EWLM est à un stade d'évolution beaucoup plus précoce que Director Multiplatform et sa release de 2004 n'aura que des possibilités limitées. On pourra utiliser EWLM pour réallouer des ressources matérielles d'après des objectifs de performance. Ainsi, on pourrait fixer comme règle un temps de réponse inférieur à la seconde
EWLM
pour
les applications du service client. Si
le temps de réponse dépasse le niveau
fixé, EWLM pourrait transférer
des ressources entre les partitions
iSeries, ou même communiquer
avec une application Tivoli capable
de configurer dynamiquement un
autre serveur Web à l’appui de ces
applications. Dans sa première
phase, EWLM n’offrira que des possibilités
de supervision, à l’exclusion
de toute réallocation des
ressources pour une quelconque
plate-forme.
Pour bénéficier d’EWLM, les développeurs
logiciel devront utiliser
des API ARM (Application Response
Measurement). Ces API, qui permettent
à EWLM de superviser une
application, sont déjà présentes
dans plusieurs produits middleware
IBM : WebSphere Application
Server, le IBM HTTP Server, et des
fonctions SQL dans DB2 UDB.
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Percer le brouillard des rançongiciels
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