


Diviser et conquérir
par Edward Whalen, Geoff Langos et Alexander Stamenkovich - Mis en ligne le 26/11/2003
Reconception architecturale + réplication transactionnelle = performance écrasante
Les DBA savent que le premier pas,
pour déterminer la viabilité et la capacité
à long terme d'un système, consiste à effectuer
des mesures de supervision des
performancesLes DBA savent que le premier pas,
pour déterminer la viabilité et la capacité
à long terme d'un système, consiste à effectuer
des mesures de supervision des
performances. C'est dans cet esprit que,
voilà plusieurs années, nous avons conçu un programme chargé de suivre les variations
des performances dans le système
de traitement d'un centre d'appel
sous Windows NT et SQL Server 7.0. Au
début, nous avons constaté que le
Performance Monitor nous donnait bien un programme chargé de suivre les variations
des performances dans le système
de traitement d'un centre d'appel
sous Windows NT et SQL Server 7.0. Au
début, nous avons constaté que le
Performance Monitor nous donnait bien long terme en prenant des instantanés
chaque demi-heure de certaines mesures
comme l'utilisation de la CPU et
des I/O, le nombre d'utilisateurs et de
processus, les traitements de commandes,
et les transactions. Nous avons
rangé ces mesures dans une base de
données SQL Server. L'année où nous
avons commencé notre programme de
supervision, nous n'avons recueilli les
données que pour quelques mois consécutifs.
Et constaté ainsi que les données
glanées pendant une période aussi
courte ne produisaient que des informations
à court terme: trop peu de points
de données pour dessiner une tendance.
En revanche, l'année suivante, quand nous avons supervisé des tranches de
temps plus longues, les données recueillies
ont révélé des tendances significatives.
En une année, nous avons observé
une hausse inquiétante de
l'utilisation de la CPU que nous avons attribuée
à une augmentation des fonctions
applicatives personnalisées dans le
centre et à l'ajout de nombreux utilisateurs
du système.

Beaucoup d’ADO pour rien
par William Vaughn - Mis en ligne le 17/03/2004
Parmi les moyens que les développeurs
désirent le plus, on trouve une
manière éprouvée de déterminer les
meilleurs moyens pour tester et établir
des valeurs NULL dans leurs applications
- quel que soit leur langage.Par
exemple, quand ils doivent signifier
que les dates DateShipped et Date-
Died ont été atteintes et ne sont pas
connues, la plupart des développeurs
de bases de données relationnelles
doivent définir ces données et d'autres
colonnes de données similaires pour
permettre des valeurs NULL. A noter
qu'une valeur NULL dans une colonne
de données n'est pas la même chose
qu'une chaîne vide ou NULL ou tout
autre occupant qui peut servir à montrer
que la valeur n'est pas connue. Le
langage que vous utilisez peut traiter
une chaîne vide ou une valeur placeholder
(comme Unknown) comme
une chaîne ou une valeur valide et
peut stocker un NULL comme une valeur
« connue » dans la base de données.
Le concept de l'état NULL existe
dans les bases de données relationnelles
depuis leur création et les NULL
ont toujours suscité un traitement spécial.
Sans trop m'étendre sur la pertinence
qu'il y a à utiliser des NULL, j'estime
que NULL est un meilleur
placeholder que BHOM (Beats the
Hell Out of Me) que j'utilisais quand
j'enseignais la programmation dans
l'armée US.
En ADO classique, les développeurs
sont confrontés à des valeurs
NULL parce qu'ils ne peuvent pas attribuer
un NULL à une variable numérique,
une chaîne, la propriété Value
d'un contrôle TextBox, ou tout
contrôle qui n'accepte un type de données
variant (que l'on peut mettre à
NULL). Si l'on oublie de traiter les valeurs
NULL et si l'on essaie d'attribuer
un NULL à un contrôle TextBox, Visual
Basic (VB) 6.0 émet un message d'erreur
Invalid Use of NULL (94). Mais
ADO.NET et Visual Basic .NET prennent
mieux en charge les valeurs NULL.
Quand on travaille avec le CLR
(Common Language Runtime) et les
langages .NET, ADO.NET permet de
stocker, de définir, et de tester des valeurs
NULL de diverses manières -
beaucoup plus qu'avec ADO classique.
Cet article utilise Visual Basic .NET
pour présenter la façon dont ADO.NET
et Visual Basic .NET traitent la valeur
NULL.

