 
                Administrer les variables d’environnement de Windows NT
Dans les groupes de discussion, reviennent fréquemment des questions sur les variables d'environnement. Les administrateurs Windows NT ont souvent du mal à accéder aux informations stockées par ces variables. Pour définir et lire des variables d'environnement sur les machines NT il existe plusieurs techniques. Cet article explique comment un administrateur NT expérimenté peut gérer des variables système et utilisateur avec les utilitaires du Kit de ressources de Windows NT Server 4.0, des fichiers batch et des applications VBScript (Visual Basic).
Lire l'article 
                XML et les technologies de scripting de Microsoft
Il y a un peu plus d'un an, interrogé sur l'impact qu'allait avoir XML sur les technologies de script de Windows, j'avais répondu que XML allait certainement jouer un rôle crucial pour le développement des applications Web, mais qu'il n'affecterait pas l'univers des scripts d'administration de systèmes. Or Windows Scripting Host 2.0 m'a donné tort. Egalement baptisé Windows Script 5.1, Windows Scripting Host 2.0 (WSH) comporte de nouvelles fonctions puissantes dépendant d'un nouveau type de fichier et d'un nouveau format. Vous voulez savoir quel type de fichier ? Alors, suivez-moi. WSH 2.0 comprend de nouvelles fonctions telles que, par exemple, le support des fichiers inclus, plusieurs moteurs de script, de nouveaux outils. Parmi ces nouvelles fonctions, plusieurs dépendent du nouveau format de fichier Windows Script (WS). Les fichiers WS de WSH 2.0 ne sont pas de simples fichiers ASCII contenant du code VBScript, Jscript ou d'autres langages de script compatibles ActiveX. Ce sont des applications XML (Extensible Markup Language) structurées par Microsoft selon le schéma WS XML. Le nouveau type de fichier et le nouveau format créent un cadre d'écriture de script amélioré et puissant. Examinons le schéma WS XML et les nouvelles fonctions qu'il apporte.
Lire l'article 
                Naviguer dans la résolution de noms 2ème Partie
Même les administrateurs Windows NT les plus chevronnés ne maîtrisent pas parfaitement le processus de résolution des noms des réseaux Windows. On ne saurait le leur reprocher. Qui pourrait s'y retrouver dans ce monde truffé de standards de serveurs de noms, d'ordres de résolution de clients modifiables, de serveurs WINS auto-destructeurs, de service packs et de correctifs modifiant la résolution des noms et d'une avalanche d'articles Microsoft contradictoires. Le seul espoir si l'on veut maîtriser la résolution de noms Windows est de comprendre la méthodologie sous-jacente pour pouvoir régler les problèmes lorsqu'ils surviennent sur un réseau. (Dans l'article " Naviguer dans la résolution de noms, Partie 1 " de septembre 2000, nous avons vu les bases de la résolution des noms, décrit les causes cachées et les malentendus communs liés à la résolution des noms et proposé un certain nombre de solutions pour des situations spécifiques). J'ai trouvé quelques solutions pour atténuer les malheurs de la résolution des noms.
Lire l'article 
                Améliorez les performances base de données avec l’assistant d’optimisation des index
par Itzik Ben-Gan
En utilisant des index appropriés, les requêtes deviennent plus performantes qu'elles 
ne l'ont jamais été 
Avez-vous créé des index optimisés pour votre base de données ? Avez-vous pensé 
à  utiliser les meilleurs index de tables clusterisés ? Avez-vous déterminé quels 
index peuvent améliorer les performances des requêtes ? Le choix du meilleur index 
clusterisé pour une table base de données principale constitue l'un des problèmes 
les plus ardus que rencontrent les administrateurs de bases de données. 
Toutefois, le choix des meilleurs index non clusterisés n'est pas non plus très 
aisé. En effet, cela impose de prendre en considération la distribution statistique 
des données, les différentes techniques utilisées par l'optimiseur de requêtes 
pour concevoir un plan d'exécution efficace, ainsi que le nombre de sélections 
et de modifications effectuées par les utilisateurs sur la base de données pour 
ne pas créer d'index superflus.
