Apeller des programmes iSeries dans un monde sans-fil
par Robb Wiedrich - Mis en ligne le 13/04/2005 - Publié en Juin 2004
IBM Toolbox for Java 2 Micro Edition fait l'affaire
La possibilité de travailler n'importe où est un souhait des utilisateurs et une
réalité qui change le panorama du lieu de travail. Grâce aux appareils sans fil, on
peut désormais travailler en déplacement. Une application exécutée sur un appareil
sans fil doit fonctionner exactement comme si vous étiez dans votre bureau, en
accédant aux mêmes données et ressources ...Par le passé, les appareils sans fil utilisaient
un mécanisme de synchronisation.
On téléchargeait périodiquement des données
à partir d'un serveur distant, on les
traitait offline puis on retransférait vers le
serveur les données modifiées. Mais, cette
technique contraint les utilisateurs à penser
différemment et n'a pas remporté un
grand succès.
La synchronisation était imposée par la
lenteur des connexions sans fil, d'environ
19,2 Kbps. Mais aujourd'hui, les vitesses
sans fil atteignent facilement 128
Kbps sur des réseaux cellulaires et 10 Mbps
ou plus pour la Wi-Fi dans des sites sans fil
baptisés « points chauds », comme des aéroports
et des cafés. Cette nouvelle bande
passante autorise des applications sans fil
entièrement interactives. Malgré les limitations imposées par les facteurs de forme
des unités, il est possible de construire des applications sans fil simples pour les utilisateurs.
Toolbox for Java 2 Micro Edition (ToolboxME) d'IBM est l'une des voies les
plus simples pour le développement d'applications sans fil.
Pour écrire une application sans fil iSeries basée sur Java, il faut d'abord comprendre
le principe de fonctionnement de ToolboxME et savoir de quelles API vous
disposez. Ensuite, vous ajouterez des appels ToolboxME à vos applications existantes
pour réaliser l'interaction sans fil. Mieux encore, le même code de programmation
qui sert actuellement pour votre interface desktop peut constituer le socle
des applications sans fil, en simplifiant leur maintenance et en minimisant la duplication
de code.
Optimisation de la mémoire : mythes et réalités
Les promesses fallacieuses des optimiseurs de mémoire
En surfant sur le Web, vous avez probablement vu surgir des annonces comme « Défragmentez votre mémoire et améliorez la performance » et « Réduisez les défaillances des applications et du système et libérez la mémoire inutilisée ». Les liens vous conduisent à des utilitaires qui promettent de faire tout cela et bien plus pour 20 ou 30 euros. Est-ce trop beau pour être vrai ?Absolument ! Ces utilitaires semblent intéressants mais, au mieux, les optimiseurs de RAM sont sans effet et, au pire, ils dégradent sensiblement les performances.
On compte des dizaines de soidisant « optimiseurs de la mémoire », certains commerciaux, d’autres proposés en freeware. Peut-être même utilisez-vous l’un d’eux en ce moment sur votre système. Qu’accomplissent- ils vraiment et comment essaient-ils de vous faire croire qu’ils tiendront leurs promesses ? Jetons un coup d’oeil à l’intérieur des optimiseurs de mémoire pour voir exactement comment ils manipulent les compteurs de mémoire visibles dans Windows.
Gestion des applications auto-exécutées
J’aime le plateau système Windows
Ce plateau affiche des icônes de programmes qui s’exécutent en arrière plan, comme mon programme antivirus et Windows Update. J’aime savoir que ces applications sont en train de s’exécuter. Mais, depuis peu, j’ai constaté que de plus en plus d’icônes apparaissent inopinément dans mon plateau système ...Elles représentent des programmes qui semblent surveiller mes lecteurs de CDROM et de DVD, empêcher les bulles publicitaires de surgir sur mon navigateur, et gérer magiquement mes téléchargements. Je ne me souviens pas d’avoir installé ces applications. D’où la question : quelles autres applications puis-je avoir installées par inadvertance qui n’affichent pas d’icônes dans le plateau système ?
Je m’attends à ce qu’une application soit lancée uniquement quand je la démarre manuellement, quand je l’ajoute à mon répertoire de démarrage, ou quand elle me demande si elle doit démarrer automatiquement. Mais il se trouve que certains programmes démarrent à mon insu parce que leurs programmes d’installation les ont ajoutés à une clé de registre qui fonctionne comme un répertoire de démarrage. On peut visualiser les répertoires de démarrage mais on ne peut pas facilement voir les programmes qui ont été configurés pour démarrer au travers du registre. Pour remettre de l’ordre dans une situation aussi fantaisiste, j’ai écrit un script Perl qui permet de gérer facilement toutes les applications qui s’exécutent quand un utilisateur se connecte.
