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Restaurer les fichiers effacés accidentellement

Restaurer les fichiers effacés accidentellement

par John Ruley
Cela arrive à  tout le monde tôt ou tard, mais effacer accidentellement un fichier est une des pires erreurs que l'on puisse faire. Récemment, j'ai fermé par erreur un document Word sans le sauvegarder et tout le travail que j'avais produit sur le fichier semblait avoir disparu. Mais le texte que j'avais passé 2 heures à  écrire n'était pas complètement perdu. J'ai pu utiliser quelques outils pour rechercher et restituer les données.Le processus de recherche et de restauration des données perdues par erreur m'a pris un bon moment : j'ai ramé pendant 4 heures pour restaurer 2 heures de travail. Pourtant, j'y ai passé autant de temps parce que je pensais écrire sur cette expérience pour en faire profiter d'autres personnes en situation identique d'une part, et parce que j'étais très content de ma prose dans le document que j'avais effacé par erreur. J'aurais certes pu produire de nouveau un document équivalent en 2 heures, mais le texte de remplacement n'aurait pas été aussi bon que le premier.

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RPG IV : format libre et bien plus encore

RPG IV : format libre et bien plus encore

par George N. Farr
Le RPG a un brillant avenir dans des applications e-business Dans les discussions avec des programmeurs AS/400 rencontrés au cours de mes voyages autour du monde, la plupart des questions tournent autour du même thème. Par exemple :
· " Le RPG IV est-il destiné à  durer, ou IBM essaie-t-elle de le tuer ? "
· " La V4R5 ne comporte aucune amélioration du RPG IV. Serait-ce qu'IBM n'envisage plus d'améliorations du RPG ? "
· " IBM est-elle en train de remplacer le RPG en transformant l'AS/400 en une machine Java ? "
· " Java est-il le seul moyen d'écrire des applications e-business sur l'AS/400 ? "

Ces questions témoignent des inquiétudes sur l'avenir de l'AS/400, et du RPG en particulier, j'aimerais y répondre dans cet article.
Il ne faut pas non plus, à  moins d'avoir une bonne raison, plonger complètement dans Java

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Linux, au coeur des outils de base pour Internet

Linux, au coeur des outils de base pour Internet

par René Beretz
Les sociétés qui se positionnent sur le secteur de l'Internet font naturellement appel à  Linux, autour duquel l'offre est pléthorique et variée. Et d'une redoutable efficacité !

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Qui visite votre site ?

Qui visite votre site ?

par Gary Guthrie
L'utilitaire UPDHTTPLOG permet de saisir le nom de domaine des clients qui accèdent à  un serveur Web AS/400.

Dans le domaine du commerce électronique, les informations sur les visites effectuées sur un site Web sont d'une valeur inestimable. Aussi, la plupart des serveurs Web, et notamment les serveurs HTTP sur AS/400 (Internet Connection Server et Internet Connection Secure Server, respectivement en V4R1 et V4R2), permettent d'obtenir des informations sur les visiteurs d'un site Web en offrant la possibilité de consigner sur le serveur des informations concernant les accès des clients. Lorsque la log des accès au serveur est activée, chaque demande d'accès reçue par le serveur permet de capturer des informations utiles. Par exemple, la périodicité des accès et le nombre d'octets transmis peuvent être utilisés pour optimiser les ressources allouées au service des clients. Une autre option consiste par exemple, à  utiliser la log pour assurer le suivi des documents auxquels les clients accèdent afin, par exemple, d'identifier les produits qui les intéressent le plus.

Les adresses IP n'aident guère à  l'identification d'un client, car elles se ressemblent toutes 

L'identité du client est également une information importante qui peut être consignée. Pour chaque requête adressée au serveur, celui-ci reçoit les adresses IP du client demandeur. Toutefois, les adresses IP n'aident guère à  l'identification d'un client, car elles se ressemblent toutes. De ce fait, il est préférable de consigner le nom qualifié du domaine du demandeur. Le serveur Web AS/400 offre le choix de consigner les noms DNS (Domain Name System) résolus.

