dans cette direction. Par exemple, certaines bases de données sont en C+, on ne va pas virtualiser ce système. Mais en effet, les esprits peuvent changer, les pouvoirs ne sont jamais qu’entre les mains des DSI. » […]
« En tout cas, il ne s’agit pas là d’un horizon immédiat, il manque encore diverses choses au niveau des besoins serveur, et ce sera davantage le cas pour les grands comptes et les PME de plus de 50 postes : elles gagneront en performance, en transparence utilisateur, en espace, en temps, en énergie… »
Damien Buisson, Chef de Produit Windows Server et Virtualisation Microsoft
credits photos Charlène Lefoulon