par Al Barsa, Jr. et Dwight Mendoza - Mis en ligne le 30/08/02
IBM a doté la V4R4 de LPAR (Logical
Partitioning) pour aider les administrateurs
à regrouper des systèmes, empêcher
la duplication superflue de ressources
système, et alléger le fardeau
administratif. La V5R1 présentait une
amélioration importante : la possibilité
de déplacer des ressources de traitement
(processeurs, capacité interactive
et mémoire) dynamiquement entre
des partitions.
Cette amélioration accroît sensiblement
les performances des systèmes
utilisant LPAR, parce qu'elle permet aux
administrateurs de déplacer ces ressources
là où elles sont le plus nécessaires,
sans pratiquer un IPL des partitions
concernées. Cet article examine
divers aspects des performances de
partition sur un système LPAR et avance
quelques suggestions sur la manière de
planifier une configuration LPAR et de
déplacer dynamiquement les ressources
de traitement pour optimiser
les performances.
Optimisation des performances de LPAR sur l’iSeries

En premier lieu, clarifions le sens du
mot performance. Un utilisateur ou
une société pourrait envisager d’optimiser
la performance sur un système
LPAR en obtenant le maximum de débit
de l’empreinte. Le terme « empreinte »
désigne ici la totalité du système
matériel iSeries (c’est-à -dire toutes les partitions dans leur ensemble, par opposition
à toute partition isolée).
L’utilisation de ce terme est nécessaire
car le terme « système » est quelque
peu ambigu sous LPAR – s’agit-il de
tout le système matériel iSeries (représenté
par un numéro de série) ou
d’une seule partition (qui fonctionne
comme un système logique indépendant)
? Tel hôte pourrait considérer
que la performance optimale est un
état dans lequel les partitions de production
obtiennent n’importe quelle
ressource de traitement nécessaire,
sans se soucier de ce qu’il en coûte au
développement ou à d’autres partitions.
Troisième point de vue : l’optimisation
de la performance pourrait être
définie en termes temporels, comme
le fait d’allouer à la partition « LONDON
» le maximum de ressources de
traitement possibles pendant ses
heures de pointe, à la partition « SANDIEGO
» le maximum de ressources
possibles pendant son utilisation de
pointe, et ainsi de suite.
Quel que soit le poids de l’environnement
sur la manière dont on perçoit
la performance, une chose est claire :
l’utilisation de LPAR pour optimiser la
performance du système impose une
analyse approfondie des objectifs de
performance de chaque partition et de
l’empreinte dans son ensemble.
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