Comment diviser la charge de ses projets par trois
par François Rihen
Paul Dequidt Torréfacteur solde sa mise en conformité AN 2000 avec les briques 
logicielles de F.I-T, tout en réduisant les charges initialement prévues et en 
identifiant des solutions d'avenir. 
Vendre à  distance ? La Société Paul Dequidt Torréfacteur n'a pas attendu Internet 
pour promouvoir ses produits. Depuis le début des années 80, Paul Dequidt parcourt 
sans cesse le monde à  la recherche d'arabicas précieux et de mokas rares, issus 
des meilleures plantations de caféiers. Oui, c'est bien de café dont on parle. 
Et désormais, l'entreprise fait chaque jour le bonheur de milliers de clients 
; les paquets rouge et or de Paul Dequidt Torréfacteur sont distribués à  travers 
tout l'hexagone.
La vente par correspondance a depuis bien longtemps dompté l'énergie informatique 
pour utiliser au mieux les informations dont on dispose, et ce sont des milliers 
de courriers qui partent régulièrement de Wormhout (59), siège de l'entreprise. 
Comme beaucoup d'entreprises, Paul Dequidt Torréfacteur a été atteint par le virus 
de ces derniers mois : l'AN 2000, bien sûr.
                Comment utiliser SAP R/3 quand on ne pèse que 300 MF de CA
par Benoît Herr
Premier à  utiliser la méthodologie ASAP en 
France, Takasago Europe Perfumery Laboratory (TEPL), la filiale européenne du 
groupe japonais Takasago est aujourd'hui équipé de SAP R/3 sur AS/400. Il y a à  peine deux ans, la filiale française du groupe japonais Takasago prenait la décision d'installer SAP R/3. Et à  l'heure où vous lisez ces lignes, ils ont déjà  un an d'expérience d'utilisation de six modules de R/3 sur AS/400!
Le secret de cette implémentation rapide et couronnée de succès ? ASAP, qui veut dire Accelerated SAP. Il s'agit d'une méthodologie d'implémentation rapide de R/3 mise au point par la filiale américaine de SAP. Le client signe pour une mise en place en six ou neuf mois, et SAP et son DVA (Distributeur à  Valeur Ajoutée) fait le reste… ou presque! 
Non, pas vraiment, car l'implication du client doit également être très grande, mais le support DVA, assuré dans le cas de Takasago par la société Excelsius, filiale du groupe IBS, est essentiel. La méthodologie va d'une simple check-list des éléments à  mettre en place à  une suivi extrêmement étroit et précis de l'avancement des travaux en passant par un planning rigoureux et méticuleux, faisant parfois apparaître très tôt des choses auxquelles on aurait beaucoup plus tard, comme la formation par exemple. Sans oublier les fameux "accélérateurs", qui font partie intégrante de la méthodologie: il s'agit de simples documents Word ou Excel par exemple, mais préformatés pour des besoins tels que suivi du budget, compte-rendus de réunions ou guides uutilisateurs. Il ne restait plus à  Takasago qu'à  apposer son logo sur les documents… et à  les remplir, bien sûr. Cependant, ASAP "mâche" considérablement le travail, par rapport à  une conduite de projet classique.
                Virgin: sur la trace des NS
Par Sabine Terrey
Virgin Megastore s'est lancé dans une gestion centralisée du système d'information 
de ses magasins européens, depuis son site de Paris. 
Virgin Megastore, maison de disques bien connue créée par Richard Branson dans 
les années 70, a ouvert son premier magasin en France en 1988 sur les Champs-Elysées. 
Aujourd'hui, avec une activité de distribution débordant largement celle du disque 
puisque Virgin Mégastore propose également par exemple des livres ou du matériel 
électronique et informatique, le groupe compte 28 magasins en Europe continentale, 
répartis dans six pays (Italie, Portugal, Autriche, Belgique, Pays Bas et France). 
L'objectif de Virgin : tout magasin se doit avant tout d'être un « lieu de vie 
» avec une ambiance bien particulière que les clients aiment retrouver. Le groupe 
Virgin s'attaque également à  d'autres marchés, aussi divers que l'aviation (BA 
AA, no way!), le train, les assurances, « Virgin cola », « Virgin Vie »…toutes 
activités qui représentent désormais 200 sociétés de par le monde. 
Quant à  l'activité des Mégastores, elle est représentée par VEG (Virgin Entertainment 
Group). 
