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mardi 16 septembre 2025
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Tech
Dopez vos traitements de dates avec les champs nuls
par David Robertson
La valeur "null" constitue un nouvel et puissant outil demanipulation
de dates en RPG
Depuis la V3R7, l'OS/400 accepte une nouvelle valeur pour les champs d'une base
de données : null. En vous offrant un moyen solide et élégant de traiter de futures
dates, cette valeur facilite l'utilisation pratique du type de donnée date. Dans
cet article, j'expose différentes raisons d'utiliser une date nulle, montre comment
définir des dates nulles et explique comment les traiter dans des fichiers logiques,
des DFU (Data File Utility), des requêtes et le langage RPG IV.
par Samy Mosimann
En quelques années, le Groupe Mutuel s'est hissé au premier rang des assureurs
maladie de Suisse romande. Son ascension mérite que l'on s'y arrête.
par Sharon L. Hoffman
CODE/400 a évolué tranquillement, pour devenir un puissant outil de développement
AS/400
La plupart des programmeurs AS/400 continue de développer du code en se servant
d'outils conçus pour les écrans passifs, notamment SEU et SDA.
Ces outils leurs sont familiers; ils sont disponibles sur tous les systèmes de
développement, et ils remplissent parfaitement bien leur rôle. Même si
l'affirmation est exacte, la recherche d'autres outils peut s'avérer judicieuse.
En 1988, lorsque IBM a lancé l'AS/400, ses outils de programmation
destinés à des écrans passifs faisaient partie du haut de gamme. Mais les temps
changent. Les programmeurs AS/400 se tournant vers de nouvelles
méthodes de développement comme Java, de nouveaux outils de programmation deviennent
indispensables. Ce besoin débouche sur la motivation de
réévaluer également les outils de programmation utilisés pour les développements
classiques.
Lorsque j'ai commencé à travailler fréquemment avec Java, j'ai décidé d'utiliser
un simple éditeur de texte plutôt que l'un des IDE (Integrated
Development Environments), comme JBuilder d'Inprise ou VisualAge for Java d'IBM.
Un candidat évident m'est immédiatement venu à l'esprit :
CODE/400 d'IBM (parmi les alternatives possibles, citons entre autres Flex/Edit
d'Aldon).
CODE/400 présente de nombreux avantages par rapport à un éditeur de texte générique
pour PC, tel que le Bloc Notes. En effet, CODE/400 inclut des
fonctions de suggestion et de vérification syntaxique pour tous les langages qu'one
st susceptible d'utiliser. De ce fait, il n'y a pas besoin d'apprendre à
utiliser plusieurs outils. Il prend également en charge les lignes de commande
SEU, ce qui raccourcit la courbe d'apprentissage. En outre, IBM fournit
gracieusement une version de démonstration avec des restrictions minimes et pouvant
être téléchargée, ce qui permet de tester soigneusement CODE/400 avant d'acheter
la version complète. (Pour de plus amples informations sur les restrictions de
la version de démo et les sites de téléchargement, voir l'encadré "Démo CODE/400").
Lorsqu'IBM a lancé CODE/400, en 1992, j'ai étudié le produit et en l'ai plutôt
écarté.
En effet, bien que surprenante, la version initiale de CODE/400 avait deux défauts
majeurs : elle n'était disponible que sous OS/2 et elle était excessivement onéreuse.
Lorsque la version Windows a été mise sur le marché, quelques années plus tard,
ces défauts étaient toujours présents : trop cher et bien que tournant sous Windows,
toujours le "look and feel" OS/2.
Cependant, lorsqu'à la mi-97 j'ai assisté à une démonstration des nouvelles possibilités
du produit, j'ai dû revoir ma première impression. Depuis lors, IBM a même rajouté
de nouvelles fonctions à CODE/400. En outre, une nouvelle version est attendue
au courant de cette année.
Si vous n'avez pas suivi l'évolution de CODE/400 récemment, vous y trouverez un
intérêt. Pour vous aider à le maîtriser, j'en présente ici brièvement les fonctions
et les caractéristiques, et signale également certaines astuces permettant de
gagner du temps, et les défauts que j'ai découvert.
