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Maîtriser les modules, 1ère partie

Maîtriser les modules, 1ère partie

par Bryan Meyers - Mis en ligne le 27/09/2005 - Publié en Décembre 2004

ILE (Integrated Language Environment) permet de développer les programmes de manière modulaire, avec des composants réutilisables. On le sait, la programmation modulaire offre de nombreux avantages par rapport aux méthodes traditionnelles : compilations plus rapides, maintenance plus simple, code plus fiable, et meilleur usage des routines communes et autres ressources. On peut comparer un modèle modulaire bien géré à  un orchestre symphonique où chacune des composantes contribue au concert de l'application globale. Un modèle médiocrement géré tourne vite à  la cacophonie.

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L’évolution de LPAR continue

L’évolution de LPAR continue

par Jeff Yanoviak - Mis en ligne le 13/07/2005 - Publié en Novembre 2004

Au début (ou, plus exactement, il y a cinq ans avec la release de la V4R4), Big Blue a créé le partitionnement logique (LPAR, logical partitioning) pour l'iSeries. Et il fallait attribuer au moins un processeur statique pour chaque partition. Big Blue a alors dit : il y aura des partitions multiples pour chaque processeur et le partitionnement dynamique permettra la réallocation des ressources. Et Big Blue a constaté que cela était bien ...Et le « peuple » iSeries a lui aussi vu que c'était bien - après un certain temps. Reconnaissons que LPAR ne fut pas parfait d'emblée. La première adoption se cantonnait à  de gros sites iSeries aux infrastructures complexes. Mais Brad Kimball, vice-président de solutions management chez Vision Solutions, décrit ce calme initial comme une « période de transition » révolue. Durant les deux dernières années, il a vu de plus en plus d'acheteurs de la solution de disponibilité Orion de Vision demander des LPAR. Avec environ 50 % de toutes les licences présentes aujourd'hui sur des boîtes partitionnées.
L'amélioration différée est probablement due moins à  une période de transition notable qu'à  l'amélioration. Le partitionnement dynamique est apparu avec la V5R1 : il permettait de diviser les processeurs entre des partitions et de réallouer les ressources à  la volée. Une véritable aubaine pour les clients qui répugnaient à  arrêter leurs systèmes chaque fois qu'ils voulaient ajouter ou déplacer des ressources.

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Choisir une GUI en frontal

Choisir une GUI en frontal

Mis en ligne le 8/06/2005 - Publié en Septembre 2004

Trois experts nous parlent de leurs meilleures solutions...

Pour les nouvelles applications Web, les développeurs iSeries sont confrontés à  plusieurs décisions en matière de mise en oeuvre d'interface utilisateur (UI, user interface). En premier lieu, le « client léger », par opposition au « client lourd ».

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L’automatisation des traces en 9 étapes

L’automatisation des traces en 9 étapes

par Steven Berringer - Mis en ligne le 25/10/2005 - Publié en Décembre 2004

Le Générateur de profils, la fonctionnalité de trace intégrée de SQL Server, constitue un outil précieux pour l'optimisation des performances et le débogage des applications SQL Server. Vous pouvez ainsi tracer chaque requête soumise par une application de base de données à  SQL Server et exploiter ces informations pour améliorer les performances. Par exemple, si vous exécutez une trace du Générateur de profils au cours d'un processus de longue durée, vous pourrez constater que SQL Server utilise une analyse de table, rencontrant ainsi des verrous de table ou aboutissant à  d'autres événements nuisibles pour les performances. Dans la majorité des cas, je me sers du Générateur de profils à  la demande d'un développeur qui essaie de déboguer du code de base de données épineux. Parfois, si j'ai le temps, j'adopte une approche préventive et j'exécute ma trace favorite, à  savoir la trace Duration. Celle-ci recherche les processus accédant à  SQL Server et dont la durée d'exécution est supérieure à  1 seconde. Cette valeur d'une seconde semble une limite appropriée, car cela vous permet de voir les processus qui consomment le plus de ressources sans tout monopoliser.

