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A vos marques, prêts, Feu ! Pour l’utilisation de l’instruction SQL Set<BR>

A vos marques, prêts, Feu ! Pour l’utilisation de l’instruction SQL Set

Dans cette série d'articles, j'ai présenté SQL de manière assez systématique. J'ai commencé par la clause Select de l'instruction Select, puis je suis passé à  la clause Where et à  ses divers prédicats, et ai poursuivi avec certains prédicats impliquant des sous-requêtes, sur lesquelles je reviendrai prochainement (pour connaître la liste des articles précédents de cette série, voir l'encadré " Autres articles de cette série ").

Mais pour l'heure, une annonce importante justifie l'interruption momentanée de cette série : on peut utiliser une instruction SQL Set dans n'importe quel programme SQL imbriqué (pour en savoir plus sur l'instruction Set, voir l'article " Des procédures cataloguées en SQL/400 ", par Paul Conte, NEWSMAGAZINE, juin 1998). L'instruction Set permet d'employer n'importe quelle fonction intégrée (ou définie par l'utilisateur) SQL avec des variables hôtes comme paramètres.

SQL possède de nombreuses fonctions intégrées qui rendent des services qui ne sont pas directement disponibles en RPG IV. SQL comporte par exemple un ensemble complet de fonctions mathématiques. Bien que le RPG IV puisse invoquer des fonctions mathématiques via l'API IBM ou des appels de la fonction C, il est bien plus simple de le faire avec l'instruction Set de SQL. Voyons quelques exemples.
Cette instruction Set concise remplace avantageusement plusieurs lignes de code RPG

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Demain, on rase gratis ?

Demain, on rase gratis ?

Par Jean Mikhaleff
Qui eut prédit l'avènement du logiciel libre il y a seulement 10 ans ? En tant qu'éditeur de logiciels, cette révolution ne nous laisse pas indifférent et nous interpelle quelque part.

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Java et IFS

Java et IFS

par Dan Darnell
Ceux qui développent des applications Java pour l'AS/400 rencontrent souvent des liens inextricables entre Java et les systèmes de fichiers stream dans IFS (Integrated File System). Pour commencer, dans les répertoires d'un système de fichiers stream, on stocke les fichiers source et de classes Java. IBM utilise aussi généreusement les systèmes de fichiers stream, en stockant le code d'appui pour l'ADK (AS/400 Developer Kit for Java). Bien qu'IFS soit une ombrelle recouvrant de nombreux types de systèmes de fichiers AS/400 et iSeries, le terme « IFS » désigne ici les systèmes de fichiers root (racine) et QOpenSys. Ce sont des systèmes de fichiers de type stream, plutôt que de type enregistrement ou base de données, avec des structures de répertoire hiérarchiques (pour un exemple de structure de répertoires, voir l'encadré « Fonctions des systèmes de fichiers root et QOpenSys »).

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Microsoft SharePoint Portal Server

Microsoft SharePoint Portal Server

par Tony Redmond
Microsoft présente ce serveur comme un produit portail et de gestion de documents basé sur le Web, qui trouve facilement sa place dans les infrastructures Windows 2000 ou Windows NT existantes.

Après une longue gestation, Microsoft SharePoint Portal Server 2001, répondant précédemment au nom de code Tahoe, est désormais disponible en versions anglaise, allemande et japonaise. Microsoft présente ce serveur comme un produit portail et de gestion de documents basé sur le Web, qui trouve facilement sa place dans les infrastructures Windows 2000 ou Windows NT existantes et qui peut s'intégrer étroitement avec les navigateurs Web, Windows Explorer et la suite Microsoft Office. Le nouveau produit affiche également de puissantes fonctions d'indexage et de recherche

Le nom du produit est bien trouvé. SharePoint implique que le serveur peut remplacer plusieurs parties (shares) de fichiers de réseaux comme référentiel favori pour documents ; Portal fait référence à  l'image de portail familière que les utilisateurs emploient pour accéder aux données recueillies par le serveur. (Microsoft utilise également le nom SharePoint dans SharePoint Team Services, une technologie désormais en place dans Office XP - succédant au nom de code Office10 - et que la société a l'intention d'associer à  d'autres produits Microsoft. Dans un scénario idéal, les clients utiliseront SharePoint Portal Server pour créer un site portail central pour les produits qui utilisent les SharePoint Team Services.) Voyons donc comment le nouveau serveur fonctionne et quel est son véritable objet.

