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Utilisation de fichiers Zip avec Java

Utilisation de fichiers Zip avec Java

par Julian Monypenny
L'utilitaire Archiver unit les fonctionnalités des fichiers zip et le coding Java Le fichier zip est le format d'archivage de fichiers standard sur PC. Un fichier zip peut stocker des milliers de fichiers, et leurs chemins dans un format comprimé. Les fichiers zip font gagner de la place tout en simplifiant la distribution de fichiers multiples. De nombreuses plates-formes, dont l'AS/400 et le RS/6000, possèdent l'outil zip PkZip.

Java 2 accepte les fichiers zip. Plutôt que de fournir une version Java de PkZip, le SDK (Software Development Kit) Java inclut le package java.util.zip, qui contient des classes permettant de créer et de manipuler des fichiers zip.

Dans cet article, je présente Archiver, un outil zip Java côté client. J'explique comment utiliser Archiver et comment il utilise le package java.util.zip. Bien qu'ayant écrit Archiver comme une application côté client, son traitement des fichiers zip est tout aussi bon avec Java côté serveur.

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Opération de nettoyage d’un environnement ILE

Opération de nettoyage d’un environnement ILE

par Mike Cravitz
Désencombrez vos programmes ILE grâce à  une stratégie de nettoyage efficace Au moment même où vous vous pensiez débarrassé des articles sur les groupes d'activation, en voici un autre ! Celui-ci expose quelques-unes des méthodes de suppression de groupes d'activation, particulièrement s'ils contiennent des programmes encore activés, et l'intérêt d'une méthode comparée à  une autre. Pour plus d'informations sur les groupes d'activation, voir les articles "ILE en action : les groupes d'activation ", NEWSMAGAZINE, mars 1997, et "Attention aux groupes d'activation", NEWSMAGAZINE, décembre 1998.

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Restaurer les fichiers effacés accidentellement

Restaurer les fichiers effacés accidentellement

par John Ruley
Cela arrive à  tout le monde tôt ou tard, mais effacer accidentellement un fichier est une des pires erreurs que l'on puisse faire. Récemment, j'ai fermé par erreur un document Word sans le sauvegarder et tout le travail que j'avais produit sur le fichier semblait avoir disparu. Mais le texte que j'avais passé 2 heures à  écrire n'était pas complètement perdu. J'ai pu utiliser quelques outils pour rechercher et restituer les données.Le processus de recherche et de restauration des données perdues par erreur m'a pris un bon moment : j'ai ramé pendant 4 heures pour restaurer 2 heures de travail. Pourtant, j'y ai passé autant de temps parce que je pensais écrire sur cette expérience pour en faire profiter d'autres personnes en situation identique d'une part, et parce que j'étais très content de ma prose dans le document que j'avais effacé par erreur. J'aurais certes pu produire de nouveau un document équivalent en 2 heures, mais le texte de remplacement n'aurait pas été aussi bon que le premier.

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RPG IV : format libre et bien plus encore

RPG IV : format libre et bien plus encore

par George N. Farr
Le RPG a un brillant avenir dans des applications e-business Dans les discussions avec des programmeurs AS/400 rencontrés au cours de mes voyages autour du monde, la plupart des questions tournent autour du même thème. Par exemple :
· " Le RPG IV est-il destiné à  durer, ou IBM essaie-t-elle de le tuer ? "
· " La V4R5 ne comporte aucune amélioration du RPG IV. Serait-ce qu'IBM n'envisage plus d'améliorations du RPG ? "
· " IBM est-elle en train de remplacer le RPG en transformant l'AS/400 en une machine Java ? "
· " Java est-il le seul moyen d'écrire des applications e-business sur l'AS/400 ? "

Ces questions témoignent des inquiétudes sur l'avenir de l'AS/400, et du RPG en particulier, j'aimerais y répondre dans cet article.
Il ne faut pas non plus, à  moins d'avoir une bonne raison, plonger complètement dans Java

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Linux, au coeur des outils de base pour Internet

Linux, au coeur des outils de base pour Internet

par René Beretz
Les sociétés qui se positionnent sur le secteur de l'Internet font naturellement appel à  Linux, autour duquel l'offre est pléthorique et variée. Et d'une redoutable efficacité !

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Qui visite votre site ?

Qui visite votre site ?

par Gary Guthrie
L'utilitaire UPDHTTPLOG permet de saisir le nom de domaine des clients qui accèdent à  un serveur Web AS/400.