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Gérer les partitions avec iSeries navigator

Gérer les partitions avec iSeries navigator

par Greg Hintermeister - Mis en ligne le 27/09/2005 - Publié en Décembre 2004

A l'heure qu'il est, vous avez probablement entendu parler du nouveau serveur IBM eServer i5. Il permet d'exécuter non seulement vos applications habituelles, mais aussi vos systèmes d'exploitation préférés dont i5/OS (prochaine génération de l'OS/400), AIX, Linux et Windows. Tous ces systèmes d'exploitation peuvent fonctionner en même temps grâce au partitionnement. Pour être honnêtes vis-Evis de tous les autres matériels commercialisés depuis des années, reconnaissons que ce n'est pas un nouveau concept. DéjEdans sa V5R1, iSeries Navigator présentait un moyen graphique de gérer les partitions. Désormais, vous pouvez donc utiliser iSeries Navigator (ou une ligne de commande) pour partitionner les iSeries en multiples partitions OS/400 ou même en partitions Linux. Les concepts de partitionnement étant largement traités par ailleurs, nous nous concentrerons ici sur un point bien particulier : quelles fonctions de partitionnement on peut utiliser avec iSeries Navigator.

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LPAR : la solution à  vos besoins de consolidation ?

LPAR : la solution à  vos besoins de consolidation ?

par Jeff Yanoviak - Mis en ligne le 13/07/2005 - Publié en Octobre 2004

Le partitionnement logique (LPAR, logical partitioning) se prête naturellement à  la consolidation. En effet, il permet d'isoler les charges de travail, mais aussi d'utiliser différents langages primaires, fuseaux horaires et versions OS/400, sur un seul iSeries physique. Mais, pour prendre des décisions en matière de consolidation, il faut prendre en compte d'importants facteurs sur le plan économique, performance et disponibilité. Voyons donc quelques points à  considérer si vous envisagez d'utiliser LPAR dans un projet de consolidation ...Le partitionnement logique (LPAR, logical partitioning) se prête naturellement à  la consolidation. En effet, il permet d'isoler les charges de travail, mais aussi d'utiliser différents langages primaires, fuseaux horaires et versions OS/400, sur un seul iSeries physique. Mais, pour prendre des décisions en matière de consolidation, il faut prendre en compte d'importants facteurs sur le plan économique, performance et disponibilité. Voyons donc quelques points à  considérer si vous envisagez d'utiliser LPAR dans un projet de consolidation.

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Utiliser des files d’attente de données DDM

Utiliser des files d’attente de données DDM

par Kaushik Dutta - Mis en ligne le 8/06/2005 - Publié en Septembre 2004

De nombreuses entreprises ont plus d'un iSeries. Il faut donc que ces machines communiquent entre elles pour mieux utiliser les ressources. Voici quelques méthodes permettant à  deux machines iSeries d'interagir ...

  • Fonctionnalité MQ Series
  • Un déclencheur associé à  un fichier physique, qui invoque RUNRMTCMD
  • Une file d'attente de données dans un iSeries, avec une file d'attente de données DDM dans le second iSeries
  • Une file d'attente de données dans un iSeries, en utilisant RCVDTAQ pour invoquer RUNRMTCMD
  • Un fichier physique dans un iSeries, avec un fichier DDMF dans le second iSeries
  • Utiliser les commandes SNDNETF (Send Network File) et RCVNETF (Receive Network File) sur les deux machines

  • Parmi ces méthodes, la fonctionnalité MQ Series et les files d'attente de données DDM sont les plus fiables. Cependant, la fonctionnalité MQ Series a pour inconvénient de demander beaucoup de préparation pour un simple job par rapport aux files d'attente de données DDM.
    Les files d'attente de données DDM vous permettent d'accéder aux données distantes à  partir des files d'attente de données d'un autre système. J'explique ici les fonctions des files d'attente de données DDM interagissant entre deux machines iSeries.

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    Installation, configuration, et différences opérationnelles entre les éditions WAS 5.0 Express et Base

    Installation, configuration, et différences opérationnelles entre les éditions WAS 5.0 Express et Base

    par Kalyani Yerra - Mis en ligne le 19/10/2005 - Publié en Janvier 2005

    Cet article reprend l'installation d'Enterprise Application avec WAS Express et Base ; la création d'un serveur d'applications pour WAS - Express ; Les script startServer et stopServer ainsi que quelques exemples .