Retrouvez toutes les figures explicatives dans l'édition papier de cet article.

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Zeitler donne son point de vue sur «  l’état de l’union » eServer

Zeitler donne son point de vue sur « l’état de l’union » eServer

Bill Zeitler, chef de l'IBM Server Group, a passé ses années formatrices chez Big Blue à  prêcher les mérites de l'AS/400. Aujourd'hui, il est le porte-drapeau de tous les serveurs IBM. Il y a peu, Zeitler s'est entretenu avec la reporter de NEWS/400, Joanna Moore, à  propos du cap qu'il est en train de fixer aux eServers et de la place toute particulière que l'AS/400 tient dans son coeur.

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TOTAL gagne du temps

TOTAL gagne du temps

par François Rihen
TOTAL (Pétrole France) renforce sa collaboration avec CCMX. L'éditeur lui apporte son expertise dans la mise en oeuvre du module de gestion des temps de TIP400, pour ses raffineries, TOTALGAZ et le siège de la Défense. La direction des ressources humaines de TOTAL vient de relever un défi important. A l'heure où les préoccupations portent sur l'euro et le passage à  l'an 2000, son service informatique s'est imposé un troisième compte à  rebours.

Début janvier 1999, plus de 8000 bulletins de paye de quatre sociétés du groupe pétrolier, dont trois raffineries, ont été élaborés grâce au module de gestion des temps de TIP400.
Plus de 1300 règles dédiées à  la gestion des temps nourrissent désormais chaque mois trois cent rubriques du progiciel de paye de CCMX de quelque 20000 à  25000 variables de paie. TOTAL SA et l'éditeur ont travaillé conjointement sur le projet pendant un an…

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Tricks & Traps – Windows NT

Tricks & Traps – Windows NT

par Olivier Nguyen
Les réponses aux questions essentielles que vous vous posez.

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La fabrication des masters CD-ROM sur les iSeries

La fabrication des masters CD-ROM sur les iSeries

par Pamela Bowen
Distribuer des logiciels aux utilisateurs rapidement et facilement avec les CD-ROM.Le CD-ROM est un moyen simple et peu couteux de regrouper et de distribuer des applications iSeries. Les clients iSeries souhaitent de plus en plus disposer de méthodes d'installation aussi rapides et conviviales que le CD-ROM. Il suffit de suivre quelques étapes simples pour distribuer ses logiciels sur un support CD.

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Nouveau monde, Nouveaux outils

Nouveau monde, Nouveaux outils

par Kolby J. Hoelzle
Toute une panoplie de nouveaux outils fournie par le produit iSeries Tools for Developers permet au iSeries d'être un modèle un peu moins propriétaire pour le développement d'applications
Abraham Maslow a dit un jour " Pour celui qui n'a qu'un marteau dans sa trousse à  outils, chaque problème commence par essayer de ressembler à  un clou ". Il voulait souligner que le fait d'avoir et d'utiliser les bons outils pour un travail peut améliorer la qualité et la productivité, mais si la trousse à  outils n'est pas suffisamment fournie, on est contraint d'utiliser des outils inadaptés pour certains travaux.