Les développeurs SQL Server 7.0 disposent déjà  de SQL Profiler, un outil 
inestimable permettant de suivre les requêtes
Ne serait-il pas idéal de disposer d'un outil capable d'analyser les requêtes 
effectuées sur sa base de données et de recommander les index à  créer ? Et bien 
coup de chance. Les développeurs SQL Server 7.0 disposent déjà  de SQL Profiler, 
un outil inestimable permettant de suivre les requêtes effectuées sur une base 
de données. On peut enregistrer le résultat de Profiler dans un fichier, une table 
ou un script SQL. On peut ensuite analyser ce résultat à  l'aide d'un autre outil 
de SQL Server 7.0, l'assistant d'optimisation d'index ou Index Tuning Wizard (ITW), 
lequel recommande les index à  concevoir.
Pour s'assurer que l'ITW donne des indications efficaces, il faut assurer un suivi 
des requêtes pendant une période d'activité type sur le système (et non une période 
d'activité exceptionnellement intense ou faible ni une période où se produisent 
des activités exceptionnelles). Il faut également décider pendant combien de temps 
Profiler doit suivre les requêtes. On peut par exemple avoir une représentation 
caractéristique de l'activité du système, en ne faisant une trace avec Profiler 
que durant quelques heures. Ou alors, il faudra effectuer un suivi sur quelques 
jours ou plus pour capturer les variations d'activité en cours de journée ou sur 
plusieurs jours. 
 
                SSL et la cryptographie
Historiquement, SSL est un protocole mis au point par Netscape pour la sécurisation des communications sur le Web. Tous les acteurs du marché ont accepté ce protocole et le supportent, en attendant l'arrivée d'un standard international. Ce standard appelé TLS (Transport Layer Security), basé sur SSL, est mis au point par le l'IETF (Internet Engineering Task Force) et a été publié il y a peu de temps (TLS 1.0). Tous les éditeurs significatifs supportent ou ont annoncé leur intention de supporter TLS 1.0.Afin de comprendre ce qu'est SSL, il est indispensable de maîtriser les concepts de cryptographie qui en constituent les fondations.
Lire l'article 
                Les 4 outils freeware indispensables
Personne n'apprécie de se voir offrir quelque chose pour découvrir ensuite qu'il y a un loup. Dans la jungle des logiciels gratuits, de nombreux pièges attendent le téléchargeur innocent. Au début, tout va bien et il semble que le fournisseur donne tout gratuitement. Par la suite, on se rend souvent compte que l'on a affaire en réalité à une version de démo, un shareware ou, plus dangereux, du « snareware » ou « Spamware » - des programmes qui infiltrent votre carnet d'adresse ou votre messagerie. Si l'on sait où chercher, il est possible de découvrir une poignée d'utilitaires gratuits pour Windows NT qui faciliteront votre travail et vous permettront de résoudre des problèmes courants. N'en attendez pas de miracles cependant et soyez conscient qu'il est difficile de trouver des produits freeware déployables sur un réseau. Après une période échevelée de chasse sur le net, de téléchargement et de test de freeware, voici ma liste d'utilitaires gratuits les plus utiles pour la plate-forme Windows NT.
Lire l'article 
                Le service d’équilibrage des charges de Windows NT
Les sites Web reposant sur des applications sophistiquées sont confrontés à  deux 
problèmes principaux : la fiabilité et la montée en charge. Les utilisateurs ont 
besoin d'un accès fiable aux applications Web, y compris celles de l'intranet 
de leur entreprise. 
L'augmentation du trafic à  la fois sur les sites Internet et intranet est venue 
renforcer le problème de la capacité des applications à  croître : le trafic d'un 
site Web peut passer de 1.000 à  80.000 hits par jour. L'utilisation d'un seul 
serveur pour garantir la fiabilité est problématique, car en cas d'arrêt du serveur, 
les applications s'arrêtent également. 
De plus un serveur unique offre un potentiel limité de montée en charge.Les premières 
solutions mises en place par les webmestres et les administrateurs systèmes pour 
accroître la fiabilité et l'évolutivité faisaient appel à  des périphériques matériels 
comme le routeur DNS. Celui-ci distribuait aléatoirement, " à  tour de rôle " les 
requêtes aux différents serveurs du réseau pour équilibrer la charge. 
Cette méthode fonctionnait bien avec les premiers sites HTML et même avec certains 
sites hébergeant avec les premières applications Web. Mais l'arrivée d'applications 
Web dotées de fonctions plus sophistiquées, telles que le support de session Internet 
Information Server, qui stocke des informations sur le serveur entre les sessions 
d'un utilisateur, a mis à  mal la solution du routeur. Ce dernier est en effet 
incapable d'assurer l'équilibrage des charges nécessaire aux applications Web 
modernes.