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    test

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    Le Power Play d’IBM

    Le Power Play d’IBM

    par Frank G. Soltis - Mis en ligne le 13/07/2005 - Publié en Octobre 2004

    Connaissez-vous la différence entre les processeurs POWER et PowerPC ?

    En hockey, il y a power play quand une équipe a un ou deux joueurs de plus à  cause des sanctions infligées à  l'adversaire. La possibilité qu'a l'équipe avantagée de marquer est bien supérieure pendant un power play. Peut-être « power play » est aussi un bon moyen de décrire la récente promotion par IBM de son processeur Power. Alors que tant d'autres fournisseurs s'efforcent d'imposer leurs nouvelles technologies processeur sur le marché, IBM démontre qu'elle est encore le premier fournisseur en la matière ...Pendant de nombreuses années, IBM a fabriqué des processeurs de pointe pour ses propres produits. Cette technologie propriétaire n'était partagée avec personne en dehors d'IBM. Cela a commencé à  changer au début des années 90 quand IBM a collaboré avec Motorola et Apple pour créer un nouveau processeur RISC à  un seul chip qu'on appellerait PowerPC. Depuis lors, de plus en plus de produits de multiples fournisseurs ont commencé à  utiliser la technologie Power. Ainsi, en 2002, ce sont plus de 18 millions de processeurs Power qui ont été livrés. Et pas seulement pour des serveurs IBM.
    Aujourd'hui, on trouve deux variantes du nom Power : POWER (comme dans POWER4 et POWER5) et PowerPC. Des deux, le nom PowerPC est de loin le plus connu à  cause de l'utilisation généralisée des chips PowerPC dans toutes sortes d'appareils : téléphones cellulaires, PDA, stations de travail et serveurs d'entrée de gamme. Le nom Power, quoi que beaucoup moins connu en dehors d'IBM, est en train de gagner ses galons de meilleure architecture processeur pour des serveurs haut de gamme. Récemment IBM a commencé à  promouvoir POWER comme nom de famille général.
    La relation entre POWER et PowerPC est pourtant simple. La définition de l'architecture de base est la même pour les deux. Ils ne diffèrent que par les extensions apportées à  cette architecture pour des processeurs spécifiques. Par exemple, l'architecture POWER est principalement destinée aux serveurs, c'est pourquoi de récentes moutures des processeurs POWER contiennent des extensions favorisant les fonctions serveur, comme le partitionnement logique. En revanche, un processeur PowerPC destiné à  un téléphone cellulaire n'a nul besoin du partitionnement logique, mais il appréciera certaines extensions à  caractère téléphonique.Ils se distinguent aussi par le niveau de disponibilité. La technologie PowerPC est à  l'entière disposition des OEM. Ouverte et extensible, on peut la personnaliser pour les applications les plus diverses. Il s'en suit que différentes implémentations des processeurs PowerPC contiennent souvent différentes extensions selon la destination du processeur. De plus, les processeurs d'architecture PowerPC sont proposés par de multiples sources autres qu'IBM.
    IBM l'offre. S'il est vrai que les processeurs POWER étaient, à  l'origine, destinés aux seuls serveurs IBM, cela aussi a commencé à  changer. Dans un futur très proche, on commencera à  voir les tout derniers processeurs POWER dans des produits proposés par d'autres fournisseurs. Ensemble, ces deux architectures processeur couvrent tout l'éventail de l'informatique, des appareils manuels les plus petits jusqu'aux plus puissants superordinateurs du monde.
    Les perspectives des processeurs PowerPC et POWER d'IBM vont désormais bien au-delà  de la décennie. Comme il y a encore beaucoup de confusion dans l'esprit de nombreux clients OS/400 à  propos des similitudes et des différences entre ces deux architectures (voir l'encadré « La vérité au sujet de la PlayStation 3 et de l'OS/400 » pour un exemple), il est instructif d'y regarder de plus près. Sans rentrer dans des détails fastidieux, nous allons voir comment ces deux architectures ont été développées et quelle est leur relation réciproque.

