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Le Web selon SilverStream 3.0

Le Web selon SilverStream 3.0

On confond trop souvent les serveurs d'applications avec de simples serveurs Web. Souvent aussi les serveurs d'applications sont déclarés inutiles puisque l'emploi d'un serveur Web tel qu'Apache et des langages tels que PERL, PHP ou Java permettent de développer n'importe quel site Internet avec la même efficacité. Mais qu'est ce qui pousse certaines entreprises à  dépenser des dizaines (voire des centaines) de milliers de francs pour l'acquisition d'un serveur d'application ? La meilleure façon de répondre à  ces questions est de passer en revue les services offerts par un des serveurs d'applications les plus connus : SilverStream.

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Utiliser des prédicats quantifiés de SQL

Utiliser des prédicats quantifiés de SQL

par Mike Cravitz
Dans un précédent article de cette série (" Prédicat Between et sous-requêtes SQL ", NEWSMAGAZINE, septembre 2000), j'ai présenté le concept d'une sous-requête et montré comment en utiliser une avec un prédicat simple. L'instruction Select suivante est un bon exemple de requête utilisant un tel prédicat.

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Je ne savais pas que CHGPF pouvait faire tout ça !

Je ne savais pas que CHGPF pouvait faire tout ça !

par Keith Snively
La prochaine fois qu'il faudra mettre à  jour des fichiers, souvenez-vous de la commande CHGPF, qui ajoute, modifie et supprime automatiquement des champs d'un fichier physique.

Nous aimerions tous éviter les ajouts, modifications et suppressions des champs de fichier physique. Malheureusement, c'est parfois inévitable. Tout le monde a déjà  passé des week-ends à  supprimer et à  recréer des fichiers logiques, à  " remapper " des données dans un fichier, à  attendre que des index se reconstruisent, et à  réappliquer des contrainets d'intégrité des données comme la journalisation, l'audit des objets et les contraintes référentielles, et tout cela à  cause de modifications mineures apportées à  des fichiers physiques. Mais pourquoi faudrait-il recréer tous les fichiers logiques dépendant d'un fichier physique quand on modifie quelque chose qui n'affecte aucun de leurs index ?

La commande CHGPF (Change Physical File) et l'instruction SQL/400 Alter Table peuvent accomplir ces tâches plutôt facilement. Il s'agit là  de l'un des secrets les mieux gardés de l'AS/400. Voir l'article " New Alter Table Command Eases AS/400 File Changes " (NEWS/4000, Mark Anderson, septembre 1996) où l'instruction Alter Table SQL est décrite. Nous nous concentrons ici sur la commande CHGPF.

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Administrer Exchange 2000 (1ere partie)

Administrer Exchange 2000 (1ere partie)

par Tony Redmond
Le modèle d'administration de Microsoft Exchange Server 5.5 fonctionne bien depuis sa sortie dans Exchange Server 4.0 en 1996. Mais l'approche intégrée du modèle ne peut pas apporter la souplesse et la maîtrise indispensables aux grandes entreprises. Ce modèle, qui n'est pas particulièrement ouvert, repose sur l'interface de programmation MAPI (Messaging API), qui n'a pas réussi à  s'attirer un large soutien dans la sphère de l'administration de systèmes, notamment parce qu'elle ne concerne qu'Exchange Server.Exchange 2000 Server diffère d'Exchange Server 5.5 pratiquement en tout. Je n'ai donc pas été surpris de constater que son modèle d'administration n'a rien à  voir avec celui d'Exchange Server 5.5. Microsoft s'est efforcé d'ajouter la flexibilité et de puissantes fonctions de programmation et d'intégrer plus étroitement l'administration d'Exchange 2000 avec le framework d'administration de base de Windows 2000. La nouvelle version d'Exchange Server essaie en même temps de s'approprier un énorme marché, qui va du support de systèmes individuels à  celui de milliers de clusters multi-noeuds supportant des dizaines de milliers d'utilisateurs dans les environnements de messagerie.
Ces divers objectifs représentent un gros effort et Microsoft n'a pas encore tout à  fait atteint ses objectifs, bien que les premiers signes soient prometteurs. Pour gérer avec succès un déploiement d'Exchange 2000, les administrateurs ont besoin de comprendre toutes les nouvelles fonctions, tant de Windows 2000 que d'Exchange 2000. Pour vous aider dans cette tâche, je propose une série de trois articles sur l'administration d'Exchange 2000, en commençant par les données de base concernant les nouveaux objectifs de l'administration d'Exchange 2000, la place du nouveau produit dans l'architecture de gestion de Windows 2000, et l'administration d'Exchange Server pendant la transition à  Exchange 2000.

