

Pilote automatique
par Herts Chen - Mis en ligne le 18/02/2004
Raccourcissez le temps de réplication instantanée et de configuration avec
cet outil d'automatisation
Quand vous appliquez la réplication
instantanée à de grandes bases de données,
l'étape qui supprime les enregistrements
cibles et celle qui copie en
bloc les données sources dans des
tables cibles indexées peuvent créer
deux goulets d'étranglement des performances...Quand vous appliquez la réplication
instantanée à de grandes bases de données,
l'étape qui supprime les enregistrements
cibles et celle qui copie en
bloc les données sources dans des
tables cibles indexées peuvent créer
deux goulets d'étranglement des performances.
Pour éliminer ces goulets d'étranglement - et donc optimiser la
réplication - vous pouvez ajouter des
étapes personnalisées aux jobs
Snapshot and Distribution Agent. Dans
le premier article de cette série en trois
parties, « Ouvrez la voie à la réplication
snapshot à grande échelle », octobre
2002, (ou sur www.itpro.fr), j'analysais la performance d'une réplication
instantanée et introduisais les
étapes personnalisées. Le deuxième article,
« Personnalisez votre réplication
instantanée à la main », janvier 2003,
(ou sur www.itpro.fr), détaillait l'implémentation
manuelle complète de ces
étapes. Dans cet article de conclusion,
voyons comment réaliser une personnalisation
rapide, fiable et reproductible
en utilisant SQL-DMO (SQL
Distributed Management Objects)
pour automatiser le processus de personnalisation.

Article 1575
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SQL Server Magazine s'enrichit de nouveaux contenus, conciliant « dossiers stratégiques & technologiques », au sein d'une tout nouvelle maquette, découvrez ici en exclusivité le sommaire de l'édition de Février 2004 consacrée à Reporting Services et bénéficiez d'une offre d'abonnement unique ... |
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Au sommaire de l'édition de Février 2004 de SQL Server Magazine : deux dossiers consacrés à Reporting Services, la plate forme globale de reporting d'entreprise + le CD Rom d'évaluation de Reporting Services, un dossier spécial sur les DTS Package Logs, le contrôle de la réplication avec Active X, le .Net connection Pool, Blob dans ado.net ...
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Special Report : Indepth pour SQL Server
VERITAS Indepth pour SQL Server permet aux entreprises de gérer la performance de leurs applications grâce à des fonctions de surveillance, d'analyse et de paramétrage proactifs des bases de données SQL Server.
Cette solution identifie les problèmes relatifs aux performances des applications de gestion, mais aide également à leur résolution.
Lire l'article

