> Tech
Comment manipuler ses données à  distance

Comment manipuler ses données à  distance

Par Sabine Terrey
La société Pourkoipa, créée en 1989, appartient à  100% au groupe Danel, le leader des imprimés de gestion en Europe. Les activités de Pourkoipa couvrent trois domaines bien précis : l'impression numérique, le prépresse, le multimédia. Il faut toutefois noter que depuis novembre 2000, le volet multimédia fait désormais partie intégrante d'une seule et unique société : C-sium. Cette SSII orientée Internet appartient au groupe Danel et au groupe Staci. C-sium compte aujourd'hui 50 collaborateurs, et propose une activité de front office orientée Web, et une activité back office orientée SAP.

Il s'agissait en quelque sorte de connecter des systèmes d'informations hétérogènes et de s'attacher ensuite à  la migration en elle-même

Lire l'article
L’administration de l’AS/400 avec SNMP

L’administration de l’AS/400 avec SNMP

par Mel Beckman
Suivre les performances, les événements et les configurations à  distance, en utilisant SMNP (Simple Network Management Protocol) La plupart des gens qui entendent parler de l'administration de l'AS/400 à  distance pensent immédiatement à  OpsNav (Operations Navigator). Effectivement, OpsNav permet d'effectuer à  distance une large gamme de tâches administratives : reconfiguration de l'OS/400, démarrage et arrêt des services, et manipulation des files d'attente de jobs et d'imprimantes. Pourtant, si OpsNav est un excellent outil pour contrôler un AS/400 à  distance, ce n'est pas vraiment un outil d'administration à  distance si, par administration, on entend : suivre les performances, surveiller les valeurs système sensibles et réagir à  des événements imprévus. Pour vraiment administrer ou gérer un système, il faut considérer son comportement vis à  vis de l'ensemble du réseau, y compris de nombreuses unités non-AS/400, comme des commutateurs LAN, des routeurs et des serveurs Windows.
Il est clair qu'OpsNav ne se hisse pas à  ce niveau. Heureusement, l'OS/400 supporte le protocole d'administration à  distance le plus répandu : SNMP (Simple Network Management Protocol). C'est un standard ouvert, hétérogène, qui permet de collecter des statistiques de performances, suivre des événements et contrôler des unités à  distance. Comme SNMP est ouvert, les développeurs de produits SNMP disposent d'un marché qui dépasse largement les simples utilisateurs d'AS/400, d'où une concurrence féroce entre les produits. Le vainqueur c'est vous : avec un large éventail d'outils logiciels SNMP proposé. Entrons dans les arcanes de SNMP " générique " et de SNMP sur l'AS/400, puis intéressons-nous à  quelques produits SNMP.

Lire l'article
Améliorer SQL/400 avec des fonctions définies par l’utilisateur

Améliorer SQL/400 avec des fonctions définies par l’utilisateur

par Michael Sansoterra
Les UDF permettent de créer une logique personnalisée et centralisée à  l'intérieur d'instructions SQL SQL est un langage de requêtes puissant. Bien souvent, il peut extraire des données et être codé plus rapidement qu'un programme en langage de haut niveau (HLL : High-Level Language). Malheureusement, SQL/400 a toujours souffert d'une importante lacune par rapport aux programmes HLL : il n'offrait pas la capacité de créer une logique spécialisée et centralisée à  l'intérieur d'instructions SQL. Avec la V4R4, IBM y remédie par l'utilisation d'UDF (User-Defined Functions).

Les fonctions SQL se déclinent de 2 façons

Lire l'article
Linux : anatomie

Linux : anatomie

par Xavier Facélina
Cet article aborde le système Linux non pas par son histoire ou par son positionnement philosophique, politique ou économique, mais par sa structure technique. En traitant différents aspects de Linux, en allant du plus proche de la machine au plus éloigné, nous devrions arriver à  une compréhension globale de ce qu'est réellement Linux. Au coeur du système : un noyau (kernel). Tout est là . Linux s'articule tout entier autour de ce noyau dont le développement est réalisé par la communauté des kernel-developers, sous l'oeil vigilant de Linus Torvald en personne.

Lire l'article
Sécurité et packages applicatifs

Sécurité et packages applicatifs

par Patrick Botz
Le package applicatif de votre fournisseur est-il compatible avec vos exigences en matière de sécurité ? Voici 11 questions et leurs réponses, qui vous aideront à  le déterminer. Face aux nombreux éditeurs de logiciels applicatifs, on risque fort d'en rencontrer un (si ce n'est déjà  fait…) qui connaît peu la sécurité, ou qui l'ignore purement et simplement. Mais comment protéger le système et les données contre des fournisseurs laxistes ? Premièrement, ne partez pas du principe que le fournisseur comprend la sécurité, même s'il vend lui-même des produits de gestion de sécurité ! Ensuite, sachez que sauf si vous êtes sur le point d'acheter du logiciel à  un fournisseur, vous n'avez pas beaucoup de moyens pour l'amener à  respecter vos règles de sécurité.

