
Bootcfg
par Mark Minasi - Mis en ligne le 07/09/2005 - Publié en Juillet/Août 2004
Boot.ini : plus simple qu'il n'y paraît
Supposons que Windows XP vous
cause quelques soucis. Vous décidez
d'initialiser en Safe Mode pour corriger
le problème. Vous réinitialisez et
appuyez sur F8 pour entrer dans le
menu Windows Advanced Options,
mais vous n'êtes pas assez rapide avec
le clavier. Vous réinitialisez et réessayez
à nouveau, le doigt posé sur F8,
mais en vain. Vous réinitialisez une
troisième fois et, cette fois, l'oeil et la
main sont suffisamment coordonnés
pour obtenir le bon menu. Enfin, vous
pouvez commencer le dépannage ...
![[V4-V5]La boite à outils de l’iSeries](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2014/03/ad55265f098851c76fe91565c3ee28ed.jpg)
[V4-V5]La boite à outils de l’iSeries
par Michael Otey - Mis en ligne le 9/03/2005 - Publié en Avril 2004
Retrouvez une sélection d'astuces techniques...
Transférer automatiquement de multiples fichiers de données
Installer des composants d'acces à iSeries spécifiques
Dépasser le nombre maximum d'enregistrements de sous-fichier
Spécifier un numéro de port
Déterminer la valeur des bifs

Trucs & Astuces iSeries : Qshell, VB, Linux 5250
Les trucs & astuces de la semaine du 21 au 27 Février 2005
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Multi-Tris avec positionnement dans les listes par l’OVRBDF
par Jean-Philippe BALLAT - Mis en ligne le 1/06/2005 - Publié en Septembre 2004
Version RGP et COBOL
Normalement, lorsqu'on utilise le multi-tris dans un programme RPG ou COBOL,
il faut déclarer autant de fichiers logiques que de colonnes de tris proposées à l'utilisateur.
On s'aperçoit que la simplicité de programmation et de déclarations dans les
programmes est inversement proportionnelle au nombre de choix de tris ...
L'astuce consiste à ne déclarer qu'un seul fichier dans le programme de liste.
Celui-ci renvoie toujours les enregistrements triés selon le choix de l'utilisateur
par fichier logique substitué. Le résultat donné peut être répercuté sur l'impression.
Cette opération est possible grâce à l'OVRDBF qui substitue le fichier lu par le
logique trié en fonction de la colonne sélectionnée.
L'OVRDBF permet de :
- Remplacer momentanément le nom du fichier déclaré dans le programme. et/ou
- Remplacer momentanément certains paramètres du fichier, utilisés par le programme.
Lorsque l'utilisateur sélectionne une colonne, le programme charge les enregistrements triés et affiche cette colonne en couleur. Lorsque l'utilisateur demande un positionnement sur un numéro de facture, la liste se recharge à partir de ce code. Lire l'article
![[V4-V5]6 Trucs & Astuces concernant l’analyse décisionnelle (1/2)](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2014/04/4f93108e9b4bb8111f2064ee09871029.jpg)
[V4-V5]6 Trucs & Astuces concernant l’analyse décisionnelle (1/2)
Création de cubes, écriture de requêtes MDX, optimisation de DTS et plus encore...

Les nouveautés de la semaine 17 – Windows IT Pro – 2005
Tous les nouveaux produits du 25 Avril au 1 Mai 2005
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Trucs & Astuces iSeries : DNS, TCP/IP
Les trucs & astuces de la semaine du 28 Mars au 3 Avril 2005
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Windows adopte le stockage iSCSI
par Jerry Cochran - Mis en ligne le 07/09/2005 - Publié en Juillet/Août 2004
Découvrez ce que ce nouveau standard apporte à vos réseaux
L'IETF (Internet Engineering Task
Force) a récemment approuvé la
spécification iSCSI (Internet SCSI).
Qu'est-ce que iSCSI et qu'est-ce que ce
standard basé sur IP représente pour
vous et pour vos réseaux Windows ?Un important changement de paradigme
a déjà eu lieu dans le domaine
du stockage basé sur Windows : le passage
du DAS (Direct Attached Storage)
basé sur l'hôte au stockage basé sur le
réseau, qui inclut NAS (Network
Attached Storage) et SAN (Storage
Area Network). Je prévois un autre
changement de paradigme dans lequel
iSCSI jouera un rôle important. En particulier,
iSCSI jouera un rôle clé dans la
convergence des deux technologies de
stockage en réseau existantes, pour
aboutir à une technologie de stockage
basée sur le réseau. Cette nouvelle
technologie est différente de NAS ou
de SAN et le procédé sous-jacent
(SCSI, Fibre Channel, par exemple)
n'est pas aussi important que la
manière dont les clients et les serveurs
se connecteront à cette technologie.
Deux standards vont émerger pour
l'attachement du stockage basé sur le
réseau : iSCSI et iFCP (Internet Fibre
Channel Protocol). Examinons de plus
près iSCSI et sa place dans le monde
Windows.