Je vous recommande vivement d'assister à une démonstration ou à un atelier CODE/400
si vous en avez l'opportunité. CODE/400 est si différent des outils pour écrans
passifs bien connus de la majorité des programmeurs AS/400 qu'il faut le voir
en action pour se rendre compte de ses qualités. (Pour une la liste des ressources
complémentaires traitant de CODE/400, consultez l'encadré "Autres ressources").
Lorsqu'à la mi-97 j'ai assisté à une démonstration du produit, j'ai dû revoir
ma première impression
Démo CODE/400
On peut télécharger des versions d'évaluation de VisualAge RPG (VARPG)
et de CODE/400 ainsi que les instructions sur le téléchargement et l'installation
du code depuis le site Web d'IBM, à l'adresse http://www
Lire l'article
Comment manipuler ses données à distance
Par Sabine Terrey
La société Pourkoipa, créée en 1989, appartient à 100% au groupe Danel, le leader
des imprimés de gestion en Europe.
Les activités de Pourkoipa couvrent trois domaines bien précis : l'impression
numérique, le prépresse, le multimédia. Il faut toutefois noter que depuis novembre
2000, le volet multimédia fait désormais partie intégrante d'une seule et unique
société : C-sium. Cette SSII orientée Internet appartient au groupe Danel et au
groupe Staci. C-sium compte aujourd'hui 50 collaborateurs, et propose une activité
de front office orientée Web, et une activité back office orientée SAP.
Il s'agissait en quelque sorte de connecter des systèmes d'informations
hétérogènes et de s'attacher ensuite à la migration en elle-même
par Mel Beckman
Suivre les performances, les événements et les configurations à distance, en utilisant
SMNP (Simple Network Management Protocol)
La plupart des gens qui entendent parler de l'administration de l'AS/400 à distance
pensent immédiatement à OpsNav (Operations Navigator). Effectivement, OpsNav permet
d'effectuer à distance une large gamme de tâches administratives : reconfiguration
de l'OS/400, démarrage et arrêt des services, et manipulation des files d'attente
de jobs et d'imprimantes. Pourtant, si OpsNav est un excellent outil pour contrôler
un AS/400 à distance, ce n'est pas vraiment un outil d'administration à distance
si, par administration, on entend : suivre les performances, surveiller les valeurs
système sensibles et réagir à des événements imprévus. Pour vraiment administrer
ou gérer un système, il faut considérer son comportement vis à vis de l'ensemble
du réseau, y compris de nombreuses unités non-AS/400, comme des commutateurs LAN,
des routeurs et des serveurs Windows.
Il est clair qu'OpsNav ne se hisse pas à ce niveau. Heureusement, l'OS/400 supporte
le protocole d'administration à distance le plus répandu : SNMP (Simple Network
Management Protocol). C'est un standard ouvert, hétérogène, qui permet de collecter
des statistiques de performances, suivre des événements et contrôler des unités
à distance. Comme SNMP est ouvert, les développeurs de produits SNMP disposent
d'un marché qui dépasse largement les simples utilisateurs d'AS/400, d'où une
concurrence féroce entre les produits. Le vainqueur c'est vous : avec un large
éventail d'outils logiciels SNMP proposé. Entrons dans les arcanes de SNMP " générique
" et de SNMP sur l'AS/400, puis intéressons-nous à quelques produits SNMP.
Améliorer SQL/400 avec des fonctions définies par l’utilisateur
par Michael Sansoterra
Les UDF permettent de créer une logique personnalisée et centralisée à l'intérieur
d'instructions SQL
SQL est un langage de requêtes puissant. Bien souvent, il peut extraire des données
et être codé plus rapidement qu'un programme en langage de haut niveau (HLL :
High-Level Language). Malheureusement, SQL/400 a toujours souffert d'une importante
lacune par rapport aux programmes HLL : il n'offrait pas la capacité de créer
une logique spécialisée et centralisée à l'intérieur d'instructions SQL. Avec
la V4R4, IBM y remédie par l'utilisation d'UDF (User-Defined Functions).
par Xavier Facélina
Cet article aborde le système Linux non pas par son histoire ou par son positionnement
philosophique, politique ou économique, mais par sa structure technique. En traitant
différents aspects de Linux, en allant du plus proche de la machine au plus éloigné,
nous devrions arriver à une compréhension globale de ce qu'est réellement Linux.
