
Sommet européen des développeurs Open Source
par François Tonic
Les 3 et 4 février dernier s'est déroulé à Bruxelles le premier sommet européen
des développeurs Open Source et des Logiciels Libres. Durant deux jours, les conférences
se sont succédées. Compte-rendu des temps fort et des grandes interrogations.
Le choix de Bruxelles n'est pas dû au hasard mais à une démarché stratégique.
Bruxelles, ne l'oublions pas, est le siège de la Commission Européenne, cette
même Commission devant statuer sur les brevets logiciels. Les mondes Linux, Open
Source et Logiciels Libres sont résolument contre tout brevet logiciel. Pour Richard
Stallman, gourou du Free Software, ce sommet fut une excellente occasion pour
accélérer et renforcer la diffusion des Logiciels Libres en Europe.
Cette rencontre a surtout été l'occasion pour les développeurs de découvrir un
certain nombre de projets, plus ou moins connus et de faire un point technique
sur chacun d'eux. Les six cent développeurs avaient le choix entre la sécurité,
les réseaux, les interfaces graphiques, Mozilla ou encore les annuaires LDAP.
Les mondes Linux, Open Source et Logiciels Libres sont résolument contre
tout brevet logiciel

Microsoft annule le SP7 de NT 4.0
par Paul Thurrott
En avril 2001, Microsoft a confirmé qu'elle annulait le développement de ce qui aurait été le septième et dernier pack de service pour Windows NT 4.0 ...

SQL, 10+1 astuces pour la sécurité
par Michael D. Reilly
Les données sont bien protégées par le puissant mécanisme de sauvegarde et de restauration de SQL Server. Si votre stratégie de sauvegarde et de restauration est efficace, sachez qu'en cas de problèmes, vous pourrez redresser la situation avec un minimum d'interruption et de perturbations pour les utilisateurs. Les 11 astuces suivantes permettent de tirer le meilleur parti possible de l'utilitaire de sauvegarde et de restauration qui accompagne SQL Server.
Retrouvez les figures explicatives dans l'édition papier de cet erticle
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Musclez vos applications avec les améliorations de la base de données V5
par Kent Milligan
La V5R1 inclut de nombreuses améliorations de DB2 UDB for iSeries qui améliorent la souplesse des applications. Elle accentue aussi la disponibilité de DB2 avec de nouvelles fonctions de journalisation comme les Journal Minimal data.
La V5R1 inclut de nombreuses améliorations de DB2 UDB for iSeries qui améliorent la souplesse des applications. De nouvelles fonctions, comme les triggers SQL et les DB2 Extenders, donnent davantage de possibilités lors du développement applicatif. Et les plus riches fonctionnalités de base de données permettent aux fournisseurs de logiciels d'amener plus facilement leurs produits sur l'iSeries (AS/400), ce qui à son tour donne un choix de solutions plus large.
Outre l'amélioration des fonctionnalités du moteur de base de données, la V5R1 accentue la disponibilité de DB2 avec de nouvelles fonctions de journalisation comme les Journal Minimal data. IBM continue également à faire de DB2 UDB for iSeries l'un des produits base de données les plus faciles à utiliser, en améliorant les outils existants et en en ajoutant de nouveaux. Database Navigator est l'un des nouveaux outils de la V5R1 qui améliore OpsNav (Operations Navigator) en donnant la possibilité de visualiser graphiquement les relations entre vos objets de base de données. On peut, par exemple, présenter une image représentant tous les index (fichiers logiques) définis sur une table (fichier physique).
Je reviendrai sur Database Navigator dans un instant. Intéressons-nous d'abord aux triggers SQL et aux DB2 Extenders en V5R1 et voyons comment ils offrent de nouveaux moyens et commodités aux développeurs d'applications iSeries.
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Events – 2001/10 – Octobre / Novembre
Tous les évenements des mois d'octobre et novembre
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Ca roule pour MBK
par Claire Rémy
MBK Industrie (Groupe Yamaha Motor) assure le passage à l'an 2000 de ses applications
AS/400 avec l'aide de la société Databorough et de son logiciel XAnalysis.
MBK Industrie dispose d'applications de gestion commerciale (Andersen Consulting)
et de gestion de production (Macpac) sur AS/400. Dès octobre 1995, l'entreprise
commence à se préoccuper du « problème » du changement de millénaire. « A l'époque,
nous nous posions simplement la question: quel serait l'impact du passage à l'an
2000 sur notre système informatique ? », rappelle Isabelle Aubert, Chef du Projet
an 2000.
Les premières discussions déclenchent une série d'actions: étude d'impact, définition
de solutions, et communication pour informer la Direction Générale des risques
encourus, des diverses solutions envisageables et du coût de l'opération.

Tricks & Traps – Applications
par Olivier Nguyen
Les réponses aux questions essentielles que vous vous posez.