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Outlook 2000 – Comment effacer des rendez-vous récurrents

Outlook 2000 – Comment effacer des rendez-vous récurrents

Par Sue Mosher
Nous allons voir dans cet article comment, dans Outlook, supprimer des rendez-vous, notamment récurrents, et comment purger uniquement les événements qui se sont produits avant une certaine date.Tout d'abord, on choisit une propriété de date, à  partir de laquelle on va définir un filtre. La propriété logique à  utiliser pour un dossier de type calendrier est End. Supposons qu'un dossier calendrier contienne un événement qui débute le 25 Février 2001 et se termine le 4 Mars 2001. On souhaite supprimer tous les événements antérieurs au 1er Mars. Si on utilise la date de début comme critère pour le filtre, les évènements qui se déroulent sur huit jours vont aussi faire partie des objets effacés puisque leur date de début se situe avant le 1er Mars. Par contre, si on utilise la propriété End, ces éléments resteront dans le calendrier, puisque leur date de fin est plus récente que la date limite du 1er Mars.

Si on utilise la propriété End, ces éléments resteront dans le calendrier, puisque leur date de fin est plus récente que la date limite du 1er Mars

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Nom de code Hailstorm

Nom de code Hailstorm

par Paul Thurrott
Microsoft a récemment avancé des plans concrets pour sa stratégie .NET, nom de code Hailstorm, visant à  faire passer le géant du logiciel du statut d'éditeur de logiciel standard à  celui d'une société de services logiciels sur Internet.

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Newswatch AS400NETWORK.COM

Newswatch AS400NETWORK.COM

par Anna Brown
Les dernières nouvelles sur l'AS/400; Au menu :
- IBM joue les favoris avec Siebel
- L'acquisition d'Informix dope technologiquement DB2
- Le logiciel illicite ne concerne pas l'iSeries ...Pour les dernières nouvelles sur l'AS/400, consulter Newswatch à  l'adresse as400network.com/news. Pour lire les versions complètes des échos résumés ici, il suffit de taper le numéro de code 9xxx ou 10xxx approprié dans la fenêtre StoryID sur la page Newswatch :

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Une introduction à  WebSphere

Une introduction à  WebSphere

Par Bob MaattaNous vous proposons de découvrir ces outils ...

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40 ans de COMMON

40 ans de COMMON

par Benoît Herr
La 81ème conférence de COMMON US qui s'est tenue du 22 au 26 octobre dernier à  Baltimore, Maryland, a marqué l'entrée de l'association dans sa quarante et unième année. Un anniversaire fêté en grande pompe et marqué par une très forte présence d'IBM. Une fois n'est pas coutume : cette fois, ils étaient tous là . Depuis les experts techniques de Rochester jusqu'à  Bill Zeitler en passant par Tom Jarosh, Frank Soltis ou encore Malcolm Haines, à  qui l'on doit la chorégraphie du spectacle de gala commémoratif. Sans compter tous les participants non-IBM, anonymes ou moins anonymes, comme Al Barsa ou Rick Turner par exemple. Impossible bien sûr de nommer tous les 3000 participants à  cette 81ème conférence de COMMON US, mais l'ensemble de la communauté mondiale de l'AS/400 s'était donné rendez-vous à  Baltimore fin octobre. Fidèle au poste, notre ami de Suisse romande Samy Mosimann a même du faire les 250 derniers miles séparant Genève de Baltimore en bus au beau milieu de la nuit, pour s'entendre dire à  l'arrivée qu'il n'y avait pas de chambre pour lui…