OutlookSoft Everest 4.0
OutlookSoft Corporation, éditeur de logiciels de gestion des performances et des planifications destinés aux plates-formes Microsoft, lance OutlookSoft Everest 4.0, version enrichie de la solution de BPM (gestion de la performance) unifiée et accessible via le web.
Everest 4.0 permet aux entreprises de gérer leur stratégie en temps réel, en liant leurs objectifs aux objectifs de performance personnels de tous les décideurs - et pas uniquement d'un cercle restreint de dirigeants.
Lire l'article
Superviser votre environnement SQL Server
par Mark Solomon - Mis en ligne le 18/02/2004
Une solution rudimentaire pour superviser votre environnement SQL Server
Il existe de nombreux outils sympas
pour vous aider à superviser votre
environnement SQL Server. Mais tous,
aussi efficaces soient-ils, coûtent cher.
Superviser le logiciel d'un seul SQL
Server peut coûter des milliers de dollars...Il existe de nombreux outils sympas
pour vous aider à superviser votre
environnement SQL Server. Mais tous,
aussi efficaces soient-ils, coûtent cher.
Superviser le logiciel d'un seul SQL
Server peut coûter des milliers de dollars.
Et les outils de supervision sont souvent accompagnés d'agents qu'il
faut installer sur votre SQL Server et
qui peuvent consommer de 3 à 5 % de
la puissance du traitement du serveur.
En outre, de nombreux outils offrent
des possibilités bien supérieures à vos
besoins. Dans l'hôpital pour enfants où je travaille, notre groupe DBA gère huit
SQL Server et plus de 250 bases de
données. Dans notre cas, où l'information
sur les patients est consultée en
permanence (24 x 7 x 365), il nous faut
une méthode commune pour accéder
aux informations sur l'état de santé de notre environnement SQL Server à
partir de n'importe quel point du réseau.
Ironiquement, la méthode que
nous avons jugée la plus utile pour extraire
les données de performances
courantes et historiques n'est pas un
package de supervision coûteux, mais
provient des outils qui sont présents
dans SQL Server, Windows .NET Server
et Microsoft Office XP. Par exemple, sur
mon ordinateur de bureau, j'ai ajouté
un canal actif qui est relié au site Web
SQL Server de l'hôpital. La technologie
Microsoft Active Channel est intégrée à
Internet Explorer (IE) pour « canaliser
» les données du navigateur vers le
desktop d'un client sans intervention
de l'utilisateur. Active Channel s'intègre
à un desktop Windows actif afin
que l'on puisse visualiser des pages
Web comme des arrières plans de
desktop ou des économiseurs d'écran,
par exemple. Ainsi, si j'ai un desktop actif, je peux utiliser notre site Web
comme mon économiseur d'écran.
Quand j'arrive au bureau le matin, je
peux examiner les résultats des sauvegardes
de bases de données, lire
des messages provenant des
opérations DBCC (Database Consistency
Checker) de la dernière nuit,
voir quelles bases de données croissent
le plus vite, et examiner divers graphiques
de performances sur le Web -
et ce avant même de me connecter.
Voyons comment vous pouvez appliquer
la solution de notre groupe
DBA pour visualiser les données de
performances SQL Server courantes et
historiques au moyen d'un graphique
sur une page Web, comme le montre la
figure 1. Voyons d'abord comment
vous pouvez superviser votre environnement
en journalisant les données
System Monitor de Win.NET Server
dans SQL Server. Ensuite, je vous montrerai
comment nous présentons
les données dans une
page Web dynamique en utilisant
les pages d'accès aux données
de Microsoft Access. Pour
appliquer les techniques que je
décris dans cet article, vous
avez besoin de SQL Server
2000, Office XP avec Access installé,
un serveur Web IIS 5.0 ou
4.0, Win.NET Server ou
Windows XP et IE 4.01 ou ultérieur.
Il vous faut aussi un domaine
AD (Active Directory) ou
Windows NT 4.0 afin de pouvoir
utiliser les comptes utilisateur
de domaine pour des
connexions de confiance ou
l'authentification Windows.
Pour des raisons de simplicité,
tous les ordinateurs client que
vous utilisez doivent aussi faire
partie du domaine.
Avant de pouvoir visualiser
vos données de performances
SQL Server, vous devez d'abord
créer dans Win.NET Server les
journaux de comptage de
System Monitor qui collectent
les données de performances, puis les envoyer à un SQL Server sur
votre réseau. Si vous n'avez pas
Win.NET Server (j'ai utilisé Release
Candidate 1 - RC1), vous pouvez utiliser
XP pour couvrir les étapes System
Monitor de cet article. Win.NET Server
et XP peuvent stocker les données
System Monitor dans un format unique
sur SQL Server. Toutefois, Windows
2000 et NT ne peuvent stocker des
données de performances que dans un
fichier. Win2K utilise System Monitor
pour journaliser les données dans un
fichier binaire ou texte, et NT utilise
Performance Monitor pour journaliser
les données dans un fichier binaire.
Plus loin, je décris brièvement le format
que nous utilisons et vou