                Ils ont osé… et ils ont bien fait
par Dominique Douchet
Si le choix était à  refaire 8 ans après, c'est encore à  l'AS/400 en mode client/serveur 
(choix audacieux pour l'époque) que Messieurs Reitz et Dutsh feraient confiance. 
Ce qui pouvait sembler être un pari en 1992 s'est avéré être un choix stratégique 
et une réussite pour la caisse Nationale des Entrepreneurs des Travaux publics 
(CNETP).
Cet organisme, chargé de gérer les congés payés et le paiement des salariés privés 
d'emploi du fait des intempéries dans le secteur des Travaux Publics a une tâche 
de grande envergure puisqu'avec 130 employés, il gère 220000 salariés et 5500 
entreprises cotisantes. Un système informatique performant est donc un élément 
déterminant pour son bon fonctionnement.
Ce système informatique, qui datait des années 70, devenait alors obsolète, et 
de moins en moins fiable, d'autant que de nombreux développements périphériques 
s'étaient avérés nécessaires au cours des années pour s'adapter aux évolutions 
du métier et aux exigences des utilisateurs. D'autre part, les échéances de l'an 
2000 et du passage à  l'Euro approchaient; il fallait donc repenser le système 
d'information.
En 1991, la CNETP décide de la refonte totale du système. Il lui fallait alors 
un système pouvant s'adapter très facilement aux diverses et nombreuses évolutions 
législatives et professionnelles, un système qui s'adapte aux adhérents (et surtout 
pas le contraire), et il lui fallait également aller plus loin dans les automatismes, 
en privilégiant un faible coût de fonctionnement, même si l'investissement de 
départ s'avérait un peu élevé, le système étant destiné à  être exploité longtemps 
(au final, le montant global du projet évoqué ici se situera tout de même aux 
alentours de 60 à  70MF).
 La dissociation de la conception et de la réalisation paraît indispensable 
pour conserver une plus grande indépendance
Monsieur Reitz, Directeur Informatique de la CNETP 
                8 sites compatibles Euro en 6 mois et demi
par Dominique Douchet
Un outil adapté et une grande motivation de toute l'équipe projet ont permis à  
Landis & Staefa de mener à  bien son projet Euro dans des temps records. 
L'équipe informatique de Landis & Staefa venait de travailler pendant 9 mois à  la personnalisation et à  l'implémentation de la V4.05 CD de BPCS, sur les 17 sites européens du groupe. Les utilisateurs et la Direction de l'entreprise se félicitaient du succès de ce projet de mise en conformité an 2000, réalisé dans des délais et avec des coûts maîtrisés.
L'introduction imminente de la monnaie unique européenne a poussé Siemens à  s'engager auprès de ses partenaires commerciaux et de ses actionnaires pour effectuer ses échanges en Euro à  partir du 1er janvier 1999, et à  convertir les divers systèmes comptables des pays concernés dès le 1er octobre 1999. Un nouveau grand chantier informatique venait d'être identifié : rendre rapidement les systèmes compatibles Euro.
Géry Gedlek, Directeur Informatique de Landis & Staefa, était toutefois confiant; l'éditeur, SSA proposait la V4.05 CD de BPCS, compatible an 2000, et s'employait à  terminer la mise au point de la V4.05 CDE, compatible Euro. Géry Gedlek se tenait constamment informé des délais de disponibilité de cette dernière version.
En novembre 1998, tout semblait indiquer que la V4.05 CDE et les programmes de conversion associés seraient livrés dans les temps. Géry Gedlek et son équipe disposaient alors d'un délai suffisant pour réaliser les tests d'assurance qualité et la mise en place complexe de la nouvelle version sur les 8 sites européens avant la date butoir.
Le projet concernait les pays suivants : Belgique, France, Espagne, Finlande, Italie, Autriche, Portugal et Hollande.
                Dilemme : augmenter les effectifs ou les performances machine ?
par Isabelle Nougier
La société Maurin ne pourrait aujourd'hui plus se passer des 
  produits qui lui ont permis d'absorber un doublement de ses effectifs globaux 
  sans avoir à  augmenter les effectifs de son Service Informatique.Créé en 1871 par Emile Maurin et implanté à  Lyon depuis cette même date, le Groupe 
Maurin est aujourd'hui l'un des plus grands fournisseurs industriels du pays. 