Malheureusement, la résolution des noms de domaines implique une pénalisation considérable des performances, le serveur Web devant faire une recherche inverse auprès d'un serveur DNS. Une recherche inverse implique que le serveur Web contacte le serveur DNS, lequel recherche ensuite dans un tableau de noms une adresse IP correspondante avant de retourner le nom de l'hôte associé au serveur Web. Cela prend du temps ! Pire encore, si un client accédant au site ne possède pas de nom DNS associé à  son adresse IP, le serveur Web attendra dans une boucle de temporisation de résolution d'adresse (jusqu'à  30 secondes) pour chaque requête émise par le client. Etant donné que l'accès aux pages Web consiste en des requêtes multiples, cela peut se traduire en délais extrêmement longs et en performances très médiocres pour les clients visitant sur le site. Le nom DNS n'est pas nécessaire pour servir une page Web. Aussi, la question qui se pose est de savoir pourquoi générer des surcoûts de recherche DNS au moment de satisfaire une requête HTTP ? En fait, différer les recherches DNS à  un moment ultérieur est une meilleure approche.

C'est pourquoi, j'ai créé la commande UPDHTTPLOG (Update HTTP Log), un utilitaire qui fait une recherche DNS inverse à  la demande. Cette commande permet d'une part, de désactiver la fonctionnalité de recherche de demande de connexion DNS et d'autre part, d'exécuter une recherche du nom de l'hôte en batch à  la place, au moment de votre choix. UPDHTTPLOG lit le fichier de log système créé par le serveur Web, traduit les adresses IP en noms de domaine et génère un nouveau fichier log contenant les noms traduits. Etudions de plus près les caractéristiques de la commande UPDHTTPLOG.

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Les prototypes RPG IV en 10 points clés

Les prototypes RPG IV en 10 points clés

par Bryan Meyers
Utilisez les prototypes pour passer des paramètres intelligemment

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Ils ont osé… et ils ont bien fait

Ils ont osé… et ils ont bien fait

par Dominique Douchet
Si le choix était à  refaire 8 ans après, c'est encore à  l'AS/400 en mode client/serveur (choix audacieux pour l'époque) que Messieurs Reitz et Dutsh feraient confiance. Ce qui pouvait sembler être un pari en 1992 s'est avéré être un choix stratégique et une réussite pour la caisse Nationale des Entrepreneurs des Travaux publics (CNETP).
Cet organisme, chargé de gérer les congés payés et le paiement des salariés privés d'emploi du fait des intempéries dans le secteur des Travaux Publics a une tâche de grande envergure puisqu'avec 130 employés, il gère 220000 salariés et 5500 entreprises cotisantes. Un système informatique performant est donc un élément déterminant pour son bon fonctionnement.
Ce système informatique, qui datait des années 70, devenait alors obsolète, et de moins en moins fiable, d'autant que de nombreux développements périphériques s'étaient avérés nécessaires au cours des années pour s'adapter aux évolutions du métier et aux exigences des utilisateurs. D'autre part, les échéances de l'an 2000 et du passage à  l'Euro approchaient; il fallait donc repenser le système d'information.
En 1991, la CNETP décide de la refonte totale du système. Il lui fallait alors un système pouvant s'adapter très facilement aux diverses et nombreuses évolutions législatives et professionnelles, un système qui s'adapte aux adhérents (et surtout pas le contraire), et il lui fallait également aller plus loin dans les automatismes, en privilégiant un faible coût de fonctionnement, même si l'investissement de départ s'avérait un peu élevé, le système étant destiné à  être exploité longtemps (au final, le montant global du projet évoqué ici se situera tout de même aux alentours de 60 à  70MF).

La dissociation de la conception et de la réalisation paraît indispensable pour conserver une plus grande indépendance
Monsieur Reitz, Directeur Informatique de la CNETP

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Les meilleurs utilitaires du nouveau Kit de ressources

Les meilleurs utilitaires du nouveau Kit de ressources

par Michael Otey
Les kits de ressources de Microsoft ont toujours été des mines d'utilitaires d'administration. Le nouveau Kit de ressources de Windows 2000 Professionnel offre la plupart des outils du Kit de ressources de Windows NT 4.0 Workstation, ainsi que des dizaines de nouveaux utilitaires.

