Les actualités de la semaine 12 – Windows IT Pro – 2006
Toutes les actualités du 20 au 26 Mars 2006
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News iSeries – Semaine 9 – 2006
Toutes les actualités de la semaine du 27 Février au 5 Mars 2006
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Les outils de support Windows XP
Les outils de support Windows comptent parmi les trésors cachés de Windows XP. Ce sont plus de 100 utilitaires, dont beaucoup se trouvaient déjà dans le Microsoft Windows 2000 Resource Kit. Ils peuvent servir à changer des paramètres, nettoyer le PC, détecter et résoudre des problèmes, extraire des informations système et bien plus. Plusieurs des outils de support Windows sont particulièrement utiles pour les administrateurs système et réseau. Ce mois-ci, je vous présente 10 de mes préférés.Les outils de support Windows se trouvent dans le dossier \support\tools sur le CD-ROM XP. Les outils ne sont pas installés par défaut. Pour les installer, vous pouvez soit exécuter la commande setup.exe à partir d’une ligne de commande, soit double-cliquer sur le suptools.msi installer package. Pour installer tous les outils de support Windows, choisissez Complete Installation.
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Amélioration des structures de données RPG en V5R1, V5R2 et V5R3
par Barbara Morris Mis en ligne le 17/01/2006 - Publié en Mai 2005
A partir de la V5R1 et ensuite en V5R2 et V5R3, ILE RPG a beaucoup amélioré les structures de données, dans leur mode de définition et leur mode d’utilisation. Voyons plus en détail ces améliorations pour mieux comprendre ce qu’elles font et comment les utiliser. J’indique au passage si l’amélioration en question a été introduite en V5R1, V5R2 ou V5R3.
[V4-V5]Trucs & Astuces : Un commutateur mal configuré
Les trucs & astuces de la semaine du 5 au 10 Décembre 2005
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Architecture de réseau 101
par Darren Mar-Elia - Mis en ligne le 30/11/2005 - Publié en Octobre 2004
Concevoir et construire un réseau répondant aux besoins
de votre entreprise n'est pas un exercice banal. La richesse
du choix technologique multiplie le nombre des décisions
à prendre. Faut-il déployer la technologie sans fil dans
un réseau d'entreprise ? Quels pare-feu pouvez-vous ou devez-
vous installer ? Qu'en est-il de Gigabit Ethernet ? Des options
WAN? De l'adressage IP ? Convient-il déployer des solutions
basées sur le matériel ou basées sur le logiciel ? A
l'évidence, il n'est pas facile d'installer un
réseau. Heureusement, il existe de nombreuses
« meilleures pratiques » capables de
vous guider au fil du processus et de vous aider
à déterminer la bonne combinaison qui
répondra aux objectifs IT de l'entreprise.
Commençons par jeter les bases de toute
bonne conception de réseau, puis nous passerons
en revue quelques unes des
meilleures pratiques en la matière.
Un jour dans la vie d’un programmeur JAVA IFS
par Don Denoncourt, Mis en ligne le 11/04/2006 - Publié en Novembre 2005
Installer Tomcat 5.5 et créer un dispositif de déploiement à chaud, le tout dans une journée de travail
Les nouveautés de la semaine 12 – Windows IT Pro – 2006
Tous les nouveaux produits de la semaine du 20 au 26 Mars2006
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Obtenir des informations à propos de vos fichiers
par Scott Klement Mis en ligne le 01/O3/2006 - Publié en Juillet 2005
Dans les articles précédents de cette série (voir l’encadré « Autres articles de cette série), nous avons vu comment lire et écrire des fichiers stream dans l’IFS (integrated file system). Outre les API nécessaires pour cela, IBM nous a aussi donné quelques belles API permettant de tirer des informations des fichiers de l’IFS. Cet article explique comment extraire des informations des fichiers de l’IFS et comment changer leurs attributs.
News iSeries – Semaine 6 – 2006
Toutes les actualités de la semaine du 6 au 12 Février 2006
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Compilation conditionnelle en RPG
par Julian Monypenny Mis en ligne le 17/01/2006 - Publié en Mai 2005
Aimeriez-vous
• désactiver le code sans le retirer d’un programme ?
• permuter entre plusieurs versions d’une procédure pendant le développement?
• compiler les fonctions du langage pour différentes releases cibles ?
• basculer sur les traces de données pendant le test ?
• utiliser des définitions centrales des types de données et des prototypes de procédures ?
Si vous avez répondu oui à une ou plusieurs des questions ci-dessus, il vous faut la compilation conditionnelle. C’est pourquoi je l’explique ici et montre comment l’utiliser pour résoudre ces problèmes.