L'ensemble de la communauté mondiale de l'AS/400 s'était donné rendez-vous à  Baltimore fin octobre

L'éternel second
En marge de la conférence COMMON, Kelly Schmotzer, iSeries Domino Marketing Manager nous a confirmé que l'AS/400 était et restait toujours la seconde plate-forme en termes de nombre d'installations de Domino, parmi les sept sur lesquelles tourne le logiciel. "Mais nous ne serons jamais numéro un", explique-t-elle, "et ceci pour une raison bien simple : nous remplaçons souvent 40 à  50 serveurs Windows NT par un seul serveur AS/400. La lutte est arithmétiquement inégale. Cela ne nous empêche pas, avec plus de 70.000 ventes aujourd'hui, d'avoir plus de parts de marché avec Lotus que AIX, Sun, et HP réunis."
Kelly Schmotzer nous confirme aussi que 25% des ventes actuelles d'AS/400 sont en rapport avec une installation de Domino, qu'il s'agisse de machines dédiées, de machines mixtes, hébergeant à  la fois Domino et des applications de gestion, ou d'upgrades commandés spécifiquement pour répondre aux besoins de Domino. "Mais il est vrai", ajoute-t-elle, "que Domino sur AS/400 se porte bien mieux en Amérique du Nord qu'en Europe. Cet état de fait est du à  un problème de ressources, que nous avons identifié et sur lequel nous sommes en train de nous pencher en ce moment même".
BH

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A la découverte des disques dynamiques

A la découverte des disques dynamiques

Le disque nouveau est arrivé. Il est temps de se préparer à cette nouvelle donne qui va tout changer. Tout le monde l'a bien compris, Windows 2000 regorge de nouveautés très séduisantes. Bien sûr, Active Directory et sa gamme de services attirent tout particulièrement l'attention, mais il ne faut pas pour autant négliger, parmi les caractéristiques les plus intéressantes de Windows 2000, la gestion du stockage.On a déjà évoqué dans ces colonnes les améliorations de la gestion du stockage du NTFS de Windows 2000. Mais les améliorations dans ce domaine ne s'arrêtent pas aux nouvelles fonctions de NTFS5. Windows 2000 apporte aussi tout un éventail de nouveautés - terminologie, outils et technologie - concernant le stockage, conçues par Microsoft pour répondre aux besoins de la clientèle d'entreprise.
Les nouveaux termes et les nouvelles fonctions de gestion de disque de Windows 2000 concernent les disques dynamiques, une nouvelle race de volume de disque donnant davantage de flexibilité et de fiabilité que Windows NT 4.0. Pour profiter au maximum des systèmes Windows 2000, il est indispensable de comprendre les fonctions, les avantages et les contraintes de cette nouvelle catégorie de volume de disque.

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Deux grandes applications au CCF supervisées par HP OpenView

Deux grandes applications au CCF supervisées par HP OpenView

Le réseau d'agences, en architecture client-serveur hétérogène, du CCF et ses applications de banque en ligne, notamment la bourse sur Internet, sont supervisés par HP OpenView" La plus grande des petites banques ". C'est ainsi que se qualifie le CCF. En effet, avec ses 650 agences et 13.000 employés pour servir plus d'un million de clients, cette banque a une envergure considérable. Et pourtant, elle essaie d'être aussi réactive que les petites. C'est pourquoi le CCF a lancé en 1997 le projet " Perses 2000 ", une plate-forme de production en réseau d'agences en client-serveur. La maîtrise d'oeuvre du projet, comprenant le déploiement du réseau d'agence et son administration, a été confiée à  Hewlett-Packard. L'objectif est d'assurer la disponibilité du système et le bon fonctionnement des traitements planifiés et non planifiés. Les premiers sont définis dans le plan de production CCF. Il s'agit, le jour, de la surveillance des PC, de l'activation des éditions, de l'activation de la procédure de mise à  jour des installations, du démarrage des services spécifiques NT, etc. La nuit, les traitements planifiés sont la vérification des fichiers applicatifs, les sauvegardes, purges, historiques, la vérification de la bonne exécution des programmes, etc. Quant aux traitements provoqués, ils sont déclenchés en cas d'erreur. Il s'agit par exemple de la réorganisation des fichiers lors de dysfonctionnement, le jour, ou bien, la nuit, de mettre à  jour des fichiers, préparer des fichiers éditions, etc. " Nous avons lié la réception de fichiers à  des traitements, lesquels sont eux-mêmes surveillés et peuvent envoyer des alertes ", explique Pierre Bloch, directeur des études informatiques du CCF. Ainsi, lorsqu'une session ne se déroule pas normalement, et si l'attente dépasse un seuil (cinq tentatives de 1 minute, par exemple), une alerte est automatiquement envoyée à  l'administration centrale qui prend la main.