Pour résoudre les problèmes de fiabilité et de montée en charge, les éditeurs 
ont développé des logiciels comme Convoy Cluster Software de Valence Research 
pour les serveurs NT. Fin 1998, Microsoft a acquis Valence Research et l'a rebaptisé 
Windows NT Load Balancing Service (WLBS) 2.2. WLBS est fourni gratuitement aux 
utilisateurs de l'édition Entreprise de Windows NT Server 4.0. (Pour l'obtenir, 
allez à  http://www.microsoft.com/ntserver/all/downloads.asp#windowsntserverfeatures). 
Fin 1998, Microsoft a acquis Valence Research et l'a rebaptisé Windows NT Load 
Balancing Service 
WLBS tourne également sur la version normale de Windows NT Server 4.0, mais il 
n'est pas intégré à  la licence de cette version. En revanche, lorsque vous passerez 
à  Windows 2000, sachez que WLBS ne fonctionnera que sur Windows 2000 Advanced 
Server et Windows 2000 Datacenter Server. Pour se servir de WLBS, il faut donc 
disposer de la bonne version et de la bonne licence de Windows NT, sans oublier 
d'adopter la bonne version de Windows 2000. 
 
                Les outils d’administration à distance du Kit de ressources
Les administrateurs système n'ont guère le 
temps de visiter chaque machine d'un réseau. Ils ont donc besoin d'outils d'administration 
de Windows NT Server 4.0, capables d'exécuter des scripts complexes simultanément 
sur plusieurs ordinateurs distants.
Certains administrateurs considèrent les progiciels de contrôle à  distance, comme 
pcAnywhere de Symantec ou Timbuktu Pro de Netopia comme des solutions satisfaisantes. 
Ces applications de contrôle à  distance conviennent particulièrement bien pour 
prendre le contrôle d'un PC, permettre l'interaction bi-univoque pour guider un 
utilisateur dans une tâche compliquée, accomplir une configuration isolée ou régler 
des problèmes avec des taches impossibles à  accomplir à  distance par le biais 
de scripts.
Mais ce que je me propose, c'est d'effectuer simultanément chaque tâche administrative 
sur plusieurs machines simultanément à  partir de l'invite de commande dans un 
environnement scripté. Pour cela, j'utilise les outils d'administration à  distance 
du Kit de ressources de Microsoft Windows NT Server 4.0, y compris le Supplément 
4. Pour tous les lecteurs qui veulent en faire autant, j'ai dressé la liste des 
outils que je trouve les plus utiles dans mes tâches administratives quotidiennes.
 
                Microsoft Site Server 3,0 édition Commerce électronique
L'édition Commerce électronique de Microsoft Site Server 3.0 simplifie la création d'une vitrine Internet en fournissant aux développeurs un ensemble d'outils et de possibilités, comme, par exemple, des boutiques types pour servir de modèles. Pour plus de personnalisation ou l'intégration à  l'existant, des modèles peuvent être modifiés ou créés de toute pièce.
Microsoft Site Server édition Commerce électronique (SSCE) permet de presque tout 
faire très facilement. Ses assistants peuvent générer votre site vitrine à  partir 
de zéro avec des mécanismes de base pour récolter des informations sur les acheteurs 
et les commandes, le stockage dans des bases de données et le traitement des commandes. 
SSCE comprend des outils intégrés de publicité et de promotion et des outils d'administration 
des vitrines. 
Ces outils, combinés à  des snap-in d'éditeurs tiers - calcul des taxes, coûts 
d'expédition, paiement - facilitent la création d'une vitrine de base et le démarrage 
d'une activité commerciale.Mais, pour comprendre SSCE et s'en servir pour créer 
une solution plus sophistiquée s'intégrant aux systèmes et aux bases de données 
de l'entreprise, il faut se retrousser ses manches et jeter un coup d'oeil sous 
le capot. A y regarder de plus près, on découvre que SSCE contient plusieurs technologies 
et structures essentielles : pages actives ASP (Active Server Pages), objets COM 
et pipeline de traitement des commandes. 
