Comment éviter les attaques par injection de code SQL
par William Sheldon - Mis en ligne le 23/11/2005 - Publié en Décembre 2004
Au moment de définir votre infrastructure de sécurité, la protection des
données de votre organisation constitue votre principal objectif. SQL Server, en tant
que référentiel de données, devient le centre de votre univers axé sur la sécurité.
Pour sécuriser vos données, vous avez exécuté l'outil MBSA (Microsoft Baseline
Security Analyzer), limité les communications avec la base de données, mis en
oeuvre le protocole IPSec (Internet
Protocol Security) afin de crypter vos communications
et peut-être même ajouté un
pare-feu séparé. Malgré tout, il reste un
moyen pour les intrus d'attaquer votre
base de données : par le biais des applications
qu'elle prend en charge. Toute stratégie
de sécurité comporte un maillon
faible et, du point de la conception, l'élément
le plus faible de votre stratégie sera
l'application Web car elle constitue le principal
point d'entrée pour les intrus, les autres chemins d'accès possibles ayant normalement
été verrouillés. Toutefois, une gestion incorrecte de ce point d'entrée
peut rendre vos données vulnérables à l'attaque potentiellement dévastatrice
qu'est l'injection de code SQL. Ce type d'attaque est extrêmement dommageable
car elle permet aux intrus d'exécuter des commandes directement sur votre base
de données.
Les paramètres en première ligne
par Rodney Landrum - Mis en ligne le 25/10/2005 - Publié en Décembre 2004
En tant qu'administrateur de base de données (DBA) et analyste de données,
je ne peux pas, en dépit de tous mes efforts, toujours éviter d'écrire du code pour
résoudre des problèmes complexes ou tirer parti de la richesse des outils de gestion
proposés par SQL Server. Au fil des années, j'ai écrit des scripts de solutions
pour toutes sortes de projets liés à SQL Server, allant de la création de lots DTS
(Data Transformation Services) à l'écriture de code ASP (Active Server Pages), me
réjouissant chaque fois que je suis parvenu à me dépêtrer des erreurs de syntaxe et
de la logique des boucles imbriquées. Toutefois, lorsque Microsoft a sorti SQL
Server 2000 Reporting Services, une solution qui requiert Visual Studio .NET 2003
pour l'élaboration de rapports, j'ai craint d'être obligé de franchir le pas et de devenir
un développeur accompli. Mais, en fait, vous n'avez pas besoin d'être un programmeur
pour développer un rapport Reporting Services. Cet outil propose deux
fonctionnalités de rapports puissantes, les paramètres et les expressions, qui une
fois combinées permettent aux créateurs de rapports d'ajouter des fonctionnalités
sophistiquées à leurs rapports sans écrire du code à rallonge.
L’automatisation des traces en 9 étapes
par Steven Berringer - Mis en ligne le 25/10/2005 - Publié en Décembre 2004
Le Générateur de profils, la fonctionnalité de trace intégrée
de SQL Server, constitue un outil précieux pour l'optimisation
des performances et le débogage des applications
SQL Server. Vous pouvez ainsi tracer chaque requête soumise
par une application de base de données à SQL Server et
exploiter ces informations pour améliorer les performances.
Par exemple, si vous exécutez une trace du Générateur de
profils au cours d'un processus de longue durée, vous pourrez
constater que SQL Server utilise une analyse de table,
rencontrant ainsi des verrous de table ou aboutissant à
d'autres événements nuisibles pour les performances. Dans
la majorité des cas, je me sers du Générateur de profils à la
demande d'un développeur qui essaie de déboguer du code
de base de données épineux. Parfois, si j'ai le temps, j'adopte
une approche préventive et j'exécute ma trace favorite, à savoir
la trace Duration. Celle-ci recherche les processus accédant
à SQL Server et dont la durée d'exécution est supérieure
à 1 seconde. Cette valeur d'une seconde semble une
limite appropriée, car cela vous permet de voir les processus
qui consomment le plus de ressources sans tout monopoliser.