Le produit iSeries Tools for Developers, récemment annoncé, améliorera le kit, c'est-à -dire la trousse à  outils, des développeurs iSeries. Cette batterie d'outils apportera une aide précieuse dans de nombreuses activités de développement : développement de nouveau code, portage du code existant sur l'iSeries, et autres. Le kit s'applique à  de multiples langages, dont RPG, C, Cobol et Java, et il collecte plusieurs utilitaires de génération de code objet sous une même ombrelle. Dès que l'on intègre le mode d'interopération et d'organisation des outils, on trouve très rapidement des composantes utiles.

Dès que l'on intègre le mode d'interopération et d'organisation des outils, on trouve très rapidement des composantes utiles

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MCSE : pourquoi et comment<BR>

MCSE : pourquoi et comment

par Jamie Flerlage
Dans le sillage de Windows 2000, la certification MCSE subit des modifications redoutées. Pour rester au courant, le MCSE expérimenté aussi bien que l'informaticien débutant, doivent dès à  présent entamer le processus écrasant du cursus de certification Windows 2000. Le processus de certification peut devenir un labyrinthe mêlant curriculum, centres de tests, prestataires de formation et matériels d'autoformation. Cet article explique les modifications de la certification MSCE, donne la liste des examens obligatoires et facultatifs à  passer et suggère des options de préparation aux tests.

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Linux arrive !<BR>

Linux arrive !

par Mel Beckman
Linux arrive ! Linux arrive ! Le système d'exploitation économique déjà  présent dans les magasins et sur Internet, arrive finalement sur l'AS/400. Est-ce important ? Qui s'en soucie ? Il est GRATUIT, GRATUIT, GRATUIT !
Enfin débarrassés du concert de louanges politiquement correctes sur Linux, le moment est peut-être venu de parler franchement de ce logiciel bon marché. Qu'est-ce exactement que ce machin et pourquoi arrive-t-il sur l'AS/400 ? Et, après tout, qui l'a invité ? Est-il compatible avec le RPG ? Les utilisateurs AS/400 veulent savoir, et je me propose de les éclairer. Linux, la version Open Source d'Unix, fonctionnera sur AS/400 cette année, avec la bénédiction (et l'assistance) d'IBM. Sans exagération aucune, Linux est très prometteur pour les utilisateurs d'AS/400 : nouvelles applications, e-commerce plus rapide, et une nouvelle mission pour le matériel AS/400-iSeries.
Pour comprendre le rôle de Linux dans l'espace AS/400, il faut connaître sa position unique dans l'histoire des systèmes d'exploitation et les détails de son implémentation par IBM. On pourra alors décider en toute connaissance de cause si le mot en " L " doit figurer dans le vocabulaire de l'AS/400.

Linux est très prometteur pour les utilisateurs d'AS/400

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Mettre Exchange 2000 en Cluster, concepts de base

Mettre Exchange 2000 en Cluster, concepts de base

par Jerry Cochran
Avec la sortie de Microsoft Exchange 2000 Enterprise Server, les déploiements d'Exchange Server peuvent à  présent tirer pleinement profit de Windows 2000 Cluster Service (baptisé MSCS - Microsoft Cluster Server - dans Windows NT). (Bien qu'Enterprise Server soit la seule version supportant le clustering, on l'appellera simplement Exchange 2000 dans le reste de cet article). Le clustering Exchange 2000 risque de devenir un élément essentiel pour les organisations désireuses de faire monter en puissance leurs déploiements d'Exchange 2000 : le support par Exchange 2000 du clustering actif/actif peut accroître la disponibilité et devenir la pierre angulaire de la consolidation des serveurs. Que vous débutiez dans le clustering ou que vous ayez déjà  déployé des clusters dans Exchange Server 5.5, la meilleure approche pour déployer des clusters Windows 2000 est de commencer par étudier la technologie et de planifier ensuite votre implémentation.

