
Nouveau support d’autocommit pour DB2 UDB
par Mark Megerian et Kent Milligan
Sur l'iSeries, une transaction de base de données commence implicitement dès l'instant où une donnée quelconque est lue ou écrite, et elle se termine par une demande de commit ou de rollback ultérieure. Ceux qui ont déjà utilisé l'un des jeux API de type SQL (ODBC, JDBC, CLI) pour la programmation de base de données, ont certainement remarqué un mode appelé autocommit ou automatic commit...
Cette option était destinée aux programmeurs qui ne veulent pas écrire du code pour émettre des commits, mais préfèrent laisser à la base de données le soin de faire un commit automatique des modifications apportées à la base de données.
L'utilisation d'autocommit présente des risques parce que l'on n'obtient pas la protection « tout ou rien » du commitment control ou la possibilité de recourir à des niveaux d'isolation de transactions plus élevés. De plus, un nouveau programmeur peut fort bien ajouter une nouvelle modification de base de données à une application existante, sans espérer que cette modification sera « committed » automatiquement.
Heureusement, des améliorations récentes de l'option autocommit dans les versions V4R4 et V4R5 règlent ces problèmes ainsi que d'autres lacunes des versions d'autocommit antérieures. Nous verrons ces améliorations dans un moment. Pour l'instant, voyons pourquoi elles sont nécessaires
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Progression des produits IBM
par Carson Soule
IBM affiche des progrès dans trois secteurs cruciaux : WebSphere, Domino et DB2. Plus que n'importe lequel des produits logiciels IBM, ce sont les fers de lance de la stratégie inter-plate-forme et standard ouvert d'IBM.Tous trois fonctionnent sur l'ensemble de la gamme eServer ainsi que sur les systèmes des concurrents. Et tous trois évoluent dans des marchés chauds et concurrentiels qu'IBM essaie de dominer.

Tips de programmation sur AS/400
Ajoutez ces astuces de spécialistes à votre panoplie de développement applicatif ...
- comment spécifier SRCDBG comme option PDM
- utiliser une ligne squelette pour accélérer le coding en SEU
- ...
En matière de stratégies concurrentielles pour systèmes de gestion, les programmeurs jouent un rôle prépondérant. En analysant soigneusement les transactions de gestion quotidennnes, un programmeur avisé peut beaucoup contribuer à l'efficacité de l'environnement, voire influer sur la réussite ou l'échec de l'entreprise.
La suite des tips de programmation AS/400 ci-après propose plusieurs “ scénarios ” intéressants pour un site donné. On y verra comment spécifier SRCDBG comme option PDM définie par l'utilisateur, utiliser une ligne squelette pour accélérer le coding en SEU, et bien d'autres. En enrichissant la programmation à l'aide de ces astuces, on augmentera l'efficacité de l'équipe.
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Demain l’Euro
par Benoît Herr
Plus que 500 et quelques jours avant cette nouvelle échéance fatidique qu'est
le 1er janvier 2002 pour l'Euro. Nombreux sont ceux qui n'ont encore rien fait.
Et vous, où en êtes-vous ?
La pénétration de l'Euro dans les entreprises françaises et européennes reste
très faible (seuls quelques pour cents de l'ensemble des transactions se font
aujourd'hui dans la monnaie unique).
Pourtant, les monnaies nationales des pays "in" ne sont officiellement plus que
des subdivisions de la monnaie unique et, à bien y regarder, il ne reste plus
beaucoup d'occasions pour basculer. Si l'échéance du 31 décembre 2001, où l'on
attend un "grand embouteillage" est à éviter à tout prix, la bonne date de basculement,
pour les entreprises clôturant au 31 décembre, reste le 31 décembre 2000.
Bien sûr, selon la loi, on peut basculer à n'importe quel moment de l'exercice,
et les entreprises ne sont en aucun cas obligées de se caler sur une fin d'exercice.
Mais cela oblige à gérer des transactions en francs sur une certaine période,
puis en Euros sur le reliquat du même exercice.