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Consultation des files d’attente de messages de MQSeries via Java

Consultation des files d’attente de messages de MQSeries via Java

par Jack J. Woehr
Le middleware MQSeries d'IBM fournit une fonction de file d'attente de messages avec livraison garantie, sur plates-formes hétérogènes.Avec MQSeries, une application peut placer des données (c'est-à -dire un message) dans une file d'attente et poursuivre son exécution. Une autre application permet de lire le message de manière asynchrone. C'est un peu ce que l'on trouve avec les files d'attente de données de l'AS/400 mais avec des fonctions supplémentaires telles que des fonctions de gestion des files d'attente de messages. Pour voir de plus près les possibilités de MQSeries, il est possible de consulter l'article " Envoyer des messages en toute confiance avec MQSeries ", NEWSMAGAZINE, juin 2000.

QBrowser est une application Java permettant d'inspecter et de manipuler une file d'attente de messages MQSeries

Avant d'intégrer MQSeries dans des applications, il faut prendre le temps d'apprendre l'interface, les techniques de coding nécessaires et comment " déboguer " la manière dont une file d'attente de messages est utilisée. Mon application QBrowser (présentée ci-dessous) peut apporter de l'aide de plusieurs manières. QBrowser est une application Java permettant d'inspecter et de manipuler une file d'attente de messages MQSeries, une aide précieuse pendant le développement et les tests. En outre, le code téléchargeable pour QBrowser propose moults exemples qui expliquent comment utiliser les classes Java qu'IBM fournit pour MQSeries. Il est possible de " cloner " des morceaux de ce code pour accélérer votre propre développement.

Avant d'entrer dans les arcanes de QBrowser, voyons d'abord comment MQSeries peut trouver sa place dans votre développement applicatif.

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Administrer les groupes sous Windows 2000

Administrer les groupes sous Windows 2000

par Kathy Ivens
Les groupes d'utilisateurs, notamment les groupes de sécurité, sont très utilisés pour l'administration dans les grandes entreprises. C'est un excellent moyen de traiter d'un coup de très grandes quantités de permissions et de droits d'utilisateurs, et non pas individuellement pour chaque utilisateur (une pensée qui fait froid dans le dos lorsqu'ils sont des milliers).
Les permissions sont des règles que l'on associe aux objets tels que les dossiers, les fichiers ou les imprimantes. Elles définissent quels utilisateurs peuvent y accéder et ce qu'ils sont autorisés à  faire, lorsqu'ils y accèdent. Les permissions pour un dossier peuvent, par exemple, inclure la lecture, la modification et la création de fichiers dans le dossier. Pour une imprimante, il peut s'agir de la suppression de travaux (y compris ceux appartenant à  d'autres utilisateurs), le changement d'options de configuration, et l'installation de pilotes. Les droits sont des règles définissant les actions pouvant être accomplies par les utilisateurs, comme, par exemple, la sauvegarde d'un ordinateur ou l'arrêt d'un système.

