
o2olap, solution décisionnelle
Reporting Solutions, entité du groupe Pensez Solutions et fournisseur de solutions unifiées de gestion de la performance - Corporate Performance Management (CPM) - pour les PME-PMI, annonce la disponibilité de l’outil décisionnel o2olap en version française.
Adaptée à

Sécurité de reporting services
par Peter Blackburn. Mise en ligne: 10 Janvier 2007, Publication SQL Magazine: Juin 2005
Alors que Bill Vaughn et moi-même faisions des recherches pour notre ouvrage, intitulé Hitchhiker’s Guide to SQL Server 2000 Reporting Services (2004, Addison-Wesley), nous avons eu le plaisir de constater que les développeurs de Microsoft considéraient les fonctions de sécurité dans Reporting Services comme cruciales.
Ce produit est généralement installé avec des droits élevés au coeur de votre domaine d’activité et vous devez avoir conscience de ses implications sur la sécurité. Les personnes (administrateurs, développeurs ou utilisateurs) que vous devez ajouter à l’ensemble constituent le maillon le plus faible sur le plan de la sécurité. Elles peuvent en effet compromettre vos configurations de sécurité par ignorance, paresse ou malveillance. Voici une liste de contrôle de sécurité rapide pour les personnes chargées d’administrer, d’installer et de configurer Reporting Services.

SQL Server Actualités – Semaine 41 – 2006
Les actualités SQL Server de la semaine du 16 au 22 Octobre 2006

SQL Server Actualités – Semaine 50 – 2006
Les actualités SQL Server de la semaine du 11au 17 Décembre 2006
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Nouveaux Produits SQL Server – Semaine 50 – 2006
Les nouveaux produits SQL Server de la semaine du 11 au 17 Décembre 2006.
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Liste de contrôle CLR
par Gert Drapers. Mise en ligne: 30 Décembre 2006. Parution SQL Magazine : Juin 2005
Le Common Language Runtime (CLR) de SQL Server 2005 est une extension essentielle du modèle de programmation côté moteur du SGBD. Il vous permet d’étendre la fonctionnalité du moteur de base de données avec des fonctions scalaires, des fonctions de type table (TVF), des procédures, des déclencheurs, des agrégats et des types de données définis par l’utilisateur (UDT). Avant de commencer à employer le CLR, vous devez évaluer les raisons et les moyens d’utiliser les extensions basées sur le CLR dans SQL Server. Pour bien débuter, contrôlez les points suivants.

Liste de contrôle ADO.NET
par Michael Otey. Mise en ligne : 13 Décembre 2006. Publication SQL Magazine : Juin 2006
ADO.NET, le middleware pour l’accès aux bases de données, est au coeur de toute application de base de données .NET. Par conséquent, son utilisation appropriée constitue le facteur déterminant pour l’écriture d’applications de base de données hautement performantes. En contrôlant les huit points suivants, vous contribuerez à optimiser les performances de vos applications ADO.NET.

FaxCore Integration Server
FaxCore annonce FaxCore Integration Server (FIS), solution d’intégration de fax basée sur les technologies .Net.
FIS comprend une licence de serveur unique, un kit Sofware Development Kit (SDK) .Net, une base de données compatible SQL et une intégration mail SMTP. Le produit supporte jusqu’à 25 utilisateurs.
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SQL Server Actualités – Semaine 16 – 2006
Les actualités SQL Server de la semaine du 17 au 23 Avril 2006
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SQL Server, par Jérôme Gabillaud
Cet ouvrage de Jérôme Gabillaud ( Editions ENI) détaille les principes de mise en oeuvre d'une base SQL Server 2005, les syntaxes SQL et Transact.SQL pour la gestion des données et pour leur manipulation.
Il comporte également la description des outils graphiques de gestion des données.
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Les services Web en toute simplicité
par Rick Dobson - Mis en ligne le 19/04/2006 - Publié en Février 2005
Lors du lancement officiel de Microsoft .NET Framework, Bill Gates a effectué la promotion des services Web en présentant « SQL Server 2000 Web Services Toolkit », un kit de programmation qui prend en charge XML pour la troisième version Web de SQL Server 2000 (SQL XML 3.0). Web Services Toolkit est un véritable joyau qui vous permet de créer graphiquement un service Web exposant des objets de base de données tels que des procédures stockées et des fonctions définies par l’utilisateur (UDF). Si vous savez manipuler le langage T-SQL et les procédures stockées, SQLXML 3.0 fera de vous un magicien des services Web sans formation lourde.Microsoft a sorti deux Service Packs pour SQLXML 3.0. La dernière mise à jour, à savoir le Service Pack 2 (SP2), est téléchargeable gratuitement à l’adresse http://www.microsoft. com/downloads/details.aspx?familyid= 4c8033a9-cf10-4e22-8004-47 7098a407ac&displaylang=en. Le présent article va au-delà des notions fondamentales de la création d’un service Web. Je vais en effet m’appuyer sur un exemple de service Web d’annuaire téléphonique pour expliquer comment appeler des procédures stockées et des fonctions définies par l’utilisateur en passant des paramètres et en capturant les valeurs renvoyées. En apprenant à créer cet exemple d’application, vous serez en mesure de créer des solutions flexibles à base de services Web et d’étendre les possibilités d’utilisation des objets de base de données SQL Server existants. Par ailleurs, certaines organisations pourront voir dans cet exemple une solution rapide et simple d’annuaire téléphonique en ligne s’exécutant derrière un pare-feu.