Sécurisez vos clients avec SUS
par Ed Roth - Mis en ligne le 23/02/2005 - Publié en Avril 2004
Ce précieux outil gratuit vous permettra d'administrer centralement les correctifs
et de les distribuer
Vous avez probablement entendu
parler du Microsoft Security Bulletin
MS03-026 (Buffer Overrun In RPC
Interface Could Allow Code Execution)
bien avant l'attaque du ver Blaster le 11
août 2003. Pourtant, le « succès » du ver
a révélé que la plupart d'entre nous
n'avaient pas fait grand chose pour se
protéger ...Les effectifs IT sont souvent
maigres et il est matériellement impossible
de s'assurer que chaque système
Windows de la société reçoit les correctifs.
Mais c'est précisément tant que vos
managers ont encore en mémoire les
dégâts du ver Blaster, que vous pouvez
jeter les bases d'application des correctifs
pour combler les failles de demain.
Microsoft SUS (Software Update Services)
est un outil gratuit qui vous aide à
gérer centralement et à distribuer des
correctifs et autres mises à jour d'OS
aux clients et serveurs Windows. A ceux
qui sont chargés de maintenir la stabilité
et la sécurité des systèmes client basés
sur Windows, SUS procure au
moins deux avantages. Premièrement,
il n'est plus nécessaire de consulter le
site Microsoft Security & Privacy Web et
de télécharger manuellement les correctifs.
Deuxièmement, plutôt que de
laisser chaque utilisateur choisir au hasard
et télécharger les mises à jour à
partir du site Windows Update, vous
pouvez effectuer un téléchargement et
contrôler quand et où les mises à jour
seront installées.
L’IBM WebFacing Tool : une meilleure interface utilisateur
par Phil Coulthard et George Farr - Mis en ligne le 02/02/2005 - Publié en Mars 2004
L'étape suivante du trajet est une meilleure interface utilisateur
Dans l'article « un itinéraire de RPG à J2EE », nous présentions un trajet simple pour passer de RPG ou de Cobol
à J2EE (Java 2 Enterprise Edition). Jusqu'ici nous avons couvert l'étape Meilleurs
outils dans le trajet (voir l'article « Remote System Explorer dans WDSc 5.0 »,
et l'article « De meilleurs outils : projets iSeries »). Nous passons à l'étape suivante : la
meilleure interface utilisateur ...Cette étape consiste à ajouter une interface utilisateur moderne de type Web
à une application 5250. L'offre IBM correspondante est constituée par IBM
WebFacing Tool et HATS (Host
Access Transformation Server).
Nous présentons ici le WebFacing
Tool ; prochainement, nous verrons
la nouvelle offre HATS. Lisez
également l'article « Un détour
par WebSphere Development
Studio Client 5.1 », dans ce numéro
où nous nous écartons légèrement
du trajet pour parler de la
nouvelle release 5.1 de WSDc
(WebSphere Development Studio
Client), qui contient la plupart des
outils décrits dans le trajet.
Travailler avec des API, première partie
Deux simples programmes RPG ILE montrent en quoi le fait d’appeler des API en utilisant PLIST ou des prototypes est différent
L’analyste programmeur freelance que je suis, a rencontré de nombreux programmeurs aux compétences et à l’expérience très diverses. A leur contact, j’ai constaté que beaucoup d’entre eux non seulement ne savent pas bien ce que les API peuvent faire, mais ont peur de programmer avec ...Cet article a donc pour objet de vaincre cette réticence, en montrant combien il est facile d’utiliser les API.
Nous examinerons deux versions d’un programme RPG ILE simple qui appelle une API, pour voir en quoi les deux programmes diffèrent. Le premier programme appelle une API avec une PLIST et le second appelle une API au moyen d’appels prototypés. Dans la 2e partie de cet article, nous construirons un programme utilitaire qui compare le tampon horodateur source des objets programme avec celui du fichier source, et signale les éventuelles différences.
LTC 1000 et XTC 1000 pour iSeries
BOSaNOVA présente les thin clientsLTC 1000 et XTC 1000 pour iSeries et autres plates-formes.
Destinés à fonctionner avec OpenOffice et d'autres solutions basées Java qui marchent respectivement sous Linux et Windows XP Embedded, les deux clients offrent notamment une connectivité ICA Citrix et 10/100 Ethernet, un standard PCMCIA.