La plupart des pages d'un site Web SSCE sont des ASP côté serveur, contenant un 
script qui manipule un jeu d'objets COM fourni par Microsoft avec SSCE. Le logiciel 
les utilise pour recueillir des informations sur l'acheteur, extraire et enregistrer 
des données dans la base de données sous-jacente et traiter la commande du client 
grâce à  un pipeline de traitement de commande (OPP pour Order Processing Pipeline).
Les pipelines de traitement de commandes suivent les mêmes étapes que la caissière 
d'un magasin 
 
                Administrer tous les browsers Web de l’entreprise avec IEAK
La modification d'un tout petit paramètre sur le PC de tous vos utilisateurs peut 
simplifier l'administration quotidienne, mais la taille du parc machine de votre 
entreprise et le travail qui s'empile sur votre bureau risquent fort de ne pas 
vous permettre de procéder à  ce petit changement. Une fonction peu connue d'Internet 
Explorer (IE), baptisée configuration automatique, peut résoudre ce problème et 
contribuer à  faire baisser le coût global de possession (TCO).
Les OS modernes ont atteint un niveau de complexité parfois difficile à  gérer 
et les administrateurs doivent souvent évaluer les modifications d'infrastructure 
au cas par cas. 
Malheureusement, il leur faut bien faire le lien entre les changements logiques 
et le coût de leur mise en oeuvre.
Parfois, il suffit d'une petite modification sur tous les ordinateurs de la société 
pour améliorer l'administration quotidienne, mais intervenir sur tous les postes 
de travail est souvent impossible. Avec la configuration automatique du kit d'administration 
de Microsoft Internet Explorer (IEAK pour Internet Explorer Administration Kit), 
peut résoudre ce problème et contribuer à  faire baisser le coût global de possession 
(TCO). Cette fonction permet, en quelques clics de souris et frappes de touches 
sur une machine, de modifier les paramètres de l'application sur les milliers 
d'ordinateurs de votre organisation. 
 
                Sybase : une stratégie d’entreprise
Fondée en 1984, la société Sybase s'est rapidement fait connaître en tant qu'éditeur 
de SGBDR. Les performances impressionnantes, la simplicité de mise en oeuvre et 
la stabilité de SQLServer sont largement reconnues sur le marché. Sybase a acquis 
une image de société à  la pointe de la technologie grâce notamment à  l'introduction 
des procédures stockées et des triggers, aujourd'hui supportés par tous les grands 
éditeurs de SGBD.
avec une simple station Sun, sans le moindre incident d'exploitation pendant des 
mois (en ne redémarrant le serveur qu'une ou deux fois par an pour des mises à  
jour du système d'exploitation). 
Ce niveau de performance et de stabilité a permis à  Sybase de conquérir rapidement 
le marché bancaire et celui de l'assurance - les banques de Wall Street ont par 
exemple presque toutes choisi ce SGBDR.
Après dix ans de croissance et de succès, Sybase a connu des revers et de sérieuses 
difficultés pendant plusieurs années. Les difficultés n'étaient pas que financières 
et les incidents de migration vers les nouvelles releases de Sybase se sont succédés.
Pendant cette période délicate la société a multiplié les nouveaux produits et 
acquisitions de sociétés, sans réellement réussir à  redresser la situation... 
jusqu'à  l'année dernière. Il faut remarquer que même au plus fort de la tempête 
les clients traditionnels de Sybase n'ont pas abandonné et sont restés fidèles, 
donnant ainsi au marché un signe clair de la confiance à  long terme qu'ils avaient 
dans la société et dans les produits.
A la fin de 1998, Sybase a effectué un redéploiement stratégique de ses produits 
et profondément changé son approche du marché. 
Ce bouleversement a été un véritable succès pour la société d'Emeryville. Sybase 
a renoué avec les bénéfices en 1999 et fait cette année là  un chiffre d'affaires 
record de 872 M$. Après la pluie, le beau temps…
A la fin de 1998, Sybase a effectué un redéploiement stratégique de ses produits 
et profondément changé son approche du marchéSybase est à  présent restructuré 
en quatre divisions : Internet Application Division (IAD), Information Anywhere 
(I-Anywhere, anciennement MEC, Mobile Embedded Computing), Business Intelligence 
(BI) et Enterprise Solution Division (ESD). Si cette dernière division (qui inclut 
le traditionnel moteur de base de données) reste un pilier de la stratégie de 
Sybase, l'évolution de la société vers le développement de solutions pour la Net-Economie 
place la division IAD dans une position stratégique. 