Il est dirigé aujourd'hui par la 4ème et la 5ème génération de Maurin (ce qui 
constitue l'une des fiertés du Groupe), et s'organise autour de 2 sociétés d'exploitation, 
Emile Maurin et Michaud Chailly, réparties sur 18 sites dispersés sur tout le 
territoire français.
Le service informatique est quant à  lui centralisé à  Lyon. Il jouit d'une forte 
culture IBM, et les S/36 des débuts n'ont été remplacés par un AS/400 unique qu'en 
1994. Actuellement le matériel se compose d'un AS/400 modèle 620 avec plus de 
250 terminaux et une centaine de PC. N'ayant pas succombé aux sirènes des ERP, 
qu'elle n'exclut toutefois pas d'adopter un jour, la société utilise aujourd'hui 
un logiciel de gestion issu de l'IBM S/36, développé en interne et modifié pour 
le passage à  l'an 2000. On notera au passage que la société est déjà  prête pour 
l'Euro !
40000 dossiers clients et 23000 factures sont traités par mois, 300 personnes 
sont connectées en permanence , 6 jours sur 7, autant dire que l'informatique 
est un élément vital pour la société qui se verrait paralysée en cas de rupture 
de service.
La société ayant doublé ses effectifs et son chiffre d'affaire, il fallait 
optimiser les performances de l'existant
La société ayant doublé ses effectifs et son chiffre d'affaire en 4 ans, il fallait, 
pour que l'informatique s'adapte à  cette montée en charge, soit envisager une 
augmentation de ses propres effectifs (qui étaient et sont toujours de 10 personnes 
dont 7 au développement, une à  l'exploitation, une pour la micro et une assistante), 
soit adopter des solutions permettant d'optimiser les performances du matériel 
existant. C'est la deuxième solution qui a été retenue.
Il fallait donc limiter les pertes de temps dues à  d'éventuels bogues, optimiser 
les performances de la machine, gérer les pointes d'activité, et assister 2 fois 
plus d'utilisateurs qu'auparavant ; l'ensemble de ce cahier des charges paraissait 
satisfait par les solutions logicielles de la société Tango/04. Le Groupe Maurin 
s'est alors muni de plusieurs modules de la solution VISUAL Control Center de 
chez Tango/04, à  savoir VISUAL Support Pro, VISUAL Control for Windows, VISUAL 
Control for pools et VISUAL Control for jobs. Ces modules ont permis d'augmenter 
considérablement l'efficacité de la gestion de tous les problèmes utilisateurs, 
et ont permis de d'optimiser les performances de l'AS/400. L'ensemble de ces modules 
a très vite été complété par Bug Detector, un autre produit Tango/04, permettant 
le monitoring automatique des messages.
                Pour un management informatique efficace
par Jeremy Likness
Apprenez à  constituer une équipe et à  maintenir sa productivité 
Dans l'univers sportif, les entraîneurs de football mettent à  la disposition de 
leurs joueurs d'une part des séances d'entraînement et une équipe d'encadrement, 
et d'autre part, ils leurs communiquent des stratégies ciblant l'objectif ultime, 
à  savoir : remporter la victoire.
Pour atteindre cet objectif, les joueurs assument leurs rôles respectifs, marquant 
des points ou bloquant les avancées de l'équipe adverse. 
En raison des changements rapides dans les technologies de l'information, une 
équipe compétente et motivée est essentielle au succès et à  la croissance d'une 
entreprise. Aussi, les directeurs informatiques (entraîneurs dans l'univers informatique) 
doivent encourager leurs équipes afin de travailler à  un niveau optimal. Mais 
comment motiver une équipe pour qu'elle donne le meilleur d'elle-même ? 
Voici quelques stratégies clés pouvant contribuer à  vous aider à  devenir un meilleur 
chef d'équipe informatique. 
                Plus de sang neuf – moins de lunettes à double-foyer
par Robert Tipton
A quelles "tranches d'âge" vous et vos collègues AS/400 appartenez-vous 
? Faites-vous partie du Baby-boom ou de la Generation X ? Quels sont vos chanteurs 
préférés ? : Les trois ténors, Elton John ou Metallica ?
Si votre analyse corrobore la mienne, vous constaterez qu'environ 99% de vos collègues 
AS/400 sont nés avant 1970. Et c'est un sacré problème !
Où sont les jeunes enthousiastes sur le marché de l'AS/400 ? Et en quoi cela vous 
concerne-t-il ?