La sécurité et l'intégrité du système sont finalement de votre propre responsabilité. Pour les assumer, il faut comprendre les ramifications du logiciel, en matière de sécurité. Il faut savoir comment les éditeurs réalisent leurs applications et comprendre le modèle de sécurité utilisé. Pour cela, il faut interroger les éditeurs pour déterminer leur degré de connaissance des sécurités et pour voir si leur modèle de sécurité applicative est en harmonie avec le ou les modèles de sécurité en vigueur sur votre système.

Pour vous aider à  trier le bon grain de l'ivraie, j'ai dressé une liste de questions à  poser aux fournisseurs d'applications. Chaque question est suivie d'une explication, d'une description de réponse rationnelle, et des mesures supplémentaires à  prendre pour s'assurer que les programmes du fournisseur ne contourneront pas votre politique de sécurité. Ce jeu de questions n'est nullement exhaustif, mais il comporte quelques points importants.

Lire l'article
Windows 2000 Datacenter Server : une démarche nouvelle chez Microsoft

Windows 2000 Datacenter Server : une démarche nouvelle chez Microsoft

par Christophe Boulan
Avec Windows 2000 DataCenter, Microsoft entend jouer dans la cours des grands d'où le narguaient jusqu'à  présent les systèmes mainframes, les grands UNIX et les AS/400. Mais pour cela, il ne suffit pas de créer un Windows 2000 plus puissant. Microsoft a du revoir notamment ses systèmes de certification et son approche des services de support afin de répondre aux besoins des applications stratégiques des grands comptes. Une véritable révolution culturelle pour Microsoft.
à‡a y est ! Microsoft a désormais lancé toute la famille Windows 2000 32-bit avec la sortie de Windows 2000 Datacenter Server. Datacenter s'appuie sur les fonctions de Windows 2000 Advanced Server, auxquels s'ajoutent toutes les corrections de bugs du Service Pack 1, ainsi que le support de 64 GO de RAM, des processeurs 32-bit, du clustering à  2 et 4 noeuds, du partitionnement et de l'équilibrage de la charge réseau. Windows 2000 Datacenter est destiné aux entreprise engagées dans l'e-commerce, aux ASP (Application Service Providers) et autres clients haut de gamme à  le recherche de fiabilité et de disponibilité. Datacenter Server est la première véritable entrée légitime de Microsoft sur un marché dominé par les gros bras.

Longtemps, Microsoft s'est fait l'avocat d'un modèle d'entreprise du type de celui de Windows 2000 et Windows NT : distribué. Windows 2000 Datacenter associe les avantages de la montée en charge horizontale (par ajout de serveurs) de Windows 2000, avec un modèle plus traditionnel de croissance verticale - un gros serveur avec de fortes capacités d'évolution en multiprocesseur. Avec Datacenter, Microsoft espère gagner enfin la crédibilité qui lui est refusée depuis l'annonce initiale de Windows NT. (L'image de Windows NT a souffert de défauts et de limitations parfois véritables, parfois perçues.) Mais pour atteindre cet objectif, il ne suffit pas de construire un Windows 2000 plus gros. Pour répondre aux exigences de clients haut de gamme, dont bon nombre n'auraient certainement pas fait confiance à  Windows 2000 autrement, Microsoft a créé un programme de tests de fiabilité baptisé Windows 2000 Datacenter Program, pour s'assurer que Datacenter ne sera installé que sur des configurations intégralement testées et validées.

La clé du programme est le Hardware Compatibility Test (HCT) que chaque machine compatible Datacenter doit passer


La clé du programme est le Hardware Compatibility Test (HCT) que chaque machine compatible Datacenter doit passer. Dès lors qu'un matériel a passé cette batterie de tests rigoureux (voir l'encadré " HCT : une certification matérielle spécifique "), Microsoft certifie sa compatibilité avec Datacenter et le place sur la liste de compatibilité matérielle (HCL) de Windows 2000 Datacenter, disponible sur le site Web de Microsoft. De par la rigueur des tests pratiqués, les produits de la HCL de Datacenter ne sont qu'un sous-ensemble des HCL des autres versions de Windows 2000. Les systèmes Datacenter doivent garantir au moins 99,9 % de disponibilité et les constructeurs qui vendent de tels systèmes doivent fournir régulièrement à  Microsoft des rapports de disponibilité et autres statistiques. De plus, les systèmes Datacenter doivent pouvoir supporter au moins 8 processeurs, même s'il peuvent être livrés avec seulement 1 processeur. Le système de licences est basé sur le nombre de processeurs que le système peut supporter et il faut acquérir des licences d'accès client séparément.