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Le RPG IV suit son chemin

Le RPG IV suit son chemin

par Pam Jones
Les entreprises s'orientent de plus en plus vers le RPG IV pour faire évoluer leurs applications Cela fait déjà  plus de 5 ans qu'IBM a mis sur pied le RPG IV et les langages ILE. Mais ce n'est que maintenant que le RPG IV est en train de bien s'installer dans le monde AS/400. Après des années de désintéressement des utilisateurs, les observateurs du monde midrange affirment que le nombre de programmeurs AS/400 ayant une expérience d'utilisation du RPG IV augmente, ce qui tendrait à  prouver que le marché est en hausse ces derniers mois.

Ces mêmes observateurs ont également noté une recrudescence d'intérêt pour le RPG IV ainsi que pour ILE à  la suite du passage à  l'an 2000. Tout le monde s'accorde à  dire que le RPG IV et ILE sont des choses appelées à  se développer dans un futur proche.

Les formateurs, tant en interne IBM qu'en externe, qui passent le plus clair de leur temps à  parler et à  enseigner le RPG IV et ILE sont unanimes et affirment qu'après un démarrage un peu long ces trois dernières années, le RPG IV et ILE seront de plus en plus choisis dans les entreprises. "Dans mes séminaires, je demande régulièrement combien de gens utilisent le RPG IV", nous explique Bryan Meyers, Vice President of education de PowerTech Toolworks, Inc., et également rédacteur d'articles techniques pour NEWS/400. "Il y a quelques années, très peu de mains se levaient dans la salle.

Et il y a un an, on comptait même moins de la moitié des mains qui se levaient.
Aujourd'hui, il y a facilement trois quarts des auditeurs qui utilisent le RPG IV."

George Farr, IBM RPG Development Manager, qui s'adresse souvent à  des parterres d'utilisateurs et anime des conférences sur le langage RPG, acquiesce. "La plupart du temps, le nombre de personnes utilisant le RPG IV est au moins de 50%, et parfois c'est plutôt de l'ordre de 70%."

La version ILE apporte toutes les caractéristiques d'un langage moderne

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Qu’est donc WebSphere ?

Qu’est donc WebSphere ?

IBM délivre ici un ensemble d'outils de développement et de déploiement Web Qu'est-ce que le nom de WebSphere évoque pour vous ? Un ensemble de produits ? Une marque ? Une stratégie ? Un environnement ? En fait c'est tout ça à  la fois. En effet, WebSphere représente un ensemble de produits IBM exploitables sur des plates-formes hétérogènes pour faciliter la construction, le déploiement, et la gestion de sites Web dynamiques. Par dynamique, j'entends des sites Web qui réagissent aux informations saisies par l'utilisateur et qui sont réellement interactifs.
Cela, par opposition aux sites qui affichent des pages HTML (Hypertext Markup Language) statiques. Deux composants WebSphere sont pertinents pour les installations AS/400, à  savoir :

  • IBM WebSphere Application Server, un serveur AS/400 qui fonctionne conjointement avec HTTP Server for AS/400 pour offrir un environnement de travail pour les applications Web dynamiques exploitant des données DB2/400 et DB2 Universal Database for AS/400 (UDB/400)
  • WebSphere Studio, un ensemble d'outils PC dont le but est d'aider les développeurs à  concevoir des applications WebSphere
Nous analyserons ici les composants de WebSphere, les avantages que présente un serveur d'applications basé sur des servlets Java, ainsi que la manière dont un tel serveur s'intègre au reste de l'offre e-business AS/400.

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Transférer des fichiers AS/400 vers un Palm III de 3Com

Transférer des fichiers AS/400 vers un Palm III de 3Com

Les utilisateurs de Palm III peuvent accéder aux bases de données AS/400. Voici comment.  Les systèmes PalmPilots ont le vent en poupe! Les produits PDA (Personal Digital Assistant) PalmPilot de 3Com (également commercialisés par IBM sous le nom de WorkPads) sont des outils parfaitement adaptés à  l'informatique nomade en raison de leur petite taille et de leurs fonctionnalités intégrées de reconnaissance d'écriture. Cependant, la valeur de ce type d'outils dépend de la qualité des informations qu'ils parviennent à  extraire des bases de données du système central de l'entreprise. Palm III, le dernier en date des systèmes PalmPilot, permet aux utilisateurs d'accéder aux fichiers base de données AS/400. Le Palm III inclut "Palm Desktop", un logiciel PC permettant au système Palm III d'importer des fichiers AS/400 ayant au préalable été transférés sur un PC, dans l'application Address Book ou Memo du Palm III. Cette fonctionnalité peut par exemple être utilisée pour envoyer un fichier maître contenant une liste AS/400 de clients à  des ingénieurs commerciaux sur le terrain. Cet article présente rapidement les composants d'un Palm III, et analyse la configuration de ce dernier pour importer des données AS/400. 