7 étapes pour le cryptage SSL
par Gary Zaika - Mis en ligne le 21/01/2004
Instaurez le cryptage automatique dans un environnement SQL Server 2000 en cluster
Dans SQL Server 2000, Microsoft a
introduit de nouvelles fonctions pour
apporter toujours plus à ses clients en
matière de sécurité des données. A cet
égard, il existe une fonction peu comprise
: le support automatique du trafic
de réseau crypté par SSL ( Secure
Sockets Layer) entre les clients et le
serveur.
Dans SQL Server 2000, Microsoft a
introduit de nouvelles fonctions pour
apporter toujours plus à ses clients en
matière de sécurité des données. A cet
égard, il existe une fonction peu comprise
: le support automatique du trafic
de réseau crypté par SSL ( Secure
Sockets Layer) entre les clients et le
serveur. Certes, le cryptage ralentit légèrement
la performance parce qu'il
demande des actions supplémentaires
des deux côtés de la connexion réseau.
Mais, pour les utilisateurs soucieux de
sécuriser leurs communications en
réseau, les avantages du cryptage l'emportent
largement sur ce léger ralentissement.
Le cryptage est particulièrement
utile quand les clients se
connectent au SQL Server par Internet
et que les données empruntent des réseaux
publics.
Le cryptage SSL est devenu un
standard : c'est celui que la plupart des
entreprises utilisent pour leurs applications
Internet et e-commerce. Il existe
deux niveaux de cryptage SSL, 40 bits
et 128 bits, qui offrent différents types
de protection. SQL Server 2000 gère
les deux niveaux de cryptage. Pour
faire fonctionner le cryptage SSL, vous
devez obtenir une clé (ou certificat) valide
auprès d'une CA (Certificate
Authority) de confiance ou trusted.
Après avoir installé le certificat sur un
système qui utilise SQL Server 2000,
vous pouvez configurer SQL Server
pour qu'il impose le cryptage entre les
clients et le serveur. Windows 2000 est
livré avec son propre CA utilisable pour
des applications intranet. La plupart
des sociétés utilisent des CA tierce partie
pour les applications Internet. (Pour plus d'informations sur les CA,
voir l'encadré « Principes de base du
CA », ci-après).
Le cryptage SSL est différent du
cryptage Multiprotocol Net-Library que
l'on trouve dans les releases SQL
Server antérieures à SQL Server 2000.
Le cryptage SSL supporte toutes les bibliothèques
et protocoles de réseau, y
compris les types les plus répandus :
TCP/IP et Name Pipes (pour des installations
en cluster, seules ces deux bibliothèques
de réseau sont disponibles).
Vous pouvez aussi utiliser le
cryptage SSL pour des instances multiples
de SQL Server, alors que le
cryptage Multiprotocol Net-Library qui
utilise l'API de cryptage Windows RPC,
ne reconnaît que l'instance par défaut
de SQL Server 2000. Le client ou le
serveur (mais pas les deux) peut demander le cryptage SSL. Le cryptage
demandé par le client précise que
toutes les communications allant de ce
client à tous les serveurs connectés seront
cryptées. Le cryptage demandé
par le serveur stipule que toutes les
connexions entrant dans le serveur seront cryptées puis décryptées sur
celui-ci.
Il est plus difficile de configurer le
cryptage pour des instructions en cluster
que pour un serveur autonome.
Beaucoup de sources expliquent comment
installer le cryptage SSL sur une seule boîte, mais il est plus difficile de
trouver des informations sur l'installation
du cryptage SSL dans un environnement
en cluster. Malheureusement,
SQL Server Books Online (BOL) ne
renseigne pas beaucoup sur la manière
de configurer le cryptage SSL et ne fait
qu'effleurer les exigences de configuration
pour un environnement en cluster.
Il faut aussi chercher à l'extérieur
de BOL pour obtenir des informations
sur la manière d'installer les certificats
d'authentification appropriés. Mais,
avec des instructions claires, la mise en
place du cryptage SSL s'effectue sans
mal. Voyons en détail comment installer
le cryptage SSL dans un environnement
en cluster pour une société fictive
appelée IDM.