Certes, Windows 2000 Datacenter semble en mesure de pouvoir résoudre bon nombre des problèmes de montée en charge non résolus par les grandes entreprises utilisant Windows 2000. Mais reste à  savoir si le produit pourra réussir sa percée sur ce marché haut de gamme. Il sera intéressant de voir quelle plate-forme les entreprises choisissent au fur et à  mesure que Windows 2000 monte en puissance.

Lire l'article
Lisons l’avenir du RPG dans la V4R4

Lisons l’avenir du RPG dans la V4R4

par Bryan Meyers
En V4R4, la fidèle arrière-garde des applications AS/400 évolue pour s'adapter aux environnements client/serveur et WebEn V4R4 de l'OS/400, IBM apporte quelques améliorations qui rendront la programmation RPG plus compatible avec les environnements Java, Internet et client/serveur. Ces améliorations visent à  faire fructifier vos compétences actuelles en RPG, et à  préserver une grande partie de vos investissements dans ce langage. Le présent article met l'accent sur les améliorations au RPG apportées par la V4R4, et donne quelques exemples d'utilisation des principales d'entre elles.

Lire l'article
Benchmark à  Rochester!

Benchmark à  Rochester!

par Samy Mosimann
En route pour une expérience enrichissante... Nous nous envolons par l'avion du matin en direction de Chicago, où nous arrivons dans l'après midi. Après les formalités de police et de douane, nous nous dirigeons vers la porte B33 où nous embarquerons sur l'avion de Rochester (MN). On y repère rapidement les malades qui se rendent à  la fameuse Clinique Mayo, ainsi que les IBMers qui ont sorti leurs Thinkpad pour travailler en attendant le départ. Encore une heure de vol et nous arrivons à  destination. A Genève, il est passé minuit !

Le lendemain matin, en route pour le Centre de test des laboratoires AS/400 de Rochester, où nous sommes accueillis par Bill Larson, à  la tête de l'équipe de 3 personnes qui va s'occuper de nous durant toutes les séances du “benchmark test”. Notre équipe (le client) comprend 6 personnes dont un chef de projet, 1 programmeur connaissant le langage C, un business-analyst (chargé de dérouler et de lancer les menus), 1 créateur d'environnement. IBM Suisse a délégué 2 spécialistes dont un chef de projet.

Le Centre de test de Rochester a été créé en 1993. Il a pour but de définir la configuration optimale d'un AS/400 en tenant compte de l'environnement réel d'un client, soit nombre d'utilisateurs, applications en transactionnel et en batch, réserves de capacités nécessaires et temps de réponse requis, etc. Près de 500 “benchmark tests” ont déjà  été effectués à  Rochester. Pour information, un centre identique existe à  Santa Palomba (près de Rome en Italie) à  l'usine où sont assemblés les AS/400 pour l'Europe.

Près de 500 “benchmark tests” ont déjà  été effectués à  Rochester

Lire l'article
Le modèle ASP convient-il à  votre entreprise ?

Le modèle ASP convient-il à  votre entreprise ?

par Pam Jones
Les coûts de maintenance élevés des systèmes d'informations conduisent de nombreuses entreprises à  s'intéresser au modèle ASP. Il est de retour ! Le bon vieux modèle "service bureau" refait surface, sous la forme cette fois des ASP (Applications Service Providers). Des services bureaux comme la "Service Bureau Corporation" d'IBM ont connu leur heure de gloire du milieu des années 60 et au début des années 70.

A cette époque, la force motrice qui justifiait ce modèle était le coût des équipements informatiques. Les petites et moyennes entreprises, qui ne pouvaient pas se permettre de posséder leurs propres machines, étaient contraintes de les louer. Vers le milieu des années 70, IBM, Digital et d'autres constructeurs ont commencé à  proposer des mini-ordinateurs à  un prix abordable, à  commencer par les System/3 et System/32 d'IBM. Cette offre a été à  l'origine de plus de 20 ans d'investissements informatiques internes.
Aujourd'hui, une multitude de facteurs convergent pour ressusciter le modèle des applications louées comme alternative aux systèmes internes.