UDM : le meilleur des deux mondes
par Michael Otey - Mis en ligne le 30/03/2005 - Publié en Juin 2004
Le nouveau modèle d'Analysis Services combine le meilleur du reporting relationnel et
du reporting OLAP
La prochaine version d'Analysis Services, fournie avec la nouvelle mouture de
SQL Server (Yukon), regroupera les meilleurs aspects de l'analyse OLAP traditionnelle
et du reporting relationnel dans un modèle dimensionnel unique, UDM
(Unified Dimensional Model), à même de couvrir les deux catégories de besoins.
Par rapport aux accès directs liés aux bases de données relationnelles, la technologie
OLAP procure de nombreux avantages aux analystes ...Le modèle de données dimensionnel
d'OLAP permet de comprendre, de parcourir et d'explorer facilement
les données. Par ailleurs, sa fonction de précalcul des données agrégées permet de
répondre rapidement aux requêtes ad hoc, même sur des volumes de données importants.
Un moteur analytique prenant en charge le langage d'interrogation MDX
(Multidimensional Expression) vous permet d'effectuer des calculs analytiques. Par
ailleurs, le modèle de données d'OLAP inclut des métadonnées riches, grâce auxquelles
il est par exemple possible d'utiliser des noms orientés métier conviviaux.
Toutefois, le reporting s'appuyant directement sur la base de données sous-jacente
demeure avantageux. OLAP, qui est traditionnellement structuré autour de
schémas en étoile ou en flocon, ne gère pas les relations complexes arbitraires pouvant
exister entre les tables. Le reporting à partir de la base de données sous-jacente
permet de manipuler un schéma flexible.
Les cubes OLAP exposent également les
données dans des hiérarchies prédéterminées,
ce qui rend inenvisageable de véritables
requêtes ad hoc sur des tables comportant
des centaines de colonnes. L'accès
direct au référentiel relationnel signifie
que les résultats sont en temps réel, qu'ils
reflètent toutes les modifications au fur et
à mesure qu'elles sont apportées et que
vous pouvez explorer les données jusqu'au
niveau de détail le plus poussé. De
surcroît, le fait de ne pas introduire un référentiel OLAP distinct est synonyme
d'économies en termes de gestion et de coût total de possession (TCO). Le tableau
1 compare les avantages du reporting relationnel et du reporting OLAP.
De nombreux outils de reporting relationnel essaient d'exploiter certains avantages
procurés par OLAP en fournissant un modèle de données orienté utilisateur
au-dessus de la base de données relationnelle et en réacheminant l'accès au reporting
à travers ce modèle. Ainsi, les nombreuses entreprises qui ont besoin du reporting
OLAP et du reporting relationnel finissent toutes avec de multiples outils de reporting, chacun avec des modèles propriétaires, des
API et des outils utilisateurs finaux distincts. Cette duplication
des modèles aboutit à une architecture hétérogène
complexe. En revanche, le nouveau modèle UDM d'Analysis
Services combine le meilleur des approches OLAP et relationnelle
afin d'étendre les fonctionnalités et la souplesse
d'utilisation du reporting.
Plug in Microsoft SQL Server
Arkeia Corporation, éditeur international de solutions de sauvegarde destinées aux entreprises, vient d'annoncer la sortie d'un plug-in destiné à la sauvegarde à chaud des données de Microsoft SQL Server.
Le nouveau plug-in Arkeia Network Backup protège les serveurs MS SQL en environnement hétérogène sans interrompre pour ce faire les services en cours d'exploitation.
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Types de documents XML
par Michael Otey - Mis en ligne le 30/03/2005 - Publié en Avril 2004
XML est devenu un outil d'interopérabilité
vital et un composant essentiel
de nombreuses applications. Visual
Studio .NET l'utilise en tant que principale
infrastructure de programmation
pour les communications intra-objets
et pour la création de fichiers de projet ...Voici les sept types de documents
XML utilisés le plus fréquemment par
les développeurs dans les applications
de base de données SQL Server.