 
                Office 2000 : le bon et le moins bon
Les statistiques peuvent parfois changer la vision que l'on a de l'importance des applications bureautiques. On pense parfois que les entreprises stockent la majorité de leurs données dans des solutions ERP telles que SAP R/3, des produits de groupware ou de messagerie tels que Lotus Notes et Exchange, ou des bases de données. Il est peut-être temps de revoir vos certitudes…Au cours d'un récent séminaire technologique, Microsoft a cité une étude portant sur un échantillon de grandes entreprises du classement Fortune 1000. Selon cette étude, ces entreprises stockent 80 % de leurs données dans des documents Office. Ces statistiques expliquent pourquoi Office demeure la principale source de revenus de Microsoft. L'importance pour Microsoft, de préserver sa poule aux oeufs d'or, associée aux demandes, émanant des directions informatiques et des utilisateurs, de fonctions plus performantes ou conviviales sont les ingrédients du succès d'Office 2000. Grâce au blitz marketing international de Microsoft et à la couverture importante des médias, vous ne pouvez ignorer l'existence d'Office 2000. En revanche, vous vous interrogez peut-être sur ce que le produit pourrait vous apporter, comment la nouvelle version pourrait impacter votre réseau et vos utilisateurs, et quels nouveaux outils ont été ajoutés par Microsoft pour améliorer les déploiements et l'administration.
Je ne vais pas vous ennuyer avec une fastidieuse description de toutes les améliorations, fonction par fonction, de la nouvelle release. (Reportez-vous au guide publié par Microsoft à l'adresse http://www.microsoft.com/office). Cet article analyse de façon objective la suite de produits afin de vous permettre de déterminer si la migration (ou l'upgrade) vers Office 2000 en vaut la peine et l'investissement pour votre entreprise.
Lire l'article 
                Comprendre les licences d’accès client
Il fallait acheter le logiciel serveur, qui coûtait environ 700 $, et des CAL 
pour connecter les utilisateurs au serveur. Le tarif des CAL était de 40 $, mais 
Microsoft proposait des CAL à  moitié prix aux entreprises qui migraient de Novell 
à  NT, à  celles qui faisaient un upgrade de LAN Manager et à  d'autres encore. Les 
migrations de NT 3.5 à  NT 3.51 ne nécessitaient pas l'achat de nouvelles CAL. 
En revanche, la mise à  jour vers NT 4.0 obligeait à  mettre à  jour chaque CAL NT 
3.x vers une CAL NT 4.0 pour environ 20 $ chacune.
Lorsque vous passerez de votre version actuelle à  Windows 2000 (Win2K), vous devrez 
probablement acheter un autre jeu de CAL ou mettre à  jour vos licences.Le détail 
des licences jette le trouble chez beaucoup d'utilisateurs. Si vous vous faites 
prendre avec un nombre de CAL insuffisant, vous risquez de vous attirer des histoires. 
Nous allons donc jeter un coup de projecteur sur le fonctionnement des CAL. 
 
                Déployer Windows 2000 à distance
Pourquoi passer tout ce temps à installer un nouveau système d'exploitation, quand les Services d'installation à distance RIS de Windows 2000 Server sont là pour simplifier la tâche ? En partenariat avec Active Directory (AD), DHCP et DNS, RIS (Remote Installation Services) évite de se déplacer jusqu'à chaque poste de travail pour installer Windows 2000 Professional. Les services RIS sont faciles à installer, mais nécessitent une infrastructure AD, DHCP et DNS bien conçue pour fonctionner correctement. Avec des services RIS correctement configurés, les utilisateurs n'ont à donner, dès leur première connexion, que leur nom d'utilisateur, leur mot de passe et le nom du domaine et RIS installe Windows 2000 Professional. Une fois que vous saurez comment installer et configurer ce nouvel outil, vous serez capables de le mettre en oeuvre avec succès.
Lire l'article 
                Indexer pour optimiser les performances des tris
par Dusan Petrovic et Christian Unterreitmeier 
La définition d'index sur les colonnes de tri peut améliorer les performances 
de manière exceptionnelle 
Un index approprié peut considérablement améliorer les performances de tri de 
SQL Server. 