Dans le domaine du commerce électronique, les informations sur les visites effectuées sur un site Web sont d'une valeur inestimable. Aussi, la plupart des serveurs Web, et notamment les serveurs HTTP sur AS/400 (Internet Connection Server et Internet Connection Secure Server, respectivement en V4R1 et V4R2), permettent d'obtenir des informations sur les visiteurs d'un site Web en offrant la possibilité de consigner sur le serveur des informations concernant les accès des clients. Lorsque la log des accès au serveur est activée, chaque demande d'accès reçue par le serveur permet de capturer des informations utiles. Par exemple, la périodicité des accès et le nombre d'octets transmis peuvent être utilisés pour optimiser les ressources allouées au service des clients. Une autre option consiste par exemple, à  utiliser la log pour assurer le suivi des documents auxquels les clients accèdent afin, par exemple, d'identifier les produits qui les intéressent le plus.

Les adresses IP n'aident guère à  l'identification d'un client, car elles se ressemblent toutes 

L'identité du client est également une information importante qui peut être consignée. Pour chaque requête adressée au serveur, celui-ci reçoit les adresses IP du client demandeur. Toutefois, les adresses IP n'aident guère à  l'identification d'un client, car elles se ressemblent toutes. De ce fait, il est préférable de consigner le nom qualifié du domaine du demandeur. Le serveur Web AS/400 offre le choix de consigner les noms DNS (Domain Name System) résolus.

Malheureusement, la résolution des noms de domaines implique une pénalisation considérable des performances, le serveur Web devant faire une recherche inverse auprès d'un serveur DNS. Une recherche inverse implique que le serveur Web contacte le serveur DNS, lequel recherche ensuite dans un tableau de noms une adresse IP correspondante avant de retourner le nom de l'hôte associé au serveur Web. Cela prend du temps ! Pire encore, si un client accédant au site ne possède pas de nom DNS associé à  son adresse IP, le serveur Web attendra dans une boucle de temporisation de résolution d'adresse (jusqu'à  30 secondes) pour chaque requête émise par le client. Etant donné que l'accès aux pages Web consiste en des requêtes multiples, cela peut se traduire en délais extrêmement longs et en performances très médiocres pour les clients visitant sur le site. Le nom DNS n'est pas nécessaire pour servir une page Web. Aussi, la question qui se pose est de savoir pourquoi générer des surcoûts de recherche DNS au moment de satisfaire une requête HTTP ? En fait, différer les recherches DNS à  un moment ultérieur est une meilleure approche.

C'est pourquoi, j'ai créé la commande UPDHTTPLOG (Update HTTP Log), un utilitaire qui fait une recherche DNS inverse à  la demande. Cette commande permet d'une part, de désactiver la fonctionnalité de recherche de demande de connexion DNS et d'autre part, d'exécuter une recherche du nom de l'hôte en batch à  la place, au moment de votre choix. UPDHTTPLOG lit le fichier de log système créé par le serveur Web, traduit les adresses IP en noms de domaine et génère un nouveau fichier log contenant les noms traduits. Etudions de plus près les caractéristiques de la commande UPDHTTPLOG.

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Les prototypes RPG IV en 10 points clés

Les prototypes RPG IV en 10 points clés

par Bryan Meyers
Utilisez les prototypes pour passer des paramètres intelligemment

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Ils ont osé… et ils ont bien fait

Ils ont osé… et ils ont bien fait

par Dominique Douchet
Si le choix était à  refaire 8 ans après, c'est encore à  l'AS/400 en mode client/serveur (choix audacieux pour l'époque) que Messieurs Reitz et Dutsh feraient confiance. Ce qui pouvait sembler être un pari en 1992 s'est avéré être un choix stratégique et une réussite pour la caisse Nationale des Entrepreneurs des Travaux publics (CNETP).
Cet organisme, chargé de gérer les congés payés et le paiement des salariés privés d'emploi du fait des intempéries dans le secteur des Travaux Publics a une tâche de grande envergure puisqu'avec 130 employés, il gère 220000 salariés et 5500 entreprises cotisantes. Un système informatique performant est donc un élément déterminant pour son bon fonctionnement.
Ce système informatique, qui datait des années 70, devenait alors obsolète, et de moins en moins fiable, d'autant que de nombreux développements périphériques s'étaient avérés nécessaires au cours des années pour s'adapter aux évolutions du métier et aux exigences des utilisateurs. D'autre part, les échéances de l'an 2000 et du passage à  l'Euro approchaient; il fallait donc repenser le système d'information.
En 1991, la CNETP décide de la refonte totale du système. Il lui fallait alors un système pouvant s'adapter très facilement aux diverses et nombreuses évolutions législatives et professionnelles, un système qui s'adapte aux adhérents (et surtout pas le contraire), et il lui fallait également aller plus loin dans les automatismes, en privilégiant un faible coût de fonctionnement, même si l'investissement de départ s'avérait un peu élevé, le système étant destiné à  être exploité longtemps (au final, le montant global du projet évoqué ici se situera tout de même aux alentours de 60 à  70MF).