SQL Server Actualités – Semaine 3 – 2005
Les actualités SQL Server pour le mois de Janvier 2005
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SQL Server Actualités – Semaine 11 – 2005
Les actualités SQL Server pour le mois de Mars 2005
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Quest Central pour SQL Server
Quest Software annonce la disponibilité de la version 5.0 de Quest Central pour SQL Server.
La suite intégrée d'outils d'administration pour les bases de données Quest Central, s'enrichit de fonctions avancées pour l'analyse et l'optimisation des performances des environnements Microsoft SQL Server.
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Gestimum PME V3
GESTIMUM, éditeur d'une offre alternative de gestion intégrée destinée aux PME & PMI, filiale du Groupe EBP, lance GESTIMUM PME V3.
S'appuyant sur la technologie Microsoft SQL Server Mode Client/Serveur, GESTIMUM PME V3 se caractérise par sa richesse fonctionnelle, sa simplicité d'utilisation ses capacités inégalées de personnalisation et son ouverture sur les autres applications de l'entreprise.
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Un BLOB d’une autre couleur
par Michael Otey - Mis en ligne le 19/01/2004 - Publié en Février 2004
Peut-être êtes-vous habitués aux BLOB dans ADO. Mais un BLOB dans ADO.NET, c'est
autre chose
Il faut beaucoup de travail pour convertir d'anciennes applications
ADO en ADO.NET. Et l'une des principales difficultés
pour passer à ADO.NET est la conversion du code d'import
ou d'export de BLOB. De nombreuses fonctions
d'ADO.NET et d'ADO sont très voisines ; mais l'accès BLOB
n'est pas l'une d'elles ...Dans ADO, on manipule les données
BLOB en utilisant les objets Recordset et Field standard avec
soit les méthodes de découpage de l'objet Field, soit l'objet
Stream. Or, aucun de ces objets n'existe dans ADO.NET. Dans
ADO.NET, on peut utiliser le SqlDataReader pour extraire des
données BLOB de la base de données SQL Server, puis utiliser
les objets ADO.NET DataSet et DataField pour importer
des données BLOB du système de fichiers dans SQL Server.
Avant d'examiner le code utilisé pour accéder aux BLOB dans
ADO.NET, commençons par examiner les BLOB.
Clustering de SQL Server
par Brian Knight - Mis en ligne le 16/03/2005 - Publié en Avril 2004
6 étapes vers la haute disponibilité de SQL Server
Pour l'administrateur de bases de données (DBA), la mise en cluster d'un
SQL Server est source d'inquiétude, un peu parce que cet exercice était déjà
difficile dans SQL Server 7.0 et les releases antérieures. Heureusement, dans
SQL Server 2000, le clustering est moins intimidant. Les six étapes que je
couvre dans cet article constituent un canevas de base permettant d'établir un
environnement en cluster pour SQL Server 2000 ...Le failover clustering est le meilleur moyen d'instaurer la haute disponibilité
dans un environnement SQL Server. Pour mettre en cluster des serveurs
Windows, on utilise le service Microsoft Cluster pour relier entre eux plusieurs
serveurs. Avec le service Cluster, si une panne survient dans un composant matériel
crucial ou dans le service SQL Server, les lecteurs, SQL Server, et les services
associés, basculent tous sur un serveur secondaire. Ce basculement généralisé
est automatique et prend entre 30 et 60 secondes. Avec d'autres solutions haute disponibilité de SQL
Server, comme le log shipping ou la
réplication, en cas de défaillance du
serveur principal, quelqu'un doit changer
manuellement les rôles sur le serveur
secondaire. Bien que le log shipping
offre une bonne solution de
redondance, il s'appuie sur la maintenance
manuelle et il peut être difficile
à instaurer.
Avant de commencer l'opération
de clustering, il faut bien comprendre
que la seule fin du clustering Windows
est la haute disponibilité. En effet, le
clustering n'améliore pas la performance
de SQL Server puisqu'un seul
serveur travaille à la fois - les serveurs
reliés ne traitent pas les requêtes ensemble.