SQL Server Actualités – Semaine 26 – 2006
Les actualités SQL Server de la semaine du 26 Juin au 2 Juillet 2006
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La synchronisation avec turbocompresseur
par Bren Newman - Mis en ligne le 19/04/2006 - Publié en Février 2005
La gestion d’un système de base de données distribué présente de nombreux défis, dont l’un des plus ardus est le besoin de synchroniser rapidement les mises à jour. La réplication transactionnelle et la réplication de fusion sont des techniques de réplication efficaces bien connues. Mais chacune comporte des limitations et peut restreindre les performances. Si vous éprouvez de la frustration par rapport aux limitations de ces méthodes, vous oubliez peut-être une autre solution : la réplication transactionnelle bidirectionnelle. Dans certains cas, la mise en oeuvre de cette technique procure une solution particulièrement rapide pour la mise à jour de plusieurs sites géographiquement disséminés. Si vous êtes prêt à franchir un certain nombre d’obstacles, l’équipe Microsoft de consultants clients pour le développement SQL Server aide les clients à mettre en place la réplication bidirectionnelle entre autres sur les marchés de la finance, de la bourse et des télécommunications. La plupart de ces clients utilisent cette technologie afin de créer une solution de reporting de base de données qu’ils peuvent convertir rapidement et facilement en site de basculement ou de reprise après sinistre.SQL Server prend en charge cette forme puissante et rapide de réplication transactionnelle depuis la version 7.0. Toutefois, peu d’administrateurs de base de données (DBA) ont connaissance de cette fonctionnalité ou savent exploiter sa puissance, dans une large mesure en raison d’une documentation inappropriée et d’un manque général de compréhension de son fonctionnement. La documentation en ligne de SQL Server 7.0 inclut une section particulièrement réduite sur le sujet et Microsoft a malheureusement omis de traiter cet aspect dans les premières éditions de la documentation en ligne de SQL Server 2000. Depuis, la société de Redmond s’est rattrapée dans la dernière édition de cette documentation, téléchargeable à l’adresse http://www. microsoft.com/sql/techinfo/ productdoc/2000/books.asp.
Le tableau Web 1 (téléchargeable à l’adresse http://www. itpro.fr, Club abonnés) compare les fonctionnalités de quatre méthodes de réplication : la réplication transactionnelle bidirectionnelle, la réplication transactionnelle avec mise à jour en attente, la réplication transactionnelle avec mise à jour immédiate et la réplication de fusion. La majorité des DBA ont recours à la réplication transactionnelle afin de disséminer un flux de transactions journalisées d’une source, l’éditeur (Publisher), vers un ou plusieurs serveurs cible non actualisés et fortement utilisés pour les opérations de lecture (par ex., les serveurs de reporting), appelés abonnés (Subscriber). Les DBA utilisent en général ce type de réplication afin d’augmenter les performances des lectures agrégées. Les abonnements à mise à jour immédiate, introduits par Microsoft dans SQL Server 7.0, permettent aux abonnés de la réplication transactionnelle de modifier les données à leur niveau. Toutefois, ces derniers ne peuvent effectuer cette modification que via une connexion réseau avec l’éditeur (autrement dit, l’abonné doit être en ligne). Dans SQL Server 2000, les abonnés avec mise à jour en attente peuvent modifier les données à leur niveau sans être connectés à l’éditeur. Ces deux méthodes nécessitent l’ajout d’une colonne aux tables utilisateur.
Par ailleurs, elles ne prennent pas en charge la mise à jour de colonnes de texte ou d’images et assurent le suivi des modifications au moyen de déclencheurs générés automatiquement.
Bien que la réplication de fusion (introduite dans SQL Server 7.0) gère la modification des colonnes de texte et d’images, elle utilise aussi des déclencheurs et impose d’ajouter aux tables une colonne spécifique à la réplication et contenant le type de données uniqueidentifier (par ex., un GUID), qui ajoute 16 octets supplémentaires et est globalement unique.
L’ajout de ces déclencheurs et colonnes peut se révéler problématique pour certaines applications et nombre de DBA rechigne à l’employer. Microsoft a mis au point la réplication de fusion spécialement à l’attention des utilisateurs mobiles déconnectés (par ex., les utilisateurs d’applications d’automatisation de la force de vente), proposant des possibilités extensibles de gestion et de suivi des modifications et des conflits, ainsi que des fonctionnalités extrêmement flexibles de partitionnement et de filtrage. Toutefois, pour tirer parti de ces avantages, vous devez vous acc