Essayez de considérer la constitution des groupes comme une affectation d'utilisateurs aux groupes, plutôt que comme des groupes contenant des utilisateurs. (On peut aussi affecter des ordinateurs aux groupes, mais cet article porte sur les groupes d'utilisateurs). Une conception des groupes sous cet angle permet de mieux comprendre l'idée qu'un utilisateur peut être membre de plusieurs groupes et qu'on peut également affecter des groupes à  d'autres groupes, en créant des groupes intégrés.

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Prenez le contrôle de vos tâches de gestion

Prenez le contrôle de vos tâches de gestion

par Paul Niser
La gestion des comptes d'utilisateurs est la seule fonction partagée par tous les administrateurs. Microsoft encourage l'utilisation du Gestionnaire des utilisateurs (ou du Gestionnaire des utilisateurs pour les domaines) pour ajouter, modifier ou supprimer un compte. Mais, si les tâches de gestion des comptes deviennent de plus en plus fréquentes, il faut bien reconnaître que l'utilisation du Gestionnaire des utilisateurs prend beaucoup de temps. Il faut, par exemple, au minimum huit clics de souris pour désactiver ou renommer un compte. Pour créer un nouveau compte avec quelques appartenances à  des groupes, un répertoire d'origine et un chemin de profil, il faut au moins une bonne vingtaine de clics - c'est vraiment trop.Les méthodes qui font appel aux lignes de commande sont beaucoup plus efficaces, simples et rapides que le Gestionnaire des utilisateurs. Ces utilitaires, notamment Addusers, Xcacls, Nltest, Sleep, Rmtshare et Cusrmgr, se trouvent dans le Kit de ressources de Windows 2000 Server et dans celui de Windows NT 4.0. Il est important de bien comprendre comment ces utilitaires d'administration peuvent, utilisés conjointement, simplifier la gestion des comptes et de l'environnement. C'est là  un plus à  ne pas négliger.

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Plus loin dans le partage de connexions Internet

Plus loin dans le partage de connexions Internet

Par Mark Minasi
Dans l'article " Connecter votre petit réseau à  Internet " du mois dernier, nous avons vu comment utiliser les fonctions natives de traduction d'adresses réseau de Windows 2000 (NAT) pour simuler la fonction de partage des connexions Internet, ICS, similaire mais plus simple. Cet article explique comment utiliser NAT pour augmenter vos possibilité de partage d'une adresse IP routable dans un réseau interne.
Le partage des connexions Internet ICS apparaît non seulement dans Windows 2000 Server, mais également dans Windows 2000 Professionnel, Windows 98 Second Edition et Windows Millenium Edition (Windows Me). NAT, n'est disponible quant à  lui qu'avec Windows 2000 Server. NAT et ICS permettent de partager une adresse routable entre des dizaines d'ordinateurs dans un réseau interne. Ces systèmes internes obtiennent une adresse non routable dans la tranche d'adresses commençant avec 192.169.0.0. Pour utiliser NAT ou ICS pour partager une connexion Internet, il suffit de connecter un ordinateur à  la fois au réseau Internet public routable, et au réseau interne non routable 192.169.0.0. L'ordinateur exécute NAT ou ICS et se comporte comme un routeur. Dans cet article, nous allons voir comment étendre les possibilités de ce routeur.

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Les outils de déploiement applicatif

Les outils de déploiement applicatif

par Tom Iwanski
Le déploiement et le management d'applications desktop sur des réseaux distribués constituent deux des défis les plus complexes et les plus coûteux auxquels sont confrontés les services informatiques. Les entreprises déploient à  grand peine une nouvelle application sans se préoccuper du fardeau que constitueront sa maintenance et son support. Il est vrai que l'adoption rapide de l'informatique distribuée a submergé de nombreux services informatiques dépourvus du personnel ou des outils nécessaires pour répondre aux besoins de leurs clients, toujours plus complexes et plus dispersés.