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    Trucs & Astuces iSeries : RPG, .NET

    Trucs & Astuces iSeries : RPG, .NET

    Les trucs & astuces de la semaine du 30 Mai au 5 Juin 2005

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    Enquête sur l’I5/OS ou l’OS/400 ouvert

    Enquête sur l’I5/OS ou l’OS/400 ouvert

    par Jean Mikhaleff - Mis en ligne le 1/06/2005 - Publié en Septembre 2004

    Les nouvelles annonces i5/OS présentent la nouvelle machine eServer i5 comme un futur serveur de consolidation qui hébergera le p5/OS dans quelques mois puis le z6/OS dans quelques années, les chiffres 5 et 6 derrière les lettres i,p,z des 3 OS d’IBM représentant respectivement les processeurs POWER5 et POWER6 ...Cependant, cette consolidation de tous les serveurs IBM par l’i5 ne serait-elle pas une exagération ?

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    Actualités de la semaine 20 – Windows IT Pro – 2005

    Actualités de la semaine 20 – Windows IT Pro – 2005

    Toutes les Actualités du 16 au 22 Mai 2005

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    Alternative à  la solution WebFacing d’IBM

    Alternative à  la solution WebFacing d’IBM

    par Jef Sutherland - Mis en ligne le 11/05/2005 - Publié en Juillet / Aout 2004

    Trouvez un générateur d'interface Web qui vous convienne

    Intéressant pour beaucoup, il est peut-être déroutant pour certains. WebFacing est un produit IBM, mais c'est aussi devenu un terme qui désigne l'opération consistant à  valider pour le Web, ou à  rajeunir, d'anciennes applications. Donc, peut-on « Webfacer » une application ? Oui. Est-on obligé d'utiliser pour cela le produit WebFacing d'IBM ? Non, pas vraiment ...Bien que l'offre IBM soit abondante pour ajouter une interface Internet à  une application existante, ce n'est pas le seul moyen. En fait, il existe au moins une vingtaine d'outils logiciels tierce partie capables de porter une application iSeries sur le Web. Pour plus d'informations : www.itpro.fr Club abonnés.

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    Trucs & Astuces iSeries : Telnet, iSeries 5250, tableaux

    Trucs & Astuces iSeries : Telnet, iSeries 5250, tableaux

    Les trucs & astuces de la semaine du 11 au 17 Avril 2005

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    Trucs & Astuces iSeries : DNS, TCP/IP

    Trucs & Astuces iSeries : DNS, TCP/IP

    Les trucs & astuces de la semaine du 28 Mars au 3 Avril 2005

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    Clustering de SQL Server

    Clustering de SQL Server

    par Brian Knight - Mis en ligne le 16/03/2005 - Publié en Avril 2004

    6 étapes vers la haute disponibilité de SQL Server

    Pour l'administrateur de bases de données (DBA), la mise en cluster d'un SQL Server est source d'inquiétude, un peu parce que cet exercice était déjà  difficile dans SQL Server 7.0 et les releases antérieures. Heureusement, dans SQL Server 2000, le clustering est moins intimidant. Les six étapes que je couvre dans cet article constituent un canevas de base permettant d'établir un environnement en cluster pour SQL Server 2000 ...Le failover clustering est le meilleur moyen d'instaurer la haute disponibilité dans un environnement SQL Server. Pour mettre en cluster des serveurs Windows, on utilise le service Microsoft Cluster pour relier entre eux plusieurs serveurs. Avec le service Cluster, si une panne survient dans un composant matériel crucial ou dans le service SQL Server, les lecteurs, SQL Server, et les services associés, basculent tous sur un serveur secondaire. Ce basculement généralisé est automatique et prend entre 30 et 60 secondes. Avec d'autres solutions haute disponibilité de SQL Server, comme le log shipping ou la réplication, en cas de défaillance du serveur principal, quelqu'un doit changer manuellement les rôles sur le serveur secondaire. Bien que le log shipping offre une bonne solution de redondance, il s'appuie sur la maintenance manuelle et il peut être difficile à  instaurer.
    Avant de commencer l'opération de clustering, il faut bien comprendre que la seule fin du clustering Windows est la haute disponibilité. En effet, le clustering n'améliore pas la performance de SQL Server puisqu'un seul serveur travaille à  la fois - les serveurs reliés ne traitent pas les requêtes ensemble. Pour voir comment le clustering trouve sa place dans le puzzle de la haute disponibilité de SQL Server, voir l'article de Michael Hotek « Solutions haute disponibilité », dans ce numéro.