L’automatisation à la loupe
par Alex Glauberzon et Martin Wiseman - Mis en ligne le 28/06/2006 - Publié en Avril 2005
Prenez le temps de repenser à la dernière fois où vous avez dû mettre à jour une table contenant un grand nombre de colonnes. Imaginez maintenant que cette table est en cours de construction et que vous êtes chargé d’ajouter ou de supprimer des colonnes, ou encore de changer des spécifications de données de colonnes. Naturellement, cette situation se produit alors que votre emploi du temps est des plus serrés et que vous avez d’autres problèmes plus importants à résoudre. Quel casse-tête ! En fait, vous avez la possibilité d’automatiser une solution à ce problème en combinant les possibilités élémentaires des procédures stockées et le dictionnaire de données sous-jacent de SQL Server.Une procédure stockée est un groupe d’instructions T-SQL compilées dans un plan d’exécution. L’utilisation des procédures stockées procure un certain nombre d’avantages. Premièrement, elles permettent à un développeur de réutiliser efficacement le code. Une fois que vous avez créé une procédure stockée et que vous l’avez stockée dans la base de données, toute personne qui peut y accéder est en mesure de l’appeler à volonté, de sorte que vous n’avez pas besoin de réécrire constamment le même code. Le développeur peut ainsi utiliser de manière plus productive le temps dont il dispose. Deuxièmement, les procédures stockées accélèrent l’exécution des requêtes. Dans la mesure où ce type d’élément est précompilé et où SQL Server réutilise le plan d’exécution résultant, cela se traduit par des économies substantielles en termes de temps et d’utilisation globale du processeur. Si une application appelle constamment les mêmes procédures stockées, elle conserve ces dernières en mémoire, d’où un gain de temps supplémentaire, en particulier par rapport au temps nécessaire pour appeler à plusieurs reprises le code T-SQL équivalent. Troisièmement, le recours aux procédures stockées réduit le trafic réseau global. Au lieu de transmettre de nombreuses lignes de code T-SQL, SQL Server transmet uniquement le nom de la procédure appelée, ce qui optimise l’utilisation de la bande passante réseau. Enfin, les procédures stockées améliorent les contrôles de sécurité. Même si les utilisateurs n’ont pas le droit d’accéder à des tables spécifiques, vous pouvez leur attribuer l’autorisation d’exécuter une procédure stockée qui référence les tables en question. Cette méthode de limitation des accès aux tables peut soulager le travail de l’administrateur.
Même si les avantages de l’utilisation des procédures stockées sont appréciables, vous devez malgré tout consacrer le temps et l’énergie nécessaires à leur création. L’écriture de procédures stockées pour les opérations UPDATE, INSERT et DELETE prend du temps et le processus fournit pas mal d’occasions d’introduire des erreurs. Par exemple, une procédure stockée type pour une opération UPDATE contient plusieurs parties :
une instruction CREATE PROCEDURE; une liste de paramètres, qui peut être longue en fonction du nombre de colonnes dans la table ; une instruction UPDATE ; une liste SET, qui identifie la liste de colonnes mises à jour par la procédure et une clause WHERE énumérant les critères spécifiant les lignes mises à jour. De même, une procédure stockée servant à introduire des lignes dans une table comporte les parties suivantes : une instruction
CREATE PROCEDURE ;
une liste de paramètres ;
une instruction INSERT;
une liste de colonnes qui identifie les colonnes insérées par la procédure et une clause VALUES énumérant les critères qui spécifient les lignes insérées. La création d’une procédure stockée de suppression de lignes d’une table est relativement simple : elle requiert uniquement des critères de sélection en tant que paramètres et une clause WHERE afin de limiter le nombr