Une fois de plus, les coûts de possession élevés des systèmes informatiques constituent le facteur le plus important contribuant à  la résurgence du modèle de la location.
Désormais, il n'y a pas que le matériel dont le prix soit élevé, mais également les mises à  jour des logiciels, le personnel chargé de la maintenance du parc informatique et les logiciels installés. "De nos jours, les dépenses les plus élevées sont liées aux personnes chargées d'assurer le bon fonctionnement des systèmes, la maintenance des logiciels, etc...
Il est beaucoup plus simple de répartir les coûts entre plusieurs entreprises utilisatrices et de demander à  un expert de s'en occuper sur un site à  distance plutôt que d'essayer de recruter et de former le personnel soi-même. Le coût et la commodité conduisent les entreprises à  adopter le modèle ASP", déclare Dan Barrow, Président de Data Processing Services, un ASP basé à  Indianapolis et qui propose une application de gestion des ventes en gros.
Par ailleurs, le temps est également approprié en termes de technologie pour un retour vers l'hébergement des systèmes informatiques sur des sites distants. L'avancée technologique la plus importante, et qui a contribué au retour des ASP, est le succès de l'Internet et la popularité des interfaces utilisateur de type navigateurs.
L'Internet et le Web ont considérablement popularisé le modèle de l'informatique distribuée. La popularisation des accès Internet, tant en entreprise qu'à  domicile, fait que les utilisateurs sont de plus en plus à  l'aise avec l'idée d'accéder à  des applications à  distance. Les performances pures du matériel ainsi que les
technologies avancées de développement d'applications Web d'aujourd'hui représentent
également des contributions majeures à  la montée en puissance des ASP.

Les coûts de possession élevés des systèmes informatiques constituent le facteur le plus important contribuant à  la résurgence du modèle de la location

Lire l'article
CVTSPLSTMF : pour que les spoules soient encore plus simples

CVTSPLSTMF : pour que les spoules soient encore plus simples

par Peter Clifford
De nouveaux paramètres rendent cet utilitaire de publication de rapports AS/400 encore plus polyvalent Dans un précédent article, " CVTSPLSTMF facilite les spoules ", NEWSMAGAZINE, octobre 2000, j'expliquais comment ma commande CVTSPLSTMF (Convert Spooled File to Stream File) pouvait aider à  publier des rapports AS/400 classiques dans les formats suivants : texte ASCII, HTML ou PDF (Portable Document Format) Adobe. Cet article a suscité des messages électroniques aussi nombreux qu'agréables, mais certains lecteurs ont relevé quelques soucis et limitations de CVTSPLSTMF.

Nombreux sont notamment ceux qui ont subi une corruption des sources de programmes pendant le téléchargement ou l'installation. Ceux qui ont eu du mal à  lire les fichiers PDF ou HTML créés par la commande CVTSPLSTMF, les indications figurant dans l'encadré " Corriger la corruption de la source de CVTSPLSTMF " pourront aider à  détecter et à  corriger ce problème.

Même si ma description originale de l'utilitaire évoquait clairement ses limitations, ces lacunes ont agacé certains lecteurs, suscitant cette nouvelle version de CVTSPLSTMF.
Ainsi, l'option permettant de convertir des rapports en PDF traite désormais correctement de larges rapports et des formats de page autres que A4 à  l'italienne.
La commande est aussi accompagnée d'un texte d'aide, grâce à  Jeff Kinzer.

On peut télécharger la nouvelle version de CVTSPLSTMF depuis le site Web de Systems Journal, à  l'adresse http://www.mysystemsjournal.com. Cet article résume certaines modifications, sans montrer le nouveau code. Important : pour le téléchargement du source en format PC ZIP, il faut lire ma mise en garde concernant la corruption du code source dans l'encadré " Corriger la corruption du source de CVTSPLSTMF ".

Corriger la corruption du source de CVTSPLSTMF

Si l'on a du mal à  ouvrir les fichiers PDF et HTML créés à  l'aide de CVTSPLSTMF, il est probable que le source à  partir duquel les programmes RPG ont été compilés, ait été corrompu pendant le téléchargement. PDF et HTML utilisent tous deux des caractères de contrôle spéciaux : des quotes dans PDF, et des parenthèses angulaires en HTML. Malheureusement, il y a un risque de traduction incorrecte de ces caractères quand on déplace le source entre PC et AS/400 (conversion ASCII-EBCDIC) ou entre AS/400 (conversion CCSID).
Pour vérifier la présence de ce problème, il faut ouvrir le source du programme ILE RPG dans SEU et regarder la ligne contenant la phrase :

/PDF /Text

Cette ligne doit apparaître ainsi :

CALLP WritePDF('[/PDF /Text]')

Autrement dit, la phrase /PDF /Text doit se trouver entre quotes. S'il y a autre chose qu'une paire de quote (un signe pourcent et un point d'exclamation, par exemple), le source a été corrompu.
On peut corriger ce problème de deux manières. On peut remplacer les caractères incriminés par les bons, en effectuant un scan/replace de tout le source du programme puis en recompilant. On peut également télécharger à  nouveau les programmes depuis http://www.mysystemsjournal.com. Je conseille de télécharger les programmes déjà  compilés dans un fichier de sauvegarde, on évitera ainsi très probablement le problème de mauvaise traduction du source.
PC