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Utiliser la fonction de restriction d’accès aux programmes de la V4R3

Utiliser la fonction de restriction d’accès aux programmes de la V4R3

Comment cette fonction permet de sécuriser une application ou des fonctions à  l'intérieur d'un programmeVous est-il déjà  arrivé de vouloir sécuriser une partie de programme applicatif et de ne pas avoir d'objet AS/400 à  sécuriser ? Vous avez probablement créé une liste de droits d'accès ou un autre objet et vérifié les droits d'accès à  celui-ci pour contrôler l'accès à  la fonction du programme. Grâce à  la fonction de restriction d'accès (Limit Access to Program) de la V4R3, on peut contrôler l'accès à  une application, à  certaines parties d'une application ou aux fonctions d'un programme. Le support de cette fonction Limit Access to Program passe par des API permettant d'identifier une fonction à  sécuriser (une application ou une partie d'une application par exemple), récupérer des informations sur la fonction, définir qui est autorisé ou non à  l'utiliser et vérifier si un utilisateur donné à  le droit de l'utiliser. On peut également utiliser la fonction de restriction d'accès pour gérer la sécurité des fonctions via Operations Navigator.

On peut utiliser cette fonction via Operations Navigator

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Exchange Server et Active Directory : main dans la main

Exchange Server et Active Directory : main dans la main

Avec Exchange Server, Microsoft a toujours soutenu le concept d'un annuaire intégré stockant des détails sur les données de messagerie, comme les boîtes à  lettres et les listes de distribution, ainsi que sur la configuration des serveurs et l'organisation dans son ensemble. Directory Store, l'annuaire d'Exchange, garantit une circulation cohérente et à  jour des données vers tous les serveurs. Les utilisateurs accèdent à  l'annuaire pour valider les adresses électroniques ou rechercher des correspondants dans la Liste globale des adresses (GAL pour Global Address List). Mais dans Windows 2000, Exchange 2000 Server (nom de code Platinum) s'intègre à  Active Directory. AD remplace la fonction assurée par le Directory Store d'Exchange Server 5.5. Exchange 2000 est la première application majeure de Microsoft BackOffice à  exploiter AD et servira de standard initial pour l'intégration des annuaires. Dans cet article, j'examine la nouvelle architecture et la terminologie d'Exchange 2000 et je décris certaines astuces de configuration.

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Les meilleurs composants logiciels enfichables de la MMC

Les meilleurs composants logiciels enfichables de la MMC

Une des principales modification de Windows 2000 est le fait que l'OS recours à  la MMC (Microsoft( Management Console) pour l'administration du système. Microsoft a implémenté pratiquement toute la panoplie d'outils d'administration de Windows 2000 sous forme de composants logiciels enfichables pour la MMC. Dans cet article, nous allons voir le hit-parade des meilleurs composants logiciels enfichables intégrés à  Windows 2000. L'OS permet également de créer sa propre interface d'administration : saisissez simplement mmc à  l'invite de commande et cliquez sur OK pour afficher un shell MMC vierge. Ensuite, ajoutez les composants enfichables pour les fonctions d'administration que vous voulez mettre en oeuvre.

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A nouveau matériel, nouveaux logiciels

A nouveau matériel, nouveaux logiciels

L'achat d'un nouvel ordinateur peu parfois réserver des surprises. Première surprise : les gains de performances ne sont pas exceptionnels. En outre, il permet de découvrir des choses très intéressantes. J'ai acheté ce mois-ci un nouvel ordinateur Pentium II à  450 MHz comme poste de travail. L'arrivée du système m'a rappelé que quels que soient les chiffres, les ordinateurs ne donnent pas l'impression d'aller beaucoup plus vite à  chaque itération.
La différence de vitesse entre le nouvel ordinateur et mon système Pentium MMX à  166 MHz, âgé de deux ans, n'était pas aussi grande que ce que j'attendais. Cette mise à  niveau n'était pas, loin s'en faut, aussi enthousiasmante que celle d'un système 8088 4,77 MHz vers un 80286 à  6 MHz il y a quelques années.
En revanche, elle m'a permis de faire des découvertes captivantes.