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Gérer des hiérarchies

Gérer des hiérarchies

par Itzik Ben-Gan
Avec des déclencheurs et T-SQL, on peut mettre sur pied une solution de gestion des données hiérarchiques fonctionnelle, et qui assure sa propre maintenance. Une start-up Internet attire Andrew vers un nouveau poste ; Steven et Michael, qui étaient sous sa responsabilité, ont besoin d'un nouveau manager. Super Janet prend Steven et Michael sous son aile bien qu'elle supervise déjà  directement Robert, Laura et Ann Robert, à  son tour, va diriger sa propre équipe. Mais récemment, Robert a commencé à  chercher un poste proposant des horaires plus attrayants et un meilleur salaire. Si Robert quitte la société, qui va chapeauter David, Ron et Dan, sans compter James, l'assistant de David ? Et, plus important encore, comment le service informatique va-t-il répercuter tous ces changements de managers dans l'organigramme de la société ?

Les structures hiérarchiques, également appelées arbres, présentent des dépendances hiérarchiques entre leurs membres. Une structure hiérarchique classique est constituée d'un organigramme décrivant les relations entre les employés d'une entreprise. Un manager est chargé de superviser certains employés, ces employés peuvent à  leur tour être chargés de gérer d'autres employés, etc…

Ni, le langage SQL, ni SQL Server ne dispose d'un support intégré pour ces structures hiérarchiques

Ni, le langage SQL, ni SQL Server ne disposent d'un support intégré pour ces structures hiérarchiques. Alors, comment traiter les hiérarchies avec des systèmes de gestion de base de données relationnelle (SGBDR), tels que SQL Server ? Considérez la figure 1, qui montre un organigramme simple. On remarque que chaque employé a un supérieur hiérarchique, sauf Nancy qui est la responsable au niveau le plus haut. La façon la plus courante de représenter une telle structure dans une base de données relationnelle est d'utiliser des paires de colonnes : une colonne comportant les ID des employés (les enfants) et l'autre, les ID de leurs managers (les parents). Le problème avec cette solution est que Nancy n'a pas de supérieur hiérarchique, mais qu'il faut tout de même mettre une valeur dans sa colonne Manager ID. Pour résoudre ce problème, il suffit de mettre un NULL dans la colonne Manager ID. Une autre solution serait d'enregistrer l'ID de Nancy dans la colonne Manager ID et faire ainsi de Nancy son propre chef.

Pour bien voir comment maintenir les hiérarchies avec SQL Server, créez une table simple contenant les informations concernant les employés de l'organigramme de la figure 1. On peut alors utiliser des déclencheurs, des requêtes T-SQL et des procédures cataloguées pour suivre une ID d'employé, un nom d'employé, une ID de manager et le salaires de l'employé et de son supérieur hiérarchique lorsqu'un nouvel embauché rejoint la société, change de poste dans l'entreprise, ou lorsqu'il quitte la société. Pour les besoins de notre exemple, utilisez NULL comme valeur de l'ID du manager de Nancy.

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Les utilisateurs Linux à  la recherche d’une interface standard sur le poste de travail

Les utilisateurs Linux à  la recherche d’une interface standard sur le poste de travail

par René Beretz
Le logiciel Open Source a ses avantages, mais aussi des inconvénients. C'est ainsi que la bataille pour une interface graphique standard fait aujourd'hui rage, et que les utilisateurs sont toujours à  la recherche d'outils bureautiques vraiments performants et stables. Malgré son succès dans le monde des serveurs et de l'Internet, Linux reste encore confidentiel dans d'autres domaines. Des solutions de bureau ou d'interfaces graphiques pour les utilisateurs commencent à  faire parler d'elles, mais sont encore loin de s'imposer : Windows et Microsoft Office dominent encore largement le bureau des utilisateurs. Pourtant, des projets " open source " mobilisent de nombreux développeurs dans ce domaine. En pratique, deux projets de bureau s'affrontent : Gnome et KDE.
Chacun apporte son lot d'applications bureautiques, graphiques, Internet et autres. Pour l'instant, l'existence de ces deux projets empêche l'adoption d'un standard de fait. Car aucun des deux projets n'est réellement terminé, ni pour l'interface de base ni en ce qui concerne les applications qu'ils supportent. Mais la séparation entre deux mondes a priori indépendants et concurrents a tendance à  s'estomper.