Les fonctions de CVTSPLSTMF ont été améliorées par l'ajout de paramètres

Lire l'article
Délégation Active Directory : des hauts et des bas

Délégation Active Directory : des hauts et des bas

par Darren Mar-Elia
Les futures versions de nombreux produits Microsoft tels que Exchange Server, Site Server et SQL Server ne fonctionneront plus sur le principe d'annuaires autonomes, mais sur Active Directory (AD). Cette mutation obligera beaucoup d'entreprises à  déployer une infrastructure AD, ce qui leur posera un double défi : la planification d'une implémentation de AD et sa gestion pour répondre aux nombreux besoins des utilisateurs et des applications. L'une des caractéristiques les plus importantes d'Active Directory, à  savoir sa capacité de supporter l'administration déléguée des objets d'annuaire à  des groupes d'utilisateurs spécifiés, oblige à  bien comprendre la sécurité AD et les complexités de sa gestion des permissions. Il est également indispensable de comprendre l'éditeur d'ACL (listes de contrôles d'accès) d'Active Directory et l'assistant Délégation de contrôle, de connaître les défis et les pièges que l'on risque de rencontrer en mettant sur pied une stratégie de délégation AD.

Lire l'article
Donner du sens aux benchmarks sur le Web

Donner du sens aux benchmarks sur le Web

par Pam Jones
En sachant interpréter les données des benchmarks, on arrive à  distinguer les faits des effets de manche Pendant longtemps, les benchmarks standard ont rassuré les acheteurs en les convainquant que le matériel qu'ils achetaient était une bonne affaire, ou, à  tout le moins, que ses performances étaient comparables à  celles des autres. Il est vrai que, bien que fonction des fournisseurs et sujets à  la mauvaise interprétation par les clients, les benchmarks fournissent une base de comparaison, même imparfaite. Or, à  l'ère d'Internet, les benchmarks traditionnels comme TPC-C s'avèrent insuffisants. La soudaine explosion du Web a engendré des charges de travail nouvelles et différentes, hors de portée des moyens de mesure habituels. Les utilisateurs ont du mal à  comparer entre elles les applications des serveurs Web et de e-commerce. Mais voici que, récemment, sont apparus de nouveaux benchmarks Web et Java fort intéressants. Quoique non exhaustifs, ils offrent un point de départ pour évaluer les performances des serveurs AS/400e face aux nouvelles charges de travail du e-commerce. (Pour plus d'informations sur ces benchmarks, reportez-vous à  l'encadré "Benchmarks standard Web et Java").

Les benchmarks fournissent une base de comparaison, même imparfaite

Il existe à  ce jour quatre benchmarks indépendants des fournisseurs, permettant de juger des forces de l'AS/400 en tant que serveur Web. Deux d'entre eux mesurent les services Web directement, les deux autres mesurant les points forts de Java sur une machine. Comme Java a été consacré "langage de l'Internet", et qu'un nombre croissant d'utilisateurs AS/400 utilisent ou envisagent Java pour leurs déploiements Web, ces benchmarks Java sont également utiles pour évaluer le potentiel d'un serveur sur le Web. Outre les quatre benchmarks standard, il existe deux benchmarks internes à  IBM pour le service Java, souvent cités dans la communauté des développeurs sur AS/400.

VolanoMark, de Volano LLC et SPECweb99 de SPEC (Standard Performance Evaluation Corporation), mesurent respectivement les performances des services Java et Web. Ces deux benchmarks, bien qu'instructifs, sont loin de représenter les lourdes charges de travail mixtes et très transactionnelles qui caractérisent de plus en plus l'activité d'un serveur Web. SPECjbb2000 de SPEC et TPC-W du Transaction Processing Council sont les derniers benchmarks qui tentent de reproduire un service transactionnel plus complexe en Java et sur le Web.
Si on analyse ces nouveaux benchmarks Web et Java pour comparer l'AS/400 à  ses concurrents (ou pour l'en défendre), pour de nouvelles applications e-commerce, il est important de comprendre ce que chaque benchmark mesure, et en quoi le cas testé se compare au déploiement concret envisagé. "La meilleure méthode pour un utilisateur, consiste à  mieux comprendre le benchmark, et à  comparer ce modèle… à  son propre environnement applicatif", suggère un document TPC. "S'il y a correspondance approximative, on dispose probablement d'un outil utile et pertinent pour comparer les différents systèmes que l'on envisage d'installer."