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OLE DB et ADO : pour combler le fossé entre Windows et l’AS/400

OLE DB et ADO : pour combler le fossé entre Windows et l’AS/400

par Michael Otey
Accédez à  diverses bases de données grâce à  ces API de haut niveau L'accès à  la base de données AS/400 depuis Windows n'a jamais été simple. Bien qu'ODBC le permette depuis Windows 3.1, son utilisation côté application est fastidieuse. Il faut d'abord ajouter toutes les déclarations nécessaires aux fonctions ODBC dans l'application, puis appeler ces fonctions de manière appropriée pour les activer. Les bibliothèques objet comme DAO (Data Access Objects) de Microsoft rendent ODBC plus facile à  utiliser. Cependant, les appels ODBC générés par DAO ne sont pas optimisés pour la connectivité en réseau, et à  défaut d'une planification et d'une implémentation minutieuses, les applications fondées sur DAO et ODBC sont souvent peu performantes.

OLE DB et sa couche objet ADO (ActiveX Data Objects) sont les toutes dernières technologies de middleware qui traitent les problèmes inhérents aux anciennes méthodes d'accès aux données Windows-AS/400. ADO est une bibliothèque objet à  base de COM (Component Object Model) permettant d'employer OLE facilement à  partir d'applications Windows. Ensemble, OLE DB et ADO assurent une liaison performante et pratiquement directe entre les applications Windows et la base de données AS/400. Le provider OLE DB AS/400 IBMDA400 d'IBM, inclus dans Client Access, est spécialement conçu pour procurer aux programmes l'accès aux donnée de l'AS/400.

Outre l'accès à  la base de données, le provider AS/400 OLE DB supporte l'exécution de commandes OS/400, les appels de procédures cataloguées et l'accès aux files d'attente de données. Cet article donne un aperçu d'OLE DB et d'ADO et présente un bref exemple montrant comment utiliser ADO depuis une application VB (Visual Basic) pour accéder à  la base de données de l'AS/400. (Pour plus d'informations sur les aides à  la mise en oeuvre et à  l'utilisation du provider OLE DB pour AS/400, voir l'encadré " Référence de programmation ADO ")

Référence de programmation ADO Etonnamment, le provider OLE DB pour l'AS/400 n'est accompagné d'aucun manuel officiel IBM. Il existe cependant un Redbook utile intitulé A Fast Path to AS/400 Client/Server Using AS/400 OLE DB Support (SG24-5183). Bien que plus succinct qu'un guide de programmation normal, ce Redbook est la seule ressource pour l'utilisation du provider IBM OLE et contient des informations qu'on ne trouve nulle part ailleurs. On peut télécharger ce manuel à  l'adresse http://www.redbooks.ibm.com.

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Comparer Domino et DB2 UDB

Comparer Domino et DB2 UDB

par Lori Mueller Avant d'écrire des applications Domino, sachez comment les deux bases de données se comparent et contrastent l'une avec l'autre Existant en natif sur AS/400 depuis sa version 4.6, Domino ne cesse de gagner du terrain actuellement auprès des entreprises équipées d'AS/400 séduites par son intégration des fonctions de messagerie électronique, de e-business et de prise en charge des applications. Mais Domino est replié sur lui-même, avec une interface utilisateur, un langage de programmation et une base de données uniques. Comparer la structure de la base de données de Domino et de DB2 UDB (DB2 Universal Database), la base de données native de l'AS/400, est un bon moyen pour les utilisateurs de l'AS/400 de savoir à  quoi s'en tenir avec Domino.

