs. streaming ; et endiguement des données – objets encapsulés vs. fichiers binaires simples. Il n’est pas facile de surmonter ces différences et de nombreux pièges subtils attendent le débutant. Ainsi, le transfert d’objets i5/OS entre systèmes n’est pas aussi simple que le transfert de fichiers de données sur d’autres systèmes, parce que FTP ne peut pas accéder directement aux bibliothèques, fichiers et programmes i5/OS encapsulés.
Pour vous procurer une certaine expérience dans l’utilisation de FTP sur l’iSeries, nous présentons ces six conseils FTP, simples mais puissants. Chaque conseil ou astuce contient plusieurs idées utiles, couvrant les problèmes les plus courants qui se posent aux utilisateurs FTP. Au cours des ans, nous avons présenté des dizaines d’autres conseils concernant FTP.

SSL sur l’iSeries : où commencer ?
par Tim Mullenbach, Mis en ligne le 31/05/2006 - Publié en Janvier 2006
Je fais partie des millions d’heureux mortels qui ont reçu une lettre, il y a quelques mois, expliquant que l’information sur leur compte personnel avait été perdue… sur un camion en route vers une unité de stockage. Et d’ajouter que cela ne se reproduirait pas, parce que désormais, les données seraient cryptées et envoyées par des moyens électroniques. Cela m’est d’un grand réconfort ainsi qu’aux autres millions de clients qui ont perdu leur information. Je me suis demandé pourquoi cela ne se faisait pas depuis plusieurs années. Le cryptage et SSL (Secure Sockets Layer) sont des technologies matures connues depuis plus d’une décennie.Certaines personnes peuvent être intimidées par SSL et cela explique peutêtre le retard de mise en oeuvre évoqué ci-dessus. On peut dire sans trop de risque que la plupart des professionnels de technologies de l’information n’ont pas de diplômes d’experts en cryptographie, et ils n’ont pas non plus le désir de le devenir ou ne disposent pas de la bande passante à cet effet. Je vais donc aborder SSL en général et SSL iSeries en particulier, de manière à ouvrir la voie du futur utilisateur de SSL iSeries.

Les actualités de la semaine 22 – Windows IT Pro – 2006
Toutes les actualités du 29 Mai au 4 Juin 2006
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Les nouveautés de la semaine 22 – Windows IT Pro – 2006
Tous les nouveaux produits de la semaine du 29 Mai au 4 Juin 2006
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Fonctionnalités d’Exchange Server 2007
Découvrez les fonctionnalités d’Exchange Server 2007.
A suivre sur http://exchange.microsoftgroups.org/lists/announcements/DispForm.aspx?ID=1112
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News Exchange : Semaine 21 – 2006
Toutes les actualités du 22 au 28 Mai 2006 pour Exchange Server
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Conférences Internet et Sécurité
Prise en compte des aspects légaux : un enjeu majeur pour les entreprises !
Participez à cette conférence et découvrez comment mieux appréhender les aspects légaux et la sécurisation des accès Internet.

Faire fonctionner NTBackup
par Bill Stewart - Mis en ligne le 31/05/06 - Publié en Janvier 2005
Tout scénario de reprise de données fait une part importante aux sauvegardes programmées. Dans Windows 2000 et versions ultérieures, l’utilitaire NTBackup est intégré au service Removable Storage et à Task Scheduler, pour simplifier la gestion des supports et automatiser les sauvegardes sans assistance. C’est sans aucun doute une amélioration par rapport à l’utilitaire NTBackup de Windows NT Server 4.0, démuni de telles fonctions.Bien que NTBackup, le service Removable Storage et Task Scheduler soient documentés séparément dans le système d’aide en ligne Windows, les interactions entre ces outils ne sont pas expliquées avec suffisamment de clarté. NTBackup est simple à utiliser en mode interactif, mais beaucoup d’utilisateurs ont eu du mal quand ils se sont risqués à pratiquer des sauvegardes programmées. J’ai vu beaucoup de PME acheter un logiciel de sauvegarde tiers simplement parce que NTBackup était perçu comme trop compliqué et difficile d’emploi. Je vais vous montrer comment NTBackup, le service Removable Storage et Task Scheduler travaillent à l’unisson, et comment allouer des bandes, créer des jobs planifiés et enlever des bandes défaillantes. A noter que mes instructions s’appliquent à un lecteur de bande autonome. Le mode opératoire peut être différent avec d’autres types de matériel de sauvegarde, comme des bibliothèques robotisées.

