par Joseph Kinsella. Mise en ligne : 2 Avril 2007. Publication Windows ITPro Magazine : Juin 2005
A cette minute même, les systèmes informatiques de votre entreprise sont probablement en train de communiquer avec des sociétés dont ni vous ni vos utilisateurs n’ont entendu parler. Des sociétés que leurs pays d’origine immunisent contre la législation pénale et civile et dont les identités sont souvent camouflées. Dans de nombreux cas, ces sociétés ont l’accès administratifs aux systèmes de votre réseau interne et peuvent ainsi installer régulièrement du logiciel sur vos systèmes et modifier leur configuration. Avec deux conséquences négatives : augmentation sensible du trafic Web et risque d’usurpation de l’identité d’entreprise. Cette révélation vous étonne ? Vous n’êtes pas le seul ! La méthode que ces intrus malfaisants utilisent, appelée spyware, est l’un des risques les plus mal perçus par l’industrie informatique.
Stop aux Spyware
A l’origine, le terme spyware (ou logiciel espion) désignait une catégorie de logiciels de surveillance utilisés par des organismes juridiques et autres pour surveiller l’activité de l’utilisateur d’ordinateur. Plus récemment, la signification du terme s’est élargie : il inclut désormais tout logiciel qui surveille ou contrôle un ordinateur sans le consentement clair et direct de l’utilisateur. (Cette acception est aujourd’hui la plus courante et c’est en tout cas celle que j’utilise ici.) Le logiciel espion ou spyware est constitué de trois catégories principales : l’adware, le snoopware et le malware. Adware.
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