La dissociation de la conception et de la réalisation paraît indispensable pour conserver une plus grande indépendance
Monsieur Reitz, Directeur Informatique de la CNETP

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Les meilleurs utilitaires du nouveau Kit de ressources

Les meilleurs utilitaires du nouveau Kit de ressources

par Michael Otey
Les kits de ressources de Microsoft ont toujours été des mines d'utilitaires d'administration. Le nouveau Kit de ressources de Windows 2000 Professionnel offre la plupart des outils du Kit de ressources de Windows NT 4.0 Workstation, ainsi que des dizaines de nouveaux utilitaires.

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Les BSD, ou quand « logiciels libres » riment avec « fiabilité, performance et sécurité »

Les BSD, ou quand « logiciels libres » riment avec « fiabilité, performance et sécurité »

par René Beretz
Loin des feux de l'actualité, les Unix BSD offrent une fiabilité à  toute épreuve et poussent la spécialisation très loin. Derrière la vague médiatique de Linux, d'autres systèmes d'exploitation jouent, de manière plus discrète, un rôle important. Les Unix BSD occupent une place de choix sur de nombreux serveurs critiques, en particulier dans le monde de l'Internet, grâce à  des caractéristiques inégalées de stabilité. On les appelle aussi la famille *BSD.

L'origine de BSD remonte à  des travaux sur Unix réalisés par le Computer System Research Group à  l'Université de Berkeley, en Californie, dans les années 70. D'où son nom : Berkeley Software Distribution. En s'appuyant sur cette base, une communauté de volontaires s'est créée au début des années quatre-vingt-dix dans le but de fournir un système d'exploitation fiable, performant et sûr. Unix BSD a évolué de version en version jusqu'à  la version 4.4 (4.4BSD) dont les sources ont été publiés en 1994. Entre temps, plusieurs projets ont vu le jour : FreeBSD et NetBSD, auquel s'est ajouté OpenBSD en 1995. Une solution commerciale a également profité du mouvement : BSD/OS. Outre 4.4BSD, les projets intègrent d'autres modules bien rôdés comme le micro noyau Mach de l'Université de Carnegie Mellon et plusieurs outils GNU.

Unix BSD a évolué de version en version jusqu'à  la version 4.4 (4.4BSD) dont les sources ont été publiés en 1994

Chaque BSD poursuit un objectif précis : performance, portabilité ou sécurité. Même si le risque de divergence a existé à  une époque, la tendance est maintenant à  la complémentarité : il existe des passerelles entre les divers développements. Certains développeurs contribuent même à  plusieurs projets. Nicolas Souchu, d'Alcôve, insiste sur cette originalité : " Cette pluralité est un atout pour les entreprises. Il n'existe pas de BSD meilleur que les autres ; mais pour un besoin précis, il existe un BSD mieux adapté que les autres. "

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Des ponts vers le e-Business

Des ponts vers le e-Business

par Sharon L. Hoffman
Le nouveau middleware iSeries Connect d'IBM simplifie l'écriture de solutions e-business Pour les développeurs AS/400, l'élément logiciel le plus intéressant de l'annonce du 3 octobre 2000 d'IBM est un nouveau produit programme sous licence (LPP) (Licensed Program Product) appelé Connect for iSeries ou iSeries Connect. Dans le cadre du changement des noms IBM annoncé le 3 octobre, les derniers modèles AS/400 sont rebaptisés modèles e-Server iSeries 400. Pour en savoir plus sur iSeries 400, voir l'encadré. Le but d'iSeries Connect est de simplifier l'écriture de solutions e-business en facilitant l'accès aux ressources iSeries 400, comme les données stockées dans DB2 Universal Database for AS/400 (DB2 UDB) et les programme RPG existants. A l'aide de plug-ins et de connecteurs iSeries Connect, on peut développer des applications capables de transférer des informations entre la logique de gestion back-end et une interface utilisateur du type Web frontale, comme un catalogue en ligne.