Script Shell
par Thibault Dambrine - Mis en ligne le 24/03/2004
Pour commencer à construire vos propres scripts shell, vous devez connaître
les rudiments du développement QShell
Comme en langage CL, on peut entrer
des commandes dans l'environnement
Qshell à partir de l'écran d'entrée
de commandes...Dans l'article « Travailler avec des
shells sur l'iSeries » (iSeries News, janvier
2003), Mike Mundy présentait l'environnement
Qshell iSeries. Plus précisément,
il décrivait comment
l'environnement shell est arrivé dans le
monde Unix et Linux et comment il
s'articule avec l'utilisation de Java sur
l'iSeries. Cet article constitue l'étape
suivante : nous y verrons comment
Qshell fonctionne et ce qu'il peut vous
apporter. Ce n'est pas une liste exhaustive
de tout ce que vous pouvez faire
dans un shell, c'est simplement un
point de départ d'où vous pourrez
étendre votre action.
Comme en langage CL, on peut entrer
des commandes dans l'environnement
Qshell à partir de l'écran d'entrée
de commandes. On peut aussi
écrire des instructions Qshell dans un
script, qui seront réexécutées chaque
fois qu'il sera invoqué. Tout comme les
programmes CL, les scripts shell peuvent
être assortis de paramètres,
contenir des variables, utiliser des
conditions de traitement de l'information,
prendre des décisions et modifier
des données.
Au-delà de ce que Qshell peut accomplir
en tant que langage, c'est la
lingua franca du monde Unix/Linux. Ce
seul aspect justifie d'ailleurs qu'on l'apprenne.
Vous tirerez la quintessence
de vos partitions Linux dès lors que
vous saurez utiliser Qshell et écrire des
scripts shell. C'est aussi le seul outil
que vous utiliserez pour démarrer de nombreuses applications pilotées par
Java. C'est ainsi que vous utiliserez
Qshell pour démarrer la dernière version
d'Apache Tomcat, la version écrite
en Java (donc portable) du logiciel serveur
Web le plus répandu à l'heure actuelle. Non seulement Apache est portable,
il est aussi gratuit.

Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 07 – 2004
Toutes les Actualités du 09 au 15 Février 2004
Lire l'article
Gestion de configuration logicielle
ARCAD Software ouvre sa suite de gestion de configuration logicielle ‘ARCAD Skipper' aux composants multi plates-formes.
Le nouveau module Changer Client permet aux clients iSeries de centraliser l'ensemble de leur patrimoine applicatif sur la plate-forme au travers de l'IFS (Integrated File System).
Lire l'article
Dématérialisation des documents
ASP lance sa solution @s MAIL qui répond à la demande actuelle de dématérialisation des documents.
Produit économique, cet outil permet d' envoyer par email tout type de documents ( mailings, factures, relances, courrier, etc…) en incrustant dans le corps d'un message défini par l' utilisateur des informations se trouvant sur ses bases de données AS/400.
Lire l'article
Volume Shadow Copy Service
par Christopher George - Mis en ligne le 17/03/2004
Donner aux utilisateurs le pouvoir de restaurer des fichiers
VSS (Volume Shadow Copy Service)
de Microsoft n'est certes pas le fil
à couper le beurre. Mais, pour la sauvegarde
et la restauration de fichiers, il
pourrait bien venir juste après...VSS, livré
avec Windows Server 2003, crée
une copie ponctuelle des fichiers stockés
dans des dossiers de réseau partagés
- même ceux qui sont ouverts ou
verrouillés. Les applications peuvent
continuer à écrire des données dans le
volume disque pendant le processus
shadow copy, ce qui dispense d'effectuer
des sauvegardes avant ou après les
heures ouvrables. De plus, une sauvegarde
de copie volume permet aux utilisateurs
d'effectuer des restaurations
de fichiers, allégeant du même coup la
tâche de l'administrateur qui n'a plus à
intervenir pour des opérations de restauration
basiques.