Jouons avec le shell sur l’iSeries
par Tim Massaro - Mis en ligne le 9/03/2005 - Publié en Avril 2004
Quand seule une ligne de commande fait l'affaire
Reconnaissons-le : une interface
ligne de commande est parfois essentielle.
Les développeurs iSeries ont
joui pendant longtemps de la puissance
et de la facilité d'utilisation de
l'interface ligne de commande du système.
Les fonctions innovantes de CL
(Command Language) de l'OS/400 - y
compris l'invite de commande dynamique,
l'aide sensible au curseur et
même un schéma de nommage de
commande extrêmement homogène -
rendent cet environnement productif
pour tout utilisateur iSeries ...Au cours des dernières années, au
fur et à mesure que l'OS/400 s'est
diversifié, l'équipe iSeries d'IBM a produit
de nouvelles options d'environnement
ligne de commande. Ces
environnements d'interface de commande
supplémentaires sont du genre
Unix (mais l'iSeries supporte aussi les
environnements ligne de commande
System/36/38). Un shell Unix est un
programme placé dans une boucle en
attente d'une entrée de l'utilisateur,
similaire au fonctionnement du
Command Entry Screen. Le shell interprète
une commande quand la touche
Entrée est actionnée, l'exécute et revient
dans la boucle en attente d'autres
entrées. Vous pouvez combiner les instructions
shell sous forme de scripts,
qui sont comme des programmes CL
mais interprétés en temps réel, sans
compilation. Sur l'iSeries, les shells
sont particulièrement commodes pour
les développeurs migrant d'autres systèmes
ou pour ceux qui travaillent avec
l'IFS ou dans le QShell ou dans des environnements
PASE.
Le premier shell OS/400 à apparaître
a été l'environnement QShell
(QSH), qui remonte à la V4R2. Destiné
initialement pour que l'OS/400 soit
compatible avec les standards POSIX
et X/Open, cet environnement est une
option gratuite de l'OS/400 (option
30). On accède à l'environnement avec
la commande STRQSH ou, plus simplement,
QSH, à partir du Command
Entry Screen traditionnel. QShell est
compatible en amont avec les scripts
shell Bourne et supporte bon nombre
des fonctions utilisées par les scripts
shell Korn et shell Bourne Again.
Est venu ensuite l'environnement PASE, apparu à l'origine en V4R4. PASE
(qui signifie Portable Application
Solutions Environment) est l'environnement
d'exécution qui permet à
de nombreuses applications AIX de
fonctionner sans modification dans un
environnement natif iSeries. A partir
de la V5R2, PASE est fourni gratuitement
avec l'OS/400. Il est aussi, en option,
installé. Pour installer PASE à partir
de l'écran Go LICPGM, choisissez
l'option 33 (5722SS1 - Portable Application
Solutions Environment). Vous
pouvez invoquer le PASE Shell via CALL QP2TERM. PASE supporte trois types
de shells Unix. Il adopte par défaut le
shell Korn (ksh), mais les utilisateurs
peuvent aussi choisir le shell Bourne
(bsh) et le shell C (csh). De précédents
articles d'iSeries Network ont fourni
des informations sur ces divers shells
(voir l'encadré « Ressources shell
iSeries »). Ces articles, combinés à une
vaste information sur les scripts shell
sur le Web et dans des ouvrages techniques
spécialisés, vous donneront les
moyens d'utiliser ces divers shells.
Dans cet article, je me concentre sur
deux nouvelles améliorations : le support
PTY et le support AWT natif.
Quoique d'apparence mineure, ces
deux fonctions faciliteront la vie des
nombreux fans des scripts shell. Je présente
aussi une rapide démonstration
montrant OS/400 Java supportant la
démo AWT généralement connue sous
le nom de SwingSet.