Les OS/400 Host Servers à la loupe
par Michael Otey - Mis en ligne le 07/12/2005 - Publié en Avril 2005
Les composants iSeries qui valident iSeries Access ainsi que beaucoup d’autres produits de connectivité tiers, sont les OS/400 Host Servers. Ils prennent en charge l’émulation 5250, le transfert de fichiers et l’accès aux files d’attente de données, ainsi que les applications Web, les applications Java et beaucoup de produits de connectivité tiers. Cet article examine dans le détail les programmes serveur OS/400 qui offrent la fonctionnalité d’arrière plan d’iSeries Access.
Nouvelles fonctions de LONGHORN
L’an dernier, lors de la PDC (Professional Developers Conference) de Microsoft, la firme a levé le voile sur ce que pourrait offrir la prochaine version de Windows, dont le nom de code est Longhorn. La nouvelle version attendra peut-être 2006, mais le cycle de développement de Longhorn est bel et bien lancé. Dans ce top 10, je présente dix des nouvelles fonctions les plus notables que Microsoft envisage pour la prochaine version de Windows. (Au cas où vous vous poseriez la question, sachez que Longhorn est le nom d’un saloon près de Whistler Mountain en Colombie britannique, Canada.)
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Protection de l’IFS contre les virus
par Phil Coulthard, Mis en ligne le 12/04/2006 - Publié en Novembre 2005
Pendant longtemps, les utilisateurs iSeries ont fait confiance à i5/OS pour repousser les virus, les chevaux de Troie et autres vers, qui assaillent les systèmes Microsoft Windows. Et cela, en grande partie grâce à l’architecture d’authentification basée sur la capacité i5/OS. Bien que cette architecture soit très « mature » (ses origines remontent au S/38 dans les années 1970) et présente parfois quelques faiblesses (que l’IBM traite rapidement), aucun virus n’est jamais parvenu à infecter un programme ou objet natif iSeries.En i5/OS, un objet fichier ne peut pas imiter un programme exécutable et un programme ne peut pas modifier le code binaire d’un autre : une fois créé, un programme est immuable. De plus, les programmes ne peuvent accéder aux objets que par des interfaces sûres et bien définies, et pas directement par l’intermédiaire d’une adresse mémoire ou disque. En matière d’objets natifs, i5/OS rend inopérantes les techniques habituelles des auteurs de virus.
Dans ce propos, le terme vedette est l’adjectif « natif ». La robuste sécurité objet de l’iSeries ne s’étend pas jusqu’aux portions de l’IFS (integrated file system) – particulièrement les portions présentes dans les répertoires racine accessibles à distance par des postes de travail et des serveurs Windows porteurs de virus. Quand un système distant accède à l’IFS, il a le pouvoir d’infecter les fichiers IFS avec un code viral. Les systèmes non infectés qui liront ultérieurement les fichiers infectés pourront eux-mêmes être contaminés. Un virus peut ainsi se répandre dans un réseau d’entreprise en quelques minutes, causant des dégâts incalculables.
Jusqu’à la V5R3, la seule protection antivirus pour l’IFS était constituée de packages antivirus de type PC qui scrutaient la racine IFS à distance, en la traitant simplement comme un autre lecteur disque de PC. Malheureusement, pour pouvoir faire cela, le PC chargé du scanning doit posséder tous les droits objet sur l’IFS : un gros risque pour la sécurité. Le scanning proprement dit doit lire tout le contenu de l’IFS initialement, avec pour résultat de gros volumes de trafic réseau. Et, bien que les scans suivants puissent être limités aux seuls fichiers modifiés depuis le dernier scan, rien ne garantit qu’une infection ne surviendra pas et ne se répandra pas entre les scans.
Avec la V5R3, IBM fait bénéficier i5/OS de la puissance du scanning de virus natif. Moyennant de nouveaux attributs de répertoire et de fichier, valeurs système et programmes de sortie, l’iSeries fournit désormais des points de connexion pour les programmes antivirus tiers qui assurent la protection en temps réel de l’IFS, éliminant le risque d’infection entre des scans. Et comme la protection antivirus est native, elle ne gonfle pas le trafic sur le réseau. Mieux encore, les extensions antivirus i5/OS sont à la disposition de tous : développeurs antivirus commerciaux et non commerciaux. Il sera donc possible de porter un scanner antivirus open-source sur l’iSeries.