C'est ce qu'on appelle la rétropolation. Selon Annie-Claire Poisson, Expert Comptable,
Commissaire aux comptes et membre du comité Euro du CSOEC (Conseil Supérieur de
l'Ordre des Experts Comptables), "Il s'agit là d'une possibilité extrêmement difficile
à mettre en pratique. Les logiciels sachant gérer une telle rétropolation sont
en effet très peu nombreux sur le marché. Et quand bien même l'entreprise en serait
équipée, le logiciel en question n'est en général pas installé isolément, et il
y a de fortes chances pour que les logiciels avec lesquels il dialogue ne soient
eux pas à même de rétropoler. Le basculement à l'Euro implique le changement du
système de référence de toute l'entreprise."
Pour les entreprises clôturant à une date différente du 31 décembre, la meilleure
date de bascule est, comme cela a été le cas pour la société Calvet (cf. encadré
"Le cas Calvet") la fin de l'avant-dernier exercice avant l'échéance. Au pire,
il y a alors encore une "session de rattrapage", et on pourra toujours encore
se caler sur la fin d'exercice suivante. Hélas, à l'heure où vous lisez ces lignes,
il est déjà trop tard pour s'y prendre ainsi pour bon nombre d'entreprises.
Les monnaies nationales des pays "in" ne sont officiellement plus que
des subdivisions de la monnaie unique
Le cas Calvet Fondée en 1818, la maison Calvet fait véritablement partie du "paysage" bordelais. Elle produit trente millions de "cols" (comprenez "bouteilles") par an, pour un chiffre d'affaires de 400 MF en 1999 et un effectif de 113 personnes. 70% de cette production part à l'exportation, dans quelque 110 pays du monde entier. Trois lignes d'embouteillage, alimentées par une cuverie de 80000 hl, conditionnent les produits livrés en 48h sur la France, et en 2 à 3 semaines au maximum partout ailleurs dans le monde. Dès 1997 une réflexion sur ses systèmes d'information avait été initiée chez Calvet, et c'est finalement le progiciel Minos, édité par la société lyonnaise Ordirope, qui a été retenu et implémenté, pour assurer la gestion commerciale et de production de Calvet, en remplacement de développements spécifiques. Le démarrage en production est intervenu courant 1999. Parallèlement à Minos, les progiciels Iris Finance et Iris Personnel de Viveo Entreprise (qui s'appelait alors encore Idsys) prennent en charge la gestion comptable et des ressources humaines de Calvet. Dans la foulée de cette installation, et presque deux ans avant la date butoir du 1er janvier 2000, Calvet a trouvé suffisamment de motivation et de ressources pour basculer ses systèmes en Euro. Comment cela se fait-il ? Tout a en fait démarré dès 1998, lorsqu'un rapport interne a mis en lumière les impacts colossaux d'un projet Euro sur l'ensemble des fonctions de l'entrepri Lire l'article ![]() Tricks & Traps – Windows 2000par Olivier Nguyen ![]() Simplifier les signons avec Client Access Express et Windows
par Carole Miner ![]() Gérer les serveurs Windows 2000 à distancepar Sean Daily ![]() La formation dirigéepar Kalen Delaney ![]() Sommet européen des développeurs Open Source
par François Tonic ![]() WebSphere Application Server et IFSPar Jay Kelley et Vinny Luc - n°11 octobre 2001 ![]() Au coeur d’IFSCes deux dernières années ont vu croître l'intérêt et l'utilisation d'IFS (Integrated File System). Son utilisation s'étend parce que les sites iSeries combinent de plus en plus des applications diverses créées à l'aide d'ou-tils comme Domino et Java, gros utilisateurs d'IFS. En outre, de nombreuses appli-cations iSeries modernes, quel que soit leur mode d'écriture, doivent accéder à des fichiers stream, comme des fichiers HTML, des images .GIF et des documents de traitement de texte. IBM a spécialement conçu IFS pour gérer des données de fichiers stream et des structures de répertoires hiérarchiques. Techniquement parlant, tous les éléments - fichiers physiques AS/400, bibliothèques, l'OS/400 lui même, fichiers PC et fichiers Unix - sont stockés dans IFS parce que, de son point de vue, l'AS/400 et les objets iSeries font partie du