Au coeur du système : un noyau (kernel). Tout est là . Linux s'articule tout entier
autour de ce noyau dont le développement est réalisé par la communauté des kernel-developers,
sous l'oeil vigilant de Linus Torvald en personne.
par Patrick Botz
Le package applicatif de votre fournisseur est-il compatible avec vos exigences
en matière de sécurité ? Voici 11 questions et leurs réponses, qui vous aideront
à le déterminer.
Face aux nombreux éditeurs de logiciels applicatifs, on risque fort d'en rencontrer
un (si ce n'est déjà fait…) qui connaît peu la sécurité, ou qui l'ignore purement
et simplement. Mais comment protéger le système et les données contre des fournisseurs
laxistes ? Premièrement, ne partez pas du principe que le fournisseur comprend
la sécurité, même s'il vend lui-même des produits de gestion de sécurité ! Ensuite,
sachez que sauf si vous êtes sur le point d'acheter du logiciel à un fournisseur,
vous n'avez pas beaucoup de moyens pour l'amener à respecter vos règles de sécurité.
La sécurité et l'intégrité du système sont finalement de votre propre responsabilité.
Pour les assumer, il faut comprendre les ramifications du logiciel, en matière
de sécurité. Il faut savoir comment les éditeurs réalisent leurs applications
et comprendre le modèle de sécurité utilisé. Pour cela, il faut interroger les
éditeurs pour déterminer leur degré de connaissance des sécurités et pour voir
si leur modèle de sécurité applicative est en harmonie avec le ou les modèles
de sécurité en vigueur sur votre système.
Pour vous aider à trier le bon grain de l'ivraie, j'ai dressé une liste de questions
à poser aux fournisseurs d'applications. Chaque question est suivie d'une explication,
d'une description de réponse rationnelle, et des mesures supplémentaires à prendre
pour s'assurer que les programmes du fournisseur ne contourneront pas votre politique
de sécurité. Ce jeu de questions n'est nullement exhaustif, mais il comporte quelques
points importants.
Windows 2000 Datacenter Server : une démarche nouvelle chez Microsoft
par Christophe Boulan
Avec Windows 2000 DataCenter, Microsoft entend jouer dans la cours des grands
d'où le narguaient jusqu'à présent les systèmes mainframes, les grands UNIX et
les AS/400. Mais pour cela, il ne suffit pas de créer un Windows 2000 plus puissant.
Microsoft a du revoir notamment ses systèmes de certification et son approche
des services de support afin de répondre aux besoins des applications stratégiques
des grands comptes. Une véritable révolution culturelle pour Microsoft.
à‡a y est ! Microsoft a désormais lancé toute la famille Windows 2000 32-bit avec
la sortie de Windows 2000 Datacenter Server. Datacenter s'appuie sur les fonctions
de Windows 2000 Advanced Server, auxquels s'ajoutent toutes les corrections de
bugs du Service Pack 1, ainsi que le support de 64 GO de RAM, des processeurs
32-bit, du clustering à 2 et 4 noeuds, du partitionnement et de l'équilibrage de
la charge réseau. Windows 2000 Datacenter est destiné aux entreprise engagées
dans l'e-commerce, aux ASP (Application Service Providers) et autres clients haut
de gamme à le recherche de fiabilité et de disponibilité. Datacenter Server est
la première véritable entrée légitime de Microsoft sur un marché dominé par les
gros bras.