Il faut noter que la validation du scanning de virus V5R3 n’inclut pas le logiciel de scanning de virus et de réparation proprement dit. Il faut l’obtenir auprès d’un fournisseur tiers ou écrire le vôtre. Il existe un produit commercial disponible dès à présent – livré, en fait, dans le cadre de la V5R3 – qui permet de bénéficier immédiatement de la protection antivirus natif : StandGuard AV for V5R3 de Bytware. Il est fort probable que d’autres produits antivirus apparaîtront à l’avenir. Pour bien évaluer de tels produits, ou peut-être pour écrire le vôtre, vous devez comprendre les mécanismes de scan de virus de la V5R3.
Heureusement, les améliorations sont simples et vous les assimilerez rapidement. Il y a deux nouveaux attributs de fichier/répertoire, deux nouvelles valeurs système, et deux nouveaux points de sortie de programme. Quand vous
Les 12 commandements du partage de fichiers
Le partage de fichiers peut être un point d’échange vital pour les fichiers utilisateur en collaboration, trop grands pour être envoyés comme pièces jointes de courriel. Outre la facilité d’accès pour l’utilisateur, ces partages de fichiers existent généralement sur un serveur avec des solutions de stockage redondantes. Ils réduisent le risque de perte de données consécutive à une défaillance du disque, parce que l’on peut sauvegarder les données en un point central plutôt que de sauvegarder le PC client de chaque utilisateur. (Quiconque a payé à un service de récupération de données de 1 000 à 3 000 euros pour extraire des données cruciales d’un disque dur d’un poste PC défaillant appréciera l’intérêt de la redondance du stockage sur le serveur de fichiers.)C’est pourquoi le partage de fichiers est une ressource très utilisée. Mais c’est aussi une pratique à haut risque qui peut mettre en péril les données de l’entreprise si l’on ne maîtrise pas parfaitement l’exercice. J’ai constaté que de nombreux administrateurs système ne savent pas vraiment comment les permissions de partage et de NTFS interagissent et n’ont pas un plan global solide pour leurs ressources de dossiers partagés. Pour vous aider à analyser votre environnement de dossiers partagés actuel et peut-être découvrir quelques nouvelles bonnes pratiques, j’ai recensé les 12 commandements suivants sur le partage de fichiers.
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Comprendre et apppliquer le cryptage DB2 UDB
par Kent Milligan Mis en ligne le 01/O3/2006 - Publié en Juillet 2005
Les stratégies de confidentialité des données et les usurpations d’identité ont accentué la prise de conscience de la sécurité tant dans nos services de technologies de l’information que dans nos foyers. Cette sensibilisation oblige les programmeurs et administrateurs iSeries à élaborer de nouvelles méthodes de protection pour le contenu sensibles des bases de données DB2 UDB for iSeries. La V5R3 propose de nouveaux moyens de protection des données, grâce aux fonctions de cryptage et de décryptage DB2.
Mais avant de nous intéresser aux nouvelles méthodes de protection des données, ne négligeons surtout pas la première ligne de protection des données DB2: la sécurité au niveau objet. Les services de sécurité au niveau objet i5/OS jouent un rôle de premier plan dans la protection des données DB2, indépendamment de l’interface d’accès. Dès lors que l’utilisateur final demande davantage d’interfaces d’accès, les sites iSeries ne peuvent plus se contenter de la sécurité basée sur menus, pour contrôler l’accès aux données sensibles. La sécurité au niveau objet empêche tout utilisateur non autorisé d’accéder aux données sensibles (comme les rémunérations) pour les supprimer ou les modifier.Le cryptage des données est une méthode de sécurité qui érige une autre ligne de protection autour des colonnes DB2 contenant des données sensibles. Ce niveau de sécurité supplémentaire s’impose parce que la sécurité au niveau objet ne saurait empêcher des utilisateurs autorisés comme les servant du help desk, de visualiser des données sensibles, ni empêcher un pirate de lire ces mêmes données, au moyen de références (ID et mot de passe) volées à un utilisateur autorisé. Si des données sensibles comme un numéro de carte de crédit sont stockées sous forme cryptée, tous les utilisateurs recevront toujours, par défaut, une chaîne binaire de données cryptées. Pour lire en clair le numéro de la carte de crédit, l’utilisateur devra remplir deux conditions : être autorisé à accéder à l’objet DB2 et connaître le mot de passe de cryptage et la fonction de décryptage.
A l’aide d’un exemple, voyons comment on pourrait utiliser la nouvelle fonction de cryptage et de décryptage DB2 dans ce scénario, pour fournir un degré de sécurité supplémentaire.