système de fichiers QSYS.LIB (bibliothèques, fichiers, par exemple) ou QDLS (documents, dossiers, par exemple). Toutefois, quand nous faisons référence à IFS, nous entendons généralement les systèmes de fichiers « racine » (/) et QOpenSys, qui sont les parties d'IFS utilisées pour stocker les informations de PC (essentiellement Windows) et d'Unix. Ces systèmes d'exploitation utilisent des systèmes de fichiers très différents de l'architecture à base d'objets de l'iSeries. Par conséquent, pour pouvoir traiter leurs informations, IBM a dû créer IFS. Depuis son introduction avec la V3R1, IFS a été lentement et continuellement amélioré. C'est ainsi que la V5R1 contient des améliorations à la journalisation IFS et la possibilité de switcher des IASP (Independent Auxiliary Storage Pools) contenant des données IFS entre des partitions logiques ou des serveurs iSeries physiques. Lire l'article![]() Vitalité technique de la V5par Carson Soule L'éventail de possibilités de cet gamme serveur est étonnant et n'est pas sans rappeler la gamme d'ordinateurs System/360 d'IBM, révolutionnaire en son temps. Lire l'article![]() Fonction d’intégration de donnéesNouveaux produits Systemi : focus sur Winsurf Mainframe Studio 5250. ICOM Informatique, éditeur de logiciels d'e-connectivité site central annonce la disponibilité d'une solution de publication des données sur le Web, exclusivement dédiée aux environnements IBM AS/400 : Winsurf Mainframe Studio 5250. Lire l'article![]() Commerce Server 1.0par John Enck - Mis en ligne le 17/11/2003 ![]() Banque CPR : un help desk sous contrôle grâce à Support MagicDepuis un an, la banque CPR s'est dotée d'un nouveau help desk micro et télécoms basé sur Support Magic. Outre la gestion totale du parc informatique, cette solution, basée sur NT, permet au contrôle de gestion d'effectuer la refacturation des matériels." Auparavant, nous ne disposions d'aucun outil informatique pour notre centre d'assistance technique, et nous devions travailler avec des fichiers Excel et un produit développé en interne afin de gérer le minimum vital. En tant que banque et compte tenu de l'activité des salles de marché, nous sommes obligés d'avoir une réactivité importante, et d'offrir une véritable qualité de service à nos utilisateurs finaux. " confie Raphaà«l Benaroch, responsable micro-informatique à la banque CPR. Le choix de la solution Support Magic, de Network Associates, s'est effectué pour plusieurs raisons. " C'est un produit complètement paramétrable qui répondait à nos besoins de gestion. Par ailleurs, nous avions déjà eu l'opportunité d'utiliser la précédente version Betrieve, et il nous était plus facile de travailler avec un produit que nous connaissions déjà " explique Patrick Béjean, responsable de l'administration des outils de gestion du parc. Opérationnel depuis un an, le help desk de la banque CPR a connu une mise en place progressive, depuis la gestion du matériel, en passant par celle des incidents, puis par la mise en service des demandes de travaux, pour finir par l'implémentation des fonctionnalités de statistiques. Actuellement, les opérateurs de la cellules d'assistance micro ont à gérer près de 700 appels par mois, dont la moitié pour des demandes de travaux. Bien au-delà des fonctions classiques de gestion, Support Magic permet également au contrôle de gestion de la banque CPR d'effectuer la refacturation des matériels. " Nous avons développé en interne un module qui permet d'importer les données de notre base centrale utilisateurs vers le référentiel Support Magic. Lors de l'attribution d'un matériel, les codes analytiques correspondants aux services demandeurs sont utilisés dans Support Magic, permettant ainsi au contrôle de gestion d'établir la refacturation. " souligne Raphaà«l Benaroch. Les opérateurs peuvent déterminer les incidents récurrents, sur quels types de matériels et les ressources les plus sollicitées Lire l'article![]() L’art de la réconciliation selon Whistlerpar Michael Otey
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