Longtemps, Microsoft s'est fait l'avocat d'un modèle d'entreprise du type de celui
de Windows 2000 et Windows NT : distribué. Windows 2000 Datacenter associe les
avantages de la montée en charge horizontale (par ajout de serveurs) de Windows
2000, avec un modèle plus traditionnel de croissance verticale - un gros serveur
avec de fortes capacités d'évolution en multiprocesseur. Avec Datacenter, Microsoft
espère gagner enfin la crédibilité qui lui est refusée depuis l'annonce initiale
de Windows NT. (L'image de Windows NT a souffert de défauts et de limitations
parfois véritables, parfois perçues.) Mais pour atteindre cet objectif, il ne
suffit pas de construire un Windows 2000 plus gros. Pour répondre aux exigences
de clients haut de gamme, dont bon nombre n'auraient certainement pas fait confiance
à Windows 2000 autrement, Microsoft a créé un programme de tests de fiabilité
baptisé Windows 2000 Datacenter Program, pour s'assurer que Datacenter ne sera
installé que sur des configurations intégralement testées et validées.
La clé du programme est le Hardware Compatibility Test (HCT) que chaque machine
compatible Datacenter doit passer
La clé du programme est le Hardware Compatibility Test (HCT) que chaque machine
compatible Datacenter doit passer. Dès lors qu'un matériel a passé cette batterie
de tests rigoureux (voir l'encadré " HCT : une certification matérielle spécifique
"), Microsoft certifie sa compatibilité avec Datacenter et le place sur la liste
de compatibilité matérielle (HCL) de Windows 2000 Datacenter, disponible sur le
site Web de Microsoft. De par la rigueur des tests pratiqués, les produits de
la HCL de Datacenter ne sont qu'un sous-ensemble des HCL des autres versions de
Windows 2000. Les systèmes Datacenter doivent garantir au moins 99,9 % de disponibilité
et les constructeurs qui vendent de tels systèmes doivent fournir régulièrement
à Microsoft des rapports de disponibilité et autres statistiques. De plus, les
systèmes Datacenter doivent pouvoir supporter au moins 8 processeurs, même s'il
peuvent être livrés avec seulement 1 processeur. Le système de licences est basé
sur le nombre de processeurs que le système peut supporter et il faut acquérir
des licences d'accès client séparément.
Certes, Windows 2000 Datacenter semble en mesure de pouvoir résoudre bon nombre
des problèmes de montée en charge non résolus par les grandes entreprises utilisant
Windows 2000. Mais reste à savoir si le produit pourra réussir sa percée sur ce
marché haut de gamme. Il sera intéressant de voir quelle plate-forme les entreprises
choisissent au fur et à mesure que Windows 2000 monte en puissance.
par Bryan Meyers
En V4R4, la fidèle
arrière-garde des applications AS/400 évolue pour s'adapter aux environnements
client/serveur et WebEn V4R4 de l'OS/400, IBM apporte quelques améliorations qui rendront la programmation RPG plus compatible avec les environnements Java, Internet et client/serveur. Ces améliorations visent à faire fructifier vos compétences actuelles en RPG, et à préserver une grande partie de vos investissements dans ce langage. Le présent article met l'accent sur les améliorations au RPG apportées par la V4R4, et donne quelques exemples d'utilisation des principales d'entre elles.
par Samy Mosimann
En route pour une expérience enrichissante...
Nous nous envolons par l'avion du matin en direction de Chicago, où nous arrivons
dans l'après midi. Après les formalités de police et de douane, nous nous dirigeons
vers la porte B33 où nous embarquerons sur l'avion de Rochester (MN). On y repère
rapidement les malades qui se rendent à la fameuse Clinique Mayo, ainsi que les
IBMers qui ont sorti leurs Thinkpad pour travailler en attendant le départ. Encore
une heure de vol et nous arrivons à destination. A Genève, il est passé minuit
!
Le lendemain matin, en route pour le Centre de test des laboratoires AS/400 de
Rochester, où nous sommes accueillis par Bill Larson, à la tête de l'équipe de
3 personnes qui va s'occuper de nous durant toutes les séances du “benchmark test”.
Notre équipe (le client) comprend 6 personnes dont un chef de projet, 1 programmeur
connaissant le langage C, un business-analyst (chargé de dérouler et de lancer
les menus), 1 créateur d'environnement. IBM Suisse a délégué 2 spécialistes dont
un chef de projet.