Pour voir comment le clustering
trouve sa place dans le puzzle de la
haute disponibilité de SQL Server, voir
l'article de Michael Hotek « Solutions
haute disponibilité », dans ce numéro.
Tout sur Reporting Services
par Brian Larson et Martin Voegele - Mis en ligne le 19/01/2004 - Publié en Février 2004
Tout sur le nouvel outil SQL Server 2000 :
le reporting de la conception à la livraison
Initialement, Microsoft avait l'intention de livrer
Reporting Services dans le cadre de la prochaine release
Yukon de SQL Server. Mais les utilisateurs qui ont reçu les
toutes premières descriptions et démonstration de
Reporting Services ont été
séduits et ont dit à Microsoft
qu'ils voulaient ces fonctions
le plus tôt possible. Microsoft
a écouté et a réagi de deux
manières : en faisant de
Reporting Services un add-in
à SQL Server 2000 et en
intégrant les fonctions dans
Yukon ...Mais pourquoi ce vif
intérêt ? Sans Reporting
Services, le seul moyen de
délivrer des informations de
gestion de dernière minute
sur Internet ou sur l'intranet
de la société consiste à coder
des pages Web dynamiques
ou à utiliser un outil de reporting
tierce partie. Malheureusement, le coding de pages
dynamique est une opération longue qui nécessite généralement
un développeur expérimenté et les solutions de reporting
tierce partie sont onéreuses.
Grâce à Reporting Services, des utilisateurs plus ou
moins compétents pourront créer leurs propres rapports dynamiques.
Bien que vous puissiez ajouter du code à un rapport
pour mieux contrôler le formatage et les données, vous
pouvez construire des rapports très élaborés sans aucune expérience
de programmation. Vous pouvez présenter des rapports
sur Internet ou sur un intranet en plusieurs formats,
dont PDF et TIFF, de bonne apparence à la fois dans un navigateur
et sous forme imprimée. De plus, Reporting
Services permet d'accéder à ces rapports de manière commode
et sécurisée.
Plutôt que de créer un nouvel environnement de développement
pour produire des rapports Reporting Services,
Microsoft a utilisé son IDE (integrated development environment)
existant, Visual Studio .NET. Vous pouvez créer des
rapports avec n'importe quelle édition de Visual Studio .NET
2003. Vous pouvez déployer les rapports provenant de Visual
Studio .NET sur un Report Server, qui gère la sécurité, la mise
en cache des données et autres fonctions de reporting. Le
Report Server délivre les rapports aux destinataires dans divers
formats par la méthode pull (à la demande de l'utilisateur)
ou push (livraison planifiée).
La « colle » qui relie le rapport conçu dans Visual Studio
.NET au rapport que Report Server délivre est le nouveau
RDL (Report Definition Language) de Microsoft. Ce langage
de type XML contient toutes les informations concernant la
conception de rapports. Vous commencez par créer un rapport comme un document RDL
dans Visual Studio. Ce dernier déploie
ensuite le RDL sur un Report Server, lequel
le stocke dans une base de données
SQL Server. Quand Reporting
Services délivre un rapport à un utilisateur,
il traite la définition du rapport
RDL et le présente dans un format plus
usuel comme une page HTML ou un
document Adobe PDF.
SQL Server Actualités – Semaine 9 – 2005
Les actualités SQL Server pour le mois de Mars 2005
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Fonctionnalités de haute disponibilité
La famille de produits SQL Server 2005 a été repensée afin de mieux répondre aux besoins de toutes les entreprises.
Cette ligne de produits apporte des fonctionnalités de haute disponibilité, de montée en charge, de sécurité, d'administration et d'analyse décisionnelle.
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Une division entièrement dédiée aux éditeurs de logiciels
par Michael Hotek - Mis en ligne le 3/03/2005 - Publié en Avril 2004
Daniel Cohen-Zardy, Responsable Relation Editeurs de logiciels, Microsoft France
répond à quelques questions.