Par exemple, la définition d'un index clusterisé sur une colonne de tri contraint 
la base de données à  stocker les enregistrements sous forme triée, ce qui permet 
d'extraire les données sans avoir à  réaliser de tri supplémentaire. Vous noterez 
que SQL Server 7.0 et les versions antérieures permettent de créer des index uniquement 
en ordre croissant. 
Par conséquent, si votre requête nécessite des données dans un ordre décroissant, 
il faudra certainement effectuer un tri supplémentaire et utiliser des tables 
de travail internes pour générer des données dans l'ordre approprié. 
Cependant, SQL Server 2000 permet de créer des index aussi bien dans un ordre 
croissant que décroissant.
SQL Server 2000 permet de créer des index aussi bien dans un ordre croissant 
que décroissant.
 
SQL Server 7.0 effectue une opération de tri lorsqu'on utilise la clause ORDER 
BY. L'optimiseur de requêtes de SQL Server est également susceptible d'utiliser 
une opération de tri pour traiter une requête utilisant les clauses GROUP BY, 
DISTINCT ou UNION. En revanche, on peut utiliser l'indicateur d'index FAST pour 
éviter le tri des données. 
Cela indique à  l'optimiseur de requêtes de SQL Server qu'il doit utiliser un index 
non clusterisé correspondant à  la clause ORDER BY, éliminant ainsi la nécessité 
du tri. Observons comment SQL Server gère les clauses GROUP BY, DISTINCT et UNION 
pour trier les données, puis analysons comment les différentes techniques d'indexation 
peuvent améliorer les performances des requêtes nécessitant des données triées. 
 
                SQL Server 2000 : Le modèle OIM
Un groupe d'éditeurs et d'entreprises utilisatrices a formalisé les types de métadonnées 
pour les entrepôts de données. C'est devenu l'OIM (Open Information Model)
Avant les efforts de normalisation de Microsoft, les éditeurs et la communauté 
informatique ne parvenaient guère à  se mettre d'accord sur le type de métadonnées 
qu'un entrepôt de données devait contenir. 
Par la suite, Microsoft a entrepris de réunir les principaux éditeurs et les entreprises 
utilisatrices pour déterminer ces types de métadonnées. A l'instar du modèle objet 
pour une application, le modèle d'information pour un référentiel définit le genre 
de métadonnées stockées dans l'entrepôt de données, et la manière dont ces données 
sont organisées.
Ces efforts ont conduit à  la définition de l'OIM (Open Information Model). Celui-ci 
contient les définitions d'approximativement 300 types d'objets et des relations 
entre ces types d'objets. La documentation de ces types représente une tâche laborieuse 
; le groupe a pour mission de définir et de documenter clairement chaque type 
ainsi que ses caractéristiques et relations nécessaires. 
Etant donné que le modèle d'information définit les métadonnées en termes de types 
d'objets et de relations, la recherche d'une technologie de modélisation d'objets 
appropriée est la solution évidente. Le groupe a choisi UML (Unified Modeling 
Language) pour documenter et publier le modèle d'information. Le standard OIM 
constitue le langage commun pour décrire les informations contenues dans un entrepôt 
de données.
En juillet 1999, Microsoft a transféré la propriété du standard OIM à  la MDC (Meta 
Data Coalition), un organisme indépendant qui se consacre à  la création de normes 
communes facilitant l'échange d'informations entre systèmes (métadonnées). Au 
fur et à  mesure que la MDC va faire évoluer le modèle, elle va encourager et aider 
les autres éditeurs à  prendre en charge le standard OIM au sein de leurs outils 
respectifs. La MDC publie les formats XML (Extensible Markup Language) comme méthode 
d'échange de données entre différents outils utilisant le standard OIM. Ce dernier 
limite la complexité de l'extraction et de l'insertion des données de/dans Microsoft 
Repository et les outils d'autres éditeurs. 
La version actuellement validée du standard OIM (initialement soumise par Microsoft 
et ses éditeurs partenaires) est la 1.0 ; une proposition de version 1.1 a été 
soumise en novembre 1999, et devrait en toute logique être validée en 2000. Les 
exemples et descriptions présentés dans le présent article s'appuient sur la version 
1.1. Ces exemples nécessitent la version 3 de Microsoft Repository, disponible 
avec SQL Server 2000. La version 2 de Repository ne supporte pas les collections 
ni les propriétés héritées, que le standard OIM MDC utilise intensivement.