Récemment, un client AS/400 de longue date m'a brutalement posé ce problème. Alors 
qu'il envisageait d'installer un nouveau serveur pour supporter Domino, il a décidé 
de s'intéresser à  NT pour une raison simple : le recrutement de nouvelles compétences 
AS/400 était difficile et coûteux. Pour aggraver son problème, le CEO était convaincu 
que les ressources NT étaient “ abondantes ” et bien meilleur marché. Ce client 
a donc choisi NT — et pour de mauvaises raisons.
Par rapport au nombre des systèmes vendus, l'offre de spécialistes AS/400 s'amenuise. 
Les ventes record d'AS/400 en 1998 ont été acclamées — sauf quand il a fallu trouver 
des gens pour travailler sur les nouveaux systèmes. Et ne nous attendons pas à  
ce que ce fort rythme de ventes continue si la prochaine génération informatique 
ne connaît pas l'AS/400.
Sans injection de sang neuf dans les rangs de l'AS/400, le marché se tarira 
tout seul. Triste perspective.  
                Le test d’applications : un art méconnu
par Colin Armitage
Les tests systématiques devraient être placés en haute priorité dans votre service 
informatique. 
Combien de temps votre département informatique passe-t-il à  corriger des erreurs 
et à  effectuer des modifications que vous auriez dû réaliser avant de déployer 
une application ? Si votre réponse est "beaucoup", alors vous devriez vous appesantir 
à  nouveau sur un aspect souvent négligé du développement d'applications : les 
tests.L'année dernière, à  l'occasion du lancement du produit TestBench400, mis 
sur le marché par mon entreprise, nous avons eu l'occasion de discuter des techniques 
de test applicatifs en environnement AS/400, avec plusieurs entreprises informatiques 
basées en Amérique du Nord et en Europe. 
Cette expérience nous a permis d'acquérir une perspicacité unique dans les approches 
de tests en vigueur et dans la manière dont les techniciens professionnels perçoivent 
généralement l'équilibre indispensable coût/bénéfice quand il s'agit de tests.
La première chose dont nous nous sommes aperçus est le sérieux problème d'image 
dont souffre l'art de tester les logiciels. 
En effet, ce domaine est largement perçu comme étant plus qu'obscur. Aussi, personne 
ne souhaite s'y investir. De plus, ceux qui acceptent de le faire, voudraient 
en finir le plus tôt possible. Considérez les scénarii de tests suivants :
La première chose dont nous nous sommes aperçus est le sérieux problème d'image 
dont souffre l'art de tester les logicielsTests unitaires.
 Si vous travaillez sur un site où les développeurs ne sont pas responsables 
de leurs propres tests unitaires, alors félicitations. Le reste du monde doit 
avoir perdu la tête. 
Après tout, pourquoi se donner tant de peine à  demander aux développeurs d'assurer 
le bon fonctionnent de leurs propres programmes ? D'une manière générale, les 
développeurs adorent développer mais ils ont horreur de tester. Seuls de rares 
et précieux développeurs essaient véritablement de tester les failles potentielles 
de leurs propre code de manière imaginative. Il ne faut que deux développeurs 
pour mettre en place une politique de vérification croisée. 
En revanche, si on ne peut pas se le permettre, il faut se résigner à  accepter 
les tests unitaires réalisés par le programmeur ayant conçu le code tels qu'ils 
sont, c'est-à -dire, incertains. 
Cependant, ces tests peuvent avoir un intérêt si vous fournissez des fiches de 
test prédéfinies et qui attesteront de l'adhésion à  des standards de conception 
(par exemple pour la présentation de rapports, les couleurs et la disposition 
des écrans), et de la fiabilité de tous les embranchements à  travers le programme.
Tests des systèmes. 
Les tests des systèmes sont souvent réalisés par les membres seniors d'une équipe. 
Responsables de la livraison de systèmes dans leur ensemble, ces derniers sont 
généralement motivés pour réaliser les tests nécessaires. 
Cependant, il y a deux obstacles majeurs à  la réalisation des tests de systèmes. 
En effet, les responsables informatiques planifient souvent les tests comme étant 
la dernière activité importante à  réaliser dans un cycle de développement. D'autre 
part, ces tests sont généralement programmés alors qu'une date de mise en production 
du logiciel a déjà  été fixée. 
Aussi, lorsque les autres tâches du cycle de développement prennent du retard, 
le temps disponible pour effectuer les tests s'en trouvent réduits d'autant. Voilà  
comment finalement on ne teste que ce que l'on peut, au lieu tester tout ce dont 
on a besoin.