Le Centre de test de Rochester a été créé en 1993. Il a pour but de définir la
configuration optimale d'un AS/400 en tenant compte de l'environnement réel d'un
client, soit nombre d'utilisateurs, applications en transactionnel et en batch,
réserves de capacités nécessaires et temps de réponse requis, etc. Près de 500
“benchmark tests” ont déjà été effectués à Rochester. Pour information, un centre
identique existe à Santa Palomba (près de Rome en Italie) à l'usine où sont assemblés
les AS/400 pour l'Europe.
Près de 500 “benchmark tests” ont déjà été effectués à Rochester
par Pam Jones
Les coûts de maintenance élevés des systèmes d'informations conduisent de nombreuses
entreprises à s'intéresser au modèle ASP.
Il est de retour ! Le bon vieux modèle "service bureau" refait surface, sous la
forme cette fois des ASP (Applications Service Providers). Des services bureaux
comme la "Service Bureau Corporation" d'IBM ont connu leur heure de gloire du
milieu des années 60 et au début des années 70.
A cette époque, la force motrice qui justifiait ce modèle était le coût des équipements
informatiques. Les petites et moyennes entreprises, qui ne pouvaient pas se permettre
de posséder leurs propres machines, étaient contraintes de les louer. Vers le
milieu des années 70, IBM, Digital et d'autres constructeurs ont commencé à proposer
des mini-ordinateurs à un prix abordable, à commencer par les System/3 et System/32
d'IBM. Cette offre a été à l'origine de plus de 20 ans d'investissements informatiques
internes.
Aujourd'hui, une multitude de facteurs convergent pour ressusciter le modèle des
applications louées comme alternative aux systèmes internes.
Une fois de plus, les coûts de possession élevés des systèmes informatiques constituent
le facteur le plus important contribuant à la résurgence du modèle de la location.
Désormais, il n'y a pas que le matériel dont le prix soit élevé, mais également
les mises à jour des logiciels, le personnel chargé de la maintenance du parc
informatique et les logiciels installés. "De nos jours, les dépenses les plus
élevées sont liées aux personnes chargées d'assurer le bon fonctionnement des
systèmes, la maintenance des logiciels, etc...
Il est beaucoup plus simple de répartir les coûts entre plusieurs entreprises
utilisatrices et de demander à un expert de s'en occuper sur un site à distance
plutôt que d'essayer de recruter et de former le personnel soi-même. Le coût et
la commodité conduisent les entreprises à adopter le modèle ASP", déclare Dan
Barrow, Président de Data Processing Services, un ASP basé à Indianapolis et qui
propose une application de gestion des ventes en gros.
Par ailleurs, le temps est également approprié en termes de technologie pour un
retour vers l'hébergement des systèmes informatiques sur des sites distants. L'avancée
technologique la plus importante, et qui a contribué au retour des ASP, est le
succès de l'Internet et la popularité des interfaces utilisateur de type navigateurs.
L'Internet et le Web ont considérablement popularisé le modèle de l'informatique
distribuée. La popularisation des accès Internet, tant en entreprise qu'à domicile,
fait que les utilisateurs sont de plus en plus à l'aise avec l'idée d'accéder
à des applications à distance. Les performances pures du matériel ainsi que les
technologies avancées de développement d'applications Web d'aujourd'hui représentent
également des contributions majeures à la montée en puissance des ASP.
Les coûts de possession élevés des systèmes informatiques constituent le facteur
le plus important contribuant à la résurgence du modèle de la location
Attention à la complexité de Domino: pour qu'il devienne le cheval de bataille
de l'AS/400, il lui faut un plan marketing efficace.
L'acquisition de Lotus par IBM il y a quelques années a suscité de multiples interrogations:
comment les produits Lotus s'harmoniseraient-ils avec l'offre IBM existante? Quelles
solutions une société à forte culture PC pourrait-elle offrir à la force de frappe
supérieure d'IBM? L'osmose entre les deux cultures serait-elle possible?
S'il est trop tôt pour avoir des réponses définitives à ces questions, on a au
moins des réponses partielles face au produit Domino pour AS/400 des partenaires.