Lire l'article
Virus : éduquez les utilisateurs

Virus : éduquez les utilisateurs

par David Chernicoff
Depuis le début de l'année, ma boîte de réception d'e-mails semble devoir contenir chaque jour un message de mon fournisseur d'antivirus. Ces messages contiennent des alertes à  propos de nouveaux virus et comportent des liens vers des sites Web d'où l'on peut télécharger des fichiers permettant de protéger mon réseau contre ces programmes malins. La majorité de ces messages concernent des alertes et mises à  jour concernent des formes diverses de virus macro qui ciblent en priorité Microsoft Word ou Excel. Comme tout bon administrateur réseau responsable, je télécharge toujours les mises à  jour des applications antivirus et les applique aussi bien sur les serveurs que sur les clients. Je n'informe pas les utilisateurs de ces mises à  jour : je les mets en oeuvre, simplement. Or, je suis convaincu que la plupart des administrateurs systèmes appliquent la même méthode et c'est là  que réside le problème.

Lire l'article
Tirer toute la puissance de la MMC de Windows 2000

Tirer toute la puissance de la MMC de Windows 2000

par Kathy Ivens
La Microsoft Management Console (MMC) de Windows 2000 constitue un framework pour l'administration et la gestion des configurations des systèmes. La beauté de la MMC est qu'elle remplace les nombreuses interfaces nécessaires pour gérer Windows NT et qu'elle simplifie la gestion des systèmes. La MMC a été amplement documentée par Microsoft. On peut donc s'attendre à  ce que les éditeurs de logiciels commencent à  inclure dans leurs solutions des composants logiciels enfichables la MMC pour leur installation et configuration. La Microsoft Management Console constitue une interface graphique pour les composants logiciels enfichables d'administration - également baptisées snap-in. Ces briques logicielles définissent et réalisent les tâches d'administration. La MMC en elle-même n'offre pas de fonctions d'administration. Sa valeur ajoutée est qu'elle vous permet d'ajouter et coordonner facilement les composants enfichables. La MMC offre une interface de documents multiples qui peut exploiter les technologies Internet et les contrôles ActiveX.
La MMC tourne sur les plates-formes Win32 (par exemple Windows 2000, NT 4.0 ou Windows 9x). Windows 2000 comprend des snap-in en standard dans le menu Outils d'administration du menu Démarrer. De nombreux autres produits Microsoft (notamment le Kit de ressources de Windows 2000, SQL Server et Exchange 2000 Server), offrent des composants enfichables supplémentaires.
On peut assembler plusieurs composants logiciels enfichables pour créer une console personnalisée pour administrer les différents ordinateurs de votre entreprise. Sauvegardez les consoles que vous avez créées sous forme de fichiers .msc (Management Saved Console), et utilisez la méthode qui conviendra la mieux à  votre environnement pour les distribuer dans le système d'informations. (On peut par exemple rendre les fichiers disponibles sous forme de raccourcis sur les bureaux ou comme options du menu démarrer, envoyer les fichiers par e-mails ou encore publier les fichiers dans une page Web.)

On peut assembler plusieurs composants logiciels enfichables pour créer une console personnalisée

Lire l'article
Déléguer l’administration avec AD

Déléguer l’administration avec AD

par Paula Sharick
Au fur et à  mesure de la croissance des entreprises, se développent parallèlement les tâches quotidienne de maintenance et d'administration des systèmes informatiques, indispensables pour continuer à  satisfaire les utilisateurs et à  faire tourner rondement le réseau.Les entreprises ayant déjà  dû faire face à  une période d'embauche sérieuse, savent très bien ce que chaque nouvel employé représente comme travail pour le personnel du service informatique : nouveau compte, nouveau profil et script de connexion, espace de stockage sur le serveur, contrôles d'accès aux applications et aux données et, éventuellement, capacités d'accès à  distance. De plus, au fur et à  mesure que les imprimantes prolifèrent dans l'entreprise, une myriade de problèmes d'impression inonde quotidiennement le Service de support technique. Au fur et à  mesure que s'étendent les réseaux et les ressources qu'ils supportent, la charge s'accroît rapidement sur l'équipe du support informatique - 2.000 utilisateurs accédant à  200 ressources partagées génèrent plus d'un million de demandes d'assistance potentielles. Même une grande équipe informatique ne peut pas gérer efficacement et dans les temps un tel niveau de complexité. Heureusement, Windows 2000 fournit une fonction très précieuse, la délégation des tâches de routine d'administration et de support à  l'échelle de l'entreprise. Pour tirer avantageusement partie des fonctions de délégation d'Active Directory, il faut commencer par définir des unités organisationnelles (UO), puis identifier les tâches à  déléguer et ajouter les membres du personnel responsables de la gestion distribuée et de la maintenance. Une fois cette infrastructure en place, l'assistant de Délégation de contrôle d'AD peut être utilisé pour déléguer rapidement les permissions et les droits indispensables à  chaque groupe pour accomplir les activités de gestion qui lui ont été assignées.

