“ Hardis se
comportait très mal avec les utilisateurs d'Adélia/400. Ils avaient décidé
de ne pratiquement pas corriger les bugs et faiblesses d'Adélia/400. Ils préféraient
développer Adélia/IWS. Une fuite en avant, quoi. Je n'ose pas imaginer ce que
cela a donné... ”
Voici ma réponse
: C’est vrai qu’Hardis n’a pas toujours été très clair quant à
l’avenir d’Adélia/400, et a un peu négligé ses utilisateurs au profit du développement
de la version IWS. Mais on peut raisonnablement penser que le développement d’IWS
monopolisait beaucoup de ressources. Ce n’est certes pas une excuse, mais une
explication. En tout cas la hotline s’est toujours montrée à la hauteur. Adélia/IWS
est un bon produit, qui permet de faire la même chose qu’avec Adélia/400, la
convivialité d’un environnement micro-informatique et la possibilité de faire
du développement client-serveur en prime. Son seul défaut réside, à mon
avis, dans son ergonomie, qui mériterait d’être revue. Elle s’est nettement améliorée
avec la nouvelle version, Visual Adélia (cf. l’article “ Une
informatique de gestion “ sur
mesure ” ”, NEWSMAGAZINE, septembre 1999, pour avoir un aperçu de ce
qu’on peut faire avec la nouvelle version), mais je n’ai pas encore eu
l’occasion de m’en servir.
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