La différence entre les deux projets réside dans les conceptions du logiciel libre. Bien que présenté comme un projet complètement " Open source ", KDE ne respecte pas totalement les critères du logiciel libre spécifiés par la Free Software Foundation car il dépend d'une bibliothèque propriétaire. En réaction, un autre projet s'est mis en place : le projet GNOME, qui s'est intégré dans le projet GNU et dont l'impact grandit très vite. En pratique les deux projets cohabitent dans la plupart des distributions.

La séparation entre le monde de Gnome et celui de KDE, a priori indépendants et concurrents, a tendance à  s'estomper

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L’astuce au secours des petits budgets

L’astuce au secours des petits budgets

par Ed Roth
Bien souvent, les personnels informatiques doivent trouver des astuces et des solutions créatives pour remplacer des équipements dont ils auraient besoin mais qui ne sont pas au budget ou tout simplement qui n'existent pas sur le marché.

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Les solutions de clustering de Microsoft

Les solutions de clustering de Microsoft

par Greg Todd
Au fil des ans Microsoft s'est efforcé d'étendre la capacité de montée en charge, la disponibilité et la fiabilité de ses solutions serveurs. Le clustering est un moyen éprouvé d'atteindre cet objectif et Microsoft l'a adopté en vue d'en faire un élément à  part entière de ses systèmes d'exploitation et de ses offres produits. Avec la sortie de Windows 2000, les solutions de clustering de Microsoft ont fait un bond en avant considérable vers la maturité.

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Sécurité et packages applicatifs

Sécurité et packages applicatifs

par Patrick Botz
Le package applicatif de votre fournisseur est-il compatible avec vos exigences en matière de sécurité ? Voici 11 questions et leurs réponses, qui vous aideront à  le déterminer. Face aux nombreux éditeurs de logiciels applicatifs, on risque fort d'en rencontrer un (si ce n'est déjà  fait…) qui connaît peu la sécurité, ou qui l'ignore purement et simplement. Mais comment protéger le système et les données contre des fournisseurs laxistes ? Premièrement, ne partez pas du principe que le fournisseur comprend la sécurité, même s'il vend lui-même des produits de gestion de sécurité ! Ensuite, sachez que sauf si vous êtes sur le point d'acheter du logiciel à  un fournisseur, vous n'avez pas beaucoup de moyens pour l'amener à  respecter vos règles de sécurité.

La sécurité et l'intégrité du système sont finalement de votre propre responsabilité. Pour les assumer, il faut comprendre les ramifications du logiciel, en matière de sécurité. Il faut savoir comment les éditeurs réalisent leurs applications et comprendre le modèle de sécurité utilisé. Pour cela, il faut interroger les éditeurs pour déterminer leur degré de connaissance des sécurités et pour voir si leur modèle de sécurité applicative est en harmonie avec le ou les modèles de sécurité en vigueur sur votre système.

Pour vous aider à  trier le bon grain de l'ivraie, j'ai dressé une liste de questions à  poser aux fournisseurs d'applications. Chaque question est suivie d'une explication, d'une description de réponse rationnelle, et des mesures supplémentaires à  prendre pour s'assurer que les programmes du fournisseur ne contourneront pas votre politique de sécurité. Ce jeu de questions n'est nullement exhaustif, mais il comporte quelques points importants.