Avec Domino pour AS/400, IBM et Lotus ont peut-être lancé l'application phare
dont l'AS/400 manquait cruellement pour faire son trou dans les infrastructures
des entreprises modernes. Domino pour AS/400 offre une solution de groupware et
de messagerie évolutive, dotée d'une solide intégration données et utilisateur
OS/400. Et les multiples facettes de Domino lui permettent de bien se comporter
dans divers rôles: solution de workflow, serveur Web et environnement de développement
d'applications.
Du faitde sa puissance, Domino est difficile à comprendre et à apprécier
Passer à un réseau plus rapide est plus facile qu'il n'y paraît
Votre réseau n'a pas démarré lentement. Bien au contraire, lors de l'installation
initiale de ce brillant nouveau LAN Ethernet 10BaseT, les applications étaient
guillerettes et les utilisateurs heureux.
Mais aujourd'hui, ces mêmes utilisateurs lèvent les bras au ciel face aux nouvelles
applications submergeant le réseau, et face au ralentissement chronique des performances.
Pour couronner le tout, voilà que l'équipement et le câblage réseau tombent de
plus en plus souvent en panne. Avec le déploiement d'Ethernet dans toute l'entreprise,
il devient difficile de diagnostiquer les problèmes. Vous savez fort bien qu'il
faudra augmenter la vitesse et la fiabilité du LAN, mais aussi que vous n'aurez
pas les moyens financiers de tout remplacer d'un coup. D'où la question: est-il
possible d'accroître les performances et la fiabilité du réseau de manière graduelle
et peu coûteuse?
Oui, il y a un moyen: Ethernet, le parent pauvre des technologies réseau, s'avère
être le vainqueur des deux autres prétendants au trône du LAN haute vitesse: ATM
(Asynchronous Transfer Mode) et FDDI (Fiber Distributed Data Interface). Ne parlons
même pas de Token-Ring (ou bien, si vous voulez en parler, lisez l'article "Quitter
la fraternité de l'anneau"). Deux nouvelles incarnations d'Ethernet, Fast Ethernet
à 100 Mbps et Gigabit Ethernet à 1000 Mbps, utilisent la commutation (switching)
pour améliorer profondément les performances par rapport à l'Ethernet 10 Mbps
classique ou à d'autres technologies LAN haute vitesse.
La commutation Ethernet haute vitesse
augmente considérablement les performances en réduisant la saturation et en éliminant
les goulets d'étranglement
La commutation Ethernet haute vitesse augmente considérablement les performances
en réduisant la saturation et en éliminant les goulets d'étranglement d'un réseau
trop lent. Elle permet également d'installer des segments de réseau redondants
et des noeuds physiques pour améliorer la fiabilité. Les services de supervision
de trafic sophistiqués, intégrés dans l'équipement Ethernet commuté aident à détecter
les problèmes et à connaître l'état de santé global du réseau. Et, comme les paquets
n'atteignent que les destinataires prévus, les réseaux commutés sont beaucoup
plus sûrs que les LAN de type broadcast traditionnels.
Bien que l'on puisse utiliser la commutation Ethernet sur des réseaux à 10 Mbps,
les prix sont si bas qu'il vaut mieux passer dès à présent en 100 Mbps et plus.
Les coûts de la commutation Ethernet ont plongé à moins de 600 francs par port,
soit le prix du 10BaseT il y a quelques années seulement. A moins de 6000 francs,
les ports Gigabit constituent un moyen économique d'accumuler le trafic Ethernet
haute vitesse sur un backbone.
Apprenez les possibilités et les caractéristiques de câblage de la commutation
Ethernet haute vitesse, les particularités du matériel Fast et Gigabit Ethernet,
et les principes de base de l'administration de LAN haute vitesse, et vous serez
prêt à mettre à niveau votre réseau.
Comment placer des données AS/400 dans Access, et rajouter des noms de colonnes
longs à des tables.
Inclus dans certaines versions de Microsoft Office, Access est un logiciel de
gestion de bases de données très controversé. L'un des domaines dans lesquels
il excelle est l'extraction de données à partir de sources de données externes.