L’art de la réconciliation selon Whistler
par Michael Otey
La prochaine release majeure de Windows2000, qui porte le nom de code Whistler,
promet d'être une mise à niveau significative pour les clients et les serveurs
Windows. Tout en apportant nombre de changements conséquents côté serveur, c'est
surtout côté client que Whistler est important : c'est, en effet, la première
version dans laquelle convergent les codes de Windows 2000, Windows NT et Windows
9x.
Microsoft prévoit de sortir deux versions client de Whistler : Windows XP Home
Edition et Windows XP Professional Edition. La version Home Edition sera une mise
à niveau de la gamme Win9x. La Professional Edition, version élaborée de la première,
mettra à niveau Windows 2000 Professional et Windows NT Workstation 4.0. Le côte
serveur bénéficiera des versions Server, Advanced Server, Datacenter Server et
Embedded La version Server remplacera Windows 2000 Server et Windows NT Server
4.0. Advanced Server remplacera Windows 2000 Advanced Server et Datacenter remplacera
Windows 2000 Datacenter Server et NTS/E (Windows NT Server, Enterprise Edition).
Whistler Embedded mettra à niveau Windows NT 4.0 Embedded.
Tableau 1 Configuration système requise pour les clients Windows | |||||
Version
Windows XP
|
Nombre
maximum de CPU
|
CPU
minimum (MHz)
|
CPU
recommandée (MHz)
|
RAM
minimum (Mo)
|
RAM
recommandée (Mo)
|
Home
Edition
|
1
|
233
|
300
|
64
|
128
|
Professional
Edition
|
2
|
233
|
300
|
64
|
128
|
Tableau 2 Configuration système requise pour les serveurs Windows | |||||
Version de Windows | Nombre maximum de CPU | CPU minimum (MHz) | CPU recommandée (MHz) | RAM minimum (Mo) | Lire l'article
Boîte noire SQL Server Les traces permettent d'analyser le comportement du système. Toutefois, l'analyse d'un problème donné peut se révéler difficile, car les événements ayant conduit au problème se sont déjà produits. Pour parer à toute éventualité, on peut créer une trace qui fonctionne en tâche de fond et de façon permanente. En plus de consommer des ressources systèmes, une telle trace génère trop d'informations difficiles à analyser efficacement. Une autre alternative consiste à essayer de reproduire le problème. Cependant, la solution la plus simple consiste à utiliser la fonction Flight Recorder de SQL Server, qui enregistre les 100 dernières requêtes traitées. Les informations de Flight Recorder sont particulièrement utiles lorsque le système s'arrête brutalement. Pour démarrer Flight Recorder, exécutez la procédure cataloguée étendue xp_trace_setqueryhistory 1. Cette procédure démarre automatiquement la fonction Flight Recorder à chaque fois que SQL Server démarre. Pour arrêter la trace, exécutez xp_trace_setque Lire l'article ![]() Optimiser les performances batch de l’AS/400par Rick Turner ![]() Exceptionnels ! Les Gestionnaires d’exceptions du RPG !par Gary Guthrie "Informatique. Francis à l'appareil." "Salut, Francis. C'est André du Service Financier. Un message d'erreur est apparu sur mon terminal il y a quelques instants, et maintenant plus rien ne fonctionne correctement !" D'une voix calme, Francis demande, "Quel était ce message ?" "Quelque chose à propos d'un fichier ayant quelque chose, ou quelque chose de ce genre, je pense" répond André avec confiance. "Pas de problème, je m'en occupe" répond Francis. Puis elle raccroche le téléphone et murmure "Bien, bien". Vous avez sûrement déjà entendu çà , n'est-ce pas ? Heure après heure et franc après franc, les ressources de l'informatique s'amenuisent dès lors que les programmeurs consacrent un temps précieux aux réparations, après le crash d'une application. Or, on peut éviter les coûts et les migraines entraînés par les problèmes applicatifs, en plaçant le traitement des exceptions en tête de la liste des considérations en matière de conception d'applications. Il existe de nombreux types d'exceptions et leurs techniques de traitement diffèrent en fonction de leur type, du langage utilisé, et du l'environnement modèle de programme (OPM et EPM vs ILE). Je classerai donc les exceptions en trois groupes distincts :
Le plus souvent, des techniques de coding appropriées empêchent ces exceptions de provoquer des fins anormales. Les exceptions associées au système sont les plus délicates, parce qu'on les maîtrise parfois fort peu au niveau applicatif. Il est ainsi impossible d'écrire un code suffisamment parfait pour qu'il évite toute erreur du système d'exploitation. Quant aux langages évolués (HLL), chacun d'entre eux possède ses propres mécanismes de traitement des erreurs. Le CL par exemple, utilise abondamment la commande MONMSG (Monitor Message) pour piéger les exceptions. Les gestionnaires d'exceptions du RPG comportent des indicateurs d'erreur ou l'extension E sur certai Lire l'article![]() Accéder aux membres de fichierspar Jef Sutherland X
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