WebReport/400 7.0,
Kisco Information Systems annonce des contrôles de sécurité de fichiers spool dans WebReport/400 7.0, dernière version de son utilitaire.
WebReport/400 7.0 permet de convertir les rapports iSeries et les distribuer par fichiers joints par email ou par contenu Internet/Intranet.
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Actualités de la semaine 22 – Windows IT Pro – 2005
Toutes les Actualités du 30 Mai au 5 Juin 2005
Lire l'article
Trucs & Astuces iSeries : WLAN, accès sans fil
Les trucs & astuces de la semaine du 9 au 15 Mai 2005
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Trucs & Astuces iSeries : CpyF, RPG, PC
Les trucs & astuces de la semaine du 18 au 24 Avril 2005
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Migration de l’état utilisateur
USMT est le meilleur choix pour les migrations d’entreprises
Transférer les données et les paramètres d’un utilisateur d’un ancien système (Windows 95 ou antérieur) sur un nouveau système Windows XP peut être une opération délicate. Il faut en effet recueillir tous les liens, paramètres, et autres données, dont l’utilisateur a besoin. Mais aussi abandonner les éléments qui ne lui sont plus utiles ...En automatisant l’opération au maximum, vous pouvez atteindre cohérence et efficacité dans le cas de migrations multiples.
Deux outils Microsoft vous aideront dans vos migrations de l’état utilisateur : FSTW (Files and Settings Transfer Wizard) et USMT (User State Migration Tool). Tous deux sont similaires sur un plan fonctionnel, mais l’interface conviviale et pilotée par GUI de FSTW convient mieux pour des migrations de masse que l’USMT scriptable, hautement personnalisable.

Scripter dans DNS Setup
Créez une infrastructure DNS dynamique au moyen d’un fichier batch
Dans des articles précédents, j’expliquais comment utiliser de simples fichiers batch pour mettre en place des systèmes récemment installés en tant que DC (domain controllers) et pour créer des outils de reprise après sinistre. Nous avons vu également comment utiliser Netsh pour configurer et régler finement votre pile IP. C’était la première étape pour préparer un serveur Windows Server 2003 ou serveur Windows 2000 à s’élever au rang de DC ...Pour mettre en place un AD (Active Directory), nous avons maintenant besoin d’une infrastructure DDNS (dynamic DNS).
Dans mon exemple, je crée une forêt à un seul domaine appelée bigfirm. biz qui contient deux DC : UptownDC.bigfirm.biz à 192.168.0.2 et DowntownDC.bigfirm.biz à 10.0.0.2. Les subnets 192 et 10 utilisent tous deux un masque subnet 255.255.255.0 et je veux que chaque machine soit à la fois un DC et un serveur DNS. Les deux systèmes bénéficient de copies récemment installées de Windows 2003 ou de Win2K Server, ainsi que du logiciel serveur DNS de Microsoft, livré avec les deux OS. La pile IP de chaque système est déjà constituée à l’aide des fichiers batch des articles précédents et le suffixe DNS de chaque système est défini comme bigfirm.biz. L’objectif de mon dernier fichier batch est d’installer DNS sur chaque système. UptownDC sera le serveur DNS primaire pour bigfirm.biz et pour une zone de consultation inversée 192. 168.0.x, et ce sera le serveur DNS secondaire pour une zone de consultation inversée 10.0.0.x. DowntownDC sera un serveur DNS secondaire pour bigfirm.biz et pour la zone de consultation inversée 192.168.0.x, et ce sera le serveur DNS primaire pour la zone de consultation inversée 10.0.0.x.

