par Kim Greene
Grâce à ces quelques conseils, rendez la R5 de Domino encore plus performante
Domino R5 vise surtout à l'amélioration des performances. Parmi les améliorations
les plus notables de cette version, on trouve une nouvelle structure de base de
documents, une meilleure évolutivité dans une partition unique, le pooling des
" threads " (unités d'exécution), de meilleures performances de la pile TCP/IP,
et des réglages sur la taille mémoire allouée par utilisateur. Ces améliorations
donnent aux utilisateurs AS/400 encore plus d'évolutivité qu'avec Domino R4.6.x
pour AS/400. Examinons les principales améliorations de performances et quelques
techniques permettant de les utiliser pour obtenir le maximum de performances
de R5 sur l'AS/400.
Dopez les performances de Domino R5 !

La modification la plus importante en R5 est le nouveau format des bases documentaires
: ODS (On-Disk Structure). Ce format améliore l’intégrité des bases, l’utilisation
de la CPU et de la mémoire, réduit les I/O et corrige les faiblesses en matière
de gestion des bases. ODS est l’architecture interne des bases de documents Notes.
La R4.6.x souffrait de limitations architecturales freinant les performances sur
de nombreuses plates-formes. C’est pourquoi ODS a été reconçu afin de se rapprocher
davantage à la structure de base de données relationnelle DB2/400. Ce nouvel ODS,
ODS41, rend les bases documentaires Notes plus robustes et améliore leurs performances,
particulièrement quand plusieurs utilisateurs accèdent à la même base. ODS permet
aux utilisateurs de modifier un nombre de propriétés de la base qui contribuent
à améliorer les performances des bases et des vues.
Le nombre d’utilisateurs par partition est passé de 2700 en R4.6.3 à 10.500 en
R5La modification la plus importante en matière de propriété d’une base réside
dans les marques « non lues » (unread marks) qui suivent les documents non encore
lus. Mais, si la possibilité de suivi des documents est parfois utile, dans de
nombreux cas cette information est superflue et le maintien systématique de ces
marques génère des besoins en ressources. Ainsi, si les » unread marks » sont
tout à fait utiles dans des fichiers de commerce électronique, elles peuvent ne
présenter aucun intérêt dans une application de workflow ou de service Web. Le
maintien de ces marques pouvant ralentir sensiblement les performances des bases,
je conseille de désactiver cette fonction à chaque fois que c’est possible. Pour
cela, on sélectionne la propriété de base de documents » Ne pas gérer les marqueurs
de non lus « .
On peut la sélectionner via la boîte » Propriétés « , obtenue en cliquant sur Fichier,
Base de documents, Propriétés ou en faisant un clic droit sur une base de données
et en sélectionnant Base de documents, Propriétés. Une fois la boîte de dialogue
» Propriétés » affichée, cliquer sur l’onglet en forme de chapeau à hélice et
cocher la case de l’option » Ne pas gérer les marqueurs non lus « . La figure 1
illustre cela. Le fait de ne pas conserver la propriété » unread marks » dans
Domino pour AS/400 peut réduire l’utilisation de la CPU de 20 % tout en améliorant
le temps de réponse moyen d’environ 30 %.
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