Lire l'article
Utilisation des zones de données en RPG et en CL

Utilisation des zones de données en RPG et en CL

par Jef Sutherland
Les zones des données sont des objets AS/400 permettant de stocker des morceaux d'information ou des ensembles de valeurs (comme des paramètres société, des taux de TVA ou des options de sauvegarde/restauration) là  où on ne souhaite pas forcément avoir un fichier physique avec de multiples enregistrements. Les zones de données peuvent stocker jusqu'à  2000 caractères, et constituent une manière intéressante d'assurer les communications de programme à  programme ...le premier programme positionne la data area pour que le second puisse récupérer l'information et l'utiliser. Lorsqu'on crée une zone de données avec la commande CRTDTAARA (figure 1), on peut spécifier si la zone de données est de type caractère (*CHAR), numérique (*DEC) ou logique (*LGL).

Une zone de données spéciale appelée LDA (Local Data Area), utilisable par n'importe quel programme, est créée systématiquement avec chaque job AS/400. Ceci est bien pratique car les programmeurs n'ont pas à  créer de LDA lorsque celle-ci s'avère nécessaire ; elle est déjà  disponible. Cependant, cette LDA peut être source de problèmes si un grand nombre de programmes s'en servent sans tenir compte des modifications de la LDA faites par les autres programmes. 

Une zone de données spéciale appelée LDA, utilisable par n'importe quel programme, est créée systématiquement avec chaque job AS/400 

Lire l'article
Une informatique de gestion

Une informatique de gestion

par Catherine China
Société de négoce de vins basée à  Beaune, Vinipar vient de terminer le développement d'une application client-serveur de gestion des forces de vente en environnement AS/400. Conçu à  partir de l'AGL Adelia d'Hardis, cet applicatif permettra notamment d'optimiser la gestion de relevés de linéaires, dans une optique de passage An 2000. Depuis plusieurs générations, l'entreprise familiale Vinipar relève le défi du négoce de vins. Dans un secteur devenu de plus en plus concurrentiel, être à  la pointe de l'informatique est devenu son fer de lance. Cela fait près de 8 ans, qu'elle travaille avec l'éditeur grenoblois Hardis pour le développement d'applications de gestion sur mesure.
Son équipe informatique vient ainsi de terminer le développement d'une nouvelle application de gestion des forces de vente basée sur l'AGL Adelia. “ Il y a trois ans, nous avions choisi d'installer leprogiciel Nomade de gestion des forces de ventes, mais l'application ne passant pas l'an 2000, il nous fallait trouver une alternative. Deux solutions s'offraient à  nous : soit trouver un autre progiciel du marché qui passe l'an 2000, soit développer l'application en interne ” explique ainsi Yves Ganavat, directeur informatique chez Vinipar.

Etre à  la pointe de l'informatique est devenu le fer de lance de Vinipar

Après une étude réalisée auprès des différents éditeurs du marché à  la fin 1998, c'est finalement l'option du développement sur mesure qui a été retenue. “ Avec Hardis, c'est avant tout une affaire de confiance. Cela fait plusieurs années que nous travaillons ensemble pour le développement de nos applicatifs de gestion commerciale et de production. Nous avons ainsi préféré faire appel à  une société que nous connaissions déjà  pour nous accompagner dans le développement complet de ce nouvel applicatif, et en nous basant sur un AGL que nos équipes de développement maîtrisait déjà  ” ajoute le directeur informatique.

Lire l'article
XML : au delà  des frontières

XML : au delà  des frontières

par Sharon L. Hoffman
Comment étendre les possibilités de description de fichiers des DDS aux environnements hétérogènes Les développeurs AS/400 se passionnent pour XML (Extensible Markup Language) parce que ce langage promet de régler deux problèmes pressants : échanger des informations entre applications disparates, et insérer des données complexes dans des pages Web. Comme l'AS/400 est avant tout un moteur de base de données, ces problèmes intéressent tout particulièrement les développeurs AS/400.

Certes, le problème de l'échange d'informations n'est pas nouveau. Mais il s'accentue dès lors qu'on partage de plus en plus de données avec ses clients et fournisseurs. La prolifération des bases de données internes et des applications (depuis les répertoires d'adresses sur chaque PC jusqu'aux applications de business intelligence complexes), suscite de nouvelles demandes pour l'échange de données entre programmes.

La nécessité d'insérer des données complexes dans des pages Web est le corollaire de la large utilisation d'Internet et, plus particulièrement, du développement d'applications de e-commerce.
Au fur et à  mesure que les sites Web deviennent plus sophistiqués, les pages HTML statiques sont de moins en moins pratiques. Les développeurs Web adoptent des outils comme Java et XML pour rendre les pages Web plus dynamiques et pour limiter les traitements manuels nécessaires pour des transactions Web, comme des demandes d'informations et des achats en ligne.