  Ce dilemme a provoqué la généralisation des analyses de coût de possession et de support des PC. Les termes TCO (Total cost of ownership ou coût total de possession) et ROI (Return on Investment ou Retour sur investissement) n'ont plus de secret pour les dirigeants, encore et toujours choqués par le fait que le coût annuel cumulé d'un seul PC puisse dépasser de plusieurs milliers de francs son prix d'achat initial. Comme le management direct ou indirect des applications desktop absorbe une grande part de cette dépense annuelle, nombreuses sont les entreprises qui s'intéressent à  des outils capables de profiler et de centraliser le déploiement et le management applicatif.

  De nombreux ateliers informatiques - réticents aux nombreux utilitaires de management disparates qui sont rarement interopérables ou qui fragmentent les compétences des informaticiens - ont été séduits par de grandes solutions framework de la part de fournisseurs comme Computer Associates (CA), Tivoli Systems, et BMC Software. D'autres ateliers considèrent que les solutions framework peuvent s'avérer trop coûteuses ou complexes, ou qu'elles font l'impasse sur des fonctions importantes que l'on trouve dans des produits plus petits mais excellents.

  Mon objectif initial était de passer en revue les produits qui couvrent tous les aspects du déploiement et du management applicatif. J'ai donc essayé d'écarter des produits non polyvalents comme les outils de clonage ou de packaging. J'ai également exclu des produits comme des solutions framework et Microsoft SMS (Systems Management Server) dont les fonctionnalités s'étendent à  la gestion des ressources et au help desk. Mais j'ai rapidement constaté que les lignes qui séparent les catégories de produits se sont estompées et que de nombreux produits sont en train d'étendre leurs possibilités. Ainsi, PictureTaker de Lanovation a été strictement un packager, mais la récente release 4.0 comporte des possibilités de déploiement. Symantec a acheté AutoInstall de 20/20 Software pour ajouter des fonctions de packaging et de déploiement à  la version récente de l'utilitaire de clonage de Symantec, Norton Ghost 6.5 Enterprise Edition. Plusieurs des produits acquis pour cette comparaison possèdent quelques fonctionnalités qui vont au-delà  du simple déploiement et management applicatif. Je mentionne les fonctions supplémentaires au fil de cet examen.

  J'ai donc choisi cinq produits jugés représentatifs de la technologie et des méthodes proposées par plus d'une dizaine de fournisseurs qui offrent des solutions de déploiement et de management applicatif. (Le tableau 1 recense huit produits non inclus dans cet examen.) J'ai fait tourner les cinq produits choisis dans le Lab de Windows 2000 Magazine et évalué leurs fonctions. Je commence par une brève introduction de chaque produit, puis passe à  une comparaison plus approfondie de leurs fonctions packaging, distribution et management.

Retrouvez les figures explicatives dans l'edition papier de cet article

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iSeries Tools et la puissance de X : Pourquoi FTP ?

iSeries Tools et la puissance de X : Pourquoi FTP ?

par Tim Massaro

Certains des outils inclus dans iSeries Tools for Developers présentent des fenêtres pendant leur fonctionnement. Avec l'aide de X Window et PASE, ceux-ci fonctionnent directement sur l'iSeries.

La récente PRPQ d'IBM « iSeries Tools for Developers » (5799-PTL) facilite le travail des développeurs qui écrivent des applications pour iSeries, ou qui y en portent. Dans le précédent article de cette série à  propos du nouveau toolset, j'ai examiné l'outil d'édition EZ. Ici, nous parlerons davantage de la manière dont même des utilisateurs Windows peuvent utiliser ces nouveaux éditeurs directement sur l'iSeries sans avoir besoin d'un client Unix et, par conséquent, sans avoir besoin d'échanger par FTP des fichiers entre un hôte et un client. Je montre même comment utiliser ces outils à  partir d'un navigateur Web standard.

Certains des outils inclus dans iSeries Tools for Developers présentent des fenêtres pendant leur fonctionnement. Deux d'entre eux sont les outils d'édition EZ et Emacs. Leurs fenêtres contiennent des barres de défilement, des boutons graphiques, des couleurs - et autres attributs d'un éditeur moderne - et ce, sans qu'aucun logiciel spécial n'ait été chargé sur l'ordinateur de bureau.