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Déléguer l’administration avec AD

Déléguer l’administration avec AD

par Paula Sharick
Au fur et à  mesure de la croissance des entreprises, se développent parallèlement les tâches quotidienne de maintenance et d'administration des systèmes informatiques, indispensables pour continuer à  satisfaire les utilisateurs et à  faire tourner rondement le réseau.Les entreprises ayant déjà  dû faire face à  une période d'embauche sérieuse, savent très bien ce que chaque nouvel employé représente comme travail pour le personnel du service informatique : nouveau compte, nouveau profil et script de connexion, espace de stockage sur le serveur, contrôles d'accès aux applications et aux données et, éventuellement, capacités d'accès à  distance. De plus, au fur et à  mesure que les imprimantes prolifèrent dans l'entreprise, une myriade de problèmes d'impression inonde quotidiennement le Service de support technique. Au fur et à  mesure que s'étendent les réseaux et les ressources qu'ils supportent, la charge s'accroît rapidement sur l'équipe du support informatique - 2.000 utilisateurs accédant à  200 ressources partagées génèrent plus d'un million de demandes d'assistance potentielles. Même une grande équipe informatique ne peut pas gérer efficacement et dans les temps un tel niveau de complexité. Heureusement, Windows 2000 fournit une fonction très précieuse, la délégation des tâches de routine d'administration et de support à  l'échelle de l'entreprise. Pour tirer avantageusement partie des fonctions de délégation d'Active Directory, il faut commencer par définir des unités organisationnelles (UO), puis identifier les tâches à  déléguer et ajouter les membres du personnel responsables de la gestion distribuée et de la maintenance. Une fois cette infrastructure en place, l'assistant de Délégation de contrôle d'AD peut être utilisé pour déléguer rapidement les permissions et les droits indispensables à  chaque groupe pour accomplir les activités de gestion qui lui ont été assignées.

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Lisons l’avenir du RPG dans la V4R4

Lisons l’avenir du RPG dans la V4R4

par Bryan Meyers
En V4R4, la fidèle arrière-garde des applications AS/400 évolue pour s'adapter aux environnements client/serveur et WebEn V4R4 de l'OS/400, IBM apporte quelques améliorations qui rendront la programmation RPG plus compatible avec les environnements Java, Internet et client/serveur. Ces améliorations visent à  faire fructifier vos compétences actuelles en RPG, et à  préserver une grande partie de vos investissements dans ce langage. Le présent article met l'accent sur les améliorations au RPG apportées par la V4R4, et donne quelques exemples d'utilisation des principales d'entre elles.

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Benchmark à  Rochester!

Benchmark à  Rochester!

par Samy Mosimann
En route pour une expérience enrichissante... Nous nous envolons par l'avion du matin en direction de Chicago, où nous arrivons dans l'après midi. Après les formalités de police et de douane, nous nous dirigeons vers la porte B33 où nous embarquerons sur l'avion de Rochester (MN). On y repère rapidement les malades qui se rendent à  la fameuse Clinique Mayo, ainsi que les IBMers qui ont sorti leurs Thinkpad pour travailler en attendant le départ. Encore une heure de vol et nous arrivons à  destination. A Genève, il est passé minuit !

Le lendemain matin, en route pour le Centre de test des laboratoires AS/400 de Rochester, où nous sommes accueillis par Bill Larson, à  la tête de l'équipe de 3 personnes qui va s'occuper de nous durant toutes les séances du “benchmark test”. Notre équipe (le client) comprend 6 personnes dont un chef de projet, 1 programmeur connaissant le langage C, un business-analyst (chargé de dérouler et de lancer les menus), 1 créateur d'environnement. IBM Suisse a délégué 2 spécialistes dont un chef de projet.

Le Centre de test de Rochester a été créé en 1993. Il a pour but de définir la configuration optimale d'un AS/400 en tenant compte de l'environnement réel d'un client, soit nombre d'utilisateurs, applications en transactionnel et en batch, réserves de capacités nécessaires et temps de réponse requis, etc. Près de 500 “benchmark tests” ont déjà  été effectués à  Rochester. Pour information, un centre identique existe à  Santa Palomba (près de Rome en Italie) à  l'usine où sont assemblés les AS/400 pour l'Europe.

Près de 500 “benchmark tests” ont déjà  été effectués à  Rochester

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