Plutôt que d'expliquer dans le détail les techniques et standards de coding XML, voyons plutôt la relation entre XML et les langages de définition de données, comme SQL et DDS, et les outils et technologies nécessaires pour utiliser XML efficacement. (Pour avoir un bref aperçu de XML, voir l'encadré " XML : Vue d'avion ".)

A la base de toute discussion sur l'échange de données, on trouve l'encodage des métadonnées

Lire l'article
Quand faut-il utiliser SQL plutôt que RPG ou CL ?

Quand faut-il utiliser SQL plutôt que RPG ou CL ?

par Jef Sutherland
Pendant très longtemps, RPG et CL ont été les seuls (ou les meilleurs) outils dont disposait un programmeur AS/400 pour traiter toutes les tâches de développement. Nous disposons aujourd'hui, de nombreux outils et langages, parmi lesquels il est possible de choisir, et notamment, Visual Age for RPG, Net.Data et SQL. Dans le présent article, j'explique comment utiliser SQL pour résoudre quelques-uns des problèmes courants résolus auparavant à  l'aide d'un programme RPG ou CL. Je pense qu'il est facile de comprendre comment l'ajout de SQL à  la boîte à  outils de développement peut faire gagner du temps.

On peut résoudre le problème avec une simple instruction SQL

Lire l'article
Microsoft Application Center 2000

Microsoft Application Center 2000

par Tao Zhou
Pour lancer un site Web majeur, la question de sa disponibilité et de ses performances est une considération essentielle à  prendre en compte. La mise à  l'échelle (ou scaling) matérielle ou logicielle sont des stratégies possibles pour traiter les problèmes de disponibilité et de performances. La première consiste à  installer un système multiprocesseur robuste et évolutif, par exemple un serveur à  8 voies avec des composants matériels redondants, comme serveur Web. La seconde permet de mettre en miroir le contenu Web sur plusieurs serveurs Web formant un cluster. Les serveurs en cluster peuvent avoir des configurations matérielles différentes : combinaison de systèmes anciens et nouveaux, de systèmes lents et rapides. Au fur et à  mesure que le trafic augmente sur le site, il est possible d'ajouter des machines au cluster. Pour mettre en oeuvre le scaling logiciel, vous pouvez utiliser un équilibreur de charge de serveur Web (également baptisé équilibreur de charge IP), logiciel qui dirige un client vers le serveur Web le moins occupé ou le plus approprié parmi plusieurs serveurs prenant en charge un contenu en miroir. Par exemple, pour équilibrer et basculer le trafic du client vers un serveur Web en cas d'incident, vous pouvez utiliser des produits comme le service NLB (Network Load Balancing) pour Windows 2000 ou WLBS (Windows NT Load Balancing Service) de Microsoft, le commutateur Web de Cisco Systems, ou celui de Nortel.

Bien que la mise à  l'échelle logicielle soit plus facile à  adopter et donne plus de flexibilité aux applications Web, que celle matérielle, il n'est pas facile de gérer le contenu et les applications Web entre plusieurs serveurs. Tous les changements apportés au contenu et aux composants applicatifs doivent être déployés sur tous les serveurs. Si le contenu des serveurs n'est pas en miroir, les utilisateurs obtiendront des résultats différents des serveurs d'un même site Web. En cas de panne des serveurs d'un cluster, un équilibreur de charge de serveur Web peut rediriger les requêtes des clients vers des serveurs en bonne santé. Mais il faut tout de même un outil pour surveiller la santé et les performances des serveurs

Pour faciliter la gestion des sites Web et des applications, Microsoft a développé Application Center (AppCenter) 2000, qui peut synchroniser le contenu du Web et déployer des applications COM+ entre plusieurs serveurs d'un cluster. AppCenter peut surveiller et communiquer l'état de santé et les performances des serveurs et du cluster. Outre l'utilisation de NLB pour équilibrer la charge des serveurs Web, AppCenter supporte le service CLB (Component Load Balancing), que Microsoft a retiré de Windows 2000 après la RC1 (Release Candidate 1) de la beta 3. Le service CLB peut équilibrer la charge du niveau médian (c'est-à -dire le niveau logique d'entreprise) des applications Windows à  plusieurs niveaux. Nous allons voir comment installer et tirer parti de la capacité d'AppCenter à  mettre en cluster, équilibrer la charge, et surveiller l'état de santé et les performances des serveurs Web.

Application Center 2000 peut synchroniser le contenu du Web et déployer des applications COM+ entre plusieurs serveurs d'un cluster

Lire l'article