
Elaborer une architecture applicative avec Java Frameworks
Java est un puissant langage orienté objet qui permet de créer des applications sophistiquées, mais aussi faciles à maintenir et à améliorer.
Mais avant de vous embarquer dans une application Web basée sur Java, sachez qu’il vous faudra une stratégie de développement qui prenne en compte de nombreux aspects de la conception : accès aux utilisateur, médiation de l’UI et de la logique de gestion, journalisation, test des unités et reporting.
Contenu complémentaire : Coup d’oeil sur le développement d’applications Web |
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Christian Robert : l’administration du serveur est facile avec SQL Server2008
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Christian Robert, MVP SQL Server Secrétaire du Groupe des Utilisateurs francophones de SQL Server |
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Dépanner la réplication d’AD – partie 1
La réplication d’AD (Active Directory) est la méthode par laquelle les changements de répertoire apportés à un DC (domain controller) passent à d’autres DC. AD est un service très robuste et à tolérance de pannes. Comme il est distribué sur de nombreux DC, la perte éventuelle de certaines parties de l’entier ne paralyse pas la totalité du service de répertoires.
Dans une forêt d’AD, il faut superviser non seulement l’état de santé général des DC mais également la réplication entre eux. L’expérience m’a appris que la réplication dans une forêt non supervisée se dégrade un jour ou l’autre, même si vous avez configuré les DC avec soin.
Superviser et réparer les problèmes de réplication quand ils surviennent est beaucoup plus facile que de remettre en état une forêt accumulant les problèmes. Mais que vous supervisiez ou non votre réplication d’AD, vous devrez un jour ou l’autre inévitablement la dépanner.
Dans cet article j’explique quelques principes de réplication élémentaires et je présente une méthode simple et directe pour dépanner les problèmes de réplication d’AD. Dépanner la réplication d’AD n’est pas si simple. En suivant mes pas, le côté obscur de cette tâche devrait disparaître.
Contenu complémentaires : Le site de la Cadim (utilisateurs d'Active Directory) |
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Identity Lifecycle Manager 2007
Dans le cadre de leur réseau. Telle autre veut peut-être accroître les niveaux d’approbation d’autres organisations, par la capacité de certifier que seule la personne indiquée dans le sujet du certificat maîtrise la clé privée du certificat.
Identity Lifecycle Manager 2007 de Microsoft vous permet de définir le flux de diverses activités de gestion qui se produisent pendant la durée de vie d’un certificat, pour accroître les niveaux d’assurance. Ces flux garantissent que les stratégies de sécurité écrites de votre organisation sont bien appliquées. Cette assurance renforce la confiance des autres organisations dans vos certificats.
ILM 2007 comprend deux produits déjà existants : Microsoft Identity Integration Server (MIIS) 2003 et le produit d’acquisition récente, Alacris idNexus (également connu sous le nom de Certificate Lifecycle Manager ou CLM pendant sa période de test bêta). Dans ILM 2007, ces produits reçoivent une nouvelle appellation : fonctions de métarépertoire et de synchronisation et fonctions de gestion des certificats.
Dans cet article, je me concentre sur la composante gestion des certificats d’ILM 2007. J’y ajoute un exemple sur la manière d’utiliser cette fonction pour accroître le niveau d’assurance de vos certificats et pour s’assurer que des flux prédéfinis sont suivis quand des certificats d’assurance moyenne sont émis.
Contenu complémentaire ILM met les données à leur place |
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Cédric Bravo : 12000 visites par mois sur le site du Guvirt
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Cédric Bravo, MVP Virtualisation, Co-Président du groupe utilisateur sur la virtualisation |
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Windows Vista : Gestion des périphériques – partie 2
Suite de l'article sur la gestion des périphériques de Windows Vista.
Contenu complémentaire : Déployer Windows Vista |
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Réunion du Groupe des Utilisateurs d’Exchange Server : Exchange Server 2007 et OCS 2007 R2 font leur show !
Le GUE (Groupe des Utilisateurs francophones de Microsoft Exchange Server) s’est réuni mi décembre à Paris. Occasion de faire le point sur Exchange Server et sur OCS 2007 R2, version très attendue !
Un agenda très complet pour la dernière réunion de l’année 2008 !
Une vue d’ensemble de OCS 2007 R2, proposée par Damien Caro, Architecture Infrastructure Microsoft France, a débuté cette réunion. Petit rappel utile de dates, sortie de OCS 2007 le 29 juillet 2007, du SP1 d’Exchange Server 2007 le 29 novembre 2007 (support de Windows 2008, intégration avec OCS 2007) et septembre 2008 : Management Pack OCS pour SCOM.
L’intégration avec OCS 2007 est bien réelle : de la notification du transfert d’appel lors du dépôt d’un message vocal, à l’intégration des appels manqués par OCS et SM, en passant par le support du Codec RT-Audio et l’association de sujets aux messages vocaux. Quelle en est l’évolution ?
Pour les administrateurs, celle-ci est essentielle. Les particularités d’OCS 2007 R2 : 64 bits seulement et Active Directory (niveau de domaine et forêts 2003 et 2008), bases de données (SQL Server 2005 SP2 et SQL Server 2008). Une évolution d’architecture est également à noter : approche consolidée préconisée, chemins de migration « side by side » recommandés, migration par export/import autorisée.
Un point sur l’aspect des rôles : certains sont repris et ont évolué (Communicator Web Access, le serveur de supervision), d’autres sont nouveaux comme le group chat, le serveur de partage d’applications, Unified Communications Applications Server, les composants web.