En plus de ses convertisseurs qui lui permettent de manipuler de nombreux formats
de données, Access peut utiliser ODBC (Open Database Connectivity) pour extraire
des informations de différentes bases de données externes, comme DB2 Universal
Database for AS/400 (UDB/400). Dès que les données externes se retrouvent dans
Access, elles peuvent être utilisées pratiquement comme si elles avaient été produites
en natif par Access. Voyons à présent les deux principales méthodes permettant
d'utiliser des données AS/400 dans Access (importation et liaison). Ensuite, nous
passerons en revue la création d'une table liée, et analyserons une technique
de création de titres de colonnes (champs) longs pour les tables importées ou
liées.
Comment un OS peut-il évoluer du PC de bureau aux clusters SMP supportant des
millions de téraoctets de stockage en ligne et des centaines de gigaoctets de
RAM ? La réponse de Microsoft consiste à offrir plusieurs versions de Windows
2000 correspondant aux différents besoins.
Windows NT Server 4.0 et les versions antérieures offraient une certaine évolutivité,
en proposant une gamme depuis le NT Server 4.0 de base ou, jusqu'au cluster de
systèmes, avec NT Server Enterprise Edition (NTS/E). Ces produits sont identiques
à la base, mais ont été aménagés pour des architectures différentes.
Afin de pousser plus loin encore ce concept d'évolutivité, Microsoft offre plusieurs
versions de Windows 2000 spécifiquement conçues pour différentes niches du marché.
Par exemple Windows 2000 Professional (Windows 2000 Pro) est destiné aux PC de
bureau, Windows 2000 Server aux départements et aux groupes de travail, Windows
2000 Advanced Server (Windows 2000 AS) aux entreprises nécessitant la haute disponibilité
et Windows 2000 Datacenter (Datacenter) aux entreprises ayant les environnements
les plus exigeants.
Pour pouvoir offrir autant de versions de Windows 2000, Microsoft a dû améliorer
l'évolutivité de NT dans quatre domaines clés : mémoire, sous-systèmes de stockage,
SMP et services d'annuaire. Cet article aborde chacun de ces domaines par rapport
aux versions et aux fonctions de Windows 2000. Il explique également les bénéfices
découlant des fonctions d'évolutivité de Windows 2000.
Microsoft a amélioré l'évolutivité de NT dans quatre domaines clés : mémoire,
sous-systèmes de stockage, SMP et services d'annuaire.
De nombreux salariés de l'entreprise basés à l'extérieur de celle-ci - tels que
les commerciaux ou les télétravailleurs - dépendent d'un accès distant au réseau
de leur société. Je fais parti de ces salariés. A ce titre, je me suis intéressé
aux changements apportés, dans le domaine de l'accès distant, par Microsoft à
Windows 2000 Professional.
Ma première impression, lorsque j'ai découvert les modifications que Microsoft
a mis en oeuvre dans le domaine de l'accès distant sous Windows 2000, a été négative.
Les changements apportés à l'interface utilisateur d'appel distant de Windows
2000, comparée à l'interface de Windows NT 4.0 et Windows 98, m'ont laissé dubitatif
et j'ai eu des difficultés à trouver certaines fonctions. Avec l'expérience, cependant,
j'ai appris à apprécier la nouvelle version.
Tôt ou tard tout administrateur Windows NT est amené à éditer le Registre, que
ce soit pour corriger un problème, améliorer les performances ou renforcer la
sécurité. Cet article explique comment trouver et modifier en toute sécurité les
paramètres du Registre et comment y ajouter de nouvelles valeurs.
Dans de nombreux cas, la correction d'un problème via la modification du Registre
de Windows NT s'accompagne d'avertissements sur les conséquences qu'auraient des
modifications erronées.
Se pose alors la question du moindre mal - est-il préférable de vivre avec le
problème ou vaut-il mieux appliquer la correction en risquant d'introduire une
erreur dans le Registre ?
En fait, éditer le Registre n'est pas aussi risqué qu'on pourrait le penser, à
condition de prendre quelques précautions.