Testez par unités vos procédures stockées
par Dan Sawyer - Mis en ligne le 21/01/2004
Mettez en forme votre code de procédure
Imaginez ceci : vous venez juste de finir
le débogage de la dernière procédure
stockée pour la dernière application
SQL Server du département.
Etes-vous satisfait de votre travail ? Etesvous
certain que votre code T-SQL sera
à la hauteur des attentes des utilisateurs
? Quid des fonctionnalités que
vous avez placées dans le code ? ...
Imaginez ceci : vous venez juste de finir le débogage de la dernière procédure stockée pour la dernière application SQL Server du département. Etes-vous satisfait de votre travail ? Etesvous certain que votre code T-SQL sera à la hauteur des attentes des utilisateurs ? Quid des fonctionnalités que vous avez placées dans le code ? Avezvous couvert tous les aspects de la gestion ? Chaque fonction tient-elle ses promesses comme prévu dans tous les scénarios d'exploitation normaux?
Même si vous pouvez répondre par
oui à toutes ces questions, le moment
de relâcher votre effort n'est pas encore
venu. Qu'en est-il des suites possibles
? Avez-vous testé les conditions
d'erreur courantes qui ont causé des
problèmes par le passé ? Et qu'en est-il
des gestionnaires d'erreurs ? Sont-ils eux-mêmes impeccables ? Si vous vous
sentez faiblards dans l'un de ces domaines,
il vaut peut-être mieux réévaluer
la manière dont vos procédures
stockées sont testées par unités.
Contrairement aux tests système
que les testeurs professionnels effectuent
après qu'une application ait été
entièrement codée, le test par unités
recherche les erreurs dans des modules
individuels, comme les procédures
stockées, tout au long du développement
de ces modules. Le test par
unités n'est pas difficile mais, pour être
efficace, il exige du planning, de la documentation
et, par-dessus tout, une
compréhension partagée de certains
principes de base. Donc, avant de plonger
dans le processus de test, commençons
par dissiper quelques préjugés
courants sur le test par unités, qui nuisent
souvent à son efficacité.

Audit des bases de données MS SQL Server 7 et 2000
iNetsoft propose un outil pour l'audit des bases de données MS SQL Server 7 et 2000 : OmniAudit de l'éditeur américain Krell Software.
OmniAudit permet d'identifier de manière automatique et transparente toutes les modifications apportées aux données dans vos bases de données Microsoft SQL Server 7.0 ou 2000.
Lire l'article
Dénicher des profils et des tendances
par Christine Y. Mato et Greg Meyer - Mis en ligne le 17/03/2004
Une application géologique de data warehousing et de data mining avec
SQL Server 2000
Pour notre master's degree program
en Management of Information Systems,
nous avons dû réaliser un projet
d'analyse visant à apprendre les
nuances du data mining en utilisant
des données « réelles ». Notre travail
précédent utilisait des données qui
avaient été nettoyées afin que les
élèves utilisateurs obtiennent tous les
mêmes résultats...Notre école avait
choisi SQL Server 2000 parce qu'il offre
la fonctionnalité d'une base de données
d'entreprise associée à un faible
prix et à une maintenance facile. Nous
étions libres de choisir le sujet d'analyse.
Beaucoup d'autres élèves ont
choisi les analyses de marketing ou de
vente, mais comme nous avions un bagage
de sciences naturelles, nous
avons préféré les données géologiques
et biologiques. En créant un data warehouse
et en y pratiquant le data mining,
nous avons constaté que SQL
Server 2000 fournit un moyen rapide
pour observer statistiquement les données
géologiques.
Les scientifiques du monde entier
amassent sans cesse de grandes quantités
de données géologiques. C'est à
partir de ces sources que nous avons
obtenu nos données échantillon.
Comme SQL Server est plus facile à utiliser
que la méthodologie statistique traditionnelle, nous avons décidé de
rassembler les sources de données
existantes dans un data warehouse
SQL Server. Nous avons dû aussi utiliser
SQL Server pour vérifier les analyses
originales des données géologiques,
qui avaient été effectuées par
des méthodes statistiques usuelles.
Nous avons construit deux data warehouses
à partir de deux sources de
données géologiques différentes. Ces
sources étaient comparativement petites
parce que notre projet était académique
; mais nous pensons que les
constatations garderaient toute leur
pertinence quelle que soit la taille de
l'ensemble de données. Un ensemble
de données constitué de plus de 20 fichiers
provenait d'une étude de
Eastern Continental Shelf qui avait été
collectée et analysée par le United
States Geological Survey (USGS) entre
1955 et 1970. La seconde base de données
contenait les résultats d'une
étude des effets de la décomposition
de l'enfouissement de six espèces de
bois différentes aux Bahamas et dans le
Golfe du Mexique. La quantité de bois
qui se conserve ou se désagrège dans
l'eau dans le monde est phénoménale.
La décomposition du bois produit des
gaz à effet de serre, mais ce phénomène
cesse quand le bois est enfoui.
Cette étude est intéressante parce
qu'elle procure aux scientifiques des
informations supplémentaires précieuses
sur les sources d'émission
d'hydrocarbures dans notre atmosphère.