Lister tous les index
par Kent Milligan - Mis en ligne le 17/03/2004
Pour analyser rapidement les problèmes de performance de la base de données
La possibilité de créer des objets
base de données avec à la fois DDS et
SQL peut rendre difficile la recherche
de tous les objets base de données associés
à une table (ou fichier physique)...C'est particulièrement vrai
pour les index sur DB2 UDB for iSeries.
Voici tous les objets qui pourraient
avoir besoin d'un index de base de
données pour être créés (ou partagés)
sur DB2 UDB for iSeries :
- Index SQL
- Fichiers logiques avec clés
- Fichiers physiques avec clés
- Clés primaires, clés étrangères et contraintes uniques
A l'heure actuelle, aucune interface iSeries ne peut à elle seule fournir la liste complète des index pour une table. La commande CL DspDbR (Display Database Relations) donne une liste de tous les index SQL et des fichiers logiques avec clés, mais elle ne fournit aucune information sur les index qui sont associés à un fichier physique avec clés ou à des contraintes de base de données. La commande DspFD (Display File Description) renvoie une liste des index associés avec contraintes et fichiers physiques avec clés, mais elle ne donne pas d'information sur les index SQL et sur les fichiers logiques avec clés. Même le composant Database Navigator d'iSeries Navigator (précédemment Operations Navigator, OpsNav) omet les index de fichiers physiques avec clés de sa représentation graphique de tous les index associés à une table.
L'utilitaire de listing des index résout ce problème en offrant une méthode unique (une procédure stockée) que l'on peut appeler pour produire une liste de tous les index pour une table particulière. Le listing des index produit cette liste en appliquant les requêtes aux vues du catalogue de base de données dans la bibliothèque QSys2 et les fichiers à référence croisée du système de base de données dans la bibliothèque QSys. En utilisant les requêtes, l'utilitaire se dispense de créer d'abord un fichier de sortie (en utilisant les commandes système) ou tout autre type de table de travail. (La source pour l'utilitaire de listing des index peut être téléchargée à l'adresse www.itpro.fr Club Abonnés). Lire l'article

Tous les nouveaux produits du 09 au 15 Février 2004
Tous les nouveaux produits du 09 au 15 Février 2004
Lire l'article
Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 03 – 2004
Toutes les Actualités du 12 au 18 Janvier 2004
Lire l'article

Les relations d’approbations entre multiples forêts
par Sean Deuby - Mis en ligne le 17/03/2004
Utilisez Windows 2003 pour établir facilement des relations d'approbation entre
des forêts
Windows 2000 permet aux sociétés
d'intégrer leurs diverses unités de gestion
dans une structure globale - la forêt
Active Directory - ce qui
n'était pas possible avec Windows NT
4.0...Beaucoup de business units qui ne
pouvaient pas coexister dans un domaine
NT 4.0 trouvent leur place dans
leurs OU (organizational units) ou domaines
AD. Mais, comme le savent tous
ceux qui ont essayé de mettre en
oeuvre une architecture à forêt unique,
il est de nombreux cas délicats pour les
business units. Parfois, les exigences
de gestion ou la politique maison vous
imposent d'implémenter une forêt séparée.
Bien souvent, les utilisateurs
dans des forêts séparées ont toujours
besoin des ressources de la forêt centrale.
Il faut donc établir une relation
d'approbation entre les domaines de la
forêt centrale et ceux des autres forêts.
Win2K utilise pratiquement le même
processus que NT 4.0 pour établir des
liens entre des domaines de forêts différentes.
Mais la nouvelle fonction relation
d'approbation entre forêts de
Windows Server 2003 facilite cette
tâche.

Partitionnement logique de l’iSeries dans l’OS/400 V5R2
par Herman Amit Dave - Mis en ligne le 17/03/2004
Exécuter de multiples charges de travail indépendantes, chacune avec ses propres
processeurs, mémoires et disques, dans un même iSeries
Au fur et à mesure que les serveurs
de classe d'entreprise sont plus performants,
il devient plus impératif de
diviser cette performance pour exécuter
de multiples charges de travail de
façon indépendante...C'est pourquoi
le partitionnement logique (LPAR, logical
partitioning) s'est rapidement
imposé comme une excellente solution
pour favoriser la consolidation
des serveurs et permettre aux utilisateurs
iSeries d'utiliser leur serveur de
manière optimale. Les partitions logiques
fragmentent un serveur en plusieurs
serveurs virtuels indépendants,
chacun équipé de son propre matériel,
système d'exploitation et environnement
applicatif.
Depuis l'introduction de LPAR sur
les serveurs AS/400, en 1998, plus de
48 % des clients i840 et i890 ont tiré
parti de cette technologie. Depuis
l'OS/400 V5R1, l'utilisation de LPAR a
augmenté sur les serveurs i820 et
i270, y compris les modèles monoprocesseurs.
Et les utilisateurs iSeries utilisent
LPAR avec beaucoup d'imagination.
J'examine ici quelques-unes des
utilisations les plus courantes de
LPAR.