Il est important de permettre la communication entre les différentes composantes des applications, les applications e-business présentent en effet généralement une structure à  trois niveaux dans laquelle les différentes parties de l'application s'exécutent sur des systèmes différents. Ainsi, le navigateur Web qui constitue le point d'entrée d'un catalogue en ligne fonctionne généralement sur un PC client, le traitement du caddie peut fort bien se faire sur un RS/6000 ou un iSeries400 jouant le rôle de serveur Web, et la logique de gestion chargée d'honorer les commandes fonctionne souvent sur un serveur back-end comme un iSeries400. Cette construction multiniveaux justifie le partitionnement d'une application afin de créer des programmes indépendants pour chaque fonction majeure. Mais pour que le partitionnement de l'application soit efficace, il faut que la transmission d'informations entre les partitions se fasse par une méthode, de préférence hautement standardisée. C'est précisément le rôle que joue iSeries Connect pour des applications e-business. Voyons donc de plus près cet outil et en quoi il simplifie le passage au e-business.

Les applications e-business présentent généralement une structure à  trois niveaux, dans laquelle les différentes parties s'exécutent sur des systèmes différents

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Les utilisateurs Linux à  la recherche d’une interface standard sur le poste de travail

Les utilisateurs Linux à  la recherche d’une interface standard sur le poste de travail

par René Beretz
Le logiciel Open Source a ses avantages, mais aussi des inconvénients. C'est ainsi que la bataille pour une interface graphique standard fait aujourd'hui rage, et que les utilisateurs sont toujours à  la recherche d'outils bureautiques vraiments performants et stables. Malgré son succès dans le monde des serveurs et de l'Internet, Linux reste encore confidentiel dans d'autres domaines. Des solutions de bureau ou d'interfaces graphiques pour les utilisateurs commencent à  faire parler d'elles, mais sont encore loin de s'imposer : Windows et Microsoft Office dominent encore largement le bureau des utilisateurs. Pourtant, des projets " open source " mobilisent de nombreux développeurs dans ce domaine. En pratique, deux projets de bureau s'affrontent : Gnome et KDE.
Chacun apporte son lot d'applications bureautiques, graphiques, Internet et autres. Pour l'instant, l'existence de ces deux projets empêche l'adoption d'un standard de fait. Car aucun des deux projets n'est réellement terminé, ni pour l'interface de base ni en ce qui concerne les applications qu'ils supportent. Mais la séparation entre deux mondes a priori indépendants et concurrents a tendance à  s'estomper.

La différence entre les deux projets réside dans les conceptions du logiciel libre. Bien que présenté comme un projet complètement " Open source ", KDE ne respecte pas totalement les critères du logiciel libre spécifiés par la Free Software Foundation car il dépend d'une bibliothèque propriétaire. En réaction, un autre projet s'est mis en place : le projet GNOME, qui s'est intégré dans le projet GNU et dont l'impact grandit très vite. En pratique les deux projets cohabitent dans la plupart des distributions.

La séparation entre le monde de Gnome et celui de KDE, a priori indépendants et concurrents, a tendance à  s'estomper

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L’astuce au secours des petits budgets

L’astuce au secours des petits budgets

par Ed Roth
Bien souvent, les personnels informatiques doivent trouver des astuces et des solutions créatives pour remplacer des équipements dont ils auraient besoin mais qui ne sont pas au budget ou tout simplement qui n'existent pas sur le marché.