Par ailleurs, la mauvaise qualité des tests unitaires oblige souvent les testeurs 
à  reprendre plusieurs fois une même série de tests des systèmes. Après le troisième 
ou quatrième cycle de tests, même le testeur le plus consciencieux ne testera 
plus que les corrections. C'est précisément à  ces moments là  que les bogues en 
profitent pour passer à  travers les mailles du filet. 
Tests d'acceptation.
 Dans certaines entreprises, les tests 
                Consolidation de serveurs: pour quoi faire ?
par Sharon Hoffman
Tirez parti de la technologie AS/400 pour réduire les coûts induits d'administration 
des serveurs et améliorez par la même occasion l'efficacité de la gestion de vos 
systèmes. 
La consolidation de serveurs englobe toutes les stratégies et technologies capables 
de réduire le nombre ou la répartition géographique des serveurs que possède et 
gère une entreprise. Lorsqu'on minimise le nombre de serveurs et les connexions 
entre eux, les systèmes d'information fonctionnent de façon plus limpide. 
Bien que le principal intérêt de la consolidation de serveurs soit de simplifier 
l'administration des systèmes, cette démarche peut également induire d'autres 
avantages allant de la réduction des coûts salariaux associés au personnel informatique 
à  une amélioration de la disponibilité des systèmes.
Bien que le principal intérêt de la consolidation de serveurs soit la 
simplification de l'administration, elle peut aussi induire d'autres avantage.
La consolidation des serveurs est un sujet d'actualité au sein de l'ensemble 
de la communauté informatique. Une rapide recherche sur Internet indique qu'IBM, 
Hewlett-Packard, Sun et Unisys plaident tous en sa faveur. Au départ, ces constructeurs 
utilisent tous le même raisonnement de base pour promouvoir leurs solutions de 
consolidation, à  savoir : la consolidation des serveurs contribue à  réduire le 
coût de revient global des systèmes.
L'AS/400 est une cible intéressante pour la consolidation des serveurs parce que 
ses points forts classiques, notamment un potentiel d'évolutivité et une fiabilité 
très élevés, sont essentiels pour la réussite de tout projet de consolidation 
de serveurs. Les fonctions d'administration système intégrées à  l'AS/400 contribuent 
également à  faire de cette plate-forme un concurrent efficace sur le marché de 
la consolidation des serveurs. Ces atouts, qui ont fait leur preuve depuis longtemps, 
sont désormais secondés par plusieurs nouvelles technologies AS/400, notamment 
le partitionnement logique, le clustering, le serveur NetFinity intégré, l'AS/400 
NetServer et Domino for AS/400. Ces technologies améliorent d'autant le positionnement 
de l'AS/400 dans l'arène de la consolidation des serveurs.
Faut-il se lancer dans cette voie ? En fait, la réponse à  cette question dépend 
d'une corrélation complexe entre plusieurs facteurs dont les coûts et la fiabilité 
des communications, les prix des licences d'utilisation des logiciels, les possibilités 
d'évolution du matériel et l'attitude des utilisateurs. 
                XML: langage d’avenir du commerce électronique
XML fait actuellement son apparition dans de nombreux projets de commerce électronique 
XML (Extensible Markup Language) jouera probablement un rôle primordial dans le 
développement du commerce électronique. Sa capacité à  décrire les données dans 
un format ouvert standard aidera les consommateurs à  rechercher des informations 
produits sur le Web et simplifiera les échanges de données interentreprises par 
Internet. A n'en pas douter, XML transformera radicalement la manière d'acheter 
des consommateurs et, plus particulièrement pour les entreprises, celle d'acheter 
et de vendre des biens. 
Dans cet article, nous allons examiner l'impact de XML sur le e-commerce. 
Pourquoi suscite-t-il autant d'intérêt ?
Comment s'assurer de participer au devenir de XML et du commerce électronique 
? 
Les entreprises qui sont actuellement en train de mettre sur pied des transactions 
HTML devraient commencer sans tarder à  envisager XML.
A n'en pas douter, XML transformera radicalement la manière d'acheter 
des consommateurs  
                Windows 2000 et le TCO : les chiffres
par Barrie Sosinsky
Des études récentes d'analystes sur le coût total de possession de Windows 2000 
ont fait couler beaucoup d'encre. Le Gartner Group affirme que Windows 2000 est 
trop cher, tandis que le Giga Information Group prétend que c'est un investissement 
rentable. Les différences d'appréciation tiennent à  l'étude elle-même. 
