La puissante combinaison d'OpNav et d'UDB/400 dans la V4R4 facilite la création
d'objets SQL sur l'AS/400
Les dernières releases de l'OS/400 ont apporté des améliorations au répertoire
Database d'Operations Navigator (OpNav), où l'on gère les objets DB2/400 de l'AS/400.
En V4R4, IBM a encore amélioré l'aspect base de données d'OpNav grâce à une interface
graphique pour les fonctionnalités base de données relationnelle de type objet
de DB2 UDB/400 (Universal Database for AS/400). La V4R4 permet de créer des types
définis par l'utilisateur (UDT: User-Defined Types) et des fonctions définies
par l'utilisateur (UDF: User-Defined Functions) dans OpNav. En outre, OpNav permet
désormais de définir des tables en utilisant des UDT, des LOB (Large OBjects)
et des types de colonnes datalink. (Pour plus d'informations sur ces types de
données, voir l'article “ UDB devient universel sur l'AS/400 ”, NEWSMAGAZINE,
mai 1999). Pour bénéficier des nouvelles fonctions base de données et du support
OpNav correspondant, il faut posséder le V4R4 Database Enhance PAK et le dernier
service pack pour Client Access Express.
L'interface graphique d'OpNav permet aux utilisateurs de créer et de travailler
avec des objets base de données en utilisant SQL sur l'AS/400, tout en masquant
certaines complexités de l'écriture d'instructions SQL. Je prolonge l'exemple
d'application Corporate Data pour montrer comment on peut utiliser l'interface
d'OpNav pour créer un UDT, une table et une UDF, avec très peu de code SQL.
L'interface graphique d'OpNav permet de manipuler des objets base de données
avec SQL tout en masquant certaines complexités de l'écriture d'instructions SQL
Operations-Navigator passe la quatrième pour UDB/400
Les UDT permettent de créer ses propres types de données à partir de ceux du système.
Ils procurent une définition de données standard, plus significative pour les
utilisateurs, et utilisable dans des opérations définies avec un type compatible.
Les concepteurs de bases de données peuvent, par exemple, utiliser les UDT pour
créer des types de colonnes liés à un modèle de gestion plutôt qu’à un modèle
de programmation. Ils peuvent aussi les utiliser comme un ensemble de types communs
dans lesquels ils pourront choisir lorsqu’ils créeront ou modifieront des tables
dans leurs applications, tout en sachant que les UDT seront standard dans toute
l’application. Si l’on utilise DDS pour créer des fichiers, les UDT peuvent fournir
certaines des mêmes possibilités qu’un fichier de références de zones.
Les UDT peuvent réduire le temps nécessaire pour analyser des colonnes dans les
tables existantes d’une application lorsqu’on détermine le type et la longueur
de colonne à utiliser. Ils peuvent aussi réduire le risque d’erreurs en fournissant
un moyen standard de définir une colonne présentant le même type et la même longueur
dans toutes les applications. En outre, on peut utiliser un UDT créé comme type
de colonne pour définir des colonnes dans une table.
Téléchargez cette ressource
Solutions Cloud & Services Managés Simplifiés
Comment capitaliser sur son existant tout en bénéficiant, dès à présent, des promesses de flexibilité et de scalabilité du cloud ? Découvrez les bonnes pratiques pour répondre aux défis de simplification du Cloud dans ce nouveau TOP 5.
Les articles les plus consultés
Les plus consultés sur iTPro.fr
- Connaître son client : exploiter les API des réseaux pour offrir des services personnalisés et sur mesure
- Architecte cloud : applications de chatbot & Azure OpenAI Service
- Le LLMjacking : quand les cyberattaques utilisent illicitement des comptes LLM
- Les identités des développeurs doivent être prises en compte !
- Architecture de données ouverte : un levier essentiel pour maximiser les bénéfices de l’IA générative