Ces applications s'exécutent directement dans la « boîte » iSeries, en modifiant des fichiers dans l'IFS (integrated file system) ou dans des membres de fichiers classiques traditionnels. Elles font cela en utilisant le système X Window et le PASE (Portable Application Solutions Environment) OS/400 pour présenter les fenêtres graphiques via un émulateur de terminal X Window fonctionnant sur le PC. PASE est la portion runtime (exécution) AIX de l'iSeries : elle permet à  du code compilé pour des machines IBM AIX Unix de s'exécuter presque en l'état sur l'iSeries.

Dans un instant, nous verrons de plus près comment ces applications présentent texte et graphiques sur l'ordinateur, directement à  partir de la boîte iSeries.

Retrouvez les figures explicatives sur l'édition papier.

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Events – 2001/10  –  Octobre / Novembre

Events – 2001/10 – Octobre / Novembre

Tous les évenements des mois d'octobre et novembre

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Cas concrets de modernisation d’applications

Cas concrets de modernisation d’applications

on Soule
Trois expériences concrètes démontrent qu'il est parfois préférable de rajeunir un code RPG existant que de le remplacer. L'ambiance était tendue, presque sinistre, quand le directeur informatique annonca la nouvelle. Le projet de remplacement de l'application RPG AS/400 par un nouveau système client/serveur Windows NT avait coûté plusieurs dizaines de millions de francs, pris un an et demi de retard, et semblait voué à  l'échec. Le moment était venu d'arrêter l'acharnement thérapeutique : continuer était trop risqué.
Cette mauvaise nouvelle entraînait bien sûr une question : que faire à  présent ? Comme consultant appelé pour recoller les morceaux, c'est à  moi que l'on posa la question.

Il s'agissait de remplacer une application de traitement transactionnel centralisée avec peu d'accès à  distance. L'information parvenait sous forme imprimée aux agences régionales pour être introduite dans le système AS/400 à  l'aide de terminaux 5250. Le nouveau système avait pour mission de distribuer les applications NT à  des centaines de sites.
Les utilisateurs finaux avaient beaucoup participé à  la conception d'une nouvelle interface Windows (implémentée en Visual Basic) et les chefs de projet souhaitaient que l'on puisse utiliser cette nouvelle interface.

Notre solution : conserver l'application AS/400 en la modernisant. Le projet NT prévoyait un serveur à  chaque site, mais nous avons écarté cette hypothèse trop chère et difficile à  gérer. Nous avons préféré utiliser l'AS/400 existant comme système central, relié aux sites par Internet ou par une liaison fixe, selon la taille et le volume du trafic de chaque site.
Pour faciliter la mise en place, limiter les coûts d'assistance, et offrir l'interface graphique, nous avons opté pour un outil frontal générateur d'applets Java. Nous avons utilisé les images déjà  réalisées en VB, comme modèle pour créer un nouveau frontal graphique en Java, pratiquement identique aux panneaux VB que les utilisateurs souhaitaient. Dupliquer le comportement non modal, orienté événements, de l'application VB, a été un peu plus difficile, mais nous y sommes parvenus en modifiant les programmes RPG de manière à  traiter et acheminer quelques nouvelles requêtes. Comme le frontal graphique fonctionne dans Windows ou dans un navigateur, le déploiement a été facile, quel que soit le type de connexion entre un site et l'AS/400.

Du point de vue gestion, la modernisation de l'application existante présentait plusieurs avantages, dont le plus important, dans le cas présent, était le risque minimum. Le projet NT était à  haut risque, avait utilisé la plus grande partie du temps et de l'argent alloués, et avait échoué. La direction ne voulait surtout pas entendre parler d'une autre proposition scabreuse.
Précisément, le choix de modernisation de l'application était rassurant puisqu'il permettait d'utiliser l'existant en matériel, logiciel et compétences. Il était facile d'estimer les coûts de création et de déploiement de l'application, puisqu'ils étaient fondés sur des technologies et des compétences confirmées. Et notre client dépendait de peu de consultants externes pour pallier des compétences maison absentes.
Résultat : un nouveau système en quelques mois, au lieu de quelques années, pour quelques milliers de dollars, au lieu de quelques millions.