Lire l'article
Group Policy Management Console pour Windows Server 2003
Le développement et la gestion GPO dans une interface homogène
Group Policy est près du sommet de n’importe quelle liste des fonctions les plus puissantes de Windows 2000. Et elle gagne de l’importance à chaque release Windows. Il est vrai que pouvoir contrôler les caractéristiques d’une grande quantité de serveurs et de clients est crucial quand on sait qu’un seul ordinateur mal configuré peut propager un virus en quelques secondes ...Malheureusement, Group Policy est aussi près du sommet de n’importe quelle liste des fonctions les plus complexes de Win2K. Le point fort de Win2K Group Policy est la richesse de ses possibilités. Ses points faibles se révèlent quand on essaie d’appliquer ces policies dans toute une entreprise.
C’est pourquoi le GPMC (Group Policy Management Console) est un outil précieux. C’est un nouveau snapin MMC (Microsoft Management Console) pour Windows Server 2003 conçu pour être le point de management central de tout ce qu’un administrateur de Group Policy pourrait vouloir accomplir. L’UI de GPMC simplifie grandement l’utilisation de Group Policy.
Chrono-Logic présente iAM
Chrono-Logic présente iAM - for Development v 4.0, solution de gestion des changements pour programmeurs utilisant les outils de développement Lansa.
iAM - for Development est entièrement écrit en Visual LANSA et offre aux utilisateurs le choix d'interfaces « écran vert » ou Windows.
Lire l'article
7 raisons d’installer Was Express V5
par Don Denoncourt - Mis en ligne le 6/10/2004 - Publié en Décembre 2003
Ce serveur applicatif Web économique est riche en fonctions
Au cours de ces dernières années, WAS
(WebSphere Application Server) a connu
beaucoup de changements. Voici ce que je
pense de ses diverses incarnations : WAS V2
était inutilisable, WAS V3.02, mauvaise, WAS
V3.5, médiocre, WAS V4 était bonne et,
maintenant, WAS V5 est excellente.Peu de
sites iSeries ont goûté à WAS V2 ou WAS
V3.02. Mais beaucoup de sites ont commencé
à déployer des servlets et des JSP
(JavaServer Pages) sur WAS Standard
Edition (WAS SE) V3.5.x quand le produit a
été joint gratuitement à l'OS/400. Avec WAS
V4, IBM a décidé d'abandonner la Standard
Edition économique et de ne vendre que
les coûteuses Advanced et Enterprise
Edition. Pour offrir un servlet et une plateforme
JSP économiques alternatifs, nos
amis IBM de Rochester ont entrepris de
fournir le support intégré OS/400 pour
Jakarta Tomcat, le serveur applicatif Java
open-source. Beaucoup de sites iSeries
n'avaient plus alors que deux solutions :
rester avec WAS SE V3.5.x ou adopter
Tomcat. Mais, avec WAS V5, voici qu'IBM
ramène son propre serveur applicatif Web
économique appelé WAS Express.
Dans cet article, nous voyons ce que
WAS Express offre et pourquoi vous devriez
le charger sur votre système.
Restauration à chaud des objets supprimés sous Windows Server 2003
par Anthony Moillic - Mis en ligne le 17/11/2004 - Publié en Mars 2004
Active Directory a été conçu pour être le
référentiel unique de l'entreprise centralisant
les données et droits d'utilisation des
utilisateurs, les paramètres de sécurité,
etc...Par conséquent, assurer l'intégrité,
la cohérence et la sauvegarde des données
stockées dans l'annuaire est fondamental.
D'où la nécessité d'un système de sauvegarde
et de restauration de Active
Directory simple, efficace et qui puisse être
mis en oeuvre sans interruption de service.
Outils de script ligne de commande dans Windows Server 2003
par Michael Otey - Mis en ligne le 22/09/2004 - Publié en Janvier 2004
La nouvelle version de l'OS contient beaucoup de
nouveaux outils
Utiliser des scripts command shell
a toujours été l'un des meilleurs
moyens de gérer un serveur Windows,
mais pour écrire des scripts souples il
faut souvent recourir à des outils ligne
de commande supplémentaires provenant
des outils de support d'OS, d'un
kit de ressources, ou d'un fournisseur
tierce partie...Chaque nouvelle version
de Windows a intégré certains de ces
outils dans l'OS de base. Windows
Server 2003 incorpore plus de 60 nouveaux
outils ligne de commande. Je
propose ici mes 10 nouveaux outils
ligne de commande orientés script favoris
de Windows 2003.