Optimiser les performances d’IIS
par Geoff Gray - Mis en ligne le 11/02/2004
Voici comment contrôler les performances de votre serveur Web
Dans le monde des serveurs Internet,
les gestionnaires du Web doivent
tirer le maximum du matériel et du logiciel
dont ils disposent. Cette mission
est souvent plus difficile qu'il n'y paraît
et elle demande beaucoup de tests et
de recherches...Dans le monde des serveurs Internet,
les gestionnaires du Web doivent
tirer le maximum du matériel et du logiciel
dont ils disposent. Cette mission
est souvent plus difficile qu'il n'y paraît
et elle demande beaucoup de tests et
de recherches. Plongeons sous la surface
de ce sujet vaste et confus, afin de
dresser un plan d'optimisation de
votre site Web.

Les nouveautés de la semaine 03 – Windows 2000 & .Net – 2003
Tous les nouveaux produits du 12 au 18 Janvier 2004
Lire l'article
Tirer parti des erreurs SQL définies par l’utilisateur
par Jarek Miszczyk - Mis en ligne le 26/11/2003
En V5R1, DB2 UDB permet de traiter les erreurs définies par l'utilisateur dans
différents types de procédures stockées
Les erreurs définies par l'utilisateur
sont certaines conditions qu'un développeur
peut définir en tant qu'erreurs
dans la logique de gestion d'une application.
Comme, par exemple, une règle
de gestion stipulant que la rémunération
d'un employé ne peut pas dépasser
celle de son supérieur...
Les erreurs définies par l'utilisateur
sont certaines conditions qu'un développeur
peut définir en tant qu'erreurs
dans la logique de gestion d'une application.
Comme, par exemple, une règle
de gestion stipulant que la rémunération
d'un employé ne peut pas dépasser
celle de son supérieur. La routine de la
base de données, comme une procédure
stockée, qui sert à modifier la rémunération,
doit s'assurer que la nouvelle
valeur respecte cette règle. Si tel
n'est pas le cas, la routine signale une
erreur au processus appelant pour l'informer
de cette transgression.
En V5R1, DB2 Universal Database
for iSeries (DB2 UDB) permet de traiter
des erreurs définies par l'utilisateur
survenant dans des procédures stockées
et d'autres routines de bases de
données, afin que les états et messages
SQL définis par l'utilisateur soient renvoyés
à l'application client.
En adoptant une approche homogène
vis-à -vis des erreurs définies par
l'utilisateur, à utiliser sur les divers
types de procédures stockées, on peut
isoler complètement l'application
client des détails d'implémentation de
la procédure stockée. On peut, par
exemple, réécrire une procédure stockée
RPG existante en SQL ou Java, sans
implications envers le code client.
Cette technique est aussi beaucoup
plus fiable que d'utiliser les paramètres
de sortie pour le signalement des erreurs,
parce que DB2 UDB risque de
ne pas signaler les valeurs des paramètres
de sortie quand une erreur (définie
par l'utilisateur ou système) est
rencontrée pendant l'exécution d'une
procédure.
J'explique ici les techniques de coding
qui permettent d'appliquer les erreurs
définies par l'utilisateur dans différents
types de procédures stockées.

Les nouveautés de la semaine 12 – Windows 2000 et .Net – 2004
Tous les nouveaux produits du 15 au 21 Mars 2004
Lire l'article
Aldon Affiniti version 4.0, système de gestion
Aldon présente Aldon Affiniti version 4.0, dernière version de son système de gestion de la configuration.
Les nouveautés comprennent une interface intuitive afin de fournir un unique point de contrôle de toutes les applications système et les composants, la capacité de rendre performantes les fonctions de manière native au sein de WebSphere Development Studio Client.
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