Cette étude indépendante révèle que les services informatiques des grandes entreprises ne sont pas correctement préparés. 92% des sociétés internationales seraient confrontées à de graves conséquences si elles devaient mettre en oeuvre leur plan de reprise d'activité.
Une nouvelle étude révèle que les services informatiques des grandes entreprises ne sont pas correctement préparés à la gestion d'un sinistre.
92 % des sociétés internationales seraient confrontées à de graves conséquences si elles devaient mettre en oeuvre leur plan de reprise d’activité après sinistre.
VERITAS Software publie les résultats de sa troisième étude annuelle sur la sécurité des entreprises qui révèle que 43 % des entreprises mondiales restent très peu préparées à gérer un sinistre majeur. Cette enquête, menée par le Cabinet anglais Dynamic Markets Ltd., a porté sur 1259 responsables informatiques de sociétés comptant plus de 500 employés. Elle montre que seulement 38 % des sociétés interrogées déclarent disposer de plans de reprise d’activité après sinistre et de continuité de service, en dépit du fait que 92 % admettent qu’elles seraient confrontées à de graves conséquences en cas de problème majeur affectant leur infrastructure informatique.
Par rapport aux résultats de l’étude 2003, la fréquence d’exécution des plans de reprise d’activité a nettement augmenté (51 % des sociétés interrogées déclarent avoir utilisé leur plan, contre 33 % auparavant). Ceci signifie que 18 % des sociétés (près d’une sur cinq) ont mis en oeuvre leur plan pour la première fois au cours des 12 derniers mois. Le motif le plus souvent cité consiste en des pannes de systèmes informatiques associées au matériel ou à des défaillances logicielles (37 %)
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