L’archivage et la messagerie sous Exchange
par Pascal Creusot - Mis en ligne le 24/05/06 - Publié en Mai 2005
Les applications et surtout l’utilisation de messagerie ont pris de plus en plus d’ampleur au sein des entreprises ces dernières années. Microsoft Exchange n’échappe pas à cette règle dont la première conséquence est le besoin des utilisateurs en termes de disponibilité, mais aussi un besoin de plus en plus en termes de gestion et de recherche des messages.Avec la multiplication des lois dans différents pays, des directives au niveau européen, les demandes des utilisateurs en termes de recherche des informations, il devient de plus en plus urgent pour les entreprises de se préoccuper de l’archivage des messages. Les besoins sont divers et les demandes variées. Donc avant de s’embarquer dans des solutions plus ou moins bien adaptées, il convient de faire un bilan des besoins précis afin de définir correctement les solutions possibles. Une première approche simpliste consiste à dissocier essentiellement deux buts différents pour la mise en place de l’archivage de messagerie : l’archivage légal et l’archivage à des fins de recherche et de suivi. Mais dans le cadre d’un projet plus global, il est important de regarder ce type de solution avec une perspective plus lointaine et donc plus importante. C’est donc la gestion globale du stockage au sein des serveurs de messagerie Exchange qu’il faut analyser et non pas effectuer simplement prise de conscience de cette nécessité incontournable. Dans cette optique, il ne faut pas perdre de vue les deux objectifs principaux d’un tel projet qui sont la mise en place d’un moyen de conserver des traces des messages qui constituent des preuves juridiques, le but n’étant pas de les stocker tous, mais de stocker uniquement les plus critiques, le second objectif est lié à l’optimisation, à la circulation et à la gestion des documents.

Office 2003 et Sharepoint : l’accord parfait
par Kevin Laahs - Mis en ligne le 24/05/06 - Publié en Mars 2005
Windows SharePoint Services (WSS) et Microsoft Share- Point Portal Server (SPS) 2003 proposent une plate-forme fédératrice, intégrée et extensible, capable de répondre aux besoins de collaboration des petites équipes comme des grandes entreprises. Si votre rôle consiste à générer de la propriété intellectuelle ou à faire en sorte que les personnes puissent publier et trouver des informations pertinentes, la plate-forme SharePoint procure les services qui vous aideront à réussir.WSS est une application Web à trois niveaux, qui se présente sous la forme d’un module complémentaire de Windows Server 2003. Vous pouvez télécharger WSS à partir du site Web de Microsoft (http://www.microsoft.com/windowsserver2003/ techinfo/sharepoint/wss.mspx). Cet outil fournit une infrastructure de site servant de base à la création de sites d’équipe gérant le partage d’informations entre les utilisateurs. Un site d’équipe WSS propose des bibliothèques de documents et des listes extensibles pour les annonces, événements, tâches, contacts, publications, enquêtes et discussions. En dépit des possibilités d’évolution verticale et horizontale de WSS afin de répondre aux besoins de centaines de milliers de sites d’équipe, sa véritable puissance réside dans la capacité pour les utilisateurs de concevoir et créer des sites sur mesure en fonction de leurs desiderata.
SPS s’appuie sur l’infrastructure de site de WSS en facilitant la publication d’informations pertinentes entre plusieurs départements ou organisations. Pour ce faire, le produit serveur propose une multitude de fonctionnalités, parmi lesquelles le ciblage de l’audience (afin de s’assurer que les personnes concernées reçoivent les informations pertinentes), les recherches de niveau entreprise (les données de sources multiples sont indexées afin de fournir des données de recherche pertinentes et agrégées) et les sites Web personnels pour tous les utilisateurs. A la différence de WSS, SPS n’est pas un module complémentaire gratuit, mais une application à acquérir et faisant l’objet d’une licence d’utilisation. Pour plus d’informations sur SPS, allez à l’adresse http://www.microsoft. com/sharepoint.
En eux-mêmes, WSS et SPS apportent aux utilisateurs de nombreuses fonctionnalités pour la collaboration. Toutefois, l’un des objectifs premiers de la plate-forme SharePoint est de prendre en charge le travail collaboratif en permettant à d’autres applications d’exploiter facilement ses services. En d’autres termes, le but est de mettre des services collaboratifs à la disposition de n’importe quelle application exécutée par l’utilisateur, au lieu d’imposer le recours systématique à une application de collaboration dédiée. Bâtie sur Microsoft Internet Information Services (IIS) 6.0, Microsoft SQL Server 2000, Windows .NET Framewok et ASP.NET, la plate-forme SharePoint concrétise cette approche en exposant ses fonctionnalités par le biais d’une bibliothèque d’objets gérés et de plusieurs services Web XML.
Microsoft Office 2003 constitue une excellente application pour mettre en exergue les avantages de la plate-forme SharePoint. Il existe tellement de points d’intégration entre Office 2003 et la plate-forme SharePoint que cet article ne peut pas tous les énumérer.
Par conséquent, nous allons nous attacher ici à montrer comment SharePoint peut contribuer aux processus de création et de publication de documents dans les applications Office 2003. Mais avant d’aller plus loin dans cette voie, voyons d’abord comment Office 2003 peut aider les utilisateurs de SharePoint.

Trucs & Astuces : Du commutateur téléphonique d’entreprise à VoIP…
Les trucs & astuces de la semaine du 22 au 28 Mai 2006
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