des différentes phases de tests. En effet, cette étape critique ne doit pas être négligée et peut générer de nombreux effets de bords inattendus.
Pour limiter ce risque, il est nécessaire en amont de réaliser de nombreuses phases de maquettage et de préparer un plan de déploiement précis. Sans ces étapes préalables, ce risque à incidence forte aura une très forte probabilité de se manifester. Un deuxième risque identifié se situe au niveau du taux d’adoption pouvant être plus lent que prévu. Ce risque peut être diminué grâce aux différentes communications et formations dispensées pendant et après la mise en place de la solution. Un troisième risque, correspondant à un résultat de satisfaction et d’intérêt des utilisateurs inférieur aux prévisions, peut se manifester quelques mois après la phase de déploiement et de formation. Ce risque modifiera par conséquent les prévisions de gains de performance de ses collaborateurs.
Un quatrième risque et non des moindres, concerne le montant des économies inférieures aux prévisions. En effet, la réduction des coûts de frais de déplacement est un objectif qui concerne la majorité des entreprises. Par contre, ce risque est difficilement maîtrisable car il nécessite le changement des mentalités en privilégiant les réunions virtuelles. Enfin, le dernier risque porte sur le raccourcissement du cycle de vente, sur une estimation fausse de réduction du temps de réalisation des projets et sur une mauvaise évaluation des économies réalisées sur les frais de conférences et de téléphonie.
Pour minimiser tout ceci, il est primordial que les estimations prennent en compte le temps d’adoption de la solution par les utilisateurs. La familiarisation à l’outil MOCS 2007 et à ses différentes fonctionnalités ne peut se faire qu’après une certaine pratique qui nécessite du temps.