Tout le monde hait les bugs. Que vous exploitiez des logiciels de Microsoft, IBM,
Novell ou tout autre fournisseur, il vous est probablement déjà arrivé de ramer
avec de sérieux problèmes d'exploitation ou retard de projet à cause de défauts
dans du code.
par Wayne Madden
Voilà
des années que l'avenir de l'AS/400 fait couler beaucoup d'encre. La
question est de savoir si les clients continueront à acheter des systèmes
AS/400 et des solutions AS/400. Il est intéressant d'observer que bon nombre
de vos préoccupations n'ont que peu de rapport avec la technologie de l'AS/400
ou les possibilités du système d'exploitation. Plus prosaïquement, il
s'agit de savoir si IBM est engagé vis-à -vis de l'AS/400 et disposé à
pousser le marketing de cette plate-forme, si les fournisseurs de logiciels y
sont vraiment attachés et disposés à développer des applications modernes et
à promouvoir des solutions spécifiques AS/400 et, enfin, si les informaticiens
actuels qui utilisent l'AS/400 pourront continuer à ignorer la concurrence
qui frappe à la porte. Dans
ce dossier, vous trouverez de quoi présenter l'AS/400 sous un jour favorable
à l'acheteur décideur. Pour commencer, cet article décrit les principaux éléments
intervenant dans le choix d'une solution et montre comment s'en servir au bénéfice
de la solution AS/400. Frank Soltis explique les nuances de l'architecture de
l'AS/400, et Carol Woodbury nous fournit les toutes dernières informations
sur la sécurité AS/400. Vous trouverez également une liste de sites Web, de
white papers, de benchmarks et autres qui regroupent l'ensemble des chiffres et faits utiles.En tant que spécialiste
investi dans la technologie AS/400, vous connaissez toute la valeur de ce système.
Mais il est bien plus difficile d'en convaincre les autres. Avec ce dossier,
nous espérons vous donner les moyens de démontrer la fiabilité, les
performances et la viabilité de l'AS/400. Bonne chance !
Vous avez probablement constaté que, à titre personnel, vous pouvez
justifier de n'importe quoi ! Mais vous avez aussi constaté que ce principe
s'applique à tous : chaque personne peut se justifier n'importe quoi à
elle-même. Malheureusement, il est plus difficile de justifier quelque chose
aux autres. Il faut que les autres s'approprient le processus, même dans les
affaires. La justification de l'achat d'un AS/400 ou de toute solution
particulière, n'est pas un raisonnement purement scientifique. C'est plutôt
un parcours émotionnel, politique et difficile qu'il faut couvrir.
Le contexte technologique actuel rend de plus en plus difficile le
processus de sélection de solutions de gestion. En informatique, le marketing
oriente de plus en plus le processus de décision, et la perception des besoins
de l'acheteur, très subjective, dépasse l'évaluation technologique
proprement dite. Pour démontrer la puissance du facteur émotionnel dans une décision
d'achat, prenons deux fournisseurs de solutions de premier plan et leurs
slogans marketing bien connus. Le slogan de la première société
est "Solutions pour une petite planète". Or, à l'évidence, la
plupart de ceux qui prennent des décisions d'achat se soucient fort peu de la
taille de la planète, de sauver le monde, d'aider l'humanité ou même de
trouver une solution qui bonifie leur entreprise. La seconde société, en
revanche, a bien compris l'essentiel de la prise de décision. Le slogan
"Où voulez-vous aller aujourd'hui ?" évoque immédiatement votre motivation intérieure pour prendre des décisions vous touchant
personnellement. Bien que cela paraisse superficiel, tout ce qui bénéficie à votre
carrière, votre réussite, votre potentiel de gain, associé à
des messages technologiques percutants, influence fortement le processus de décision. Avant de commencer à justifier
un AS/400 aux yeux du manager qui décidera des systèmes et solutions que vous
achèterez, il faut comprendre le processus décisionnel. Je vois quatre éléments
clés pour positionner et vendre l'AS/400 dans votre société. En premier
lieu, trouver celui qui prendra la décision. Deuxièmement, surmonter les
perceptions erronées concernant l'AS/400 par rapport à d'autres
technologies mieux connues. Troisièmement, déterminer s'il existe vraiment
une solution répondant aux besoins. La quatrième étape (justifier les coûts)
est la plus facile. Avant
de commencer à justifier un AS/400 aux yeux du manager, il faut comprendre le
processus décisionnel.
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