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Démarrer avec DRDA

Tech - Par Renaud ROSSET - Publié le 24 juin 2010
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Les valeurs par défaut de la V5R1 rendent la préparation du serveur relativement simple pour l'environnement TCP/IP :
• Le serveur TCP/IP démarre automatiquement en même temps que TCP/IP.
• L'OS/400 ajoute automatiquement une entrée *LOCAL à  la base de données relationnelle (RDB) du serveur à  la première connexion.

Démarrer avec DRDA

L’option de sécurité par mot de
passe par défaut est required plaintext
password.

Ce tutoriel vise l’utilisation de
TCP/IP, subordonnée à  l’instruction
des TCP/IP Connectivity Utilities sur
votre (vos) système(s). Vous avez également
besoin du DB2 Query Manager
et du SQL Development Kit.

Dans un environnement SNA, la
connectivité APPC doit déjà  être établie entre les systèmes agissant
comme client (demandeur) et serveur.
Pour un client non-iSeries, comme
DB2 Connect for Windows ou QMF for
Windows, il vous faudra consulter la
documentation de configuration appropriée
pour cette plate-forme.

La première étape consiste à  configurer
le répertoire de la base de
données relationnelle (RDB) sur votre
système demandeur (c’est-à -dire,
client), en utilisant la commande WRKRDBDIRE
(Work with Relational
Database Directories). En supposant
qu’il n’existe pas d’entrée dans le répertoire
pour le système auquel vous
voulez vous connecter, amenez le curseur
sur le champ supérieur directement
sous Option, et entrez un 1. Dans
le champ suivant à  droite, entrez le
nom du système cible. Dans la figure 2,
le nom RDB entré est MYSERVER. Si
vous n’avez qu’un système iSeries,
« ME » est un nom spécial, non documenté,
que vous pouvez utiliser à  la
place. Ce nom vous permet d’utiliser
les protocoles DRDA pour accéder à  la
base de données sur le même système
via le serveur TCP/IP DDM/DRDA. La
troisième ligne de la figure 2 montre à 
quoi doit ressembler cette entrée.

Si votre système cible (serveur) est
un autre iSeries, vous aurez besoin de
connaître le nom de la base de données
relationnelle (RDB) de ce système.
Normalement, c’est le nom du
système, mais pas toujours. Le nom
RDB d’un serveur est défini par une
entrée spéciale dans le répertoire RDB
du système, qui a une valeur *LOCAL
pour le nom d’emplacement distant.
Vous pouvez ajouter cette entrée *LOCAL
manuellement, ou elle sera ajoutée
automatiquement si aucune entrée
n’est présente quand le serveur reçoit
sa première demande de connexion.
Notons la septième entrée de la figure
2, qui est une entrée *LOCAL qui a été
ajoutée automatiquement au système
utilisé comme client dans cet exemple.
Cette entrée ne jouera aucun rôle dans
cet exercice – elle n’est utilisée
que quand le système RCHASJMB se comporte comme un serveur.

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Tech - Par Renaud ROSSET - Publié le 24 juin 2010

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