La magie des lots
par Kirk Haselden - Mis en ligne le 28/06/2006 - Publié en Avril 2005
Dans SQL Server 2005, Microsoft a complètement réécrit les services de transformation de données ou DTS (Data Transformation Services), pour de multiples raisons. Non seulement la nouvelle mouture rationalise les fonctionnalités de DTS et rend cet outil plus simple d’utilisation, mais elle améliore également son évolutivité et ses performances. L’article « Quoi de neuf dans DTS? » (www.itpro.fr) proposait déjà un aperçu des points forts du nouveau DTS, y compris les objectifs de conception et les nouvelles fonctionnalités de DTS Designer (Concepteur DTS).Après la sortie en juillet d’une version bêta privée générale et avec le lancement prochain de la bêta publique de SQL Server 2005, il est temps d’examiner plus en détail certaines améliorations spécifiques de DTS. Comme nombre d’utilisateurs de SQL Server 2005 DTS utilisent principalement ou uniquement l’Import/Export Wizard (Assistant Importation/exportation), commençons par examiner plus avant cet aspect de la question. Bien que l’équipe de développement Microsoft DTS, dont je fais partie, a amélioré et étendu tous les outils de DTS 2005, l’Import/Export Wizard reste un moyen remarquable pour créer rapidement des lots destinés à déplacer les données. La nouvelle version de l’assistant inclut deux changements majeurs. Premièrement, il ne prend plus en charge la copie d’objets entre les bases de données SQL Server. Pour effectuer cette opération, vous allez désormais faire appel au Transfer Database Wizard. Cet assistant est accessible à partir de SQL Server Management Studio, la nouvelle suite de gestion de SQL Server 2005 qui remplace les outils Enterprise Manager, Query Analyzer (Analyseur de requêtes) et d’autres utilitaires. Deuxièmement, le nouvel assistant ne prend plus en charge la création de transformations de scripts.
Pourquoi l’équipe a-t-elle décidé d’apporter ces modifications ? La réponse est toute simple : il fallait recentrer et simplifier l’assistant afin qu’il soit exclusivement un outil de déplacement de données et non un outil d’extraction, de transformation et de chargement (ETL). L’expérience a montré que l’existence de la fonctionnalité de copie d’objets en deux emplacements, à savoir dans le DTS Import/Export Wizard et dans le Copy Database Wizard (Assistant Copie de base de données), entraînait parfois une certaine confusion pour les utilisateurs. Afin d’éliminer cette fonctionnalité en double, nous avons consolidé les fonctions de copie dans le Copy Database Wizard. Ce changement devrait clarifier le rôle des différents outils. Si vous souhaitez créer rapidement des lots afin de déplacer des données, utilisez l’Import/ Export Wizard. Pour déplacer des objets de base de données (allant de bases de données complètes à quelques éléments d’une base de données), vous allez employer le Transfert Database Wizard. Enfin, la création de lots effectuant des transformations simples ou complexes sur les données à des vitesses de transfert élevées est dévolue à DTS Designer.
Bien que nous ayons simplifié le DTS Import/ Export Wizard, cet outil demeure relativement complexe et souple. En fonction des paramètres et options sélectionnés, les possibilités de cheminement à travers l’assistant sont multiples et cet article ne pourra donc pas couvrir tous les paramètres disponibles. Par conséquent, en s’appuyant sur la création d’un lot d’importation de données simple dans l’Import/Export Wizard, nous allons mettre en exergue les fonctionnalités qui se démarquent de la version utilisée dans DTS 2000. Dans un prochain article, nous irons dans les coulisses et examinerons le travail de l’assistant en affichant et modifiant le lot résultant dans DTS Designer.

