En ces temps de bouleversement numérique et d’interconnexion entre collaborateurs, machines et produits, la compréhension, la confiance et les stratégies de dirigeants sont passées à la loupe. Retenons les indicateurs de perception et de maturité des grands groupes et ETI pour dynamiser la compétitivité !
Industrie 4.0 : les préoccupations des dirigeants français

Confiance & pragmatisme
L’industrie du futur est une chance pour l’économie française, les entreprises, les secteurs d’activité, d’ailleurs, 95% des dirigeants sont confiants et prêts à s’adapter aux changements liés à l’industrie 4.0.
Si 1 dirigeant sur 2 ne sait pas donner spontanément une définition de la notion « industrie 4.0 », ils sont familiarisés avec les enjeux
- du digital
- de technologies de pointe
- d’automatisation
- d’intelligence artificielle
Plus de la moitié des dirigeants français attend des impacts concrets d’ici 2 ans sur le cœur de métier même de leur organisation, et cela concerne notamment les outils de gestion de la production, la relation client et le business model.
La révolution digitale de l’industrie développera la personnalisation de la production industrielle.
Productivité & réactivité
Les dirigeants d’entreprises industrielles sont optimistes sur
- les bénéfices à tirer de la transformation de l’industrie 4.0
- leur capacité d’adaptation aux changements organisationnels et opérationnels
Les apports de l’industrie 4.0 sont nombreux et permettront
- un suivi plus précis de l’état de la production (90%)
- des gains de productivité (86%)
- une grande réactivité de la production aux demandes des clients (84%)
Cybersécurité & Ressources humaines
Les dirigeants ont bien conscience des risques, la cybersécurité (78%), le déficit de talents (70%) et l’évolution de la formation arrivent aux premières places et deviennent des priorités d’investissement.
Côté cybersécurité, 74% des dirigeants mettent en avant leur vulnérabilité :
- 40% des entreprises industrielles ont déjà subi une cyberattaque
- 1 sur 3 pour les entreprises de moins de 50 salariés
Au-delà des la technologie, le capital humain est un sujet clé !
La préoccupation N°2 concerne donc la formation et le développement des compétences.
- 70% craignent un manque de compétences en interne
- 68% redoutent des difficultés à recruter des collaborateurs qualifiés
Pour homogénéiser le niveau de maîtrise des outils numériques, les entreprises optent donc pour
- la formation de tous les collaborateurs (74%)
- la mise en place de groupes d’entraide afin de partager les connaissances en interne (68%)
Source Mazars
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