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    Services superflus dans Windows XP

    Services superflus dans Windows XP

    par Michael Otey - Mis en ligne le 06/04/2005 - Publié en Avril 2004

    Désactivez les services superflus pour améliorer la performance sans sacrifier les fonctionnalités

    L'inflation de code semble empirer avec chaque release de Windows : chaque nouvelle release semble fonctionner plus lentement que la précédente. Le plus souvent, le problème ne vient pas du code OS de base mais du fait que chaque nouvelle release ajoute des fonctionnalités ...Un secteur clé qui continue à  s'étendre est celui des services : Windows XP démarre automatiquement 36 services. A l'évidence, peu d'utilisateurs ont besoin de tous ces services et en éliminant ceux qui ne servent pas, vous pouvez rendre le système plus efficace.
    Pour désactiver un service, ouvrez l'applet Control Panel Services et double-cliquez sur le service pour ouvrir sa feuille Properties. Sur l'onglet General, cliquez sur la boîte déroulante Startup type et sélectionnez Disabled. Si vous avez perdu une fonctionnalité importante, redémarrez le service en remettant son Startup Type à  Automatic ou Manual. Voici 10 services XP dont vous pouvez vous passer.

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    Accéder à  l’iSeries en utilisant .NET Data Provider d’IBM

    Accéder à  l’iSeries en utilisant .NET Data Provider d’IBM

    par Michael Otey - Mis en ligne le 23/02/2005 - Publié en Avril 2004

    Connectez les applications .NET à  l'iSeries avec ce nouvel outil iSeries Access for Windows

    Si vous appeliez de vos voeux un moyen facile pour que vos applications Visual Basic .NET mettent à  jour des données sur l'iSeries, c'est chose faite. iSeries Access for Windows offre désormais un nouveau DB2 UDB for iSeries .NET Data Provider avec lequel vous pourrez connecter des applications .NET à  l'iSeries ...Il est vrai qu'il existe d'autres moyens pour connecter des applications .NET à  l'iSeries : .NET Framework Data Provider for ODBC et .NET Framework Data Provider for OLE DB, tous deux de Microsoft. Cependant, d'après IBM, la connexion à  l'iSeries sera plus performante avec son nouveau iSeries .NET Data Provider qu'avec les deux autres méthodes. Avant de voir dans le détail comment utiliser l'iSeries .NET Data Provider, commençons par jeter un coup d'oeil aux principes de base de l'ADO.NET framework.

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    Un guide rapide vers les JSP : rejoignez l’équipe des tages

    Un guide rapide vers les JSP : rejoignez l’équipe des tages

    par David Bridgewater - Mis en ligne le 09/02/2005 - Publié en Mars 2004

    Une application familière avec deux nouveaux trucs : le code modularisé et les tags JSP

    Dans l'article « Les JSP : visite rapide » , je montrais comment écrire une application JSP (JavaServer Page) simple mais intéressante. L'application permet à  l'utilisateur de filtrer un fichier Employee au travers d'une large sélection de critères ; puis, elle affiche les résultats sous forme de table dans une page Web, en incluant le comptage du nombre d'employés trouvé ...Dans ce premier article, je signalais les défauts de conception de ma méthode. Principale critique : mon code était monolithique, mélangeant la logique de présentation, de gestion et de base de données - le genre de pratique que nous avons tous délaissée dès l'arrivée de ILE et des programmes de service. Je propose ici un exemple d'application de même fonctionnalité, mais avec deux réaménagements importants :
    1. Le code est modularisé.
    2. Le JSP ne contient pas de Java. En lieu et place, on trouve des constructions JSP différentes appelées tags.

    Je ne prétends pas que cette nouvelle méthode soit le nec plus ultra de la bonne conception, mais c'est une amélioration indiscutable.

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