News iSeries – Semaine 36 – 2004
Toutes les actualités du 30 Août au 5 Septembre 2004
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Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 52 – 2004
Toutes les Actualités du 20 au 26 Décembre 2004
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Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 49 – 2004
Toutes les Actualités du 29 Novembre au 5 Décembre 2004
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Reprise après sinistre avec DFS
par Douglas Toombs - Mis en ligne le 8/12/2004 - Publié en Novembre 2003
Comment répliquer fiablement certains types de données en prévision du pire
En matière de planning de reprise
après sinistre, la question est : qu'estce
qui constitue un sinistre ou une catastrophe
? Même si la réponse semble
évidente, il est difficile de recenser tout
ce qui pourrait représenter un sinistre.
Les catastrophes naturelles comme les
incendies, les tremblements de terre,
les inondations, sont faciles à identifier.
Mais le danger peut aussi venir de
circonstances inhabituelles ...Par exemple,
j'habite dans la région de
Washington et ai rencontré des dizaines
de personnes dont la productivité
de ces deux dernières années a été
affectée par des quarantaines et des
évacuations dues à la menace d'attaques
terroristes, de guerre biologique
ou de délinquance. Il est évident
que la plupart des administrateurs IT
qui planifient l'éventualité d'un sinistre
ignorent ces genres de circonstances.
Après m'être entretenu avec des
gens confrontés à ces situations, j'ai
forgé ma propre définition d'un sinistre
: tout événement qui prive les
utilisateurs professionnels des données
de gestion pendant une durée inacceptable
(parfois de façon permanente),
mettant en danger la vie même
de l'entreprise. Je reconnais que ma
définition est très large : même un
simple incident comme une panne de
disque dur peut répondre à ces critères.
Toutefois, selon la quantité et le
type de données concernées et la capacité
de récupérer cette information
en temps utile (si c'est possible), certaines
entreprises pourraient facilement
considérer une défaillance de
disque dur comme un vrai sinistre.
Pour vous aider à mieux concevoir des
solutions de reprise après sinistre,
commencez à envisager le planning de
reprise comme le moyen de réduire le
temps pendant lequel vos utilisateurs
sont privés des données de gestion,
pour quelque raison que ce soit.
Voyons un exemple de scénario catastrophe
pour voir comment Microsoft
Dfs peut jouer un rôle dans votre plan
de reprise après sinistre et vous aider à
réduire le temps nécessaire pour reconnecter
les utilisateurs à certains
types de données.
Sous-fichiers côte à côte
par Paul Morris - Mis en ligne le 04/11/2004 - Publié en Décembre 2003
Affichez deux sous-fichiers côte à côte sur un écran passif
J'ai récemment écrit un programme
où il fallait présenter deux sous-fichiers
côte à côte. Comme je ne pouvais pas
le faire de manière classique avec DDS,
j'ai consulté mes livres et la littérature
sur le sujet pour voir les techniques
disponibles...La première des deux méthodes
rencontrées consistait à simuler des
sous-fichiers en utilisant un format
d'affichage classique de type non-sousfichier,
avec les lignes répétitives et
toutes les données contenues dans
une structure de données à occurrences
multiples. Si cette méthode a
de quoi séduire l'utilisateur, sa programmation
n'est pas élégante.
La seconde technique consistait à
avoir chaque sous-fichier dans une fenêtre
séparée et à utiliser une touche
de fonction pour faire alterner les fenêtres.
Ici, la programmation est plus
facile mais les utilisateurs ont plus de
difficulté.
Comme aucune de ces approches
ne me convenait, j'ai mis au point la
technique que j'explique dans cet article.
Je pense d'ailleurs qu'elle sera
utile dans d'autres circonstances.
Event Tracing for Windows : Vu de l’intérieur
par Darren Mar-Elia - Mis en ligne le 17/11/2004 - Publié en Mars 2004
Un sous-système peu connu mais bien utile
Le sous-système ETW (Event Tracing for Windows) a toute sa place dans votre
batterie de tests de performances et de diagnostics. Microsoft l'a créé pour donner
aux développeurs un mécanisme d'analyse de la performance de leurs applications
sur des plates-formes Windows Server 2003, Windows XP et Windows
2000...Mais les administrateurs peuvent aussi utiliser ETW pour savoir ce qui se
passe à l'intérieur des systèmes Windows, des applications Microsoft (Microsoft
IIS, par exemple) et des applications tierce partie. Et aussi pour détecter et résoudre
divers problèmes en cours de route. ETW peut aussi aider au planning de
capacité, en permettant d'observer un système sous des charges de travail réelles
pour évaluer sa performance face à un certain genre de transactions. Avant de
voir les outils et techniques ETW et un exemple d'utilisation concret, examinons
l'architecture ETW.
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