Outlook dans le systray (en bas à droite de la barre des tâches).
Faire un clic droit avec la souris sur l’icône Outlook du Systray en maintenant la touche Control (Ctrl) de votre clavier. Un menu apparaît avec l’option ‘Tester la configuration automatique de la messagerie’. Choisir cette option. Pour valider votre configuration, il suffit de cocher uniquement la case ‘Utiliser la découverte automatique, de renseigner une adresse email d’un compte valide avec son mot de passe et de cliquer sur le bouton ‘Tester’.
Le contenu du fichier XML reçu peut être visualisé et analysé en cliquant L’impact des différents modes de connexions en termes de bande passante D’après les chiffres que l’on arrive à trouver sur le site de Microsoft, si une connexion locale requiert une valeur de base de 10 (référence), ce même utilisateur en mode cache utilisera environ 5, soit moitié moins. En mode Anywhere, il utilisera 6, soit un peu plus que le mode cache en local et environ 20 en mode OWA, soit deux fois plus qu’une connexion Outlook en local sans mode cache.
Ces valeurs ne sont pas absolues et données à titre de comparaison pour apprécier l’impact sur le volume réseau du mode de connexion du client. En résumé, le mode OWA nécessite deux fois plus de bande passante sur le réseau que le mode connecté sans cache. Le mode cache diminue de moitié la bande passante utilisée par rapport au mode standard et le mode Anywhere se situe à environ 60% (donc moins consommateur) de consommation de bande passante par rapport au mode connecté sans cache.
Au vu de ces chiffres, il est évident que le client lourd en mode cache est le plus avantageux que ce soit en mode connecté ou à distance. C’est donc la solution à mettre en oeuvre lorsque ce choix est possible car moins gourmande en bande passante, configuration automatique et transparence pour les utilisateurs mobiles.