SET ENCRYPTION PASSWORD
INSERT IN INTO customer
VALUES('JOSHUA', ENCRYPT('1111222233334444'))
SET ENCRYPTION PASSWORD
SELECT name, DECRYPT_CHAR(card_nbr)
FROM customer
Ici, l’instruction Set Encryption Password fournit à DB2 la clé qui servira pour crypter les données et pour les décrypter. L’instruction suivante montre comment la fonction de cryptage DB2 sert à coder le numéro de carte de crédit sensible avant de l’écrire dans la table DB2. La dernière instruction montre les étapes nécessaires pour visualiser la valeur originale du numéro de carte de crédit '1111222233334444'. En premier lieu, la clé de cryptage doit être mise à la même valeur que celle qui a servi à crypter le numéro. Ensuite, il faut utiliser l’une des fonctions de décryptage pour convertir la valeur cryptée binaire en valeur caractère initiale.
Dans cet exemple, on remarquera tout particulièrement l’absence de mots-clés SQL ou DDS ordonnant à DB2 UDB de crypter et de décrypter automatiquement les données. Des changements d’application sont donc nécessaires. La raison en est que le cryptage et le décryptage automatiques ne fournissent pas un degré de sécurité supplémentaire. Si DB2 décrypte le numéro de carte de crédit pour tous les utilisateurs qui lisent la table Customer, alors le numéro de carte de crédit sera aussi visible aux yeux des utilisateurs que s’il n’y avait pas de cryptage. On ne peut tirer parti du cryptage qu’en changeant les applications et les interfaces de manière à décrypter sélectivement les données pour un sous-groupe d’utilisateurs autorisés. DB2 apporte une valeur ajoutée en la matière : ces nouvelles fonctions facilitent le cryptage et le décryptage. Les applications se contentent d’invoquer une fonction SQL simple au lieu de coder des appels adressés à des API et des services de cryptographie complexes.
RPG ET L’IFS : FICHIERS STREAM BINAIRES
par Scott Klement Mis en ligne le 07/02/2006 - Publié en Juin 2005
Cet article est le quatrième de la série RPG et l’IFS. Le premier article (« Introduction aux fichiers stream », janvier 2005, ou www.itpro.fr Club Abonnés) expliquait les principes de base des fichiers stream – comment les ouvrir et comment les lire et y écrire. Le deuxième article (Fichier texte : une première », mars 2005 ou www.itpro.fr expliquait un style particulier de fichiers stream appelé fichiers texte. Le troisième article (« Fichier texte dans le monde », avril 2005 ou www.itpro.fr ) démontrait quelques utilisations de fichiers texte dans des applications de gestion. Le présent article explique les fichiers stream binaires : des fichiers stream qui contiennent des types de données autres que du texte.Sur l’iSeries, chaque objet disque a un type d’objet particulier, comme *FILE, *PGM, *DTAARA ou *SAVE. Cependant, les plates-formes comme Unix ou Windows n’ont que deux types d’objets disque : fichiers et répertoires. Ces fichiers, appelés fichiers stream, ne servent pas qu’aux données. Ils contiennent aussi des programmes exécutables, des images, du son, de la vidéo et tout ce que l’on peut imaginer d’autre. Les fichiers texte, comme ceux que j’ai présentés dans le précédent article, ne conviennent évidemment pas pour cela. On aura parfois besoin d’un fichier capable de stocker plus que du texte, et c’est là que les fichiers stream binaires ou (« binaires », en abrégé) entrent en scène.
News iSeries – Semaine 2 – 2006
Toutes les actualités de la semaine du 9 au 15 Janvier 2006
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Les services Web peuvent-ils vous servir?
par Aaron Bartell - Mis en ligne le 07/12/2005 - Publié en Mars 2005
Vous vous demandez peut-être
« Pourquoi parle-t-on autant des
services Web dans le monde de la
technologie ? Après tout, il y a belle
lurette que nous faisons du développement
orienté service modulaire et
que nous nous connectons à
d'autres systèmes distants. Il y a tellement
de moyens différents de
communiquer avec l'iSeries (DDM,
DRDA, FTP, ODBC, JDBC, « raw sockets
»). Devons-nous vraiment nous
encombrer d'une technologie de
plus ? Pourquoi ne pas simplement
adopter l'une des méthodes de communication
existantes et continuer à
progresser ? Pourquoi les services
Web ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi
toutes ces nouvelles technologies
et nouveaux standards déroutants
? »
[V4-V5]10 Trucs & Astuces pour les administrateurs
Mis en ligne le 9/06/2005 - Publié en Juin 2004
Création de cubes, écriture de requêtes MDX, optimisation de DTS et plus encore...
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