SQL Server Actualités – Semaine 21 – 2005
Les actualités SQL Server pour le mois de Mai 2005
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Solutions Haute Disponibilité
par Michael Hotek - Mis en ligne le 3/03/2005 - Publié en Avril 2004
Pour rendre un système vraiment disponible
La haute disponibilité est l'un des crédos de l'industrie informatique, mais savez-
vous ce qu'elle signifie et comment l'obtenir ? Les spécialistes des technologies
de l'information tentent chaque jour d'instaurer la haute disponibilité à grand renfort
de matériel et de logiciel coûteux, sans s'attaquer au vrai problème ...Techniciens et managers, ils sont nombreux à croire que la haute disponibilité est
une solution « en boîte » qu'on met en place puis qu'on oublie. Malheureusement,
la technologie n'est qu'une pièce du puzzle haute disponibilité.
La véritable haute disponibilité est une combinaison de gens, de processus et
de technologies. Bien que l'on puisse bâtir des solutions hautement disponibles
sans l'un de ces composants, le fait de faire appel aux trois assure une disponibilité
de niveau professionnel, même dans des environnements modestes. Sans les
gens compétents capables de gérer les processus rendant les systèmes hautement
disponibles, la seule technologie ne suffira pas.
Comment mesure-t-on la disponibilité ? Les professionnels IT la définissent par
cette équation :
A = (F - (D + R))/F
où A est la disponibilité, F est le temps
moyen entre des défaillances, D est le
temps moyen pour détecter la défaillance
et adopter un remède, et R
est le temps moyen de réparation.
Les trois facteurs que vous maîtrisez
le plus sont : le temps moyen de réparation,
le temps moyen de détection
d'une défaillance, et le temps
moyen pour choisir un remède. Pour
détecter une défaillance, il faut de la
technologie et du personnel formé. Une personne compétente peut prévenir certaines
défaillances et en détecter d'autres avant qu'elles ne sévissent, et appliquer
des remèdes qui gardent le système online. Cette maintenance préventive englobe
de puissants processus qui fournissent des chiffres de performances servant d'étalon
de supervision et de comparaison à l'équipe d'exploitation. Pour un administrateur
de base de données (DBA, database administrator), il est très important de savoir quand le système fonctionne
comme prévu et quand quelque chose
d'anormal se produit. Si des processus
de test de charge ne sont pas en place,
on ne peut obtenir des chiffres de performances
qu'en observant l'application
après sa mise en production, au
risque d'obtenir de faux résultats si elle
déraille dès le départ. Les résultats de
test de performances d'une application
permettent aux DBA de diagnostiquer
rapidement des problèmes en
cours de production.
Le seul facteur que vous ne maîtrisez
pas est le temps moyen entre
défaillances : il est totalement imprévisible.
Par conséquent, les investissements
en haute disponibilité doivent
être consacrés d'une part aux gens et
aux processus pour réduire le temps
de détection et de prise de décision, et
d'autre part à la technologie pour réduire
le temps de détection et de réparation.
Retenez l'ensemble de règles suivant
:
- La bonne gestion impose la haute disponibilité.
- Ce sont des personnes qui gèrent les solutions haute disponibilité.
- Les processus assurent le bon fonctionnement de ces solutions.
- La technologie apporte l'élément « physique » de la haute disponibilité.
Microsoft SQL Server 2000 Reporting Services
Geac annonce l'intégration dans MPC, sa solution de gestion de la performance, d'un nouveau module de business intelligence, basé sur les outils de l'offre 'Microsoft SQL Server 2000 Reporting Services'.
Ce nouveau module permettra aux clients de Geac et de Microsoft, de disposer d'outils de reporting puissants, au travers de l'édition automatique de rapports adaptables et configurables en fonction de différents cibles d'entreprise : analystes, auditeurs, comités de direction, managers...
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SQL Server Actualités – Semaine 7 – 2005
Les actualités SQL Server pour le mois de Février 2005
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