 
                Un regard neuf sur CODE/400
par Sharon L. Hoffman
CODE/400 a évolué tranquillement, pour devenir un puissant outil de développement 
AS/400 
La plupart des programmeurs AS/400 continue de développer du code en se servant 
d'outils conçus pour les écrans passifs, notamment SEU et SDA.
Ces outils leurs sont familiers; ils sont disponibles sur tous les systèmes de 
développement, et ils remplissent parfaitement bien leur rôle. Même si
l'affirmation est exacte, la recherche d'autres outils peut s'avérer judicieuse. 
En 1988, lorsque IBM a lancé l'AS/400, ses outils de programmation
destinés à  des écrans passifs faisaient partie du haut de gamme. Mais les temps 
changent. Les programmeurs AS/400 se tournant vers de nouvelles
méthodes de développement comme Java, de nouveaux outils de programmation deviennent 
indispensables. Ce besoin débouche sur la motivation de
réévaluer également les outils de programmation utilisés pour les développements 
classiques.
Lorsque j'ai commencé à  travailler fréquemment avec Java, j'ai décidé d'utiliser 
un simple éditeur de texte plutôt que l'un des IDE (Integrated
Development Environments), comme JBuilder d'Inprise ou VisualAge for Java d'IBM. 
Un candidat évident m'est immédiatement venu à  l'esprit :
CODE/400 d'IBM (parmi les alternatives possibles, citons entre autres Flex/Edit 
d'Aldon).
CODE/400 présente de nombreux avantages par rapport à  un éditeur de texte générique 
pour PC, tel que le Bloc Notes. En effet, CODE/400 inclut des
fonctions de suggestion et de vérification syntaxique pour tous les langages qu'one 
st susceptible d'utiliser. De ce fait, il n'y a pas besoin d'apprendre à 
utiliser plusieurs outils. Il prend également en charge les lignes de commande 
SEU, ce qui raccourcit la courbe d'apprentissage. En outre, IBM fournit
gracieusement une version de démonstration avec des restrictions minimes et pouvant 
être téléchargée, ce qui permet de tester soigneusement CODE/400 avant d'acheter 
la version complète. (Pour de plus amples informations sur les restrictions de 
la version de démo et les sites de téléchargement, voir l'encadré "Démo CODE/400").
Lorsqu'IBM a lancé CODE/400, en 1992, j'ai étudié le produit et en l'ai plutôt 
écarté. 
En effet, bien que surprenante, la version initiale de CODE/400 avait deux défauts 
majeurs : elle n'était disponible que sous OS/2 et elle était excessivement onéreuse. 
Lorsque la version Windows a été mise sur le marché, quelques années plus tard, 
ces défauts étaient toujours présents : trop cher et bien que tournant sous Windows, 
toujours le "look and feel" OS/2. 
Cependant, lorsqu'à  la mi-97 j'ai assisté à  une démonstration des nouvelles possibilités 
du produit, j'ai dû revoir ma première impression. Depuis lors, IBM a même rajouté 
de nouvelles fonctions à  CODE/400. En outre, une nouvelle version est attendue 
au courant de cette année. 
Si vous n'avez pas suivi l'évolution de CODE/400 récemment, vous y trouverez un 
intérêt. Pour vous aider à  le maîtriser, j'en présente ici brièvement les fonctions 
et les caractéristiques, et signale également certaines astuces permettant de 
gagner du temps, et les défauts que j'ai découvert. 
Je vous recommande vivement d'assister à  une démonstration ou à  un atelier CODE/400 
si vous en avez l'opportunité. CODE/400 est si différent des outils pour écrans 
passifs bien connus de la majorité des programmeurs AS/400 qu'il faut le voir 
en action pour se rendre compte de ses qualités. (Pour une la liste des ressources 
complémentaires traitant de CODE/400, consultez l'encadré "Autres ressources").
Lorsqu'à  la mi-97 j'ai assisté à  une démonstration du produit, j'ai dû revoir 
ma première impression 
|  Démo CODE/400  On peut télécharger des versions d'évaluation de VisualAge RPG (VARPG) et de CODE/400 ainsi que les instructions sur le téléchargement et l'installation du code depuis le site Web d'IBM, à l'adresse http://www Lire l'article  
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