Conférence SQL Server Upgrade, le 28 Juin à Paris
Vous êtes responsable informatique, architecte, chef de projet, DBA, vous souhaitez évaluer les enjeux associés à la migration de vos environements de base de données ou de solutions décisionnelles SQL Server ? découvrez la richesse du enregistrez vous.
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Nouveaux Produits SQL Server – Semaine 24 – 2006
Les nouveaux produits SQL Server de la semaine du 12 au 18 Juin 2005
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SQL Server Actualités – Semaine 24 – 2006
Les actualités SQL Server de la semaine du 12 au 18 Juin 2006

Data Mining Reloaded
par Alexei Bocharov et Jesper Lind - Mis en ligne le 14/06/2006 - Publié en Avril 2005
Les deux principales fonctions du data mining sont la classification et la prédiction (ou prévision). Le data mining vous aide à donner une signification aux giga-octets de données brutes stockées dans les bases de données, en identifiant les modèles et règles présents dans les données ou qui en découlent. Les analystes se servent alors de cette connaissance pour effectuer des prédictions et des recommandations sur les données nouvelles ou futures. Les principales applications de data mining du commerce vous permettent d’en savoir plus sur vos clients et sur leurs besoins, de comprendre les éléments générateurs des ventes et les facteurs qui affectent celles-ci, de concevoir des stratégies marketing et de mettre au point les futurs indicateurs de l’activité.Avec SQL Server 2000, Microsoft a renommé la solution OLAP Services en Analysis Services afin de refléter l’ajout de nouvelles possibilités de data mining. L’ensemble d’outils de data mining disponibles dans cette version de SQL Server incluait seulement deux algorithmes d’analyse classiques (clustering et arborescences de décision), un langage d’expressions de requête et de gestion de data mining spécialisé intitulé DMX, ainsi que des contrôles, visionneuses et outils de développement côté client limités.
SQL Server 2005 Analysis Services inclut un ensemble largement enrichi de méthodes de data mining et une palette d’outils d’analyse et de développement côté client entièrement nouveaux, conçus pour couvrir les besoins les plus courants en matière d’analyse décisionnelle ou BI (Business Intelligence). L’infrastructure Business Intelligence Framework dans SQL Server 2005 propose une nouvelle approche du data mining tant aux analystes qu’aux développeurs.
Nous allons, dans un premier temps, examiner rapidement le processus de data mining. Nous aborderons ensuite les sept algorithmes de data mining disponibles dans l’infrastructure SQL Server 2005 Analysis Services, puis nous jetterons un coup d’oeil à la technologie « plug-in » qui vous aidera à ajouter des algorithmes nouveaux ou personnalisés à cette infrastructure. Bien qu’il n’était pas envisageable d’aborder ici spécifiquement la conception de l’interface utilisateur, les captures incluses dans les différents exemples vous donneront un premier aperçu intéressant de la puissance et des qualités d’utilisation des nouveaux outils côté client.

L’analyse décisionnelle à l’honneur dans SQL Server 2005
Entretien exclusif avec Bill Baker - Mis en ligne le 14/06/2006 - Publié en Avril 2005
Depuis sa mise sur pied, l’équipe SQL Server Business Intelligence (BI) de Microsoft a eu constamment un objectif en tête : rendre les données métier exploitables et accessibles pour le plus grand nombre. En tant que directeur général de l’équipe, Bill Baker travaille de concert avec les personnes chargées de la conception et du développement d’outils d’analyse décisionnelle tels que Integration Services (anciennement DTS [Data Transformation Services]), Analysis Services et Reporting Services. Dans le cadre d’une interview accordée récemment à SQL Server Magazine, il a abordé les nouveaux outils d’analyse décisionnelle de SQL Server 2005 et la manière dont ils collaborent afin de rationaliser la diffusion d’informations stratégiques pour l’entreprise.
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