Le standard OIM couvre de nombreux domaines, dont : 
· L'analyse et la conception d'UML, les extensions UML, les éléments génériques, 
les types de données communs et la modélisation entités-relations
· Objets et composants : description des composants 
· Base de données et entrepôts de données : schémas de bases de données relationnelles, 
transformations de données, schémas OLAP, schémas de bases de données orientés 
enregistrements, schémas XML et définitions des rapports
· Ingénierie de processus de gestion : objectifs commerciaux, règles et processus, 
éléments organisationnels.
· Gestion de la connaissance : descriptions des connaissances et définitions sémantiques
D'un point de vue data warehousing, les schémas de bases de données relationnelles, 
les transformations de données et les modèles de schémas OLAP sont les plus appropriés. 
On peut télécharger chaque modèle en tant que fichier .mdl depuis le site Web 
de la MDC, puis utiliser un outil de conception comme Visual Modeler ou Rational 
Rose pour le visualiser.
Chaque objet figurant dans un référentiel peut avoir trois propriétés : un nom 
(255 caractères au maximum), une courte description (255 caractères au maximum) 
et des commentaires (de longueur pour ainsi dire illimitée). Ces zones, qui sont 
la source d'une grand
 
                Arrêter un incident avant le désastre
Les plans de sauvegarde et de reprise après incident sont des sujets dont les sociétés bien élevées ne parlent généralement pas. Même lorsqu'un plan est prévu, le personnel technique n'aime pas l'évoquer… et encore moins le mettre en oeuvre. Après tout, conserver le réseau, les applications et les utilisateurs en état de marche est déjà un travail à temps plein. Se demander se qui se passerait s'il fallait mettre en oeuvre le plan de secours ne fait qu'ajouter au stress.Peu populaires, les sauvegardes et les restaurations sont pourtant importantes et toute société doit prévoir leur mise en oeuvre après un incident. Mettez donc de côté ce sentiment que " cela n'arrive qu'aux autres " (vous verrez, vous vous sentirez mieux après l'avoir fait) et faites en sorte que votre entreprise dispose d'un plan de redémarrage adapté à ses besoins.
Lire l'article 
                Comment intégrer Office 2000 et BackOffice
La plupart des entreprises utilisent Microsoft Office, notamment parce la suite est étroitement intégrée avec les divers produits de BackOffice. Office 2000 comporte plusieurs nouvelles fonctions dans chacun des produits le composant, pour continuer à tirer le meilleur des fonctions de BackOffice.es principales améliorations apportées à office 2000 portent sur l'intégration du Web, mais Microsoft a également ajouté de nombreuses améliorations concernant BackOffice, notamment certaines orientées vers SQL Server 7.0 et ses nouveaux services OLAP. Microsoft entend à l'évidence rester leader avec Office 2000.
Lire l'article 
                Les administrateurs veulent-ils d’un code réellement commun ?
Microsoft exprime depuis longtemps le désir de conserver une base de code commune à ses systèmes d’exploitation. Pour le moment, l’éditeur gère trois jeux de code : Windows NT, Windows 9x et Windows CE. Si ces trois OS partagent un modèle de programmation commun, leur code est néanmoins très différent.Lorsque la recherche sur le génome humain aura atteint ses objectifs, on possèdera une cartographie complète de la structure génétique de la race humaine. Malgré l’incroyable complexité de cette tâche, nous savons déjà que les humains partagent un pourcentage important de leurs gènes avec d’autres mammifères – en fait nous partageons plus de 90 pour cent de notre matériel génétique avec la famille des grands singes. Mais étant donné les différences entre les singes et les hommes, il est parfaitement évident que les différences comptent plus que les similitudes.
Lire l'article 
                Les modifications du Registre
Dans cet article de la rubrique Boîte à outils de ce mois-ci, nous allons évoquer les modifications que vous pouvez apporter au Registre. Ces tuyaux peuvent vous permettre de personnaliser Windows NT pour l'adapter à votre façon de travailler. Comme toujours, soyez très prudent lorsque vous modifiez votre Registre, et vérifiez que vous disposez des sauvegardes à jour du Registre et des disquettes de redémarrage d'urgence.
Lire l'article
 
    