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Gérer la croissance de son serveur Web

Gérer la croissance de son serveur Web

par Mel Beckman
Il est parfaitement possible de maintenir le niveau de fiabilité et de performances du serveur Web face à  une demande toujours plus forte " Fiabilité, performances, faible coût : choisissez-en deux ". Voici brièvement résumé le dilemme le plus fréquent qui se pose aux administrateurs de réseaux, qui doivent le prendre en compte pour répondre à  des utilisateurs de services Web toujours plus exigeants. S'il n'est pas très compliqué d'installer et d'exploiter un serveur Web, il est plus difficile de faire face à  un trafic Web en constante augmentation. Sur un intranet, dès lors que les développeurs portent de plus en plus d'anciennes applications sur le Web, le trafic Web local risque d'augmenter de façon exponentielle. Sur Internet, dès lors que les clients trouvent les relations commerciales et publiques sur le Web plus pratiques, le trafic à  distance sur le Web grimpe. Face à  ces deux tendances, le serveur Web d'entreprise joue un rôle de plus en plus crucial. Le défi est alors clair répondre à  ces demandes en assurant une fiabilité toujours plus grande et sans dépasser le budget.

Une première solution consiste à  beaucoup dépenser en serveurs imposants et en gros tuyaux Internet. Une autre approche plus économique consiste à  améliorer les performances du serveur Web. C'est dans ce sens que vont la plupart des techniques décrites ci-dessous.

Pour améliorer les performances, il faut analyser ces dernières pour mesurer les effets des modifications. Le rythme du serveur dépend des mesures suivantes : charge CPU, nombre de transactions Web exécutées par heure, et nombre de mégabits transmis par seconde. En capturant les valeurs courantes de ces mesures, tout en connaissant le nombre d'utilisateurs que l'on sert, on peut prévoir les conséquences d'un ajout d'utilisateurs, d'applications ou des deux. Lorsqu'on a une bonne idée des besoins des performances futures, plusieurs mesures, plus ou moins onéreuses, sont possibles pour améliorer la vitesse et la fiabilité du serveur actuel : passer à  la version supérieure de l'OS/400, optimiser les paramètres TCP/IP et LAN, ajouter du matériel de réseau AS/400, et confier certaines tâches subalternes à  d'autres serveurs.

Il faudra aussi parfois accroître la redondance pour répondre aux demandes croissantes de trafic et de fiabilité. Et, si l'on sert sur Internet, il faudra peut-être aussi élargir les connexions Internet et en augmenter le nombre. En apprenant plusieurs techniques d'administration de serveurs redondants, vous pourrez choisir la méthode la plus adaptée à  votre cas.

Avant de savoir où l'on va, il faut savoir où l'on se trouve exactement

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CRYPTage et secrets de l’AS/400

CRYPTage et secrets de l’AS/400

par Gene Gaunt
L'utilitaire CRYPT simplifie le cryptage DES (Data Encryption Standard) bidirectionnel dans les programmes ILE et OPM. Il y a deux façons économiques de mettre en oeuvre le standard de cryptage DES
(Data Encryption Standard) dans les logiciels AS/400 :

  • La fonction intégrée ILE (Integrated Language Environment) _CIPHER permet le cryptage unidirectionnel dans les programmes ILE.
  • Le programme CRYPT, présenté dans cet article, permet le cryptage bidirectionnel, à  la fois dans les programmes OPM (Original Program Model) et ILE.
Voici 25 ans naissait le DES, d'un algorithme de cryptage créé par IBM, baptisé Lucifer, sur le site Yorktown Heights Research. La NSA (National Security Agency) aux USA a persuadé IBM de soumettre l'algorithme au bureau des normes du Département du Commerce (équivalent de notre AFNOR ndlr), qui sollicitait des idées pour un standard cryptographique national. Sous couvert de ce projet, et dans le secret, la NSA a légèrement modifié l'algorithme. Le 23 novembre 1976, le Département du Commerce a approuvé l'algorithme commun IBM-NSA comme le standard fédéral pour les applications non militaires, et l'a rebaptisé Data Encryption Standard.Les spécifications officielles du DES se trouvent dans le document Federal Information Processing Standards Publication 46-2 (FIPS Pub 46). Ces spécifications sont également disponibles sur le site Web du NIST (National Institut of Standards and Technology) à  l'adresse http://www.nist.gov/itl/div897/pubs/fip46-2.htm.
Une copie de cette publication a servi à  rédiger le programme CRYPT.