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Alpha 21264 : prenez des RISC

Alpha 21264 : prenez des RISC

Alors que tout le monde attend la puce Merced 64 bits d’Intel et la version 64 bits de Windows NT, Digital Equipment offre un avant-goût de la prochaine génération de l’informatique NT. L’Alpha 21264 est un processeur 64 bits supportant NT. C’est l’une des puces les plus rapides du monde. Et, qui plus est, déjà disponible aujourd’hui.Le 21264 est la toute dernière génération de l’architecture de microprocesseur Alpha. Selon Digital, il devrait dépasser des vitesses d’horloge supérieures à 700 MHz dès cette année, reprenant le leadership de la vitesse au 21164, déjà un Alpha.Alpha est la dernière architecture RISC pour laquelle Microsoft développe encore des versions futures de NT, alors qu’il cesse progressivement de supporter les puces MIPS Rx000 et que le PowerPC NT n’a jamais décollé. La seule autre architecture de CPU supportée par NT est, bien entendu, Intel x86. Malgré la domination du marché par ce dernier, l’Alpha possède un grand avantage sur le x86 : des performances supérieures, en particulier pour les calculs en virgule flottante.

Les systèmes Alpha sont plus rapides et excellent dans les applications d’ingénierie à forte proportion de calculs et les applications scientifiques.Pour dépasser les limites des performances de l’architecture x86, qui a déjà vingt ans, Intel a conclu un partenariat avec HP en 1994, afin de développer une nouvelle architecture de CPU : IA-64 (Intel Architecture-64). Selon Intel, les systèmes utilisant le processeur Merced, le premier processeur à implémenter IA-64, devraient sortir vers la mi 2000. Mais Merced pourrait ne pas être la puce la plus rapide du marché NT en 2000. Car à en croire Digital, au moment où Merced fera son apparition, le 21264 tournera à 1000 MHz (1 gigahertz, GHz). A cette vitesse, il sera nettement plus rapide que Merced, selon des estimations benchmarks de CPU.

Les premiers systèmes 21264 tournent et sont disponibles sous forme d’échantillons. La production en volume devrait commencer mi 99. Il n’y aura donc pas à attendre deux ans les performances 64 bits. Cependant, le 21264 n’atteindra son plein potentiel qu’à la sortie par Microsoft d’une version 64 bits à la fois pour les puces IA-64 et Alpha. (Microsoft espère sortir la version 64 bits de NT en 2000).

Le 21264 n’atteindra son plein potentiel qu’à la sortie par Microsoft d’une version 64 bits à la fois pour les puces IA-64 et AlphaOù est le RISC ?

La course que se livrent les processeurs 21264 et IA-64 n’est pas un simple sujet de bavardage stérile. L’enjeu est ni plus ni moins l’avenir du RISC - pour NT et tous les autres systèmes d’exploitation.En dehors du marché des applications intégrées très spécialisées, le RISC est en recul. Actuellement l’architecture RISC pour PC la plus répandue est la puce PowerPC développée conjointement par IBM, Apple et Motorola. Mais le plus gros client informatique des PowerPC est Apple dont le Macintosh n’a plus désormais que 4 % environ de part de marché des PC selon IDC.

En juin dernier, IBM et Motorola ont annoncé qu’ils mettaient un terme à leur partenariat de sept années et allaient développer séparément les futures puces PowerPC.L’autre architecture RISC d’IBM, la série Power, va fusionner avec le PowerPC. IBM retire progressivement la puce Power en tant qu’architecture distincte. La prochaine puce 64 bits, Power3, est le premier processeur qui unifiera les technologies Power et PowerPC.Pour stopper ses pertes récentes, Silicon Graphics abandonne ses processeurs RISC de la série MIPS Rx000. Le fabricant a annulé les projets de prochaines générations et MIPS Technologies, la structure de conception de Puces de SGI a récemment été &q

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