Beaucoup d’ADO pour rien
par William Vaughn - Mis en ligne le 17/03/2004
Parmi les moyens que les développeurs
désirent le plus, on trouve une
manière éprouvée de déterminer les
meilleurs moyens pour tester et établir
des valeurs NULL dans leurs applications
- quel que soit leur langage.Par
exemple, quand ils doivent signifier
que les dates DateShipped et Date-
Died ont été atteintes et ne sont pas
connues, la plupart des développeurs
de bases de données relationnelles
doivent définir ces données et d'autres
colonnes de données similaires pour
permettre des valeurs NULL. A noter
qu'une valeur NULL dans une colonne
de données n'est pas la même chose
qu'une chaîne vide ou NULL ou tout
autre occupant qui peut servir à montrer
que la valeur n'est pas connue. Le
langage que vous utilisez peut traiter
une chaîne vide ou une valeur placeholder
(comme Unknown) comme
une chaîne ou une valeur valide et
peut stocker un NULL comme une valeur
« connue » dans la base de données.
Le concept de l'état NULL existe
dans les bases de données relationnelles
depuis leur création et les NULL
ont toujours suscité un traitement spécial.
Sans trop m'étendre sur la pertinence
qu'il y a à utiliser des NULL, j'estime
que NULL est un meilleur
placeholder que BHOM (Beats the
Hell Out of Me) que j'utilisais quand
j'enseignais la programmation dans
l'armée US.
En ADO classique, les développeurs
sont confrontés à des valeurs
NULL parce qu'ils ne peuvent pas attribuer
un NULL à une variable numérique,
une chaîne, la propriété Value
d'un contrôle TextBox, ou tout
contrôle qui n'accepte un type de données
variant (que l'on peut mettre à
NULL). Si l'on oublie de traiter les valeurs
NULL et si l'on essaie d'attribuer
un NULL à un contrôle TextBox, Visual
Basic (VB) 6.0 émet un message d'erreur
Invalid Use of NULL (94). Mais
ADO.NET et Visual Basic .NET prennent
mieux en charge les valeurs NULL.
Quand on travaille avec le CLR
(Common Language Runtime) et les
langages .NET, ADO.NET permet de
stocker, de définir, et de tester des valeurs
NULL de diverses manières -
beaucoup plus qu'avec ADO classique.
Cet article utilise Visual Basic .NET
pour présenter la façon dont ADO.NET
et Visual Basic .NET traitent la valeur
NULL.