Un processeur DES permet un cryptage unidirectionnel ou bidirectionnel

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Une rentrée rayée jaune et bleu

Une rentrée rayée jaune et bleu

Une manifestation dédiée à  Domino AS/400 pour les partenaires Lotus et Domino, et de nombreuses autres initiatives ont marqué la rentrée. La manifestation appelée “ Victory 99 EMEA ”, qui s'est tenue à  Cannes au tout début septembre, a remporté un franc succès puisque environ 2600 IBMers et partenaires s'y étaient donné rendez-vous.

L'AS/400 figurait en bonne place dans cette manifestation consacrée à  l'ensemble de la gamme serveurs d'IBM Des ténors de la plate-forme comme Tom Jarosh, Tony Madden ou encore Malcolm Haynes figuraient en tête de l'affiche. C'est aussi à  l'occasion de cette manifestation que s'est faite l'annonce de la cession à  Cisco Systems de l'offre “ réseaux ” d'IBM.

Mais après une conclusion en grande pompe de Victory 99 EMEA, avec notamment une immense soirée sur la plage du Carlton le mercredi, c'est par un événement beaucoup plus confidentiel mais néanmoins important que s'est poursuivie la semaine : IBM et Lotus avaient en effet convié leurs BP (Business Partners) et LBP (Lotus Business Partners) à  un séminaire marketing baptisé Victory AS/400, sur le thème : “ Les clés du succès pour vendre Domino AS/400 ”. Vaste programme !

Une soixantaine de représentants des ces deux “ espèces ” se sont alors réunis au long des deux jours restants de la semaine, pour mieux comprendre et connaître l'AS/400 pour les LBP, Lotus Domino pour les BP, ceci dans le but avoué de se donner les moyens de “ booster ” les installations Domino sur AS/400. L'objectif de la réunion était double : fournir à  tous les arguments de vente sur Domino pour AS/400, et réunir les partenaires AS/400 et Lotus pour développer du Business commun sur Domino pour AS/400.

Et sur ce dernier point, force est de constater qu'il y avait fort à  faire. L'initiative a non seulement montré qu'un rapprochement entre partenaires Lotus et IBM et une meilleure connaissance du domaine de compétences de l'autre étaient indispensables, mais a largement oeuvré dans le sens de rapprochements effectifs. Les tendances de la rentrée étaient donc sans conteste à  l'alternance des couleurs, aux rayures jaune Lotus et bleu IBM.

L'AS/400 est devenu la seconde plate-forme d'installation de Domino en termes de nombre de serveurs

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Contraintes d’intégrité et Triggers: vers une chronologie parfaite

Contraintes d’intégrité et Triggers: vers une chronologie parfaite

par Paul Conte
Maîtrisez la chronologie d'exécution des contraintes et des triggers des bases de données DB2 Universal Database for AS/400 (DB2 UDB) comporte plusieurs fonctions importantes qui d'une part assurent l'intégrité des données et d'autre part, étendent les fonctions des bases de données. Deux de ces fonctions, les contraintes d'intégrité référentielle et les triggers (ou programmes déclencheurs) peuvent être définis par un administrateur de bases de données (ou un utilisateur autorisé) pour se protéger des mises à  jour susceptibles de générer des données invalides ou incohérentes. On peut également utiliser des triggers pour exécuter des tâches qui ne sont pas intégrées dans DB2 UDB (comme afficher des informations sélectionnées sur des mises à  jour de bases de données dans une table de journalisation définie par un utilisateur par exemple).

Du fait qu'une opération sur une base de données peut entraîner DB2 UDB à  évaluer une ou plusieurs contraintes et appeler un ou plusieurs triggers, il est essentiel de maîtriser la chronologie des différentes opérations d'insertion, de modification et de suppression dans les bases de données. Le présent article apporte quelques informations sur la chronologie des contraintes et des triggers afin de vous permettre de concevoir des applications fonctionnant de manière efficace.

Pour commencer, examinons rapidement les concepts de base des contraintes d'intégrité référentielles et des triggers (pour plus de plus amples informations, veuillez consulter l'encadré "Bibliographie").

Les contraintes d'intégrité référentielle et les triggers peuvent protéger des données invalides ou incohérentes

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