UDTF SQL, première partie
par Michael Sansoterra - Mis en ligne le 23/02/2005 - Publié en Avril 2004
Les UDTF (User-Defined Table Functions) offrent trop d'avantages pour qu'on les ignore
Pour le plus grand bien de la communauté
iSeries, IBM améliore continuellement
les UDF (User-Defined
Functions) introduites dans SQL
V4R4 pour iSeries. Ces UDF permettent
aux programmeurs de construire
des fonctions scalaires personnalisées ...La V5R2 leur donne le
moyen de construire un autre genre
de fonctions appelé UDTF (User-
Defined Table Function). Contrairement
à une UDF scalaire, qui accepte
des paramètres de zéro ou
plus et renvoie une valeur unique,
l'UDTF peut accepter des paramètres
zéro ou plus et renvoyer une
table de résultats à part entière.
Comme une UDTF renvoie une table
de résultats, les programmeurs peuvent
l'utiliser comme une table normale
ou la visualiser dans une instruction
Select, dans la clause From
d'un subselect, ou dans une déclaration
de curseur. (Une UDTF ne peut
pas être référencée comme cible
d'une instruction Update, Insert ou
Delete.)
Vous pouvez utiliser soit SPL
(SQL procedural language), soit un
langage évolué, comme ILE RPG,
pour mettre en oeuvre une UDTF.
Les UDTF écrites en SPL sont appelées
« UDTF SQL » et celles qui sont
écrites dans un langage évolué (HLL)
sont appelées « UDTF externes ». En
général, les UDTF SQL sont utiles
pour extraire des données d'une
base de données DB2, tandis que
elles conviennent bien pour extraire
des données d'autres sources, même
si des UDTF externes peuvent aussi
extraire des données de DB2. Pour
l'instant, nous n'examinerons que
les UDTF SQL. Rappelons qu'à partir
de la V5R2, le kit de développement
SQL 5722ST1 n'est plus nécessaire
pour écrire du code SPL.
Comme avec les UDTF scalaires
SQL, l'instruction Create Function
mène une double action : elle compile
le code de l'UDTF et elle enregistre
le nom, les paramètres et la valeur
de renvoi de l'UDTF avec la base
de données. La figure 1 montre une
UDTF simple qui extrait toutes les
commandes d'un client des tables
Orders et OrdersArchive.
Pour invoquer une UDTF dans une instruction SELECT, spécifiez le
nom de la fonction et ses paramètres
de la manière suivante :
Select * From Table(GetCustomerOrders ('ACME_HDW')) As CustOrders Order By OrderValueSi l'interrogation concerne une UDTF, vous devez placer le nom UDTF entre parenthèses dans le mot-clé Table. Vous devez aussi indiquer un nom de corrélation en utilisant le motclé As pour donner à l'UDTF un nom unique dans l'instruction.
La figure 1 montre comment, pour des UDTF SQL, vous pouvez diviser l'instruction Create Function en deux parties : la définition de la fonction et l'implémentation de la fonction. La définition de la fonction va des mots-clés Create Function jusqu'à la fin de la phrase Set Option. L'implémentation de la fonction est spécifiée entre les mots-clés Begin et End.
Pour démarrer la partie définition, l'UDTF reçoit le nom GetCustomer- Orders, qui est référencé dans la clause From d'une instruction Select. Après le nom, spécifier les éventuels paramètres d'entrée dont l'UDTF a besoin pour extraire les données désirées. Dans cet exemple, le CustomerID est déclaré comme un paramètre d'entrée appelé parmCustomerID.
Le mot-clé Returns Table distingue une UDTF d'une UDF scalaire parce qu'une UDTF peut renvoyer des colonnes multiples ainsi que des lignes. Vous devez spécifier les colonnes de la table de résultats en utilisant une syntaxe identique à celle qui permet de définir des colonnes sur l'instruction Create Table. Une instruction SQL qui référence l'UDTF utilise les noms des colonnes de la table de résultats de la même manière que les noms de colonnes provenant d'une table ou d'une vue normale.
Le fait de spécifier Language SQL signifie que l'UDTF est écrite en SPL. Comme les UDTF ne peuvent pas s'exécuter en parallèle, la clause Disallow Parallel est toujours requise. Utilisez la clause Set Option pour définir une variété de paramètres incluant le format date, le format heure, le niveau de contrôle de commitment et l'autorité adoptée. Pour obtenir plus d'informations sur les options disponibles, voir la commande Set Option dans le guide IBM DB2 UDB for iSeries SQL Reference à http://publib.boulder. ibm.com/iseries/v5r2/ic2924/info/db2/rbafzmst02.htm (ou la même URL se terminant par rbafsmst.pdf pour Lire l'article

Un guide rapide vers les JSP : rejoignez l’équipe des tages
par David Bridgewater - Mis en ligne le 09/02/2005 - Publié en Mars 2004
Une application familière avec deux nouveaux
trucs : le code modularisé et les tags JSP
Dans l'article « Les JSP : visite rapide » , je montrais comment écrire une application JSP (JavaServer
Page) simple mais intéressante. L'application permet à l'utilisateur de filtrer
un fichier Employee au travers d'une large sélection de critères ; puis,
elle affiche les résultats sous forme de table dans une page Web, en incluant
le comptage du nombre d'employés trouvé ...Dans ce premier article, je signalais les défauts de conception de ma
méthode. Principale critique : mon code était monolithique, mélangeant
la logique de présentation, de gestion et de base de données - le genre de
pratique que nous avons tous délaissée dès l'arrivée de ILE et des programmes
de service. Je propose ici un exemple d'application de même
fonctionnalité, mais avec deux réaménagements importants :
1. Le code est modularisé.
2. Le JSP ne contient pas de Java. En lieu et place, on trouve des constructions
JSP différentes appelées tags.
Je ne prétends pas que cette nouvelle méthode soit le nec plus ultra
de la bonne conception, mais c'est une amélioration indiscutable.
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