Quant aux utilisateurs, l’évolution est certaine : gestion de la messagerie vocale, pont de conférence, partage d’applications, appels d’équipe et délégation, groupe de réponse, gestion déléguée des appels, groupes permanents de discussion. Enfin, côté mobilité et interopérabilité, les changements sont bien là. Pour exemple, Communicator mobile a son lot de nouveautés (Single Number Reach, une seule messagerie vocale pour toutes les communications professionnelles..), avec une amélioration des performances, un état de présence mobile et une évolution de l’ergonomie.
Que dévoiler de plus si ce n’est la date de sortie de OCS 2007 R2… à priori le rendez-vous est pris pour début janvier 2009 ! Quant aux axes de développement : voix et téléphonie sont à l’honneur avec l’intéropérabilité.
Pour information, des sessions auront lieu sur le sujet au cours des Microsoft TechDays 2009 (10, 11 et 12 février 2009), alors restez connectés !
La 2ème session, animée par Laurent Teruin, Consultant Communications Unifiées, MVP Exchange, fit en quelque sorte le bilan d’Exchange Server 2007. Des aspects positifs aux nouvelles contraintes, les apports sont réels. Commençons par la sécurisation et le rappel des 4 modes de sécurisation de l’infrastructure : LCR, CCR, SCR, SCC. Le couple gagnant qui se démarque est sans aucun doute CCR/SCR (réduction des contraintes matérielles, suppression des points de rupture, adéquation aux besoins et contraintes, modèle d’implantation typ

Superviser les mesures réelles dans IBM Director
Après avoir été souvent interrogé sur la capacité de supervision d’IBM Director, j’ai décidé de décrire dans cet article ce que vous pouvez superviser avec IBM Director sur i5/OS. La première chose à comprendre est la manière dont IBM Director se comporte en matière de supervision, de définition de seuils, de journalisation d’événements, de notification et d’automatisation.
Dans IBM Director, tout repose sur des événements. Pour qu’un problème vous soit signalé et que vous y réagissiez, vous devez créer des événements qui reflètent un problème qui vous préoccupe, puis capturer ces événements de manière à envoyer les notifications et lancer l’automatisation.
En bref, les étapes sont les suivantes :
1. Valider IBM Director Agents sur chaque système géré afin que les agents puissent rechercher les problèmes matériels. Dès lors qu’un agent est actif sur un système, si des problèmes matériels importants sont détectés, un événement sera envoyé sans aucune intervention de votre part.
2. Instaurer la supervision personnalisée et définir des seuils afin que, quand une certaine limite est dépassée, un événement soit envoyé, assorti de la gravité choisie par vous. Vous pouvez établir la supervision personnalisée sur n’importe quelle donnée active : mesure de performances, job, état des fichiers et même messages.
3. Mettre en place un Event Action Plan pour permettre la notification et l’automatisation. IBM Director possède un assistant de base permettant d’établir quelques notifications globales, et un constructeur de plan d’action d’événements complet pour une automatisation détaillée.
Dans cet article, je couvre l’étape 2 : Instaurer une supervision personnalisée et définir des seuils. Dans de prochains articles, nous verrons d’autres possibilités de supervision et la mise en place de plans d’action sur événement pour vous aider à automatiser la résolution des problèmes dans votre environnement.
Contenu complémentaire : Superviser et gérer les serveurs intégrés |
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Interview de laurent Miltgen Delinchamp sur les Microsoft TechDays 2009
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Laurent Miltgen, MVP Windows Desktop Experience, fondateur du Groupe utilisateur de Windows Server et du Groupe Utilisateur de Windows Vista |
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Analyse, sécurité et débogage en ILE
Retour sur les solutions en mode LAN, RPG, sous forme de Questions/Réponses posées aux experts de la rédaction.
Bases de données et commandes, au menu de ce trucs et astuces spécial System i. Des solutions pour l'administration et l'optimisation des infrastructures.
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Développer une stratégie de stockage en songeant à la conformité
Les professionnels des technologies de l’information (IT) sont confrontés à des dizaines d’exigences de type administratif, législatif et fiscal, qui pèsent sur la gestion du stockage. Dans de futurs articles de cette série, nous verrons des solutions de stockage adaptées à ces besoins.
Contenu complémentaire : Résoudre la problématique de gestion des e-mails avec LEGATO Prendre en main la gestion des données d'Exchange |
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Régler la performance du serveur Web i5/OS
Le fameux « Time is money » des anglo-saxons, devenu chez nous « Le temps c’est de l’argent », s’applique tout particulièrement à votre activité professionnelle sur le Web.
Malheureusement, régler la performance du Web relève plus de l’art que de la science, et l’art ne peut être bousculé. Il faut d’abord trouver tous les paramètres et attributs pertinents. Vous allez donc examiner les écrans passifs et ceux d’iSeries Navigator, vous promener sur la console d’administration WAS (WebSphere Application Server) et vous plonger dans EWLM (Enterprise Workload Manager) pour trouver les bons paramètres.
Mais il vous restera encore à déterminer ce qu’ils doivent être. En effet, ce qui fonctionne bien dans un contexte traditionnel pourrait bien faire le contraire dans votre environnement Web, et la perspective d’ajouter WAS, IBM WebSphere Portal et des bases de données, est suffisante pour vous faire renoncer.
Contenu compémentaire ISERIES NAVIGATOR : les nouveauté de la v5r4 |
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Laurent Miltgen Delinchamp : les communautés Vista et Seven vont fusionner
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Laurent Miltgen, MVP Windows Desktop Experience, fondateur du Groupe utilisateur de Windows Server et du Groupe Utilisateur de Windows Vista |
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