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JDBC 2.0 : les nouveautés

JDBC 2.0 : les nouveautés

par Richard Dettinger
Le JDBC 2.0 comprend plusieurs nouvelles méthodes, une fonction de mise à  jour batch et la prise en charge de types de données SQL3 Face à  l'expansion de l'univers Java, il est de plus en plus difficile de connaître toutes les nouvelles fonctions. La release de JDBC (Java Database Connectivity) 2.0 (qui est un élément standard de JDK (Java Development Kit) 1.2, ou Java 2) illustre bien cette rapide croissance des fonctionnalités. JDBC 2.0 offre de nouvelles fonctions intéressantes. En avant-première, cet article vous apprend à  utiliser ces nouvelles fonctions sur AS/400 en évitant les pièges. Sauf indication contraire, les exemples et les diverses méthodes de cet article s'appliquent également aux drivers JDBC natifs et AS/400 for Java Toolbox. (Pour plus d'informations sur JDBC et ses drivers, voir la bibliographie)
Avant de pouvoir utiliser JDBC 2.0, il faut bien sûr l'installer sur l'AS/400. Pour utiliser JDBC 2.0 avec le driver JDBC natif, il faut être en V4R4. On peut également l'obtenir sous la forme de la PTF 5769JV1 SF55645. Le support de JDBC 2.0 est standard sur l'OS/400 à  partir de la V4R5. L'utilisation de JDBC 2.0 avec le driver JDBC Toolbox est possible à  partie de la release Mod 2. Pour apprendre à  utiliser les nouvelles fonctions dans les releases JDK précédentes, voir l'encadré " Utiliser la fonctionnalité JDBC 2.0 dans JDK 1.1 ". Voyons maintenant de plus près comment fonctionne le JDBC 2.0.

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Linux séduit les éditeurs

Linux séduit les éditeurs

par René Beretz
De SAP à  Magic, des suites bureautiques à  Oracle 8i, les éditeurs prennent de plus en plus en compte Linux

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L’AS/400 place haut la barre de la Business Intelligence

L’AS/400 place haut la barre de la Business Intelligence

Avec les améliorations apportées au matériel et au logiciel des versions V4R3 et V4R4, l'AS/400 établit le standard en matière d'entrepôts de données

Si vous avez suivi les annonces AS/400 au cours de l'année écoulée, vous savez qu'IBM souligne les possibilités de la plate-forme comme serveur global de business intelligence (BI) . Grâce à de récentes innovations, l'AS/400 n'a jamais été mieux à même de supporter des applications de BI, depuis les magasins de données (dataires) départementaux jusqu'aux entrepôts de données (datawarehouses) de l'ordre du multitéra-octets, à l'échelle de l'entreprise. Dans cet article, nous nous intéressons aux développements matériels et logiciels des V4R3 et V4R4, qui ont amélioré les possibilités des tous derniers serveurs AS/400 de Rochester en matière de BI.

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Mais qu’est ce donc qu’un AGL ?

Mais qu’est ce donc qu’un AGL ?

par Gregory Jarrige - adaptation de Benoît Herr
Voici, à  travers le résumé d'une discussion ayant eu lieu sur un forum Web, des réponses pratiques à  cette question. Techniciens, à  vos browsers !

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8 sites compatibles Euro en 6 mois et demi

8 sites compatibles Euro en 6 mois et demi

par Dominique Douchet
Un outil adapté et une grande motivation de toute l'équipe projet ont permis à  Landis & Staefa de mener à  bien son projet Euro dans des temps records. L'équipe informatique de Landis & Staefa venait de travailler pendant 9 mois à  la personnalisation et à  l'implémentation de la V4.05 CD de BPCS, sur les 17 sites européens du groupe. Les utilisateurs et la Direction de l'entreprise se félicitaient du succès de ce projet de mise en conformité an 2000, réalisé dans des délais et avec des coûts maîtrisés. L'introduction imminente de la monnaie unique européenne a poussé Siemens à  s'engager auprès de ses partenaires commerciaux et de ses actionnaires pour effectuer ses échanges en Euro à  partir du 1er janvier 1999, et à  convertir les divers systèmes comptables des pays concernés dès le 1er octobre 1999. Un nouveau grand chantier informatique venait d'être identifié : rendre rapidement les systèmes compatibles Euro. Géry Gedlek, Directeur Informatique de Landis & Staefa, était toutefois confiant; l'éditeur, SSA proposait la V4.05 CD de BPCS, compatible an 2000, et s'employait à  terminer la mise au point de la V4.05 CDE, compatible Euro. Géry Gedlek se tenait constamment informé des délais de disponibilité de cette dernière version. En novembre 1998, tout semblait indiquer que la V4.05 CDE et les programmes de conversion associés seraient livrés dans les temps. Géry Gedlek et son équipe disposaient alors d'un délai suffisant pour réaliser les tests d'assurance qualité et la mise en place complexe de la nouvelle version sur les 8 sites européens avant la date butoir. Le projet concernait les pays suivants : Belgique, France, Espagne, Finlande, Italie, Autriche, Portugal et Hollande.

