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Visualiser les ressources et les relations

Tech - Par Renaud ROSSET - Publié le 24 juin 2010
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Commençons par voir comment visualiser vos ressources et relations. Soyons clairs : avec un environnement virtuel, plus question de quitter la salle IT pour voir quels serveurs sont actifs, s’ils sont très occupés, et comment ils sont interconnectés. L’option Virtual Servers and Hosts (dans le panneau

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de navigation de gauche) est la vue principale pour prendre connaissance des relations qui lient un hôte physique et des serveurs virtuels.

La figure 3 montre bien, en indentation, les hôtes, les serveurs virtuels qui y fonctionnent, l’état de chaque ressource, l’adresse IP, et plusieurs autres colonnes de données qui toutes décrivent chaque ressource. Intéressons-nous aux données dynamiques qui suivent. La colonne CPU montre la consommation des deux CPU: la CPU totale disponible sur l’hôte et la CPU allouée à chaque serveur virtuel. Les colonnes processeur et mémoire (non illustrées) montrent la quantité de traitement et de mémoire disponible sur l’hôte par rapport à ce qui a été alloué à chaque serveur virtuel.

Ce renseignement, ajouté à l’état et aux tâches du menu contextuel sur chaque serveur, donne à cette vue toute son importance. Outre les données que l’on peut voir dans les colonnes, Virtualization Manager 1.2 inclut des propriétés dynamiques dans la tâche Extended Properties. Sélectionnez le petit carré en pointillés à droite du nom du serveur virtuel pour obtenir plus de détails sur votre partition POWER. La carte topologique est un autre moyen de virtualiser l’environnement virtuel.

La version 1.2 a, comme nouveauté, le support de plus de ressources POWER. La carte topologique de la figure 4 montre non seulement l’hôte physique et les serveurs virtuels, mais aussi le chemin complet – depuis les objets HMC et IVM, vers l’hôte physique, le serveur virtuel, et le serveur d’I/O virtuel qui possède l’I/O virtuel, vers les disques virtuels et pools de stockage, vers les disques physiques utilisés (notez le chemin dégagé à partir du serveur virtuel en haut du volume logique, pool de stockage et disque physique).

La carte topologique montre clairement quelles ressources physiques sont utilisées par leurs contres-parties virtuelles. Pour la 1.2, Virtualization Manager a ajouté d’autres ressources, relations, et détails d’utilisation (à l’intérieur des propriétés du serveur virtuel) pour que vous compreniez mieux l’environnement POWER. Ces genres de ressources apparaissent aussi dans un environnement System x et BladeCenter.

Observez dans la figure 5 que nous avons un environnement BladeCenter avec VMware installé sur une lame qui héberge deux serveurs virtuels. Virtualization Manager peut tirer parti de VMotion de VMware pour que vous puissiez déplacer un serveur virtuel d’une lame sur une autre, même une située dans un BladeCenter différent. Le moment est opportun pour mentionner que le System i a l’intention de supporter VMware dans ses serveurs BladeCenter et System x intégrés.

Et ces serveurs intégrés peuvent avoir VMware actif, et le stockage partagé peut se trouver sur le System i. L’avantage évident est que votre schéma de sauvegarde actuel peut maintenant inclure des environnements virtuels sur vos serveurs intégrés. Pour plus d’informations sur le System i et VMware, voir l’encadré « Pour en savoir plus ».

Dans Virtualization Manager 1.2, vous pouvez maintenant désigner n’importe quelle vue dans la zone de navigation des tâches ou Health Summary comme page de démarrage (ou même spécifier un ensemble de pages de démarrage). Pour cela, il suffit d’ouvrir la vue et de sélectionner « Add to startup pages » dans la liste déroulante à l’extrême droite. A la prochaine connexion votre nouvelle page de démarrage s’ouvrira. 

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