Diviser et conquérir
par Edward Whalen, Geoff Langos et Alexander Stamenkovich - Mis en ligne le 26/11/2003
Reconception architecturale + réplication transactionnelle = performance écrasante
Les DBA savent que le premier pas,
pour déterminer la viabilité et la capacité
à long terme d'un système, consiste à effectuer
des mesures de supervision des
performancesLes DBA savent que le premier pas,
pour déterminer la viabilité et la capacité
à long terme d'un système, consiste à effectuer
des mesures de supervision des
performances. C'est dans cet esprit que,
voilà plusieurs années, nous avons conçu un programme chargé de suivre les variations
des performances dans le système
de traitement d'un centre d'appel
sous Windows NT et SQL Server 7.0. Au
début, nous avons constaté que le
Performance Monitor nous donnait bien un programme chargé de suivre les variations
des performances dans le système
de traitement d'un centre d'appel
sous Windows NT et SQL Server 7.0. Au
début, nous avons constaté que le
Performance Monitor nous donnait bien long terme en prenant des instantanés
chaque demi-heure de certaines mesures
comme l'utilisation de la CPU et
des I/O, le nombre d'utilisateurs et de
processus, les traitements de commandes,
et les transactions. Nous avons
rangé ces mesures dans une base de
données SQL Server. L'année où nous
avons commencé notre programme de
supervision, nous n'avons recueilli les
données que pour quelques mois consécutifs.
Et constaté ainsi que les données
glanées pendant une période aussi
courte ne produisaient que des informations
à court terme: trop peu de points
de données pour dessiner une tendance.
En revanche, l'année suivante, quand nous avons supervisé des tranches de
temps plus longues, les données recueillies
ont révélé des tendances significatives.
En une année, nous avons observé
une hausse inquiétante de
l'utilisation de la CPU que nous avons attribuée
à une augmentation des fonctions
applicatives personnalisées dans le
centre et à l'ajout de nombreux utilisateurs
du système.

WINSIGHT, pour le décisionnel
WINSIGHT, spécialiste français du Décisionnel en environnement Microsoft, annonce ReportSmith.Net.
WINSIGHT a obtenu la certification Microsoft Gold Certified Partner for Business Intelligence en France. La société ajoute un nouveau produit à sa gamme de logiciels OLAP WEBHOUSE : ReportSmith. Net.
Lire l'article
SQL Server Magazine : Offre spéciale de lancement
Il y a quelques jours, est paru le dernier numéro gratuit de SQL Server Magazine.
DBA, DBM, Responsables Bases de données, nous vous avons réservé une offre d'abonnement spéciale.
Certains de votre participation, nous vous donnons rendez-vous pour la prochaine édition de SQL Server Magazine, à paraître fin Septembre 2003.
Dans l'attente de vous compter parmi nos premiers abonnés, transformez l'essai !

Réponses rapides
par William R. Vaughn - Mis en ligne le 24/06/2003
Quand vous voulez consulter votre
base de données, vous commencez par
coder une instruction SELECT qui renverra
une ou plusieurs lignes - un ensemble de lignes - contenant la réponse
à votre question. Parfois, vous
voulez une information exhaustive,
mais parfois, une simple réponse par oui ou non. Si vous demandez « Y a-t-il des places disponibles sur le prochain
vol pour Cleveland ? », vous ne demandez
pas la liste de ces places - mais seulement
s'il y en a de disponibles. Dans
certains cas, vous voulez obtenir un
nombre en réponse à une requête.
Toujours dans notre exemple, vous
pourriez demander le nombre de
places libres sur cet avion pour
Cleveland, parce que vous voulez faire
voyager une équipe de football. Là encore,
une telle réponse n'a pas besoin
de SQL Server pour renvoyer un ensemble
de lignes. Bien entendu, ces requêtes
sont bien incapables de juger
de la pertinence d'aller à Cleveland : il
faudrait pour cela un système bien plus
sophistiqué que tout SGBD connu.

Droit au but avec ADO .Net
par Burton Roberts - Mis en ligne le 24/06/2003
Un rapport tabulaire, ou en colonnes,
présente l'information dans
des lignes, comme celles d'une base de
données. Les en-têtes de colonnes
d'un rapport tabulaire correspondent
aux noms des colonnes de la table. Un
rapport à tabulation croisée (crosstab
en raccourci) est une matrice ou une
feuille de calcul à deux dimensions qui
a des critères de recherche horizontaux
dans les en-têtes de colonnes et
verticaux dans les en-têtes de lignes, à
gauche. Les données que vous recherchez
- généralement résumées par
une fonction d'agrégation comme
SUM(), AVERAGE() ou COUNT() - occupent
les cellules intérieures de la matrice.

myLittleTools.net lance la version 2.0 de myLittleAdmin
myLittleTools.net lance la version 2.0 de myLittleAdmin, outil d'administration en ligne de bases de données SQL Server et MSDE.
Cette nouvelle version a été entièrement ré-écrite.
Lire l'article