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Les utilisateurs adorent Windows 2000

Les utilisateurs adorent Windows 2000

par Barrie Sosinsky
Notre confrère américain Windows 2000 Magazine a récemment sondé ses lecteurs sur leur opinion vis-à -vis de Windows 2000 Professionnel comme OS d'ordinateur portable et l'utilisation qu'ils en faisaient. Le message est clair : ils adorent Windows 2000 Pro et la plupart, tout domaine d'activité confondu entendent augmenter sensiblement leur utilisation de Windows 2000 sur les portables.

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HP et VA Linux optimisent les techniques d’impression Open Source

HP et VA Linux optimisent les techniques d’impression Open Source

par Mireille Boris
L'amélioration des techniques d'impression Open Source fait de Linux un OS crédible en bureautique et en pré-presse. Le code développé pour les pilotes d'imprimantes est de plus utilisé dans le logiciel embarqué des imprimantes. HP et VA Linux veillent sur ces travaux. La première conférence sur les techniques d'impression Open Source, organisée en août 2000 à  Sunnyvale en Californie, a connu un tel succès qu'il a été décidé d'en faire une manifestation annuelle, relayée par un sommet européen en février 2001. Organisée par Hewlett-Packard (HP) US et VA Linux, elle a réuni des représentants d' IBM, Sun, Canon, Epson, Lexmark, Okidata, Xerox, Microsoft et des développeurs appartenant à  Samba, Ghostscript, LPRng, CUPS, PDQ, SysAPS, Linux Internationalization Initiative, Xfree86, GIMP, GNOME, KDE, Red Hat, Suse, le groupe d'impression IETF.
HP a présenté la méthodologie de développement collaboratif de pilotes d'impression qu'il déploie en interne. Pour ce faire, il a fait appel à  plusieurs projets de développement de pilotes pour imprimantes HP présentés sur Sourceforge (exactement printing.sourceforge.net), le site que VA Linux dédie aux développeurs. Les services professionnels de VA Linux travaillent en conjonction avec HP dans le but d'améliorer le support d'impression de l'imprimante LaserJet de HP sous Linux et Samba (couche logicielle d'échange de fichiers Windows et Linux) et font évoluer la qualité et les fonctionnalités de l'ensemble des techniques d'impression Open Source.
Les pilotes disponibles pour la plupart des imprimantes sont le fruit d'un effort continu. Elles font partie intégrante de la distribution standard, de Suse, Red Hat à  Caldera. On les trouve également sur le site Sourceforge.
La qualité croissante de l'impression sous Linux s'ajoute à  l'existence de cartes graphiques de très bon niveau, en particulier les cartes N'Vidia. Linux ne se limite plus au back office; il devient un OS crédible en bureautique et en pré-presse. Une typographie de type nouveau est en train de naître, les Linuxiens rejetant celle des outils Microsoft, voire Macintosh.

Linux ne se limite plus au back office; il devient un OS crédible en bureautique et en pré-presse.

Le code des pilotes sous Linux sert parallèlement au développement de code embarqué dans les imprimantes elles-mêmes. Le noyau Linux y est souvent utilisé par défaut en raison de sa petite taille. Depuis un an, par exemple, eCOS, OS embarqué de Red Hat, fonctionne avec les imprimantes laser HL-2400CeN et HL-3400CN de Brother International. La portabilité et la conception d'eCOS lui permettent de transposer des applications créées pour la famille d'imprimantes HL-2400CeN et HL-3400CN vers de futures plates-formes, quelque soit le choix d'unité centrale.
Larry Augustin, PDG de VA Linux, a une formation de graphiste. "Notre compétence en stations de travail, nous permet de comprendre les problèmes de pré-presse et de post-presse dans les besoins de stockage multimédia. D'où la maturité de notre offre NAS 2905, plate-forme ouverte, Mac, NT, Linux ", précise Renaud Larsen, VA Linux Europe. Un secteur où VA Linux se retrouve en vive concurrence avec HP.
Rassembleur des initiatives Open Source, VA Linux a lancé l'OSDN Open Source Development Network, un réseau communautaire qui intègre les principaux sites Internet consacrés aux forums de discussions, au développement et à  la distribution des logiciels OpenSource dont www.sourceforge.net, questionexchange.com, www.freshmeat.net, www.themes.org, ww.thinkgeek.com, www.slashdot.org, www.linux.com, etc…

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